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Les Députés de Bby ont quitté l’hémicycle

Les députés de la coalition Benno Bokk yaakaar ont été invités à quitter la salle de l’hémicycle où se tient présentement l’installation de la 13e législature. La raison est pour le moment inconnue. Nous y reviendrons.

Video – Quand Serigne Abdou Aziz exhorte les Députés à…

En donnant des conseils aux députés durant le magistère d’Abdou Diouf, Abdoul Aziz Sy Dabakh était finalement entré en transe en prononçant la Chahada. Un discours poignant et émouvant qui est toujours d’actualité aujourd’hui avec l’installation de la 13ème Législature.

Les pro-khalifa manifestent devant l’Assemblée (Vidéo)

Les premières images de l’Installation de la nouvelle Assemblée nationale.

Les premières images de l’Installation de la nouvelle Assemblée nationale.

Aliou Ndao vole les bijoux de sa mère et la tabasse


Agé de 20 ans, Aliou Ndao est détenu à la prison de Tamba depuis avant-hier, à la suite d’une inculpation et d’un placement sous mandat de dépôt. Cela soulage sa mère, Ami Kobor, âgée d’environ 42 ans. Elle a passé tout son temps à souffrir, à cause de son fils qui persécute les siens.
La dame Amy Kobor gagne sa vie difficilement, avec de faibles revenus financiers. Elle satisfait donc de moins en moins les caprices de son fils Aliou Ndao. Ce dernier, agressif, n’épargne personne. Ni sa famille, ni le voisinage.
Le 10 septembre dernier, il est interpellé par sa mère à cause de ses bijoux qu’elle ne retrouvait plus. Ce qui a chauffé les nerfs d’Aliou. Énervé, il s’en prend à sa mère et la tabasse.
La dame n’en pouvait plus des excès de son fils. Elle s’est donc rendue à la brigade de Tamba, pour déposer une plainte contre son rejeton.
Ce dernier a reconnu les accusations portées contre lui. Pour se défendre, il explique avoir réagi sous l’emprise de la colère. Il a été déféré au parquet de Tamba hier, après sa garde à vue.

Regarder comment le nombre de femmes augmente à l’Assemblée

Aucune femme ne siégeait à l’Assemblée nationale du Sénégal lors de la première législature (1953-1963). C’est à la deuxième législature (1963-1968) qu’une femme, Caroline Faye, est élue députée pour la première fois. Deux femmes seront élues lors de la législature suivante, puis à 4 en 1973-1978 et à 8 en 1978-1983.

En 2010, une loi imposant la parité sur les listes de candidats aux élections est adoptée, permettant d’atteindre pour la première fois le taux de plus de 40% de femmes députées à l’Assemblée nationale avec 64 élues sur 150, rappelle Khayrou Cissé dans son ouvrage «Dictionnaire biographique des députés du Sénégal (1914-2012)» paru en 2014..

A l’issue des législatives du 30 juillet 2017, 70 femmes sont élues sur 165 députés.

 

Assemblée – Voici les différents Présidents, de Lamine Gueye à Niasse

En 13 législatures, 11 personnalités sont devenues Présidence de l’Assemblée nationale du Sénégal. Lamine Coura Guèye fut le premier à occuper le perchoir.

Le président Amadou Cissé Dia a passé le plus de temps à ce poste. Feu Habib Thiam, Youssou Diagne et l’actuel chef de l’Etat Macky Sall y ont eu des séjours de courte durée (1 an).

Les Présidents de l’Assemblée nationale du Sénégal de l’indépendance à nos jours
Né en 1891, Lamine Guèye fut député à l’assemblée nationale française et maire de Dakar de 1945 à 1959. Il est le premier président de l’Assemblée nationale du Sénégal indépendant.
Lamine Guèye
1959-1968
Né en 1915, ce médecin de formation est celui qui a passé le plus de temps à la tête de l’Assemblée nationale qu’il a dirigé pendant 15 ans. Auparavant, il fut tour à tour, ministre des forces armées, ministre de la santé et ministre du commerce.
Amadou Cissé Dia
1968-1983
Habib Thiam
1983-1984
Habib Thiam, né en 1917. Il a occupé plusieurs postes ministériels et a été deux fois Premier ministre du président Abdou Diouf. Elu en 1983 pour succéder à Amadou Cissé Dia, il démissionne une année plus tard. Il est décidé en juin 2017.
Daouda Sow
Abdoul Aziz Ndao
1988-1993
Né en 1922, Abdoul Aziz Ndao est élu député pour la première fois en 1973. A son départ de l’Assemblée nationale en 1993, il est nommé président du Conseil économique et social. Abdoul Aziz Ndao est décédé en février 2011.
Cheikh Abdoul Khadre Cissokho
1993-2001
Dernier président de l’Assemblée nationale sous la gouvernance du Parti Socialiste, Cheikh Abdoul Khadre Cissokho est un ingénieur agronome né en 1936. Il a également exercé des fonctions ministériels, notamment au département du Développement Rural.
Youssou Diagne
2001-2002
Né en 1938, Youssou Diagne est le premier président de l’Assemblée nationale après l’alternance politique de 2000. Mais il est contraint à la démission un an après, suite à sa défaite dans son fief lors des élections locales de 2002.
Né 1933, Daouda Sow est élu en 1984 président de l’Assemblée Nationale en remplacement d’Habib Thiam, démissionnaire. Il sera lui aussi poussé à la démission en décembre 1988, en raison d’une crise interne au parti au pouvoir le Parti Socialiste.
Pape Diop
2002-2007
Pape Diop est né en 1954 à Dakar, ville dont il était le maire au moment où il est choisi pour être président de l’Assemblée nationale. En octobre 2007, il est élu président du Sénat nouvellement rétabli. En 2009 il perd la mairie de Dakar au profit de Khalifa Sall.
Macky Sall
2007-2008
Macky Sall a été débarqué par son parti au bout d’un an au perchoir. C’est jusque là le seul président de l’Assemblée nationale à être devenu Président de la République.
Mamadou Seck
2008-2012
Ephémère ministre des Finances, puis ministre des Transports, Mamadou Seck a été élu en remplacement de Macky Sall. Il reste poste jusqu’à la défaite de son parti, le PDS, aux législatives de juin 2012
Moustapha Niasse
2012-2017
Onzième président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse a eu une riche carrière gouvernementale, notamment comme Premier ministre et ministre des Affaires étrangères.

(Video) L’arrivée de Malika, la femme de Assane Diouf à Dakar

(Video) L’arrivée de Malika, la femme de Assane Diouf à Dakar

Abdoul Aziz Sy, l’élu de l’Éternel – Il était une fois Dabakh

Un homme au visage et au cœur rayonnants. Certes, il nous a quittés depuis vingt- ans, mais il est toujours là, présent parmi nous. Et comme qui dirait, il était une fois Dabakh, mais toujours Da-Fa-Bakh. Serigne Abdoul Aziz Sy, l’élu de l’éternel reste encore dans les cœurs ! Vingt- ans déjà… 

De certains hommes qui ont fini d’atteindre les degrés les plus élevés des gnostiques, ils paraissent à tout jamais éternellement jeunes et bien portants. Ils n’apparaissent que sur leur désir et leur humilité démesurée, en sueur et paraissant souvent fatigués pour dévoiler leur égalité qui n’est pas égalité avec leurs semblables. Ceci, sur plusieurs points relatifs au sacrifice véridique de sa personne, pour s’étaler sur la voie parallèlement droite, appartenant aux élus de l’histoire, sinon de l’éternel.

Leurs sensations naturelles qui dépassent de loin les sentiments que l’on évoque du cœur ou de l’esprit reposent pour l’essentiel sur un organe abstrait, impalpable, indétectable, mais qui est en nous et partout en nous. La bonté, l’indulgence, la générosité, la fraternité, le pardon, la bienveillance, la douceur, le secours et la piété, même si ces mots ont autant de corrélation, ils sont ressentis à travers cet organe. Et au cœur rayonnant, l’homme ne peut ressentir qu’un choc vibratoire, qui à travers les sens pénètre les racines de cet organe.

Chez Dabakh, c’est la pureté de l’âme. Envolé de notre regard, toujours présent dans le cœur des Hommes, cet érudit de l’islam est un sauveur qui a appris et hérité du Sceau des sceaux, qu’il faut œuvrer pour une union des cœurs. Ce que l’on a appris de Mohamed El Ghali, El Hadji Oumar Tall, Alpha Mayoro et le père fondateur de la sainte ville de Tivaouane. Un apprentissage élogieux qu’il a appris à tout le monde. Musulmans comme non musulmans. Et qui ne se rappelle pas de son fameux discours tenu à Touba la sainte, à une heure de prière du vendredi, alors qu’il venait présenter ses condoléances suite au rappel à Dieu de Baye Lahat le saint ?

Des paroles qui ont fait couler beaucoup de larmes. Et chacun de se rappeler à travers Dabakh Malick, que tous les musulmans ne sont, en réalité, qu’un seul et unique tronc d’arbre. La confrérie choisie et adoptée n’étant que le court chemin qui mène vers la droiture et l’absolution en soi et envers ses frères et sœurs, suivant les préceptes de l’islam. Qui ne le connaît pas du monde politique pour avoir joué les premiers rôles dans la conduite et la recherche d’une paix durable au Sénégal ?

Qui ne le connaît pas enfin, dans l’environnement citoyen et du monde pour les conseils qu’il prodiguait pour la confraternité en l’entraide mutuelle, le sens du pardon… Cet homme au visage et au cœur rayonnants n’était autre que Dabakh. Lui qui est parti, une matinée de 14 septembre de l’année 1997. Celui que la nature et les hommes ont pleuré. Des pleurs sans larmes, car tel qu’il l’avait appris à chacun: «certes l’homme part pour rejoindre l’autre monde, mais ne le pleurez point, mais priez pour lui».

Car la vie n’étant autre chose qu’une lutte de toujours contre les démons du cœur et de l’esprit. Depuis vingt-ans qu’il est parti, pour ne pas partir, Dabakh est toujours parmi nous. L’homme au cœur d’or et au visage rayonnant, à l’âme pure, était une fois, mais à jamais Da-Fa-Bakh ! Serigne Abdoul Sy l’élu de l’éternel qui se survit !

Macky Sall s’explique : “J’ai choisi Niasse pour…”

«C’est pour l’équilibre de la cohésion du pays. On doit travailler pour l’intérêt du Sénégal, notamment pour que les prérogatives de l’Assemblée nationale puissent être pleinement exercées», a-t-il motivé.

Pour gérer les frustrations, le Président est passé à des explications. «Quand on choisit, on élimine. Mais, tous les choix vont être dans le sens de la préservation de la paix, de la cohésion politique et sociale», a-t-il.

Et dans ce sens, il appelle à la «solidarité» par rapport à la proposition du Bureau qui sera mis en place. «Il faut avoir un esprit de dépassement», a-t-il insisté.

D’ailleurs, le Président Macky Sall s’est entretenu, à la fin de la rencontre, avec ses principaux alliés, dans le cadre de la coalition Benno Bokk Yakaar, Moustapha Niasse et Oumane Tanor Dieng, pour harmoniser d’abord, les positions par rapport aux hommes qui devront constituer le bureau de l’Assemblée nationale.

Avant l’ouverture de la session, les députés de cette coalition tiendront une petite séance pour intégrer la nouvelle vision du président de la République.

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