jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 46

Affaire de la dette cachée : Macky Sall et Me Pierre-Olivier réclament l’accès aux documents officiels

L’ancien président sénégalais, Macky Sall, a saisi le ministère des Finances et du Budget ainsi que la Cour des comptes dans le cadre de l’affaire dite de la dette cachée.

Selon son avocat, Me Pierre-Olivier Sur, cette démarche vise à obtenir « des documents et des données brutes » nécessaires à une analyse technique menée avec des experts internationaux en finances publiques. « C’est sur cette base que nous pourrons déterminer, de manière rigoureuse, ce qui constitue juridiquement une dette et ce qui ne l’est pas », a-t-il expliqué dans un entretien accordé à L’Observateur ce lundi.

Jusqu’à présent, les correspondances adressées par Macky Sall sont restées sans réponse, malgré une relance effectuée « dans une forme absolument transparente et républicaine », précise Me Sur.

Face à ce silence, l’ancien chef de l’État envisage de passer à la vitesse supérieure. « En l’absence de réponse, nous prévoyons une mise en demeure formelle pour obtenir la communication des pièces sollicitées. Si cette démarche échoue, nous n’excluons pas d’introduire un recours en référé ou de saisir toute autorité judiciaire compétente », avertit l’avocat français.

D’après Me Sur, la démarche de Macky Sall poursuit un double objectif : Sur le plan juridique, il s’agit de faire respecter le principe du contradictoire et le droit d’accès aux documents administratifs ; Sur le plan politique, elle vise à désamorcer les manipulations et à ramener le débat « sur son véritable terrain, celui des faits vérifiables et du droit ».

« L’enjeu est de sortir des procès d’intention pour revenir à la rigueur des chiffres et des concepts économiques et juridiques », conclut Me Pierre-Olivier Sur.

Mise en accusation de Macky Sall : Alioune Tine met en garde Sonko et Diomaye

Alioune Tine craint que la question instabilité chronique. Il ne semble pas emballé par la question de la mise en accusation soulevée par l’actuel régime contre l’ancien président Macky Sall. Sur son compte X (ex-Twitter), le président fondateur de la plateforme Think Tank AfrikaJom Center estime que, dans le contexte actuel de « désenchantement
démocratique et d’accumulation de signaux préoccupants au plan interne comme externe », cette initiative « est-elle vraiment opportune ? ». « Ne risque-t-on pas de reproduire les séquences catastrophiques pour l’histoire du pays qu’a été le Gatsa-Gatsa ? Tout le monde se rend compte aujourd’hui comment le Gatsa-Gatsa a produit de la vulnérabilité politique et institutionnelle dans la durée. Aujourd’hui encore, nous vivons les conséquences. Ne pas s’en rendre compte et persister dans le déni et l’aveuglement pourrait nous coûter très cher sur beaucoup de plans. Notre démocratie en construction est encore fragile. Il faut la ménager et la soigner ; tout le monde se rend compte qu’elle est malade », commente le
défenseur des droits de l’Homme. Poursuivant, Alioune Tine estime que relancer l’économie nécessite paix et stabilité politique et sociale. Mieux, il souhaite que le gouvernement mette
l’accent sur l’essentiel et appelle au calme et à la sérénité. Selon lui, il est également nécessaire que l’opposition sénégalaise prenne conscience de l’importance d’observer une sorte de « paix des braves ». « Continuer le débat politique et démocratique en républicain etdans le respect mutuel », conclut-il.

Décès d’Abdou Aziz Mbaye, président des communicateurs traditionnels du Sénégal

Abdou Aziz Mbaye, président de l’Association des communicateurs traditionnels du Sénégal, est décédé ce dimanche soir à Dakar.

D’après les informations rapportées par nos confrères d’Emedia, il s’est éteint à l’hôpital Fann, des suites d’une courte maladie.

La triste nouvelle a été confirmée dans la soirée. Figure emblématique de la transmission orale et de la médiation sociale au Sénégal, Abdou Aziz Mbaye laisse derrière lui un grand vide. Sa disparition constitue une perte immense pour la communauté qu’il dirigeait et pour l’ensemble du secteur culturel du pays.

NOTRE SOUVERAINETÉ À L’ÉPREUVE DE LA DETTE

Celui qui se tait ne commet une faute que lorsqu’il avait l’obligation de parler, et celui qui parle également est en infraction lorsqu’il était tenu de garder le silence.

Je préfère la fourmi, pour son ingéniosité, à la cigale qui fait beaucoup de bruit pour se retrouver fort dépourvue à la fin de l’été.

Sommes-nous des fourmis ou des cigales ?

Que recouvre la notion de dettes cachées du point de vue juridique et politique ?

Sommes-nous obligés de révéler au monde extérieur nos créances ou nos dettes, notre ingéniosité, nos secrets d’État ?

La souveraineté est la liberté pour un pays de pouvoir cacher à des États étrangers et aux instances internationales ses choix politiques et économiques internes et stratégiques.

Admettre le concept de dettes cachées remet en cause la suprématie et la souveraineté du Sénégal dans le financement de son développement.

Le Sénégal a le droit de se taire sur sa dette intérieure et ne devrait rendre compte que lorsqu’il se retrouve dans l’incapacité d’honorer ses engagements internationaux, à l’exclusion de ses engagements strategiques. souverains et nationaux.

Les engagements publics sont de deux ordres : internes et externes.

Un État est souverain pour ses engagements internes et n’a aucune obligation de rendre compte, ni à un État étranger, ni même à une quelconque organisation internationale.

Il me semble qu’il en va de même pour les engagements vis-à-vis des entreprises privées étrangères.

Les entreprises publiques n’ont-elles pas le droit de prendre des engagements en toute autonomie ?

Soumettre toutes ces dettes à la censure du FMI, c’est accepter de remettre en cause notre souveraineté dans notre quête d’un développement… endogène.

Chaque organisation a la possibilité de mettre en place une ingénierie financière pour capter des financements.

Cette ingénierie, qui est la propriété de l’État, ne doit jamais être ébranlée par une démarche politicienne.

Ce qui nous arrive est grave.

Nous sommes en train, pieds et poings liés, de remettre notre âme au FMI, qui nous dit : « Oui, puisque vous avez reconnu nous avoir caché votre dette, c’est bien. Vous êtes honnêtes. Maintenant, présentez-nous un nouveau programme dans lequel vous allez prouver que vous pouvez financer votre budget par vos ressources internes, en attendant de voir le rapport du budget 2024-2025. »

C’est un piège !

Voilà que le chasseur qui traquait le loup, et qui avait vainement regardé le sable en s’y couchant pour y voir les traces du grand loup-cervier, se retrouve subitement en face du gibier perdu, parce que surpris.

Nous sommes ainsi surpris, nous sommes perdus… Tous nos chemins sont pris et notre retraite coupée dans notre course vers le développement.

Que va-t-il se passer ?

Les subventions vont être levées, le peuple va encore trimer… Cette démarche n’arrange que le FMI, qui nous tient désormais par la gorge.

Il faut d’ailleurs s’interroger sur l’appréciation qu’il fera de l’endettement du nouveau régime, ainsi que des conséquences de celui-ci sur la valeur de la signature de l’État, qui ne cesse d’être dégradée.

La rupture n’est pas une remise en cause de notre ingéniosité, mais une démarche nouvelle et salutaire, fondée sur une vision spécifique et originale du développement, qui consolide nos acquis et l’État de droit, et qui valorise notre génie créatif.

La volonté de liquider un adversaire politique ne devrait pas avoir de conséquences néfastes sur nos institutions, nos finances publiques et notre crédibilité internationale.

La remise en cause de ces paramètres, au point que notre État en subisse les contrecoups et le discrédit de nos institutions qui en découle, peut être classée à la décharge de leurs auteurs, dans le registre du manque d’expérience…

Nous pouvons réparer cela — dans le silence et le patriotisme — en admettant qu’un discours politique interne ne devrait pas produire autant de dégâts s’il n’était pas suivi d’effets, et en mettant fin à cette polémique interne dont la prolongation ne pourra que nous être fatale.

Les hommes d’affaires qui ont aidé l’État à contourner la difficulté des subventions devraient être libérés.

Par exemple, Khadim Ba a aidé l’État à mettre fin aux délestages et à éviter la hausse du coût de l’électricité et des hydrocarbures.

Nous n’avons pas à rendre compte aux institutions internationales de certains de nos choix qui relèvent de notre souveraineté.

Maintenant, pour parler comme Charles Péguy : pleurer et gémir est également lâche. Répondons là où le sort a voulu nous appeler, pour mourir sans jeter un cri…

Cessons le bruit. Travaillons comme la fourmi et comme les enfants du laboureur, à qui leur père a légué cette maxime : le travail est un trésor.

Assumons nos choix !


Maître Djiby Diallo

Avocat à la Cour

Président du Groupe d’Actions et d’Initiatives pour un Développement Localisé

Drame à Diourbel : une femme accouche devant l’hôpital régional, son bébé décède faute de prise en charge

Un drame évitable s’est produit le vendredi dernier à Diourbel, lorsqu’une femme enceinte a été contrainte d’accoucher devant les portes du Centre Hospitalier Régional Heinrich Lübke. Le nouveau-né, qui nécessitait une couveuse, n’a malheureusement pas survécu.

Un refus de prise en charge fatal

La victime, Astou Ndiaye, originaire d’un village de la commune de Ngohé, s’était d’abord présentée au district sanitaire de Diourbel. Selon les premières informations, le personnel médical lui aurait conseillé de se rendre immédiatement à l’hôpital régional, car son bébé risquait d’avoir besoin d’une prise en charge en couveuse.

Arrivée à bord d’un taxi, la jeune femme, à terme de sa grossesse, aurait vu son admission refusée par la sage-femme de service, au motif qu’il n’y avait plus de place disponible dans la maternité, en raison de travaux de réfection en cours.

Un accouchement sur la voie publique

Livrée à elle-même, Astou Ndiaye a finalement accouché sur la voie publique, juste devant l’établissement hospitalier, sous le regard impuissant des chauffeurs de taxi présents sur les lieux.

Ce n’est qu’après avoir été alerté de la situation que le service de maternité a réagi, prenant en charge la mère et son bébé. Mais il était déjà trop tard : le nouveau-né est décédé peu après sa naissance.

La direction reconnaît un dysfonctionnement

Un drame évitable s’est produit le vendredi dernier à Diourbel, lorsqu’une femme enceinte a été contrainte d’accoucher devant les portes du Centre Hospitalier Régional Heinrich Lübke. Le nouveau-né, qui nécessitait une couveuse, n’a malheureusement pas survécu.

Un refus de prise en charge fatal

La victime, Astou Ndiaye, originaire d’un village de la commune de Ngohé, s’était d’abord présentée au district sanitaire de Diourbel. Selon les premières informations, le personnel médical lui aurait conseillé de se rendre immédiatement à l’hôpital régional, car son bébé risquait d’avoir besoin d’une prise en charge en couveuse.

Arrivée à bord d’un taxi, la jeune femme, à terme de sa grossesse, aurait vu son admission refusée par la sage-femme de service, au motif qu’il n’y avait plus de place disponible dans la maternité, en raison de travaux de réfection en cours.

Un accouchement sur la voie publique

Livrée à elle-même, Astou Ndiaye a finalement accouché sur la voie publique, juste devant l’établissement hospitalier, sous le regard impuissant des chauffeurs de taxi présents sur les lieux.

Ce n’est qu’après avoir été alerté de la situation que le service de maternité a réagi, prenant en charge la mère et son bébé. Mais il était déjà trop tard : le nouveau-né est décédé peu après sa naissance.

La direction reconnaît un dysfonctionnement

Contacté par Seneweb samedi soir, le directeur de l’hôpital, Dr Bocar Sow, a indiqué vouloir attendre le rapport officiel du chef de service concerné avant de se prononcer définitivement sur l’affaire.

Il a toutefois reconnu la gravité de la situation : « Ça ne devait pas se passer comme ça si le système fonctionnait normalement. Dès lors que la patiente est venue au centre de santé ou à l’hôpital, elle ne devait pas sortir dans certaines conditions. Ce sont des manquements qu’on devait éviter », a déclaré le Dr Sow.

Le directeur a expliqué que la maternité du centre est actuellement en chantier, ce qui a fortement réduit la capacité d’accueil.

« Sur les 50 lits dont dispose normalement l’hôpital, seule une dizaine est accessible. Nous avons réservé une partie pour les urgences. Comme nous ne pouvons plus accueillir de nombreux patients, nous avons demandé aux centres de santé de prendre en charge les cas qui se présentent chez eux », a-t-il précisé.

Contacté par nos confrères de Seneweb samedi soir, le directeur de l’hôpital, Dr Bocar Sow, a indiqué vouloir attendre le rapport officiel du chef de service concerné avant de se prononcer définitivement sur l’affaire.

Il a toutefois reconnu la gravité de la situation :

« Ça ne devait pas se passer comme ça si le système fonctionnait normalement. Dès lors que la patiente est venue au centre de santé ou à l’hôpital, elle ne devait pas sortir dans certaines conditions. Ce sont des manquements qu’on devait éviter », a déclaré le Dr Sow.

Le directeur a expliqué que la maternité du centre est actuellement en chantier, ce qui a fortement réduit la capacité d’accueil.

« Sur les 50 lits dont dispose normalement l’hôpital, seule une dizaine est accessible. Nous avons réservé une partie pour les urgences. Comme nous ne pouvons plus accueillir de nombreux patients, nous avons demandé aux centres de santé de prendre en charge les cas qui se présentent chez eux », a-t-il précisé.

Lutte : Sa Thiès promet de détrôner Modou Lô le 5 avril 2026

Le ton est donné. À l’occasion de leur premier face-à-face, tenu ce samedi, le lutteur Sa Thiès a juré de mettre fin au règne de Modou Lô, actuel Roi des Arènes, le 5 avril 2026.

Devant un public surchauffé et sous le regard attentif de son frère Balla Gaye 2, le fils de Double Less n’a pas mâché ses mots. Fidèle à sa promesse faite avant ce rendez-vous  notamment lors de son passage à Montréal  Sa Thiès s’est montré provocateur et déterminé, n’hésitant pas à défier verbalement son futur adversaire.

Fort de sa récente victoire convaincante contre Zarco, le jeune lutteur a assuré que Modou Lô ne ferait pas exception à sa série de succès. « Je ne suis pas comme tes derniers adversaires. Le 5 avril, je vais te faire tomber et mettre fin à ton règne », a-t-il lancé, sous les acclamations de ses partisans.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention