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Tunisie – Report des municipales d’après-révolution

Les premières élections municipales de l’après-révolution tunisienne sont reportées à une date indéterminée, a annoncé lundi soir l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).

Prévues initialement en décembre prochain, elles devaient ancrer le processus démocratique à l’échelon local. Mais les retards de préparation du scrutin ont finalement eu raison de cette échéance. La décision de reporter sine die les élections municipales a été annoncée lundi 18 septembre, à l’issue d’une réunion qui rassemblait des représentants de la présidence du gouvernement et de la République, ainsi que des partis politiques.

«La majorité des participants était pour le report des élections municipales», s’est justifié Anouar Ben Hassen, président par intérim de l’Isie après la démission fracassante en mai de Chafik Sarsar. «Nous sommes tous d’accord sur le fait que le report à une date indéterminée porte atteinte à l’opération électorale.»

Un contexte politique difficile

Des atermoiements déplorés par Mehdi Ben Gharbia, ministre chargé des Relations avec les instances constitutionnelles et la société civile : «Reporter les élections municipales est une mauvaise chose, quelles qu’en soient les raisons objectives, mais finir cette réunion sans fixer une nouvelle date, c’est encore pire».

Surtout, cette annonce intervient dans un contexte politique compliqué, après les tensions qui ont marqué la plénière consacrée au vote de la loi sur la réconciliation administrative à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), ainsi que la marche organisée, samedi 16 septembre, à l’avenue Habib Bourguiba à Tunis pour demander le retrait de cette loi qui «blanchit les corrompus» selon ses détracteurs.

Russie 2018 – Macky exige la qualification ou le renvoi de Cissé et Augustin

La qualification de l’équipe du Sénégal de football au mondial de 2018 en Russie hante le sommeil du président de la République, Macky Sall. Le Chef de L’Etat, soucieux de la qualification, aurait tenu un discours ferme et menaçant après la dernière sortie des poulains d’Aliou Cissé.

C’est dans ce sillage, selon le journal l’As, lu par Actunet.net, que Macky Sall a appelé le ministre des Sports, Matar Bâ, pour lui faire savoir qu’il n’est pas question de ne pas se qualifier au mondial.

«Ou la qualification ou le renvoi d’Aliou Cissé et la mise en place d’un comité de normalisation du football», a indiqué le chef de l’Etat.

On comprend dès lors le discours de Matar Bâ qui s’est chargé de transmettre le message du Chef de l’Etat au Sélectionneur et à son encadrement.

«Aujourd’hui, les textes de la Fifa nous donnent une faveur, car, le Sénégal n’avait plus les cartes en main. Nous sommes dans une position très favorable et le Sénégal n’a pas le droit rater cette qualification», a indiqué Matar Bâ, en marge d’une cérémonie au Stadium Marius Ndiaye.

 

Dialogue politique : Ce que concoctent Macky Sall et Aly Ngouille Ndiaye

Aussitôt installé, le nouveau ministre de l’Intérieur s’est engagé pour l’instauration d’un climat de dialogue permanent entre les différents acteurs politiques. En effet, Aly Ngouille Ndiaye indique que cela est une directive du chef de l’Etat qu’il compte respecter.

“Concernant la matière électorale, j’annonce que tout sera mis en œuvre afin que le processus devant aboutir à la prochaine élection présidentielle, se déroule conformément aux textes la régissant ainsi que les autres activités politiques. Le Président de la République m’y a engagé et en respect de sa directive, je vais m’atteler avec sérénité et en parfaite intelligence avec l’ensemble des partenaires», promet-il de faire.

Le Ministre ne compte même pas s’accorder du temps pour entamer ce processus. Sa priorité actuelle sera de parvenir à l’élaboration des termes de références du dialogue. «Dans les plus brefs délais, j’inviterai tous les acteurs impliqués dans les questions électorales (partis politiques, société civile, etc) à des discussions qui aboutiront à l’établissement des termes de références du dialogue politique indispensable dans une démocratie surtout celle qui a déjà produit plusieurs alternances démocratiques aussi bien au  niveau local qu’au niveau national», s’engage-t-il.

«D’ores et déjà, je puis vous affirmer que le dialogue politique ne doit pas s’inscrire dans une séquence cyclique à l’approche d’échéances électorales, mais doit être de tous les acteurs pour que très rapidement nous fermions la page des suspicions et des malentendus afin d’avancer sereinement vers l’organisation d’échéances électorales où les bilans et les programmes proposés seront au centre des débats. Ceci nous permettra de nous concentrer sur les questions sécuritaires qui constituent les préoccupations majeures des Sénégalais voire même des habitants de la sous-région. Car sans sécurité il n’y aura point d’investisseurs, par conséquent point d’émergence», a-t-il décliné.

Une cellule de crise pour prévenir les grèves à Tamba

L’inspecteur d’académie de Tambacounda (est), Alassane Niane, a annoncé lundi la création prochaine d’une “cellule de crise” chargée de prévenir les grèves scolaires, notamment dans la commune chef-lieu de région.

Une concertation entre l’inspection d’académie et les associations de parents d’élèves a débouché sur la proposition de créer “une cellule de crise”, pour éviter les grèves d’enseignants et d’élèves durant la prochaine année scolaire (2017-2018), a dit M. Niane aux journalistes, en marge d’une réunion, à Tambacounda, sur les “conclusions” d’un séminaire de préparation de la rentrée scolaire.

Selon l’inspecteur d’académie, ce séminaire organisé du 7 au 10 septembre, à Mbour (ouest), a permis de faire le bilan de la dernière année scolaire et de préparer celle qui démarre en octobre prochain.
“On va installer une cellule de crise pour anticiper les grèves”, a-t-il assuré, précisant que les membres de la communauté éducative (parents d’élèves, enseignants, directeurs d’école et autorités administratives) seront représentés au sein de cette structure.
“Une telle cellule avait été créée dans le passé, mais elle ne fonctionnait pas. Il s’agira de la redynamiser”, a précisé le secrétaire général de la section régionale du Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire du Sénégal, Souleymane Fickou.
“Sans cette cellule, beaucoup de choses ne peuvent pas marcher”, a souligné M. Fickou, proposant de prévenir les grèves scolaires au lieu “d’attendre que la crise s’installe” pour chercher à la résoudre.
Bounama Kanté, le responsable des questions éducatives à la mairie de Tambacounda, a appelé les membres de la communauté éducative à chercher à comprendre les “causes réelles” des grèves scolaires pour les prévenir.

Recours – Le Burkina refuse l’annulation de Sénégal Afrique du Sud

La Fédération burkinabè de football (FBF) a décidé de faire appel auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS) de la décision de la Fifa de faire rejouer le match Afrique du Sud-Sénégal de novembre dernier, pour la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018.
“La FBF a adressé ce jour 18 septembre une déclaration d’appel contre la décision du Bureau de qualifications de la Coupe du monde de la Fifa 2018, ordonnant la reprise du match Afrique du Sud-Sénégal”, rapporte un communiqué de l’organe chargé du football au Burkina Faso.
Le communiqué rappelle que cette décision prise par la Fifa concernant le match entre les Bafana Bafana d’Afrique du Sud et les Lions du Sénégal a été prise le 6 septembre 2017 et confirmée le 14 septembre, à Zurich.
“Dans sa déclaration d’appel adressée au TAS, la FBF continue de marquer son opposition à une décision entachée d’abus de pouvoir et sans aucun rapport avec l’instance internationale du football”, ajoute le communiqué.
“Malgré la vague d’indignations et les nombreuses interpellations enregistrées à travers le monde contre une décision jugée illégale et sans précédent dans toute l’histoire du football, la Fifa a préféré fouler au pied ses propres principes en cautionnant la reprise du match Afrique du Sud-Sénégal au mois de novembre 2017”, argue la Fédération burkinabè de football.
La décision de faire rejouer le match “n’est pas sans conséquence pour la suite de la compétition”, avertit cette instance.
“La Fédération burkinabé de football, qui se fonde sur sa déclaration pour en appeler au respect des vertus du football, invite le public sportif burkinabè à la sérénité et à la mobilisation autour des Etalons”, rapporte le communiqué.
Si le match est rejoué, le Sénégal, qui l’avait perdu (1-2) en novembre 2016 à cause d’erreurs jugées grossières de l’arbitre ghanéen Joseph Lamptey, aura la possibilité de rebondir au classement en vue de la qualification à la Coupe du monde 2018.
Les Lions, qui ont un total de cinq points, soit un de moins que les Etalons du Burkina Faso et les Requins Bleus du Cap-Vert, auront avec les Bafana Bafana (un point) trois matchs à jouer en lieu et place des deux restants actuellement à disputer pour les deux premiers du groupe, les équipes burkinabè et cap-verdienne.
Reconnu coupable d’avoir “manipulé le résultat du match” Afrique du Sud-Sénégal, Joseph Lamptey a été banni à vie de toutes activités liées au football.

La révolution silencieuse est en marche (Par Papa Mahawa Diouf)

Le 30 juillet 2017, nos concitoyens ont exprimé avec clarté leur engagement renouvelé aux côtés de la majorité de Benno Bokk Yakaar afin de poursuivre l’œuvre d’édification d’une destinée glorieuse tracée par le président Macky Sall pour notre peuple. Ainsi, la «voie politique» empruntée par le Sénégal depuis 2012, vient d’être plébiscitée dans quasiment tous les départements du Sénégal, pour son objectif de rassembler les Sénégalais autour de l’ambition d’introduire notre pays dans le cercle des pays dits émergents.

Grâce à une fine vision de l’histoire, un sens aigu du bien commun et un courage politique inestimable, le Président Macky Sall est en phase de relever le défi générationnel de mener à bien la transition socio-politique, culturelle et économique qui interpelle notre pays depuis plusieurs décennies.

Si le Sénégal a connu des taux de croissance économique relativement élevés depuis son indépendance, ses performances n’ont jamais permis une réduction durable de la pauvreté.

Et notre pays continuait de lutter sans discontinuité contre des maux précis: train de vie dispendieux de l’État, mauvaise hiérarchisation des priorités nationales, pauvreté rurale, faiblesse des infrastructures rurales, crise de l’agriculture et de l’arachide, absence de maîtrise du coût de la vie, faible harmonisation du développement entre le rural et l’urbain, crise de l’enseignement supérieur (risque d’année blanche en 2012), politique énergétique non maîtrisée, politiques sociales pas assez ambitieuses et pas assez structurantes, pour ne citer que cela.

En clair, nos compatriotes voulaient voir les coûts des denrées de première nécessité baisser et être maîtrisés. Ils attendaient un régime qui fasse baisser le train de vie de l’État et orienter les dépenses publiques vers des priorités nationales.

Le Sénégal était en attente d’une puissance publique qui fasse cesser les coupures intempestives d’électricité, et qui oriente l’économie et l’action de l’État au service de l’homme avec un grand H, et qui fasse de nos campagnes, des terroirs où il fait bon vivre. C’est principalement à ces fléaux là que s’attaque énergiquement le chef de l’État depuis son accession à la magistrature suprême.

Rien qu’avec la baisse de la facture téléphonique de l’État, des dizaines de milliards de francs ont été économisés.

Le défi de la maîtrise de l’énergie, préalable à tout projet d’essor économique, est définitivement relevé. Mieux, nous avons propulsé notre pays dans le nouveau paradigme économique et civilisationnel de l’écologique, avec les centrales solaires (à Malicounda, Sinthiou Mékhé et Bokhoul), qui ouvrent l’ère du mix énergétique au Sénégal.

UNE RÉVOLUTION AGRICOLE ET DU MONDE RURALE

En organisant une prise en charge optimale de son agriculture afin d’assurer à notre pays la sécurité alimentaire et l’autosuffisance alimentaire, le Président Sall est en train d’opérer une véritable révolution dans nos terroirs et nos campagnes.

Pour la production arachidière, nous sommes passés de 400 mille à 1 millions de tonnes avec un prix de commercialisation chaque année, un peu plus favorable aux producteurs.

Quant à la production en riz paddy, elle est passée de 400 mille tonnes à 900 mille tonnes en moins de 05 ans, pour un investissement de l’État de près de 74 milliards

Tout ceci ne redressera pas dès aujourd’hui, la balance commerciale de notre pays, mais personne ne peut nier que le Sénégal consacre chaque jour un peu moins de ses ressources à l’importation de riz asiatique.

En 2017, c’est une production de 1,6 million de tonnes de riz qui est attendue. Une progression qui devrait traduire avec éloquence, l’ambition révolutionnaire des autorités qui dirigent notre pays.

Ces résultats obtenus grâce à l’action de l’État sont sans équivoque et ne souffrent d’aucune contestation sérieuse. Mieux, ils méritent le soutien de tous les patriotes soucieux de l’avenir du Sénégal.

Dans le même temps, le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) qui polarise et fédère plusieurs interventions ministérielles (Agriculture, Energie, Hydraulique, Infrastructures, Entreprenariat et Emploi, Développement social), est en train de créer plus de synergies, d’effets convergents et cumulatifs et de réponses rapides pour lutter contre la pauvreté que nous en avons jamais connus par le passé.

Le PUDC c’est plus de 522 milliards de FCFA dont la mise en œuvre est assurée par le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).

Pour illustrer l’effet de l’action de ce programme-action, il faut noter qu’entre 1960 et 2012, il y a eu moins de «100 forages» construits à travers le pays, alors que le PUDC, en deux ans, va en construire 198 et 130 châteaux d’eau pour permettre aux populations d’avoir un accès direct à l’eau potable.
Programme décisif dans le redressement progressif de l’inégale répartition spatio-temporelle des infrastructures, et par conséquent, de l’activité économique et des équipements ; et qui va progressivement juguler le phénomène de l’exode rural, avec la macrocéphalie de la densification de l’activité sur la frange occidentale du pays.

Jusque là, 67% de nos compatriotes vivaient de l’agriculture pour ne produire que moins de 10% de la richesse nationale. Un mal qui devenait dangereusement chronique pour notre pays.

Ce déséquilibre socio-économique historique que traîne notre pays depuis des décennies, est en passe d’être redressé grâce à la puissance d’une vision et aux réponses apportées par les politiques publiques actuelles.

790 km de pistes rurales sont en cours de travaux dans 10 régions dont 255 km déjà ouverts à la circulation, pour permettre le désenclavement de plus de 200 villages.

A côté de ce programme, le ministère des Infrastructures a réalisé rien qu’entre 2012 et 2015, près de 2007 km de piste pour 17,5 milliards FCFA d’investissement.

Nous assistons sous nos yeux, à un véritable traitement de choc administré au monde rural et au monde agricole.

LA RUPTURE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR

Les profondes transformations de l’enseignement supérieur ont permis une meilleure rationalisation de l’investissement dans le secteur, le renforcement des capacités d’accueil, la professionnalisation des filières (avec les ISEP), mais également, l’orientation de tous les bacheliers.

Ces résultats obtenus dans l’enseignement supérieur, combinés au renforcement de l’accès à la formation professionnelle, traduisent une forte volonté de l’autorité d’initier notre pays aux métiers de l’avenir, de renforcer les entreprises de l’artisanat, et de rendre notre pays encore plus attractif pour les investissements directs étrangers (IDE) à haute intensité de main-d’œuvre (HIMO).

UNE RÉVOLUTION SOCIALE

Parce qu’une bonne politique sociale peut renforcer la citoyenneté en République, dans une société juste et solidaire, elle offre aussi à l’économie des perspectives de croissance. C’est pourquoi, le Président de la République Macky Sall a choisi d’allouer la bourse de sécurité familiale( BSF) à nos compatriotes en situation d’extrême pauvreté.

C’est ainsi que toutes les communes et villages du Sénégal connaissent des bénéficiaires du programme BSF. Il s’agit de la plus grande réalisation sociale de l’histoire du Sénégal, avec 300.000 familles allocataires en 2017 pour un budget de 30 milliards par an.

A cette initiative, il faut rajouter la carte d’égalité des chances, la couverture maladie universelle, la gratuité et la disponibilité de l’hémodialyse, la gratuité des soins pour les enfants de moins de 05 ans, la baisse du coût des loyers, etc…

Voilà les grands défis que notre pays est en train de relever sous l’ère du Président Macky Sall depuis son accession au pouvoir en mars 2012.

Grâce à son génie et la puissance de son leadership, le Sénégal s’est doté d’un modèle de développement stratégique novateur à travers l’adoption du Plan Sénégal émergent (PSE).

Plan qui intègre à la fois des aspirations générationnelles dans la perspective de 2035, des priorités claires et actionnables, mais surtout qui revoit les ambitions de progrès économique à la hausse, et met le focus sur les secteurs économiques critiques à fort effet d’entraînement sur les sphères économiques, telles que l’agriculture et l’agroalimentaire, l’énergie, l’habitat social et le tourisme.

Il comporte plusieurs phases, une première dite de rupture, allant de 2014 à 2018 (PAP), une seconde d’accélération de 2018 à 2023 et enfin, une phase de consolidation pour propulser le pays vers l’émergence dans la perspective de 2035.

C’est cette première phase qui vient d’être politiquement consacrée par nos compatriotes, à l’occasion de ces élections législatives.

Les Sénégalais ont voulu reconduire la majorité BBY afin d’accompagner les politiques conduites par le Président Macky Sall. Que l’on ne s’y trompe pas ; derrière les fanfaronnades volontairement entretenues dans la capitale par une frange des acteurs de la vie publique, ce sont les populations qui sont sorties pour exprimer leur vote et elles ont voté massivement.

Le taux de participation de 54%, taux exceptionnellement élevé, montre à suffisance que les Sénégalais se sont largement exprimés à l’occasion de ces élections, pour plébisciter les politiques publiques conduites par la majorité depuis 2012 et dans tous les départements du Sénégal.

Les performances économiques du Sénégal confortent indubitablement cette réalité à travers le retour d’une croissance à la fois stable et vigoureuse (6,5% en 2015; 6, 6% en 2016 et 6,8% en 2017), alors même qu’elle battait inexorablement de l’aile depuis une décennie, avec l’essoufflement des moteurs traditionnels comme le BTP, les télécommunications, les services financiers ainsi que le faible dynamisme du secteur privé.

Homme au génie politique et stratégique exceptionnel, Macky Sall est en train de redresser le Sénégal après des années de déséquilibre socio-économique.

Avec l’engagement de la coalition Benno Bokk Yakaar, mobilisée plus que jamais autour de son leadership, il est sur la voie de réaliser toutes les réformes nécessaires pour stabiliser irréversiblement les fondements économiques du pays et renforcer ses mécanismes de défense face aux menaces extérieures ; l’exemple de la Gambie l’illustre avec brio.

C’est tout cela que nos compatriotes ont sanctionné positivement.

C’est dans ce contexte que le Chef de l’État a appelé à l’occasion de la fête de l’Eïd El Kebir, tous les patriotes à se rassembler autour de l’essentiel : bâtir un Sénégal émergent.

Une démarche inclusive qui est une préoccupation permanente chez le Président Macky Sall, puisque toutes les grandes politiques publiques, ainsi que les grandes réformes qui ont été conduites depuis 2012, ont fait l’objet de larges concertations.

Cet appel doit constituer un moment de sursaut national autour d’une vision qui est en train de porter des résultats. Le PUDC, le PRACAS, comme la réforme de l’enseignement supérieur sont des modèles de politiques publiques salués par les partenaires et d’autres pays viennent chez nous s’inspirer de l’expérience sénégalaise (Rwanda, Togo, île maurice, etc…).

Voilà pourquoi, il est peut-être temps qu’une mobilisation des forces vives nationales se réalise autour de l’essentiel, qui est de créer les conditions pour bâtir un Sénégal prospère pour nos enfants et nos petits-enfants.

UN GOUVERNEMENT DE CONSOLIDATION

La reconduction du Pm Mahammed B. Abdallah DIONNE et la formation de ce nouveau Gouvernement, expriment une volonté politique manifeste de poursuivre l’oeuvre entreprise par le Chef de l’Etat depuis 2012. Ce gouvernement est marqué par une inclinaison toute particulière au bénéfice des femmes et de l’économie solidaire. Il indique par ailleurs, une ferme volonté de renforcer la promotion des investissements à haute intensité de main-d’oeuvre, et de la promotion de l’emploi des jeunes.

Une volonté de consolidation des acquis, par l’accroissement du maillage infrastructurel national, le renforcement de nos capacités de production, et plus généralement, par le maintien de la dynamique générale de croissance de notre économie.

Papa Mahawa DIOUF
Coordonnateur cellule
Communication de Benno Bokk Yakaar

Macky Sall, de l’art de protéger les délinquants (Par Birahim Seck)

Dans son discours du 3 avril 2012, le président de la République s’était engagé à mettre en place «un gouvernement de rupture» enraciné dans  «une gestion sobre et vertueuse». Il s’était aussi engagé à mettre «en charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux». Rien de tous ces engagements-là n’a été respecté par le Chef de l’Etat. Nous assistons à l’instauration d’un modèle de gouvernance d’opportunisme tourné vers la sauvegarde et la consolidation des intérêts extérieurs ainsi que la protection de ses hommes qui ont hissé la délinquance financière à des niveaux insoupçonnés.

Depuis plus de trois ans, le système de gouvernance publique s’obscurcit. Sa manifestation la plus flagrante est la domestication des organes de contrôle et la politisation outrancière de l’administration à tous les niveaux. Il s’agit d’une attitude neutralisant toutes les ambitions sérieuses de refondation de l’Etat et de la transformation de la société poussant le Sénégal vers des profonds abîmes.

La perversion et le naufrage de la gouvernance publique ont pour conséquence des retards inquiétants constatés dans la publication des rapports des organes de contrôle de l’Etat : ceux de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) et de l’Office National contre la Fraude et la Corruption (de l’OFNAC) ou du moins ce qu’il en reste.

La volonté de protéger ses ministres et ses directeurs pousse le Chef de l’Etat à passer sous silence le rapport de l’IGE 2015-2016 sur l’état de la gouvernance et la reddition des comptes. Cette posture du président de la République anéantit le travail des Inspecteurs généraux d’Etat qui n’ont ménagé aucun effort pour retracer la gestion tourmente du régime-Sall. Ce retard est imputable au Président de la République. A l’OFNAC, la non publication du rapport est la conséquence  d’un manque de matière dû au piétinement des enquêtes sur l’octroi des contrats pétroliers de PETROTIM Ltd, sur les contrats relatifs aux passeports biométriques alloués à SNEDAI de l’homme d’affaires Adama Bictogo et la mise sous le coude de la seconde phase de l’enquête sur la gestion du COUD géré par Cheikh Oumar Hanne.

Conscientes des probables poursuites dans la galaxie-Sall, en matière d’enrichissement illicite et en matière de blanchiment de capitaux, les autorités étatiques font preuve de laxisme  retardant considérablement la transposition de la nouvelle Directive de 2015 de l’UEMOA sur le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. La logique de protection des hommes du pouvoir découlant d’un manque de volonté politique fera que le Sénégal risque d’être évalué par ses pairs de la CEDEAO sans la transposition de cette Directive. Alors que notre pays avait six (6) mois pour la transposer à partir du 2 Juillet 2015.

Les germes du «larbinisme» et du «carriérisme» que craignait Souleymane Teliko, nouveau président de l’Union des Magistrat Sénégalais (UMS) semblent s’emparer du système judiciaire.

Faut-il rappeler que Monsieur Serigne Bassirou Guèye, Procureur de la République, avait pris l’engagement de nous entretenir «prochainement» (propos tenus le vendredi 3 mars 2017) sur les rapports de l’OFNAC. Il avait considéré que ces rapports étaient «comme un mauvais gruyère, il y a plus de trou que de fromage». Que l’on cherche à protéger des gens ou pas, les Sénégalais veulent connaître la vérité judiciaire sur ce qui reste du gruyère et par conséquent de la grosseur de la taille des trous. Le même sort est aussi réservé au rapport 2015 de l’IGE alors que le 25 juin 2105, devant les députés, le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne avait martelé que «l’impunité est terminée» et que «des courriers donnant des instructions de poursuites au garde des Sceaux sont signés». En lieu et place de poursuites, nous ne pouvons qu’être sceptiques. Cela ressemble bien à une politique de protection des personnes concernées par ce rapport.

La politique de protection de la délinquance financière par les autorités étatiques a profité jusqu’à présent à des personnalités tels que Monsieur Moustapha Diop, ancien Ministre délégué auprès du Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, chargé de la Microfinance et de l’Economie solidaire. Pour rappel, il avait refusé sans conséquence que le Fonds de l’Entreprenariat féminin soit contrôlé par la Cour des Comptes. Pour mémoire, ce Fonds était géré par Monsieur Diop qui vient d’être promu ministre plein dans le gouvernement formé le 7 septembre 2017.

Ce gouvernement dit de combat a promu Monsieur Aly Ngouille Ndiaye qui, avec Monsieur Aliou Sall, a été un acteur direct dans l’affaire Petrotim. Il se voit confier le Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique (MISP). Quant à Monsieur Aliou Sall, il est promu Directeur général de la Caisse de Dépôts et de Consignation (CDC).

Monsieur Cheikh Kanté, ancien Directeur général du Port, n’a pas été capable jusque-là de justifier les critères de fixation des 2 milliards  de FCFA en guise de ticket d’entrée pour l’octroi illégal de la concession du Terminal vraquier du Port Autonome de Dakar (PAD) à NECOTRANS. Il est promu Ministre chargé du PSE.

