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Awa Ndiaye poignardée à mort dans une auberge à Liberté 6

Drame à Liberté 6 extension. Une jeune femme dénommée Awa Ndiaye a été poignardée à mort dans l’enceinte de l’hôtel auberge Golden Sun. Des témoignages concordants assurent que le meurtrier n’est autre que le petit ami de la victime. Les riverains, excédés par la prolifération de ces lieux de débauche, demandent aux autorités de sévir pour assainir leur cadre de vie. Ils assurent être régulièrement témoins de rixes d’une rare violence dans leur quartier. Ils dénoncent également l’attitude des Chinois qui ont en charge la gestion du Golden Sun.

 

 

 

 

Vidéo clip – Akhlou Brick sort “Pédalé”

Dans ce tout nouveau clip réalisé par Wantd et intitulé “Pédalé” le groupe Akhlou Brick originaire de Mbour fait preuve d’audace et d’originalité.

 

Le mannequin Emily Ratajkowski dénonce des retouches photo dans un magazine

L’actrice et mannequin américaine Emily Ratajkowski a dénoncé des retouches numériques mincissant ses lèvres et ses seins sur une photo en couverture du magazine français Madame Figaro, suscitant de nombreuses réactions de soutien sur les réseaux sociaux.

“J’ai été extrêmement déçue de voir mes lèvres et mes seins modifiés par photoshop sur cette couverture”, a écrit samedi la jeune femme de 26 ans sur son compte Instagram, où elle compte près de 15 millions d’abonnés.

“J’espère que l’industrie de la mode va enfin apprendre à arrêter d’essayer d’étouffer ce qui nous rend unique et au contraire commencer à célébrer la singularité”, a-t-elle dit, accompagnant ces propos de deux photos, sur lesquelles elle porte un béret et une veste largement décolletée.Résultat de recherche d'images pour "Emily Ratajkowski"

Sur celle qui apparaît en couverture de Madame Figaro des 15 et 16 septembre, les lèvres et les seins sont visiblement plus petits que sur l’autre.

Contacté par l’AFP, le magazine n’a pas fait de commentaire.

Ce post de l’actrice, qui a été révélé au public dans le clip de “Blurred lines” en 2013 et a joué notamment dans les films “Gone Girl” et “Entourage”, a suscité sur Instagram de nombreux messages de soutien et de nombreuses critiques à l’égard du magazine.

L’article de Madame Figaro consacré à Emily Ratajkowski rappelle pourtant que la jeune femme a expérimenté dans le passé une “étrange forme de discrimination” due à ses formes.

Alors que la maigreur des mannequins fait régulièrement polémique, la loi française rend obligatoire à partir du 1er octobre la mention “photographie retouchée” pour les photographies à usage commercial “lorsque l’apparence corporelle des mannequins a été modifiée par un logiciel de traitement d’image, pour affiner ou épaissir leur silhouette”.

En mars, l’affiche officielle du 70e Festival de Cannes avec une photo visiblement retouchée de Claudia Cardinale avait fait polémique, plusieurs médias, féministes et internautes dénonçant un diktat de la minceur.

Mbour – Le Préfet fait face au Kankourang

Le sort d’un jeune garçon, battu à mort, par le “Kankourang” et le saccage d’une clinique à Mbour, ont fait sortir le Préfet de la localité, de sa réserve.

Pour ce dernier, ces actes de barbarie sont à condamner. D’autant plus que “les auteurs de la sortie du “Kankourang”, en débutant la cérémonie le samedi (16 septembre), ont violé l’arrêté préfectoral qui la fixait à la date du 17 septembre”, annonce-t-il sur les ondes de la Rfm.

A cet effet, le préfet de la ville dit “attendre les conclusions de l’enquête avant de prendre une quelconque mesure”.

France – Les autorités musulmanes contestent une norme “halal inédite”

Tout juste annoncée, déjà contestée : une norme inédite sur les aliments halal transformés publiée vendredi par l’Association française de normalisation (Afnor) a été sévèrement critiquée lundi par les autorités musulmanes, qui entendent garder la main sur un dossier aussi sensible que juteux.

L’Afnor, organisme associatif rattaché au ministère de l’Industrie, a rendu public le 15 septembre la première norme française sur le marché halal, en l’occurrence un “guide de bonnes pratiques de fabrication de denrées alimentaires transformées”, au terme de longues tractations.

Cette norme très peu répandue en Europe, dont l’Afnor souligne prudemment le caractère “expérimental” – pendant trois ans – et “volontaire” – non obligatoire -, a été élaborée à la demande d’industriels français de l’agroalimentaire en vue de faciliter l’exportation de certains produits.

La norme définit une méthode de production unifiée “halal” (licite en arabe). Elle ne couvre pas le sujet particulièrement délicat de l’abattage des animaux. Elle ne concerne que la partie aval de la filière: de la matière brute au produit transformé, incluant conserves, plats préparés, charcuterie, confiserie, boulangerie.

Ainsi, un industriel qui fabriquerait des saucisses de volaille halal un jour par semaine doit pouvoir garantir qu’il a nettoyé ses outils pour éviter les contaminations croisées s’il produit des saucisses de porc sur les mêmes chaînes de fabrication les autres jours.

Méthode ‘cavalière’ –

Selon l’Afnor, le nouvelle norme a été préparée en lien avec le Conseil français du culte musulman (CFCM, représentatif), et avec les organismes de certification liés aux mosquées de Paris, Lyon et Evry, qui ont le monopole de l’habilitation des sacrificateurs halal.

Faux, affirme le CFCM, qui “tient à rappeler qu’il a annoncé publiquement en avril 2015 son retrait des travaux”. “Le CFCM et les mosquées n’ont jamais signifié formellement leur souhait de quitter la commission de normalisation”, contrairement au certificateur musulman AVS, rétorque l’Afnor.

Le CFCM dénonce aujourd’hui une “manœuvre d’ingérence par l’Afnor dans la définition du halal, qui est du ressort exclusif des instances religieuses musulmanes”. Le recteur de la Grande mosquée de Paris (GMP), Dalil Boubakeur, critique, lui, la “prétention” de l’Afnor, “organisme laïc et civil”, à “se parer des attributs de délivrance de licéité cultuelle”.

“Nous ne sommes pas sur une définition du halal, sur une exégèse des textes religieux”, répond auprès de l’AFP Nadine Normand, responsable du département agroalimentaire, santé, action sociale de l’Afnor. “Grâce à cette norme, le fabricant aura des éléments qui l’aideront à organiser sa production pour prendre en compte les exigences de ses clients”, poursuit-elle.

L’enjeu est de taille alors que le marché du halal bat des records dans le monde, où il est estimé à 600 milliards de dollars. Pour la France, il atteignait 5,5 milliards d’euros en 2010, dont 4,5 milliards pour les produits alimentaires, selon une étude du cabinet Solis, spécialisé dans le marketing identitaire.

Le CFCM, qui rassemble les principales fédérations musulmanes dont la Grande mosquée de Paris, ne veut pas être en reste dans ce domaine. Il s’est doté en mars 2016 d’une “charte halal” constituant un “référentiel religieux” unique pour définir le caractère licite, au regard de l’Islam, des produits carnés et de leurs dérivés. Mais cette charte très stricte dans son refus de tout étourdissement de la bête avant abattage est restée dans les tiroirs.

“C’est un sujet complexe”, dit Aslam Timol, président de la commission halal du CFCM, qui veut “essayer de bâtir quelque chose de sérieux avec les opérateurs économiques et les pouvoirs publics”, sans procéder de manière “cavalière” comme, selon lui, l’Afnor l’a fait.

Pour l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler, spécialiste du marché halal et membre de la commission de normalisation de l’Afnor à titre d’observatrice, les responsables du CFCM “font semblant de dénoncer un dispositif auquel ils ont participé et qu’ils n’ont pas dénoncé plus tôt, pour tenter de le contrôler”.

La savante se montre circonspecte devant cette “extension de la normalisation” au domaine religieux. “La France aura sa norme halal, ce qui est quand même préoccupant”, dit-elle.

Benno implose à Ziguinchor : Des partisans de Robert lâchent Macky

La composition du gouvernement  du second gouvernement de Mahammed Boun Abdallah Dionne qui a fait sortir Youssou Touré de ses gonds, puis qui s’est calmé contrairement à Yakham Mbaye qui a claqué la porte de l’Apr, fait des émules à Ziguinchor. Dans la capitale du Sud, Benno ne peut plus compter sur la coordination communale des jeunes de Ziguinchor du Rassemblement pour le socialisme et la démocratie (RSD), «Takku Defaraat Senegaal». Ces derniers qui ne sont pas contents du dernier remaniement ministériel en date, ont décidé de mettre un trait au compagnonnage avec l’Apr. Est-ce à dire qu’entre cette formation politique et l’Alliance pour la République (APR) dirigée par le Chef de l’Etat Macky Sall, leur mariage va voler en éclat?

Casablanca accueille le gratin du Surf mondial

Les finales de l’Anfaplace Pro Casablanca, une compétition de surf, se tenaient dimanche 17 septembre en présence du gratin du surf mondial. Deivid Silva a réussi une performance rare, ce week-end, sur le circuit qualificatif : conserver un titre d’une année sur l’autre. Déjà victorieux à Casablanca la saison dernière, le Brésilien de 22 ans a remis ça ce dimanche dans la vague d’un mètre à 1,50 m du spot d’Anfaplace, du nom de l’immense centre commercial qui domine la corniche de la cité. Chez les filles, l’Australienne Mikaela Greene triomphe et la Portugaise Carol Henrique coiffe la couronne européenne.

 

 

 

62 pèlerins en rade : “Nous sommes coincés (…)! A l’aide !”

L’édition 2017 du Pèlerinage à La Mecque étale ses dysfonctionnements. En effet, au moment où ces lignes sont écrites, 62 Sénégalais, qui avaient voyagé à l’aller grâce au quota de l’Etat et ayant emprunté le vol n°3, ne sont toujours pas rentrés à Dakar.

«Nous sommes coincés en Arabie Saoudite. Certes, on occupe toujours l’hôtel, mais nous ne sommes pas pris en charge relativement à notre restauration et aux autres aspects. Nos finances sont à sec et on est jusqu’ici toujours sans assistance.

Les médecins sont rentrés. On ne dort plus et vraiment on est fatigué. Nous lançons un appel au Président de la République Macky Sall, pour qu’il nous vienne en aide», alerte un pèlerin sur place.

Assemblée nationale : Ce que les députés nous coûtent

Pour chaque mois, les 165 députés élus pour représenter les populations du Sénégal  nous coûtent la rondelette somme de 267.886.500 Cfa. Pour les 5 années que dure la législature, le contribuable sénégalais casquera pour l’ensemble des députés 16.073.190.000 Cfa (seize milliards soixante treize millions cent quatre vingt dix mille francs Cfa). Au Sénégal, pendant que les 16 députés élus par leurs pairs au bureau de l’Assemblée nationale perçoivent 2 millions chacun à la fin du mois, plus 1000 litres de carburant mensuel, les 149 restant perçoivent 1,3 millions chaque mois sans compter les 300 litres de carburants qui leur sont octroyées. Et dire que le chiffre de 16.073.190.000 Cfa ne tient pas compte du prix d’achat des véhicules des honorables députés qui sont renouvelés pour chaque législature avec d’autres milliards du contribuable débloqués.

Présidentielle 2019 – Les assurances d’Aly Ngouille Ndiaye

Lors de la passation de service qui l’installe dans ses fonctions de ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye a dit reconnaître la complexité de la tâche qui l’attend à la tête de ce département ô combien stratégique. Saluant le travail abattu par son prédécesseur, il s’est dit disposé à faire tout aussi bien que lui, en adoptant une démarche inclusive. “A l’analyse, il ressort que le ministère de l’Intérieur est caractérisé par sa transversalité qui rend ses missions complexes voire ardues. Ce qui est considéré comme une marque de fabrique, exige du personnel chargé de l’animation des différentes structures qui le composent, compétence, loyauté, disponibilité et engagement”, assure Aly Ngouille Ndiaye.

Le ministre de l’Intérieur ajoute, dans la même veine, que tout sera fait afin que la présidentielle de 2019 se déroule le plus normalement du monde. “Le partenariat pragmatique, que je voudrai instaurer comme démarche, je souhaite le proposer à tous les acteurs de l’espace politique comme gage de ma réelle et parfaite volonté à collaborer avec eux. Concernant cette matière électorale, j’annonce que tout sera mis en œuvre afin que le processus devant aboutir à la prochaine élection présidentielle, se déroule conformément aux textes la régissant ainsi que les autres activités politiques. Monsieur le Président de la République m’y a engagé et en respect de sa directive, je vais m’y atteler avec sérénité et en parfaite intelligence avec l’ensemble des partenaires. Dans les plus brefs délais, j’inviterai tous les acteurs impliqués dans les questions électorales (partis politiques, société civile, etc.) à des discussions qui aboutiront à l’établissement des termes de références du dialogue politique indispensable dans une démocratie, surtout celle qui a déjà produit plusieurs alternances démocratiques aussi bien au niveau local qu’au niveau national. D’ores et déjà je puis vous affirmer que le dialogue politique ne doit pas s’inscrire dans une séquence cyclique à l’approche d’échéances électorales, mais doit être le quotidien de tous les acteurs pour que très rapidement nous fermions la page des suspicions et des malentendus afin d’avancer sereinement vers l’organisation d’échéances électorales où les bilans et les programmes proposés seront au centre des débats”, promet Aly Ngouille Ndiaye.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention