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Yeumbeul Sud : une élève et sa mère condamnées pour inhumation illégale d’un fœtus

Le Tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye a rendu son verdict dans l’affaire impliquant M. D. Sène, une élève de 23 ans et mère célibataire, et sa mère Kh. Ndour, poursuivies pour avortement clandestin et violation des règles d’inhumation après la découverte d’un fœtus enterré derrière leur maison à Yeumbeul Sud.

Les faits remontent à la nuit du 29 au 30 octobre, lorsque la jeune femme aurait expulsé un fœtus après avoir soulevé une lourde bassine. Selon ses déclarations, elle ignorait être enceinte de 23 semaines, une version que le tribunal a jugée peu crédible, compte tenu de son expérience de maternité. Paniquée, sa mère a enterré le fœtus à la hâte derrière la maison, sans réaliser immédiatement de quoi il s’agissait.

Le lendemain, un voisin ayant remarqué la tombe sommaire a alerté la police, qui a procédé à l’exhumation. L’enquête a révélé que le fœtus était mort-né et n’avait jamais respiré, un détail crucial qui a écarté l’accusation d’infanticide.

Lors de l’audience, l’avocat de la défense a plaidé l’absence d’intention :

« Ma cliente n’a pas cherché à interrompre sa grossesse. Elle a fait un faux mouvement après des travaux pénibles. Il s’agit d’une fausse couche accidentelle », a-t-il soutenu.

Le parquet a reconnu ce point, rappelant néanmoins la gravité de la situation :

« Ce qui vous a sauvée, c’est que l’enfant n’a pas respiré. Sinon, vous seriez aujourd’hui poursuivie pour meurtre. »

Finalement, le tribunal a relaxé les deux femmes de l’accusation d’avortement clandestin, faute de preuve d’intention volontaire, mais les a condamnées pour violation des règles d’inhumation à six mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 F CFA chacune.

Le juge a invoqué une approche bienveillante, tenant compte de la panique et de la peur qui ont conduit les deux femmes à agir de manière irrationnelle.

Affaire ISEG : Aïssatou Seydi et Mamadou Ba renvoyés en correctionnelle pour escroquerie présumée de 840 millions F CFA

Le conflit opposant Mamadou Diop, président du groupe ISEG, à son ex-épouse Aïssatou Seydi et à Mamadou Ba, agent immobilier, connaît un nouveau tournant judiciaire. Selon des informations de Seneweb, le juge d’instruction du 8e cabinet a, le 2 septembre 2025, ordonné le renvoi du dossier devant le tribunal correctionnel, à la suite du réquisitoire définitif du ministère public.

L’affaire porte sur l’immeuble situé à la Sicap Sacré-Cœur n°9023, dont Mamadou Diop avait été expulsé le 24 juillet 2025. Le procès est fixé à l’audience du 6 novembre 2025, sauf report de dernière minute.

Les prévenus sont poursuivis pour association de malfaiteurs, escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux en écriture publique et en documents administratifs, ainsi que pour complicité d’escroquerie et de faux. Ils sont accusés d’avoir détourné la somme de 840 millions F CFA au préjudice du GIE ISEG dirigé par Mamadou Diop, entre 2011 et 2021.

À l’époque, Aïssatou Seydi, encore mariée à Mamadou Diop, aurait reçu les fonds à titre de mandat. Mais après mise en demeure, elle n’a pas pu justifier l’utilisation de l’argent, poussant son ex-époux à porter plainte. L’enquête a révélé qu’elle aurait, avec la complicité de Mamadou Ba de l’agence AGEPI, fait muter l’immeuble à son nom, alors que les paiements provenaient du GIE ISEG.

Arrêtée en janvier 2021, Mme Seydi avait reconnu les faits lors de l’enquête préliminaire et devant le juge d’instruction. Elle avait déjà perdu un procès en contestation de propriété contre son ex-mari.

En 2023, après la désignation d’un nouveau juge, elle a été de nouveau arrêtée et placée sous mandat de dépôt, avant d’obtenir une liberté provisoire sous contrôle judiciaire. Malgré cette mesure, elle a continué à revendiquer la propriété du bien, allant jusqu’à obtenir l’expulsion de Mamadou Diop.

Sauf renvoi, le dossier sera jugé ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Dakar, dans un procès qui s’annonce particulièrement suivi.

Moustapha Diakhaté fustige le délit d’offense à une personne ayant des charges avec le président

L’ancien député Moustapha Diakhaté a vivement critiqué, ce mardi, l’application du délit d’offense à une personne ayant des charges avec le président de la République, qu’il considère comme une violation de la loi.

« Arrêter une personne pour le délit d’offense à une personne ayant des charges avec le président de la République, c’est une trahison de la Loi », a-t-il écrit dans une publication relayée sur les réseaux sociaux.

L’ex-parlementaire estime que cette disposition ne peut en aucun cas s’appliquer à Ousmane Sonko, le leader du parti Pastef, soulignant qu’« il ne partage aucune charge avec le président de la République ».

Moustapha Diakhaté a par ailleurs rappelé que tous les opposants et chroniqueurs poursuivis sur ce fondement ont été relaxés par le Tribunal de grande instance de Dakar pour ce même chef d’accusation. Selon lui, cette situation illustre la non-conformité de cette infraction avec les principes de droit et l’abus de son usage à des fins politiques.

Affaire Madiambal Diagne : ses avocats se réunissent à Paris pour contrer la procédure d’extradition

Selon le journal L’Observateur de ce mardi 4 novembre, les avocats du journaliste Madiambal Diagne se sont réunis à Paris pour peaufiner leur stratégie de défense. L’objectif principal de cette rencontre : obtenir l’annulation de la procédure d’extradition engagée contre leur client.

Les conseils de Madiambal Diagne contestent la régularité du mandat d’arrêt émis à son encontre et estiment qu’un éventuel retour au Sénégal compromettrait son droit à un procès équitable, tel que garanti par les standards internationaux de justice.

Dans leur argumentaire, les avocats comptent produire plusieurs éléments de preuve, notamment des clés USB contenant des enregistrements et documents relatifs à des campagnes de dénigrement sur les réseaux sociaux, ainsi que des vidéos montrant les interpellations des journalistes Babacar Fall et Maïmouna Ndour Faye, arrêtés après avoir interviewé Madiambal Diagne.

Ces pièces devraient, selon eux, démontrer le climat d’hostilité entourant cette affaire et renforcer la thèse selon laquelle leur client ne bénéficierait pas d’un traitement judiciaire impartial en cas de retour au pays.

Rufisque : un faux guérisseur arrêté pour avoir filmé et menacé des femmes avec des vidéos intimes

Un individu se présentant comme guérisseur traditionnel a été arrêté à Rufisque par la Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité (DSC). Il est accusé d’avoir enregistré, à l’insu de plusieurs femmes venues le consulter, des vidéos à caractère intime.

Selon les informations recueillies, l’affaire a éclaté après la plainte d’une jeune femme orientée vers le supposé guérisseur, M.D., par son propre frère. Lors d’une séance en visioconférence via WhatsApp, l’homme lui aurait demandé de se dévêtir sous prétexte d’un « diagnostic spirituel ». Sans qu’elle s’en doute, il aurait enregistré toute la scène.

Quelques mois plus tard, la victime a découvert sur le statut WhatsApp de M.D. une capture d’écran de cette vidéo intime, accompagnée d’un message moqueur. Choquée, elle a exigé la suppression du contenu, mais le mis en cause a refusé et l’a même menacée de publier l’intégralité de la séquence. Il lui aurait renvoyé la vidéo à plusieurs reprises, notamment en mode « vue unique ».

Alertée, la Division spéciale de cybersécurité a ouvert une enquête qui a conduit à l’arrestation du suspect. Lors de son audition, M.D. a reconnu les faits et admis avoir filmé d’autres femmes dans des situations similaires. L’analyse de son téléphone a permis de découvrir de nombreuses vidéos montrant des patientes nues lors de soi-disant rituels mystiques.

Face aux enquêteurs, il a d’abord tenté de se justifier en évoquant une « précaution » contre d’éventuelles accusations, avant d’avouer qu’il le faisait aussi pour son plaisir personnel.

Au terme de l’enquête, M.D. a été déféré au parquet pour collecte illicite, stockage et diffusion de données à caractère personnel, ainsi que pour atteinte à la vie privée.

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