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Ibnou Sougoufara, président de Sengov’Risk : «La note de Moody’s disqualifie le Sénégal»

Moody’s Investor Services a dégradé les notes d’émetteur en devises étrangères du Sénégal, de B3 à Caa1, tout en maintenant une perspective inchangée. Interpellé sur cette note du Sénégal, le président de Sengov’Risk n’y va pas par quatre chemins. Ibnou Sougoufara soutient que le Sénégal vient de comptabiliser la plus mauvaise note jamais attribuée à sa dette souveraine. Selon lui, «cette note ne permet pas au pays de pouvoir bénéficier de prêts auprès des institutions internationales». «Cette note disqualifie le Sénégal de pouvoir emprunter», a fait savoir le président de Sengov’Risk, l’association des managers de risques. C’était en marge d’une conférence de presse organisée par le Conseil national du patronat, en prélude aux Assises de l’entreprise 2025.
Du côté de l’Etat, ce n’est pas le même son de cloche. A preuve, le ministère des Finances et du budget a sorti un communiqué le week-end dernier, pour s’en prendre à l’agence de notation. Les collaborateurs du ministre Cheikh Diba qualifient les notes de Moody’s «d’hasardeuses, fondées sur des justifications partielles, prématurées et des sources non dévoilées», et qui «viennent confirmer la ligne de conduite douteuse de l’agence envers le Sénégal depuis plusieurs mois».

Les populations s’opposent à l’exploitation des phosphates de Koul

A crane operates in the open-cast phosphate mine and factory in Mboro, north of Dakar, on April 30, 2008. The Indian Consortium Iffco (Indian Farmers Fertiliser Cooperative) undertook the financing of the Senegalese firm "Industries Chimiques du Senegal" in exchange for 85 % of shares. "Industries Chimiques du Senegal", the jewel of local industry, have experienced financial difficulties for the past several years and production should reach 60% of its capacity for mining activities and the production of phosphoric acid by the end of 2008 after years of crisis. AFP PHOTO / GEORGES GOBET / AFP / GEORGES GOBET

Les craintes des populations de Koul (département de Tivaouane) ont été confirmées par l’étude d’impact environnemental et social dont les résultats ont été partagés récemment par le collectif « Sam sunu momel ». Aujourd’hui encore, les populations de cette localité de Tivaouane s’opposent à ce projet.

L’exploitation du phosphate dans la commune de Koul va occasionner des effets néfastes chez les populations. C’est la conclusion de l’étude d’impact environnemental et social rendue publique par le collectif « Sam sunu momel ». Selon le document, l’exploitation de ces phosphates va provoquer l’altération de la qualité de l’air, la modification de l’ambiance sonore, la modification du paysage, les risques d’atteintes aux eaux souterraines, la dégradation du cadre de vie, les pertes d’activités économiques, dont l’agriculture et l’élevage. Sans compter les risques d’atteinte du milieu social et culturel ainsi que les accidents et maladies. Selon toujours le document, il y a la présence de périmètres agricoles, de villages et de sites culturels dans l’emprise du permis d’exploitation.

Selon Sidy Ndiaye, trésorier général du collectif « Sam sunu momel », regroupant des populations hostiles à l’implantation d’Envis SA, ces conclusions renforcent les craintes qu’ils ont toujours eues. « Aujourd’hui, plus que jamais, malgré l’implication des autorités administratives dont le sous-préfet, le collectif s’oppose à l’exploitation du phosphate afin de préserver le bien-être des populations », a déclaré Sidy Ndiaye. Ces mêmes inquiétudes sont soulevées par le conseil municipal de Koul.

Dans une correspondance datée du 23 mai 2025, il estime que, malgré les promesses et les réalisations, il y a beaucoup d’inquiétudes liées à l’éducation, la santé, les liens sociaux, l’environnement, l’élevage et l’agriculture. Pour le sous-préfet de l’arrondissement de Mérina Dakhar, Mouhamadou Wade, les codes (minier et environnemental) ne sont pas faits pour interdire, mais pour réduire les effets néfastes de l’exploitation. Il compte, cependant, veiller à l’intérêt des populations en tant que représentant de l’État, en contrôlant le respect de la loi et des engagements.

Avec le soleil

Ouverture de la saison 2025-2026 : 160 touristes atterrissent au Cap-Skiring

Dans le cadre de l’ouverture de la saison touristique, 160 touristes ont atterri hier au niveau de la Station balnéaire de Cap-Skiring précisse la quotidien Le vol inaugural de la saison touristique 2025-2026 en Casamance a atterri dimanche à 10 heures sur le tarmac de l’aéroport international de Cap-Skiring. Un total de 160 touristes, venus principalement de la France et de la Belgique, étaient à bord de l’avion de la compagnie Transavia pour le compte du Club Méditerranée. «L’Aibd, en conformité avec l’Agenda national de transformation Sénégal Vision 2050, a mis en place une batterie de mesures techniques et opérationnelles, ainsi qu’une mobilisation de son personnel, pour assurer un accueil de qualité répondant aux standards internationaux de sûreté et de sécurité», a déclaré la Coor­donnatrice gé­nérale de l’Aibd Sa hier, après l’accueil des touristes.

Rachelle Coly Boucal a salué l’arrivée de ce premier groupe de visiteurs qui est, selon elle, une grande première pour la destination Casamance. L’année dernière, le vol ouvrant la saison avait 150 touristes. Selon Mme Boucal, le réseau de 13 aéroports régionaux mis en place par l’Aibd constitue un levier essentiel pour dynamiser le tourisme interne et international, tout en s’inscrivant dans le Plan de relance touristique du gouvernement. «Cette reprise des vols touristiques est une opportunité importante pour l’économie locale. Elle favorisera la création d’emplois, stimulera l’économie informelle, notamment les artisans et vendeurs de produits du terroir», a-t-elle ajouté.
Rachelle Coly Boucal a par ailleurs salué la collaboration entre les différentes parties pre­nantes, notamment la Sapco, les autorités locales et les opérateurs privés, espérant que cette saison soit le début d’un élan durable pour la destination Casamance. Avec cette ouverture de la saison touristique, ce sont toutes les activités économiques de la commune, et au-delà, qui sont relancées. L’Aéroport international de Cap Skiring a été certifié en avril 2025, signifiant ainsi sa conformité aux normes de l’aviation civile internationale.

Polémique sur la dette du Sénégal : L’appel à la raison de Talla Sylla

Talla Sylla, président de Jëf-jël/Jàmm ak naatange, considère que la polémique sur une supposée «dette cachée» du Sénégal «a suffisamment duré». Il remarque que «née sur le terrain politique, elle a dangereusement glissé vers une arène technico-financière où les approximations et les contradictions menacent aujourd’hui la crédibilité de notre Nation et, plus grave encore, le bien-être des Sénégalais» rapporte le quotidien 

L’ancien ministre-conseiller du Président Macky Sall ne veut pas raviver les querelles, mais Talla Sylla trouve im­pératif de «ramener le débat à l’essentiel : la sauvegarde des intérêts supérieurs du Sénégal». Evoquant la question de la «dette cachée» largement partagée par les nouvelles autorités, l’ancien maire de Thiès estime qu’il nous faut répondre aux questions fondamentales : «Une dette a-t-elle été cachée ? Si oui, par qui, avec la complicité de qui, dissimulée à qui, et pourquoi ?» Pour Talla Sylla, au cœur de cette tempête, il n’y a pas la découverte d’emprunts clandestins, mais un changement de méthodologie comptable. Il faut rappeler que cette controverse est née de la décision du nouveau gouvernement d’intégrer la dette des entreprises du secteur parapublic (sociétés nationales, agences) dans la dette globale de l’Etat. Cette pratique, qui rompt avec celle de toutes les administrations précédentes, a méca­niquement gonflé le ratio d’endettement, donnant lieu à l’accusation de «misreporting» (erreur de déclaration) par le Fmi. Cependant, dit-il, parler de «dette cachée» est un abus de langage. Et de se demander : «Comment peut-on cacher une dette que l’on honore ?» Il rappelle que le Sénégal a toujours été un élève modèle, respectant scrupuleusement ses échéances auprès de créanciers bilatéraux et multilatéraux, qui n’ont jamais signalé le moindre défaut de paiement. Une dette se rembourse, et ces remboursements figuraient en bonne place dans les lois de finances successives, constituant l’un des premiers postes de dépenses de l’Etat, fait-il remarquer. Ces fonds ont servi à financer des infrastructures visibles et structurantes : autoroutes, ponts, aéroports, stades, nouvelle ville, qui constituent un héritage tangible, que l’on approuve ou non leur pertinence stratégique.

La crédibilité de l’Etat et de ses serviteurs en jeu
Talla Sylla de poursuivre : «Plus inquiétant encore, cette polémique jette un discrédit inacceptable sur l’ensemble de notre haute Administration. Si dette cachée il y avait, cela signifierait que les plus hauts organes de contrôle de l’Etat, qui ont validé les comptes publics année après année, auraient été soit complices, soit incompétents. Cela voudrait dire que les brillants esprits du ministère des Finances, du Trésor, de la Bceao et de l’Ansd, reconnus pour leur rigueur, seraient des faussaires.» Selon lui, «le paradoxe est saisissant : plusieurs de ces hauts fonctionnaires sont aujourd’hui maintenus à des postes-clés, voire promus au sein du nouveau gouvernement. Comment peut-on leur faire confiance pour gérer le pays aujourd’hui si l’on suggère qu’ils ont contribué à falsifier ses comptes hier ? Cette contradiction insoluble affaiblit l’Etat et sape la confiance des citoyens envers ceux qui le servent. Au nom du droit à l’information, il est temps que la transparence soit faite par la publication des rapports pertinents et, surtout, un tableau simple et détaillé de ces fameuses dettes prétendument dissimulées. L’absence de cette preuve factuelle alimente le scepticisme». Sur ce registre, indique l’ancien maire de Thiès, la non-publication du rapport du Cabinet Mazars, commandité par les autorités actuelles, avec l’argent public, pose une sérieuse interrogation : que cherche-t-on à cacher ?

Le paradoxe du Fmi : souverainisme ou soumission ?
Pour M. Sylla, hier accusé de complaisance, le Fmi est aujourd’hui courtisé avec insistance. Cette posture ambivalente est pour le moins déroutante, selon lui. «Un gouvernement qui a fait du souverainisme son cheval de bataille ne peut, sans se contredire, vilipender une institution un jour et l’implorer le lendemain. Cette cacophonie au sommet de l’Etat envoie un signal de fébrilité aux partenaires financiers et affaiblit notre position de négociation», souligne-t-il. «La conséquence directe et dramatique de cette saga est que le Sénégal se retrouve acculé. En créant nous-mêmes une crise de confiance, nous avons offert au Fmi un levier inespéré pour imposer ses conditions. Le programme qui se dessine, évoqué par le directeur du Dépar­tement Afrique du Fonds, s’annonce comme une cure d’austérité sévère : réformes structurelles, suppression des subventions aux produits de première nécessité, coupes dans les dépenses sociales. Le prix de cette polémique politique sera payé par les ménages les plus pauvres et le monde rural, principales victimes d’un ajustement budgétaire que nous aurons nous-mêmes provoqué.»

Sortir de l’ornière pour l’avenir du Sénégal
Le président de Jëf-jël/Jàmm ak naatange d’indiquer : «Il est temps de mettre fin à ce sabordage. Plutôt que de nous perdre en accusations qui ébranlent les fondements de notre République, le débat doit porter sur les vrais enjeux : quelle est notre stratégie de développement ? Comment rendre notre dette soutenable et productive ? Comment générer une croissance inclusive qui ne dépend pas des institutions de Bretton Woods ?» Aussi de poursuivre : «L’heure n’est plus à la polémique, mais à la responsabilité. Le gouvernement doit clarifier sa position, défendre l’honneur de notre Administration et, surtout, protéger les Sénégalais des conséquences d’un programme d’austérité qui serait le résultat malheureux d’une crise entièrement évitable. L’intérêt du Sénégal et des Sénégalais doit primer sur toute autre consideration.»

 

Iran: Khamenei dit à Trump qu’il «rêve» s’il pense avoir détruit les sites nucléaires iraniens

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a déclaré, lundi 20 octobre, que le président américain Donald Trump, dont le pays a mené en juin avec Israël des bombardements contre l’Iran, «rêve» s’il pense avoir détruit les sites nucléaires iraniens. «C’est bien, continue à rêver!», a lancé le dirigeant iranien, en référence aux nombreuses affirmations de M. Trump selon qui le programme nucléaire iranien aurait été «totalement détruit». «Qui es-tu pour dire qu’un pays doit ou ne peut pas avoir (le droit) au nucléaire?», s’est interrogé M. Khamenei lors d’une rencontre à Téhéran avec des sportifs, rapporte l’AFP.

Cessez-le-feu à Gaza : Israël et le Hamas s’accusent mutuellement d’avoir violé la trêve

FILE PHOTO: People rush towards an aid truck carrying bags of flour in Al Zaytun neighbourhood, amid the ongoing conflict between Israel and the Palestinian Islamist group Hamas, in Gaza City, in this still picture taken from a video, March 2, 2024. REUTERS TV via REUTERS/File Photo

Le cessez-le-feu dans la bande de Gaza est déjà menacé. L’armée israélienne a annoncé avoir frappé “des dizaines” de cibles du Hamas, dont des stocks d’armes et des infrastructures souterraines, à travers la bande Gaza, dimanche 19 octobre, accusant le mouvement islamiste palestinien d’avoir violé le cessez-le-feu. La défense civile, opérant sous l’autorité du mouvement islamiste palestinien Hamas, a fait état de 45 Palestiniens tués dans les bombardements israéliens. L’armée israélienne a, elle, annoncé la mort de deux soldats tués au combat à Rafah, dans le sud du territoire palestinien dévasté et assiégé.

L’armée israélienne a ensuite annoncé dans la soirée qu’elle allait reprendre l’application du cessez-le-feu et cesser ses frappes, “conformément aux directives de l’échelon politique”. L’armée israélienne “continuera de respecter l’accord de cessez-le-feu et ripostera avec fermeté à toute violation”, poursuit le communiqué. Plusieurs médias israéliens ont par ailleurs annoncé, confirmant une information de l’AFP, qu’Israël suspendait l’acheminement de l’aide humanitaire dans le territoire palestinien. Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, a déclaré dimanche après-midi que le Hamas paierait “un lourd tribut” pour “chaque tir” visant les soldats israéliens et “chaque violation du cessez-le-feu à Gaza”, selon un communiqué de son bureau.

Le Hamas a, de son côté, réaffirmé son engagement à respecter la trêve. “Nous n’avons aucune connaissance d’incidents ou d’affrontements ayant lieu dans la région de Rafah”, a déclaré la branche armée du mouvement islamiste palestinien dans un communiqué. “C’est l’occupation sioniste qui continue de violer l’accord”, avait annoncé plus tôt Izzat al-Rishq, un membre du bureau politique du Hamas.

La remise des corps d’otages, source de tensions

Sous la pression du président américain, Donald Trump, le cessez-le-feu est entré en vigueur le 10 octobre après deux ans de guerre dévastatrice dans le territoire palestinien. En vertu de la première phase de cet accord, le Hamas a remis le 13 octobre, en échange de près de 2 000 prisonniers palestiniens, 20 otages vivants qu’il retenait dans le territoire palestinien depuis le 7-Octobre et a commencé à rendre les dépouilles de plusieurs autres otages.

Le Hamas a annoncé dimanche avoir trouvé une 13e dépouille d’otage dans la bande de Gaza, s’engageant,“si les conditions le permettent”, à la restituer dans la journée à Israël. L’Etat hébreu a affirmé de nouveau qu’il ne ferait “aucun compromis” tant que tous les corps d’otages morts encore retenus à Gaza ne seraient pas rapatriés. Israël conditionne la réouverture du poste-frontière de Rafah, crucial pour l’entrée d’aide humanitaire dans le territoire palestinien, à la remise de tous les otages décédés. Le Hamas a jugé de son côté que la fermeture du point de passage avec l’Egypte bloquait l’entrée des équipements nécessaires pour rechercher les corps sous les décombres.

Emmanuel Macron a reçu Nicolas Sarkozy quelques jours avant son incarcération

French President Emmanuel Macron with Former French President Nicolas Sarkozy during a ceremony for day in tribute to the victims of terrorism at National Hotel of Invalides in Paris, France on March 11, 2023. Photo by Eric Tschaen/Pool/ABACAPRESS.COM | 845490_023 Paris France

L’ancien président Nicolas Sarkozy, qui doit être incarcéré mardi à la prison parisienne de la Santé, a été reçu quelques jours plus tôt par le président Emmanuel Macron à l’Élysée, a appris lundi l’AFP d’une source au sein de l’exécutif, confirmant une information du Figaro.

« Il a été reçu vendredi », a indiqué cette source sans plus de précision. Nicolas Sarkozy doit être écroué mardi, près d’un mois après sa condamnation à cinq ans de prison dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.

Union européenne: les Vingt-Sept approuvent l’interdiction d’importer du gaz russe

Réunis à Luxembourg, les ministres européens de l’Énergie ont approuvé, ce lundi 20 octobre, le plan de la Commission européenne pour mettre un terme définitif aux importations de gaz russe. Autant l’embargo sur le charbon et le pétrole a bien fonctionné, autant les Européens restent encore actuellement dépendants du gaz russe. Si la proposition d’interdire son importation a été adoptée, il reste son examen par le Parlement européen et un accord à trouver sur la date butoir.

Majorité qualifiée

Les vingt sept ministres de l’Énergie ont approuvé ce plan de sevrage à la majorité qualifiée, c’est-à-dire 55% des États membres représentant 65% de la population. Ils mettent ainsi en minorité les pays qui en Europe centrale dépendent le plus du gaz russe, à savoir la Hongrie et la Slovaquie, cette dernière avait même menacé de s’opposer aux sanctions contre la Russie si elle était privée de gaz. « Pour nous, l’approvisionnement en énergie n’a rien à voir la politique » et n’a « rien à voir avec la Russie », a plaidé pour sa part le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, affirmant que cette mesure allait « tuer » la sécurité d’approvisionnement énergétique de la Hongrie.

Le plan contient d’abord, au 1er janvier prochain, l’interdiction de tout nouveau contrat. Ensuite le 17 juin les importations au titre de contrats à court terme seront interdites. Et la phase finale sera l’interdiction des importations découlant de contrats à long terme. « Cette décision va façonner l’avenir de notre continent. Nous allons cesser de financer la machine de guerre russe et diversifier notre approvisionnement en énergie », s’est félicité le ministre danois de l’Energie Lars Aagaard, qui présidait la réunion.

Le Parlement veut aller plus loin

La date butoir est fixée à fin 2027 mais la commission a proposé de l’avancer d’un an dans le cadre du 19e paquet de sanctions contre la Russie – actuellement en négociation. De son côté, le Parlement de Strasbourg veut aller plus loin puisque, ce jeudi 16 octobre, les commissions du Commerce et de l’Industrie ont proposé une interdiction au 1er janvier prochain.

Le président américain a lui aussi réclamé l’arrêt des achats d’énergies fossiles russes par les pays européens, dénonçant leur côté absurde, car ils reviennent à contribuer à financer la guerre menée par Vladimir Poutine en Ukraine, écrit l’AFP. « L’Europe doit passer à la vitesse supérieure. Elle ne peut pas continuer à agir comme elle le fait actuellement. Elle achète du pétrole et du gaz à la Russie alors qu’elle est en conflit avec ce pays. C’est embarrassant pour elle », avait lancé M. Trump, lors de l’Assemblée annuelle des Nations unies à New York.

Gambie : ouverture du 8ᵉ Forum des Institutions Nationales des Droits de l’Homme

Banjul accueille le 8ᵉ Forum des Institutions Nationales des Droits de l’Homme, organisé en marge de la 85ᵉ session ordinaire de la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples.

Pendant trois jours, les participants débattront des enjeux et défis liés aux droits de l’Homme en Afrique.

Le Maroc bat l’Argentine et remporte le Mondial U20

Le Maroc vient de marquer l’histoire du football mondial en remportant, pour la première fois, la Coupe du monde des moins de 20 ans, disputée cette année au Chili .

En finale, les Lions de l’Atlas ont brillamment dominé l’Argentine (2-0) grâce à un doublé de Zabiri inscrit aux 12ᵉ et 29ᵉ minutes.

Ce sacre consacre une génération talentueuse et confirme l’ascension fulgurante du football marocain sur la scène internationale. Il intervient moins de trois ans après l’exploit historique de la sélection A, demi-finaliste du Mondial 2022 au Qatar, la meilleure performance africaine jamais enregistrée dans cette compétition.

Le Maroc, qui accueillera la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des nations (21 décembre – 18 janvier 2026), s’impose désormais comme une puissance émergente du football mondial, alliant formation, discipline et ambition.

Avec le soleil

 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention