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TOUMANI DIALLO, INQUIET POUR LES LÉGISLATIVES «Il faut remporter la bataille des Parcelles assainies»

Face aux élections législa- tives quise profilent à l’ho- rizon, l’Apr des Parcelles assassines est dans un flou total. Le Coordonnateur,Amadou Bâ, n’est toujours pas descendu à la base pour organiser les troupes, déplore-t-on. C’est le responsable politique Toumani Diallo qui est monté au créneau pour faire état de la situation. «Le ministre Amadou Bâ, en tant que coordonnateur de l’Alliance pour la République (Apr) aux Parcelles assainies, s’est absenté de la base. On ne l’a pas revu depuis le dernier référendum. Qu’est- ce qu’il peut bien préparer pen- dant dix à onze mois, absent de sa base politique ? C’est catas- trophique. Il n’a aucune raison valable qui puisse l’en empêcher. Alors quel est le véritable pro- blème ? S’il y en a un qu’on nous le dise», s’est offusqué Toumani Diallo. Et d’expliquer qu’à nos jours, l’Apr des Parcelles assainies est en léthargie. «Il n’y a aucune animation dans le parti (…). C’est la raison de mes inquié- tudes quant aux prochaines échéances. On doit se préparer en conséquence avant qu’il ne soit trop tard», alerte-t-il. «Devant cette situation, on ne peut pas rester les bras croisés. On inter- pelle donc le président de la Ré- publique par rapport à la situa- tion, afin qu’il prenne des déci- sions. Par ailleurs, Diallo a estimé que si Amadou Bâ est obnubilé par ses charges du ministère de l’Économie et des finances, qu’«il ne fasse pas de la politique». «Un coordonnateur ne peut pas rester 10 à 11 mois loin de sa base. Dans quel monde somme-nous ? Faisons-nous de la politique ou pas ?», pestifère- t-il. Et d’avertir que : «Si d’ici quelques semaines aucune dé- cision n’est prise, je vais poser les premiers actes qui vont nous permettre de remporter les élec- tionslégislatives aux Parcelles». Cela, pour ne pas céder du terrain au ministre d’État Mbaye Ndiaye. «La population des Parcelles a dit “tout sauf Mbaye Ndiaye”. On ne lui laissera pas le champ politique. Sinon on va perdre». Toumani se dit convaincu qu’au plan national, le camp présidentiel remportera la majorité à l’Assemblée. Mais il y a la bataille des Parcelles assainies qu’il faut remporter, trouve-t-il. Et pour y parvenir, il estime nécessaire de raviver la flamme autour d’Amadou Bâ. «À sa venue aux Parcelles, lors du référendum, il y avait de l’es- poir autour de lui. Tout le monde s’est mobilisé. Du jamais vu ! Devant une division totale, il a rassemblé les gens autour de l’essentiel et on a gagné

Le haut conseiller Mamadou Omar Bâ offre le petit déjeuner aux candidats

A Diourbel, près de 2000 personnes se sont massées hier à la préfecture pour s’inscrire sur les listes électorales et pour l’obtention de la carte biométrique d’identification. Le haut conseiller Mamadou Omar Bâ dit Mama, a offert le petit déjeuner.

La préfecture de Diourbel a été prise d’assaut très tôt dans la matinée d’hier par des militants de l’Apr, de la coalition Benno bokk yakaar, des autres partis politiques et par de simples citoyens. Tous confondus, ils se sont donné rendez-vous au siège de l’institution pour s’inscrire sur les listes électorales et pour l’obtention de la carte biométrique d’identification. Le président de la République Macky Sall, a rappelé le haut conseiller des collectivités territoriales Mamadou Omar Bâ, a souhaité atteindre 4 millions d’inscrits sur les listes électorales. Pour y arriver, a-t-il estimé, il faut que tous les responsables s’y mettent avec foi et beaucoup de détermination. C’est ainsi que pour la journée du lundi 6 février (hier), qui a été retenue pour les inscriptions, a-t-il confié, toutes les dispositions ont été prises à leur niveau. Tous les quartiers, les coins et les recoins ont été ratissés et les populations ont été mobilisées pour se faire inscrire, a-til dit. «Des véhicules ont été mis à leur disposition sans distinctions et sans considérations politiques. Je leur ai offert le petit déjeuner et même si les moyens étaient présents, je leur aurai bien offert le déjeuner». L’essentiel pour lui, a-t-il consi- déré, c’est de faire inscrire le maximum de personnes d’où qu’elles proviennent dans la commune ou le département, a- t-il décidé. «Je ne pouvais pas rester indifférent aux difficultés qu’ont enduré ceux qui sont ve- nus des villages. C’est pourquoi qu’en toute modestie j’ai fait ce geste. Je trouve que les 4 millions d’inscrits escomptés par le président de la République, Macky Sall, c’est peu. Mon am- bition, aujourd’hui, c’est qu’on arrive à faire inscrire plus qu’il ne le souhaite». Pour mettre en œuvre ce souhait, le haut conseiller compte ainsi faire ressortir dans le département de Diourbel un minimum de 800 à 900.000 inscrits». Pour le haut conseiller des collectivités territoriales, il ne devrait pas y avoir de distinctions dans les inscriptions, car, a-t-il soutenu, pour atteindre l’objectif sus visé par le président de la Ré- publique, Macky Sall, et même le dépasser, leur mission en tant que responsables à la base est de faciliter l’inscription de tous les citoyens sans parti pris. Pour ce qui sera de la journée de vendredi prochain, réservée à l’inscription des malades et des vieillards, le haut conseiller Mamadou Omar Bâ dit Mama a pris la ferme résolution de ne ménager aucun effort pour leur assurer le même soutien, confie t-il.

ÉLECTIONS DE REPRÉSENTATIVITÉ DES SYNDICATS D’ENSEIGNANTS – Les enseignants de Bokk gis gis exigent le boycott

Les membres du réseau des enseignants de Bokk gis gis ont fait face à la presse à Kaolack pour demander à leurs collègues de ne pas participer aux élections de représentativité des syndicats d’enseignants prévues au mois d’avril prochain. L’occasion a été aussi saisie par les militants dudit parti de plaider pour la libé- ration de l’Imam Alioune Badara Ndao, emprisonné pour apologie du terrorisme.

IMMIGRATION

 65 pays ont construit un Mur de Séparation avant Donald Trump dont 10 Pays européens depuis 2014 ! Les murs de séparation représentent une solution raisonnable pour assurer la sécurité d’un pays. Une étude deTime Magazine de 2015 a recensé que 65 pays ont érigé des murs. 65 pays, c’est 1/3 du monde, au cas où vous n’auriez pas fait le rapprochement. Il est donc parfaitement hypocrite que les immigrationnistes, soudainement, deviennent hysté- riques contre le mur que Trump entend construire au sud, comme ils l’ont été lorsqu’Israël a construit sa barrière de sé- curité qui a fait diminuer les attentats terroristes de 99%, tout comme ils réclament un mur de séparation pour couper Jérusalem en deux pour donner la moitié aux Palestiniens : tout cela est plus que cohérent dans la cervelle d’un progressiste. LaTurquie a construit un mur pour empêcher les réfugiés syriens d’affluer. L’Espagne à sa frontière sud et la Grèce ont fait pareil.

MARIAGES PRÉCOCES

L’Organisation non gouvernementale (Ong) Save the Children et ses partenaires sont plus que jamais mobilisés pour mettre fin à l’excision et aux mariages précoces au Sénégal. Dans un communiqué, elle note que la pratique de l’excision reste encore élevée dans le pays, même si le vote de la loi l’interdisant date de 1999. Selon elle, la résistance de ces pratiques néfastes, notamment dans les départements de Bignona, Kolda, Tambacounda, Ziguinchor et Kanel, s’explique parles contraintes socioculturelles et le poids de la tradition, d’après une étude menée par le Groupe d’étude de recherche et d’appui au développement (Gerad). Concernant les mariages pré- coces, l’Ong soutient que le Sénégal, malgré ses efforts, fait partie des pays qui ont le taux le plus élevé de mariages d’enfants, avec une fille sur trois qui est mariée avant l’âge de 18 ans.

200 acteurs en faveur des enfants

Près de 200 acteurs de la protection de l’enfance ont pris part à une marche organisée ce lundi 6 février à Fafacourou, un village situé à 45 km de Kolda dans le département de Médina Yoro Foula. C’est une initiative des comités villageois de protection du département appuyés par l’Ong SaveThe Children avec l’appui du consortium Ofad Naforé-Enfance et Paix-Enda jeunesse Action. Elle s’inscrit dans le cadre des activités de la Journée internationale de la «Tolérance Zéro contre les Mgf», journée célébrée hier lundi 6 février. Et le choix de Fafacourou pour abriter cet événement n’est pas fortuit. Il se justifie par le taux de pré- valence élevé des mutilations génitales féminines (Mgf) et des violences basées sur le genre dans ce département de Médina Yoro Foula, selon Hamadou Sicka Baldé, secrétaire exécutif de l’Ong Ofad Naforé.  à l’occasion de cette célébration, les manifestants, munis de pancartes portant des slogans en faveur des enfants, ont marché de la place publique du village de Fafacourou à la mairie où un mémorandum a été remis aux autorités. Dans ce document, les initiateurs de cette manifestation recommandent «une mobilisation de l’ensemble des acteurs administratifs, locaux et communautaires pour l’éradication des mutilations génitales féminines et des violences basées sur le genre dans le département de Médina Yoro Foula».

RIZ

Alioune Sarr, le ministre du commerce, s’est expliqué hier sur les perturbations notées depuis quelques temps sur le riz. «Depuis le début de l’année 2017, on a constaté quelques perturbations. Principalement une insuffisance de l’offre du riz qui est à 70%. Actuellement, l’Inde est en période de récolte». Selon les explications du ministre du Commerce, «l’absence de riz d’origine indienne a fait que les consommateurs se déportaient sur d’autres riz qui ne sont pas homologués, qui sont beaucoup plus chers. Sur le sac parfumé de 50 kilos ou du riz bré- silien, vous avez 500 voire 1000 Cfa sur le sac. Ce riz a toujours coûté ce prix-là», précise Alioune Sarr sur les ondes de Zik Fm. Ainsi, rassure-t-il, «plus de 200.000 tonnes de riz brisé d’origine indienne sont attendues au cours de ce mois sur le marché national. Le prix qui est appliqué demeurera. Il n’y aura pas d’augmentation. C’est toujours le prix homologué, c’est-à-dire 260 Cfa le kilo».

Léthargie

En matière d’anticipation, nos dirigeants gagneraient à revoir leur copie. En effet, le triste constat auquel nous assistons est que nos dirigeants sont loin d’être proactifs ; ils sont plutôt réactifs dans tous les domaines. Ils ne daignent sortir de leur léthargie que quand la situation prend des proportions inquiétantes. Que ce soit dans le domaine de la santé, de l’éducation, de la sécurité, etc. Pourtant, il est communément admis que gouverner c’est prévoir. Mais chez nos dirigeants, il semble que c’est toujours la stratégie du médecin après la mort. Aujourd’hui, avec la panne de la machine de radiothérapie de LeDantec, c’est le branle-le-bas de combat chez les autorités, le chef de l’État en premier. Alors que cette machine était longtemps plongée dans l’agonie et qu’à force de bricolage et de rafistolage, elle a fini par rendre l’âme. Or l’État aurait pu prendre les devants. Pareil dans le domaine de l’Éducation : au lieu d’élaborer des stratégies capables de guérir l’école des nombreux maux dont elle souffre, l’État se contente de solutions ponctuelles pour sauver l’année alors qu’il s’agit de sauver l’école en pleine déliquescence. Quid de la sécurité des populations ? Aujourd’hui on assiste à des opérations de sécurisation qui sont très médiatisées pour calmer l’inquiétude et l’angoisse des populations prises en otage par des malfaiteurs féroces qui ont fini de dicter leur loi. Au lieu de renforcer les effectifs et de doter les forces de sécurité de moyens conséquents, l’État préfère des actions d’éclat. Hélas pour les Sénégalais…

L'exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti socialiste, une question de jours et de formalités, selon les jeunes socialistes

Le Forum des jeunes socialistes semble en être certain: «L’exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti Socialiste n’est qu’une question de jours et de formalité», ont-ils déclaré dans un communiqué . Car, expliquent-ils, «Khalifa Sall est coupable de violation des textes fondamentaux du Parti (Statuts et Règlement intérieur), de non-respect  des décisions souveraines des instances légitimes du PS, (instances de base et de direction), d’actes dissidents et fractionnistes au sein du Parti Socialiste, d’utilisation malhonnête et frauduleuse des ressources de la Ville de Dakar pour déstabiliser et diaboliser  médiatiquement le Secrétaire Général du  Parti Socialiste, d’incitation à la violence, et d’association de malfaiteurs».

Et puisque  l’article 30 du règlement Intérieur du Ps dispose que la décision de suspension ou d’exclusion d’un militant ne peut être prise que par le Bureau Politique sur proposition de la commission compétente du Comité Central, ces jeunes socialistes, ont muri une stratégie pour hâter l’exclusion du maire de Dakar du Ps. Et la première étape de cette stratégie fut un sondage effectué du 1er  Décembre 2016 au 31 Janvier 2017, ayant comme cible les membres du Bureau Politique et du Comité central du Parti socialiste. Et ce sondage a, disent-ils, révélé que «711 sur les 1000 membres du Comité Central et 165 sur les 200 membres du Bureau Politique sont pour l’exclusion de Khalifa SALL et Cie du Parti Socialiste».

Ces jeunes socialistes ne comptent pas s’en arrêter là. Ils ambitionnent même de faire une pétition à partir de mi-février 2017. «Les signataires de cette pétition seront les membres du Comité Central et du Bureau Politique consultés à travers ce sondage et dont l’avis est favorable pour l’exclusion de Khalifa Sall. Les résultats seront publiés officiellement avant d’être déposés sur la table de la Commission compétente du Comité Central qui, à son tour, va automatiquement saisir le Bureau Politique seul habilité à prendre la décision d’exclusion en vertu de l’article 30 du Règlement Intérieur précité», indique le Fjs.

Casamance: Le MFDC se prononce en faveur d'un accord de paix "définitif et inclusif" (Communiqué)

règlement de la crise en Casamance doit passer par “la préparation du processus de négociations avec le gouvernement“, l’unification du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) et la signature d’un “accord de paix définitif et inclusif“, estiment des responsables et combattants du mouvement rebelle.

Dans un communiqué conjoint signé par les combattants du MFDC du camp de Diakaye, les populations de la zone des Palmiers et le Groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC), il est écrit que “le règlement de la crise en Casamance passe d’abord par l’unification des différentes bases du MFDC, la préparation du processus de négociations avec le gouvernement et la signature d’un accord de paix définitif et inclusif“.

Selon ce communiqué, les combattants concernés ont réaffirmé leur volonté de mener “des réflexions sur l’avenir de la Casamance dans une ouverture d’esprit, dans la confiance et dans le respect mutuel pour un règlement définitif du conflit” de près de 40 ans”.

Ils ont fait part de cette position au cours d’une rencontre à Mongone (Bignona), base principale des combattants du MFDC du camp de Diakaye, en présence notamment du responsable du GRPC, Robert Sagna, des imams et de nombreuses populations des villages de la zone des palmiers.

Les combattants du MFDC ont assuré de leurs “intentions constructives et lancé un appel à Robert Sagna, président du GRPC pour une implication plus marquée dans l’accomplissement de ces dynamiques (…)“, peut-on lire dans ce communiqué.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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