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«La croissance est mangée par les 69 familles affiliées à la dynastie Faye-Sall»

Sa réponse à la sortie du Premier ministre Mohamed Dionne sur les chiffres de la croissance au Sénégal. Une croissance qui se mange bien selon le chef du gouvernement. Mamadou Lamine Diallo, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a tiré fort sur le régime et dénoncé l’immobilisme du gouvernement.

«A la jeunesse, Macky Sall veut se présenter comme un modèle. Voilà quelqu’un qui coûtait 6000 francs par jour au peuple sénégalais (quand il gagnait 60 000 francs par mois dit-il) et qui, grâce à la politique politicienne et le parrainage de Maître Abdoulaye Wade, et surtout de Karim Wade, nous coûte 40 millions par jour aujourd’hui. C’est plutôt un accident de l’histoire, incapable de trouver des emplois aux jeunes», critique le coordonnateur de la coalition Mankoo Wattu Sénégal.

Dans le quotidien Vox Populi, il renvoie Mohamed Dionne à ses propos sur la croissance. «Il sait bien que c’est Moustapha Niasse qui, polémiquant (avec) Ousmane Tanor Dieng et le Ps, avait dit qu’on ne mange pas la croissance. Il (Dionne : ndlr) s’adresse donc à Moustapha Niasse, tous les deux veulent sans doute diriger liste de Bby aux Législatives fixées au 30 juillet 2017», croit savoir Mamadou Lamine Diallo, qui tacle le ministre de l’Economie.

«La croissance au Sénégal, surestimée par Amadou Bâ and Co (les chiffres sur l’agriculture sont faux) est mangée par les grandes entreprises étrangères et les 69 familles affiliées à la dynastie Faye-Sall», critique encore le leader du mouvement Tekki

Procès : Le récit glaçant du meurtrier de Boutèye Kounta Ndiaye

Pape Mor Djité et son ami, Talla Diassé, ont été jugés dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 février 2017 par la Chambre criminelle du tribunal de grande instance de Dakar. Poursuivi pour association de malfaiteur, assassinat, recel de cadavre et non dénonciation de crime, Pape Mor Djité a voulu faire croire au tribunal que le défunt est victime d’une mort accidentelle.

Il est aujourd’hui âgé de 26 ans. Mais Pape Mor Djité a posé des actes qui ont foutu sa vie et celle de la famille d’un honnête citoyen en l’air. Technicien supérieur en informatique et célibataire sans enfant, il est accusé d’avoir tué par strangulation Boutèye Kounta Ndiaye, le 9 mai 2011.

Devant le juge, il s’est montré impassible : «Je ne reconnais pas les faits de préméditation. J’estime que c’est un accident. Je vais raconter ce qui s’est passé pour être quitte avec ma conscience. Je sais que c’est une affaire que je n’oublierai jamais de ma vie».

Informaticien de formation, il explique qu’il s’était recyclé en guide touristique, convoyeur de véhicules, puis intermédiaire dans des opérations de vente de véhicules. C’est d’ailleurs à cette occasion qu’il a croisé le chemin de Boutèye Kounta Ndiaye. C’est grâce à un site de ventes en ligne qu’il a pu joindre M. Ndiaye. Il lui explique qu’il veut le mettre en contact avec un Bissau-guinéen qui veut acheter un Range Rover. Les deux parties s’entendent sur 30 millions F Cfa. Ne disposant pas de ce type de véhicule, le défunt lui propose sa Porche Cayenne à 20 millions de F Cfa.

«Le Guinéen s’appelle Viviano Lima. Il m’a appelé lors de mon séjour en Mauritanie pour me passer la commande. Boutèye Kounta devant nous fournir un véhicule de type «Range Rover» qui tardait à être livré. Il a fini par proposer une Porche Cayenne à 20 millions. J’étais à Thiès. Dimanche, c’est lui qui m’a appelé. On s’est donné rendez-vous pour le lundi. Ce jour, il m’a appelé vers 8 h, m’invitant à venir le rejoindre dans son parking. Donc, si j’avais une intention inavouée, je ne me serais pas rendu dans son parking. On a été à l’ancienne piste voir un mécanicien, Assane Ndoye. Son atelier était situé près de Dabakh Automobile, mais celui-ci était absent des lieux. On a ensuite été à Yarakh (Hann). J’habite dans cette zone. J’ai, par la suite, appelé un apprenti pour voir l’état du véhicule qui se trouvait au bas de l’immeuble où j’habite, mais celui-ci a décliné. En attendant, Boutèye m’a demandé de nous rendre chez moi, le temps que son mécanicien arrive. C’était aux environs de 9 heures», raconte Pape Mor Djité devant la barre.

Les derniers instants de Boutèye Kounta raconté à la barre

En cette matinée du lundi 9 mai, Boutèye Kounta Ndiaye suis les pas de l’accusé, impatient de conclure l’affaire. Seulement, il ne sortira pas vivant de l’appartement de Pape Mor Djité. «Lorsque je franchissais le seuil de mon appartement, j’ai pu entrevoir, dans le sac Boutèye, la crosse de son arme. J’ai alors pris une barre de fer qui se trouvait sur les lieux et lui en ai asséné un coup. Je logeais dans cet appartement avec des ouvriers, des maçons etc. Peut-être qu’une fois à l’entrée, voyant le désordre, il a voulu sortir son arme. Je n’avais aucune intention de lui faire mal. Je n’ai jamais fait de mal à une personne. Mais lorsque, subitement, il a sorti une arme, j’ai eu peur. Je me suis senti menacé. Je lui ai donné un coup. Je ne sais pas où exactement. Il est tombé. Sa tête a cogné le mur. Je l’ai vu agiter les mains. Mais, je ne savais pas comment lui venir en aide. Il était habillé en costume. Lorsqu’il est tombé à terre, j’ai vu sa langue sortir de sa bouche. Il y avait de la bave qui sortait de sa bouche. Ce qui m’est arrivé est un accident», narre-t-il.

Selon lui, lorsqu’il s’est rendu compte que Boutèye était mort, il ne savait plus quoi faire. «J’ai réfléchi quelques minutes, puis je suis parti appeler deux hommes pour m’aider à le transporter. J’avais auparavant dissimulé le corps dans deux sacs. Mais les deux hommes sont repartis en courant en voyant le corps enveloppé. C’est ensuite que j’ai fait appel à Talla Diassé qui était à Thiès. Je suis allé acheter deux sacs et un rouleau de scotch. J’ai enroulé le corps dans un drap. Il était 10 heures environ. J’ai pris une voiture pour me rendre à Thiès. C’est vers Diamniadio que son épouse m’a appelé. Je lui ai fait croire que son époux était dans un bureau», poursuit l’accusé.

Il embarque la dépouille dans une 7 places, faisant croire qu’il transporte un sac de poissons

A Thiès, il dit n’avoir pas trouvé Talla à son atelier de menuiserie. «Lorsque je l’ai finalement retrouvé, je lui ai dit qu’il est la seule personne, le seul ami sur qui je pouvais compter. Il a refusé dans un premier temps. Je lui ai fait savoir que j’allais prendre la fuite en Guinée, après. Il disait craindre d’avoir des problèmes. Mais j’ai fini par le convaincre. Il m’a accompagné à Dakar. Dans l’appartement, il ne voulait pas voir le cadavre. J’ai fait croire que je transportais du poisson. On a chargé le sac de riz contenant le corps dans un 7 places, un 505. On l’a déposé dans le véhicule. Le conducteur, Maguèye Guèye, (il a obtenu un non-lieu) était quelqu’un qui avait l’habitude de travailler avec moi. Il m’a déposé à Thiès», explique-t-il.

L’enquête révèle qu’il s’est débarrassé du corps sous un tunnel de la Vcn (Voie de contournement Nord) de Thiès. Sur le corps, il a été découvert une cravate attachée à son cou, les poignets liés, les yeux bandés avec du scotch (bande adhésive). Pour toute réponse, l’accusé soutient : «Je ne l’ai jamais étranglé avec sa cravate. (…).».

«Je ne peux pas qualifier mon acte, je suis vraiment désolé»

Après s’être débarrassé du corps, Pape Mor Djité soutient qu’il ne savait plus quoi faire. « Je n’avais pas d’argent. Je n’avais que 5.000 Fcfa Cfa en poche. Je me suis mis au volant de la Porche cayenne de Boutèye Kounta. J’ai pris 4 passagers moyennant 2.000 F Cfa et suis allé à Mbacké. Je n’avais ni permis de conduire, ni pneu de secours, ni de l’argent, ni du carburant. Je savais que je ne pouvais pas traverser la frontière sans un permis de conduire. Je voulais juste m’approcher des frontières. J’ai eu une crevaison de pneu à Kounkané, la nuit. J’étais parti chercher un pneu et à mon retour j’ai trouvé des gendarmes près du véhicule. Ces derniers m’ont conduit à Thiès puis à Dakar. De retour à Dakar, j’ai rencontré le procureur vers 16 heures. Avec les enquêteurs, ils ont été à Thiès récupérer le corps qui était en état de décomposition avancée. Jusqu’à présent, je ne peux pas qualifier mon acte, je suis vraiment désolé. Je n’ai jamais eu la volonté de commettre un meurtre. Je ne suis pas violent. Je n’ai jamais fait la prison. C’est ma première incarcération. Et j’ai peur de la prison», dit-il au juge.

Il n’a pas manqué de dire que l’histoire de trafic de drogue greffée dans cette affaire ne tient pas. «L’histoire de la drogue, ce sont les enquêteurs qui l’ont ajouté dans cette histoire pour mieux gonfler le dossier. Mais nous savons tous qu’un véhicule de ce type ne s’échange pas contre 5 kg de cocaïne», répond-t-il aux avocats de la partie civile qui évoquaient l’existence de lien entre cette affaire et un trafic de drogue dure.

Assailli de questions de 00 h à 3 heures du matin, Pape Mor Djité finit par tomber en syncope. Il s’affale de tout son poids et est vite relevé pour être installé sur une chaise devant le juge. Il n’a plus ouvert la bouche pour répondre aux interpellations des avocats. Il était 4 heures du matin lorsque les avocats ont entamé leurs plaidoiries. Le Procureur a requis les travaux forcés à perpétuité contre Pape Mor Djité et 10 ans de prison ferme ou à défaut 3 ans contre Talla Diassé. Ils seront fixés sur leur sort le 21 février 2017.

Me Moussa DIOP, directeur général Dakar Dem Dikk recrute 25 handicapés

La société Dakar Dem Dikk veut jouer pleinement son rôle dans la carte d’égalité des chances. C’est ce qu’a déclaré son Directeur général, Moussa Diop, lors de la cérémonie d’accueil des nouveaux jeunes handicapés recrutés

personnes à mobilité réduite doivent, comme toute autre personne, bénéficier des privilèges existants dans les sociétés publiques. « Plus de 15% des Sénégalais vivent avec un handicap. Ils font partie de la population sénégalaise et ont droit à tout ce qui se fait de bien dans ce pays. Nous avons 475 autobus neufs. 1/3 des ces bus sont équipés de rampes pour faciliter l’accessibilité aux handicapés », soutient-il.

Toujours en signe de solidarité aux personnes à mobilité réduite, le DG a fait savoir que 25 personnes handicapées recrutées, bénéficient d’un contrat à durée indéterminée (CDI). « Nous considérons que des personnes qui ont assuré notre sécurité depuis des années dans l’armée et qui ont été victimes d’accidents, pour avoir perdu une jambe, ou vivant avec des prothèses ne devraient pas être mises à l’écart uniquement parce qu’elles sont devenues handicapées. A cet effet, 25 parmi elles, ont été prises en compte dans cette première phase de recrutement au sein de la société Dakar Dem Dikk. Et, ils auront des contrats à durée indéterminée », a-t-il annoncé.

En plus de ce recrutement , le Dg de D.D.D a souligné que certains handicapés bénéficieront de la gratuité des prix du transport public. Aussi, un taux de réduction déterminé par un arrêté du Ministre des Transports, sera appliqué en faveur de toute personne bénéficiant de la carte d’égalité des chances. Un acte que les handicapés ont bien approuvé.

Ce n’est pas tout. Pour mettre fin à la discrimination des femmes, Moussa Diop a aussi recruté des receveuses. « A Dakar Dem Dikk, il n’y a pas de femmes vendeuses de tickets. J’ai considéré que cette discrimination là doit prendre fin. Ici, elles auront plus de confort, plus de respect des droits du travail et de la protection sociale », renseigne le directeur.

Touba: un marabout photographié nu et bastonné par une dame

C’est à Touba que les faits se sont passés entre un célèbre marabout du nom S. Mb. Bousso et la dame L. A. F.  Il s’agit d’une scandaleuse histoire de mœurs qui a eu lieu à Touba en fin 2016.

D’après le marabout qui a porté plainte devant le tribunal,  la dame et sa famille l’ont bastionné, ôté ses habits avant de le prendre nu en photo. Son seul tort : passer chez L. A. F pour lui annoncer le baptême de son nouveau-né.

Mais ses propos sont réfutés par la dame qui affirme que ce fameux matin, S. Mb. B est passé chez elle sans même porter de pantalon, parce que malintentionné.

Et ce n’est que lorsqu’il s’est jeté sur elle qu’elle s’est vaillamment défendue, aidée par sa famille venue à sa rescousse. Selon L A. F, les photos prises étaient pour garder des preuves au cas où l’affaire devait passer en justice. D’ailleurs, elle a montré les clichés aux juges, stupéfiés, devant une assistance complètement médusée

A la différence de S Mb. B qui a demandé dix millions de dommages et intérêts, L. A. F qui a estimé avoir été agressée par son protagoniste dans son propre domicile et devant ses enfants, a réclamé quinze millions FCFA. Le verdict sera rendu le 07 mars 2017.

Mohamed Boune Abdallah DIONNE : "Si Macky SALL n'a pas une majorité à l'Assemblée en 2017, il ne pourra pas gouverner"

Le Premier ministre Mahammad Boune Abdallah Dionne a invité hier, les populations de Tivaouane à s’inscrire massivement pour permettre au chef de l’Etat d’avoir une majorité confortable aux législatives de juillet 2017, sous peine de voir ses projets modernisation de cités religieuses bloqués par l’Assemblée nationale.

Pour rendre la monnaie de la pièce au chef de l’Etat, il ne faut redoubler d’efforts pour vous inscrire en masse sur les listes électorales (….)Si les projets de lois qui doivent être votés à l’assemblée ne passe pas, le Président de la République aura des difficultés pour dérouler son programme. Cela peut alors créer un blocage institutionnel pour exécuter l’ambitieux programmes du chef de l’Etat“, a-t-il dit.

Avant d’expliquer : “Par exemple, si le chef de l’Etat veut un budget de 10 milliards de F Cfa pour continuer son programme de modernisation des cités religieuse à Tivaouane, Touba, Ndiassane, Popenguine , etc, si les députés refusent de le voter, il ne pourra pas l’exécuter. Donc si le Pse vous convainc, il faut donner au chef de l’Etat une majorité parlementaire“.

Lettre de Bamba Fall à Macky : « Que me reproche-t-on ? »

Depuis la prison de Rebeuss, le maire de la Médina, Bamba Fall, a adressé une lettre ouverte au président de la République, Macky Sall.

«Monsieur le Président, il n’est pas fréquent qu’un opposant s’adresse au président de la République pour exprimer son inquiétude et sa crainte pour l’avenir du Sénégal. Avant tout, comme le veut la tradition, je vous présente mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2017. Vous avez sans doute passé d’excellentes fêtes de fin d’année auprès des vôtres, de votre épouse, enfants, parents, et amis. Des compatriotes, parmi tant d’autres, sont séparées en ce début d’année de leurs familles, alors que vous pouviez leur éviter cette douloureuse situation. Il s’agit de Bira Kane Ndiaye, Maguette Bâ, Malick Kébé Dieng, Abdou Mbaye, Bassirou Samb, Abdoulaye Wone, Cheikh Tidjane Sall, Saliou Mbacké Diop, Amath Diouf, Bamba Fall, détenus depuis le 04 janvier 2017 à la maison d’arrêt sous les prétextes fallacieux et d’accusations fantaisistes. Le mur du silence entourant l’histoire de ces dignes camarades a fini par se lézarder au fil des jours, grâce en particulier à l’engagement courageux et inlassable de certains de nos concitoyens», écrit Bamba Fall.

«Monsieur le Président, cette injustice faite à des compatriotes commence à être connue et réprouvée dans le monde entier, y compris par des organisations de défense des droits de l’homme. La détention arbitraire des camarades et moi-même restera dans les mémoires sénégalaises comme une des plus grandes injustices une fois de plus dans notre pays. Vous n’en avez peut-être pas conscience, mais la justice sénégalaise a pris depuis bien longtemps des allures exécrables. Elle est décriée aussi bien de l’extérieur qu’à l’intérieur du pays. Vous êtes, comme on dit, à la croisée des chemins et je comprends ce genre de situation où, parce qu’on a décidé de ne pas perdre, quoi qu’il advienne, on s’engage finalement dans des voies sans issue. La situation du Sénégal n’augure rien de bon», laisse entendre le maire de la Médina.

«Tout le monde connait le mobile de mon incarcération»

«Je ne suis pas du genre à faire la morale aux autres, mais au-delà d’une certaine limite cela n’est plus acceptable. Cette limite, au demeurant, est atteinte lorsqu’il s’agit de la dignité ou de l’intégrité d’un camarade ou d’un compatriote qui est en jeu. Nul doute que les mobiles de mon incarcération découlent de ce qui suit : le fait d’être élu à la tête de la deuxième coordination et d’avoir réussi à assurer l’intérim de la mairie après le décès de Birame Sassoum Sy au détriment de votre candidat; le fait d’avoir gagné aux élections locales devant une pléthore de ministres du parti Etat-Apr; le fait d’avoir ma propre liste Siggil Dakar aux élections sénatoriales finalement annulées; le fait que Bira Ndiaye et moi aient convaincu le maire Khalifa Sall de rentrer à Dakar et battre campagne pour le Non au referendum; le fait d’avoir organisé un meeting de dimension national et d’y avoir invité Malick Noël Seck et Aïssata Tall Sall; le fait d’avoir dénoncé les marchés publics tels que la confection des cartes d’identité biométriques et l’exploitation du pétrole et du Gaz dans des conditions nébuleuses; le fait d’avoir défié votre frère à la présidence de l’AMS; le fait d’être élu meilleur maire en 2016; le fait d’avoir fait des réalisations palpables dans ma commune; le fait d’être incontournable sur l’échiquier politique communal étant entendu que je donne le vertige à mes adversaires de l’Apr; le fait d’être en parfaite harmonie avec les différents acteurs communautaires et toutes les couches socio-économiques de ma commune; le fait d’avoir le courage de mes idées politiques et d’avoir ostensiblement refusé toutes formes d’alliances avec l’Apr…», liste Bamba Fall.

«Lors des événements, j’étais chez moi en train de prendre mon déjeuner»

Dénonçant les «accusations grotesques et non fondées» portées contre sa personne, il note qu’il est indéniablement difficile pour les comploteurs d’effacer de la tête des sénégalais et des citoyens du monde épris de justice les faits suivants : «que lorsque la police intervenait, aucune arme ni gourdin n’a été visible ni saisie. Aucune personne n’a été blessée ou arrêtée. Au cours des événements, j’étais chez moi en train de prendre mon déjeuner avec mon équipe municipale puisqu’ayant quitté la salle lorsque Tanor m’a refusé de prendre la parole. S’y ajoute que je ne peux détruire ce que j’ai construit car la clôture de la maison du Parti a été entièrement financé avec mes propres moyens. En ce moment, sachant que je suis entre quatre murs, l’Etat-parti-Apr fait des tournées, offre des mandats et propose des financements aux populations dans la vaine tentative de reconquérir la Médina. Peine perdue car je reste le fils aimé et élu par les médinoises et médinois, le secrétaire général aimé et élu par mes camarades de la 2e coordination», conclut Bamba Fall.

13EME EDITION DU FESTIVAL SUR LE NIGER : Musique : Les temps forts

De ce moment très sobre avec le chanteur et musicien mozambicain José Mucavélé, à ce passage très ensoleillé de la jeune chanteuse capverdienne Elida Almeida, prix Découvertes Rfi en 2015, le public de cette 13ème édition du Festival sur le Niger a aussi eu droit à un show très spécial de l’artiste nigérian Ade Bantu. Sans parler de la touche finale de Salif Keita, venu avec ses classiques et autres succès indémodables… Même s’il n’est pas resté assez longtemps…Mais disons que l’on s’est aussi retrouvé dans l’ambiance de la fameuse Caravane culturelle pour la paix.

Conseil superieur de la magistrature – La lettre de démission salée du juge Déme à Macky

«La justice étant rendue au nom du peuple, celui-ci doit être informé, du discrédit d’une institution constitutionnelle si essentielle pour la survie de notre démocratie l «La justice traverse aujourd’hui une crise profonde, étroitement liée au manque de transparence dans le choix des magistrats» l «La vitrine de la justice ne doit pas être une magistrature sous influence, mais plutôt une magistrature indépendante et impartiale»

COMMENTAIRE – PAR BACARY DOMINGO MANE : Quelle honte !

Pour un pays qui prétend tendre vers l’émergence, il y a de quoi se poser des questions sur l’efficacité des politiques mises en place et les personnes censées les traduire en actes. La panne de l’appareil de radiothérapie de l’hôpital Le Dantec, n’est que la matérialisation de l’absence d’une politique de santé, de l’indépendance à nos jours. Il suffit d’écouter les autorités ministérielles se «défausser» sur la panne d’un appareil qui a fini par être un danger pour les malades, pour mesurer l’étendue du mal. A Dantec, ce sont des bombes au cobalt qui «dynamitent » tout le corps des malades à l’aide d’une source radioactive, à la recherche de la tumeur, avec tous les effets collatéraux. Le Sénégal est en retard d’un siècle, car le cobalt est dépassé. Notre pays est encore très loin des accélérateurs linéaires d’électrons produisant des faisceaux de rayons X haute énergie et des faisceaux d’électrons. D’ailleurs, à l’hôpital Cheikh Zaid du Maroc, l’on utilise la technique de Radiothérapie par Modulation d’Intensité (Imrt) permettant de cibler plus précisément la tumeur aux fins de mieux préserver les tissus sains avoisinants. Ce qui n’est pas le cas avec les bombes au cobalt où le corps du malade est agressé. Nous rappelons au ministre de la Santé et aux chantres de l’émergence-immersion qui semblent manquer d’ambitions pour notre cher Sénégal, que le Canada est le premier pays, en 1951, à mettre au point le traitement de radiothérapie au cobalt-60. Ces bombes (au cobalt) ont pratiquement disparu dans les pays développés. Le Maroc, la Mauritanie et le Mali, etc qui se soucient plus de la santé de leurs populations, ont mis le prix pour se mettre au diapason. Des centres d’Oncologie régionaux (pour ce qui est du Royaume Chérifien) sont même créés. Qu’est-ce qui empêche notre pays à faire comme le Maroc ou la Mauritanie ? Le ministre, qui semble dépassé par l’évolution du monde de la médecine, nous parle encore d’acquisition d’appareils de radiothérapie. Notre pays à plutôt besoin de centres d’oncologie à Dakar et dans les capitales régionales. Ce qui permettra de compresser les délais d’attente des patients et la prise en charge d’un volume important de malades. Ce qui est dramatique et insoutenable, c’est lorsque Mme le ministre de la santé demande aux malades de prendre leur mal en patience pour au moins six mois. Combien y arriveront ? Quant à la solution d’évacuer des malades au Maroc ou en Mauritanie, elle est loin d’être pertinente ? Combien en bénéficieront ? Les plus chanceux ? Et les autres sont exposés à la mort. Ce pays ne mérite pas ce que le régime lui fait subir. Et pourtant, les milliards planqués dans les paradis fiscaux auraient suffi à redonner espoir à des malades qui luttent, chaque jour que Dieu fait, contre la mort. On ne badine pas avec la santé des populations. A bon entendeur, salut !

PANNE DE L’APPAREIL DE RADIOTHÉRAPIE DE L’HÔPITAL ARISTIDE LE DANTEC : 6 mois pour échapper à la mort

Le délai maximum pour l’acquisition d’appareils de radiothérapie pour le traitement du cancer ne va pas excéder «six mois». En attendant, les patients sont évacués au Maroc et d’autres destinations comme la Mauritanie et le Mali qui sont en train d’être étudiées par le ministère de la santé pour une meilleure prise en charge des personnes souffrant de cancer. L’assurance est donnée hier, mardi 7 février, par le ministre de la santé et de l’action sociale, Awa Marie Coll Seck au cours d’un point de presse après la panne de l’appareil de radiothérapie de l’hôpital Le Dantec au mois de janvier dernier.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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