Monsieur Abdoulaye Daouda Diallo, Ministre de l’Intérieur, a passé illégalement un marché de gré à gré pour un contrat de 50 milliards de francs Cfa pour la conception et la production des cartes d’identité biométriques alors que Monsieur Ibrahima Diallo, Directeur de la Division de l’automatisation du fichier (DAF), avait martelé le 06 Octobre 2016 sur les ondes de la RFM qu’ils auraient pu «parfaitement faire un appel d’offres pour octroyer ce marché». En plus, au même titre qu’IRIS CORPORATION, bénéficiaire du contrat des cartes d’identité biométriques, plus de 18 autres candidats avaient manifesté leur candidature. Monsieur Abdoulaye Daouda Diallo se voit confier le ministère en charge des Infrastructures. La liste des infracteurs et des faits infractionnels est loin d’être exhaustive.

La mal gouvernance systémique a fini de s’emparer de l’Assemblée nationale et du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) qui refusent toujours de se conformer à la réglementation des marchés publics.

Et pourtant, le journaliste  Madiambal Diagne, dans sa chronique du 31 juillet 2017 avait attiré l’attention du chef de l’Etat en ces termes : «La Présidentielle de 2019 pourrait être délicate pour le Président Macky Sall si des mesures hardies de réaffirmation de la crédibilité de sa gouvernance ne sont pas entreprises. Il convient de donner des signaux clairs dans le choix des personnes qui incarnent la gouvernance publique, mais aussi sur les méthodes, les pratiques et les images renvoyées aux populations».

A la place de mesures de matérialisation de la bonne gouvernance, le Chef de l’Etat nous compose un gouvernement symbolisant et incarnant la mal gouvernance dans son système et en ses acteurs. Face à cette situation, un peuple de combat s’impose pour la préservation des ressources publiques.

Birahim SECK, 
Membre du Conseil d’Administration du Forum Civil.
Dakar, le 17 septembre 2017.

170 scientifiques alertent sur les dangers sanitaires de la 5G

Cent soixante-dix scientifiques, issus de 37 pays dont la France, demandent un moratoire sur le déploiement du réseau de téléphonie mobile de cinquième génération (5G) “jusqu’à ce que des études d’impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché”.Le déploiement de la 5G “conduirait à une augmentation générale et massive de l’exposition aux ondes du sans-fil”, alertent-ils. Ce nouvel appel des scientifiques est relayé ce 13 septembre par l’association Robin des Toits. Il intervient après celui lancé, en mai 2015, par 190 scientifiques de 38 pays demandant à l’ONU et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de promouvoir des mesures préventives afin de limiter les expositions. En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS avait classé les radiofréquences comme “cancérogènes possibles pour l’Homme”.

“Depuis l’appel de scientifiques de 2015, de nouvelles recherches ont confirmé de manière convaincante les graves risques sanitaires liés aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-CEM)”, déclarent les scientifiques en soulignant des risques de cancer du cerveau chez les humains, de maladie d’Alzheimer, d’infertilité humaine ou de symptômes de l’électro-hypersensibilité (céphalées intenses, troubles de la concentration, troubles du sommeil, épuisement ainsi que des symptômes similaires à ceux de la grippe)”.

Les premières offres 5G pourraient voir le jour en France à l’horizon 2020-2022. Robin des Toits “soutient cet appel de scientifiques et de médecins de grand renom pour que la 5G ne soit pas mise sur le marché : il serait irresponsable et criminel de traiter la population en cobaye alors que les radiofréquences sont peut-être cancérigènes d’après l’OMS …”, déclare Etienne Cendrier, porte-parole de l’association.

Apple exaspère les professionnels de la publicité

La nouvelle version de Safari, le navigateur de la firme à la pomme, empêche de suivre les internautes à la trace

Alors que la dernière version d’iOS, le système d’exploitation mobile d’Apple, est disponible ce lundi, une nouveauté apportée par le géant californien à son navigateur maison, Safari, fait bondir les professionnels de la publicité.

Dans sa version 11 (qui sera également disponible sur Mac à partir du 25 septembre) le navigateur inclura par défaut d’une fonction baptisée «Intelligent Tracking Prevention», qui limitera drastiquement la possibilité de collecter des informations sur la navigation des internautes pour connaître leurs habitudes et leur envoyer de la réclame sur-mesure.

Ce n’est pas une première pour Apple, qui a depuis longtemps banni de Safari certains «cookies» dits «tiers»  – c’est-à-dire les petits fichiers stockant les informations sur l’utilisateur au fur et à mesure de ses pérégrinations sur la Toile qui ne relevaient pas directement du site visité.

Adieu cookies

Dans sa nouvelle version, Safari va plus loin, en empêchant les «first cookies», ceux qui sont créés par les sites effectivement visités par l’internaute, d’être utilisés plus de 24h par d’autres, puis en les effaçant purement et simplement au bout de 30 jours sans nouvelle visite.

 Pour l’écosystème de la pub numérique, qui vit du partage de ces données, c’est une catastrophe. D’autant que Safari n’a beau représenter que 15% du marché des navigateurs (contre 55% pour Google Chrome), ses utilisateurs achètent davantage en ligne et sont donc très intéressants pour les annonceurs. «Au bout de 24 heures, un individu sera considéré comme un nouveau visiteur. C’est un contresens publicitaire complet, s’agace Christophe Dané, secrétaire général de l’IAB France. Cela va bloquer toute l’industrie».

Un courrier au vitriol

Six associations, représentant l’essentiel de la profession, ont donc pris la plume en fin de semaine dernière pour dire leur façon de penser au géant de Cupertino.

Les mots choisis sont durs. «Nous sommes profondément préoccupés par la mise à jour du navigateur Safari, qu’Apple a prévu de déployer, qui abroge et remplace les préférences de cookies existantes et définies par l’utilisateur par un ensemble de normes opaques et arbitraires propres à Apple», peut-on lire dans la lettre  dévoilée par le site spécialisé Adweek , qui parle d’ «un ensemble informe de règles changeantes qui vont nuire à l’expérience de l’utilisateur et saboter le modèle économique d’Internet».

L’argument marketing de la vie privée

Pour Apple, qui a mis fin à sa tentative de monter sa propre régie publicitaire iAd, la protection de la vie privée de ses clients est devenue un argument marketing important.

«Vous avez l’impression d’être suivi. Et c’est parce que vous l’êtes »,  expliquait Craig Federhigi , le responsable des développements logiciels chez Apple lors de la conférence dédiée aux développeurs que la firme tenait en juin dernier. «Plus maintenant» concluait l’ingénieur en présentant l’Intelligent Tracking Prevention sous les applaudissements.

Les professionnels ont bien conscience de l’irritation que suscite la pub en ligne. «Nous avons déjà banni les formats intrusifs en ce qui nous concerne, explique Pierre Chappaz, le cofondateur de Teads, L’industrie est en pleine auto-régulation». La «Coalition for better ads», par exemple, définit les pratiques à proscrire telles que les vidéos qui se lancent automatiquement avec le son ou encore les interstitiels, ces pages entières qui viennent s’interposer dans la navigation. Autant de formats qui devraient peu à peu disparaître ou se cantonner à quelques acteurs récalcitrants que l’industrie se fait fort de mettre au ban rapidement.

Alors que l’écosystème se discipline, l’initiative unilatérale d’Apple horripile. Contrairement à Google, qui prépare l’intégration d’un bloqueur de «mauvaises» publicités dans Chrome en concertation avec l’industrie, «Apple décide tout seul d’imposer de nouvelles règles», critique Emmanuel Parody, directeur des rédactions de mind Medias.

Comme pour la révision de la directive européenne ePrivacy, attendue dans les prochains mois, la crainte est aussi que ces mesures censées protéger la vie privée ne bénéficient in fine… au duopole Google-Facebook. Majoritairement «loggés» à leurs services, auxquels ils se connectent tous les jours, les internautes acceptent que leurs données soient collectées et exploitées par les deux géants qui pourraient se retrouver en position de quasi-monopole dans l’exploitation de ces précieuses «data».

 

Awa Ndiaye poignardée à mort dans un auberge-bar à liberté 6

Une jeune fille répondant du nom d’Awa Ndiaye a été poignardée à mort dans un auberge bar à liberté 6, cet après-midi. La victime a succombé à ses blessures avant d’arriver à l’hôpital général de Grand-Yoff. Le meurtrier est en fuite. Il est activement recherché par la police. Selon des témoins c’est un habitué des lieux. Un témoin raconte que les deux « amants » se sont discutés à propos de l’argent.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention