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La BCE se montre optimiste sur la reprise

Ce sera en octobre ! Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE), l’a clairement annoncé jeudi 7 septembre : les détails de la stratégie à venir de l’institution seront dévoilés le mois prochain. « A condition qu’aucun risque ne se matérialise d’ici là », a nuancé l’Italien à plusieurs reprises, lors de sa conférence de presse.

Il s’agit d’un rendez-vous majeur, pour les marchés comme pour l’ensemble des acteurs financiers. S’il se confirme, l’institut de Francfort, qui a par ailleurs laissé jeudi son taux directeur inchangé (0 %), révélera en effet lors de sa réunion du 26 octobre comment il compte réduire la voilure de son programme d’assouplissement quantitatif (le quantitative easing en anglais, ou QE), courant 2018. Lancés en mars 2015, ces rachats de dettes publiques et privées, aujourd’hui de 60 milliards d’euros par mois, ont permis de réduire le coût du crédit et les taux souverains, tout en dissipant la menace déflationniste et en soutenant la croissance.

Grâce à cette béquille monétaire, l’économie de la zone euro va mieux. Il est donc temps de tourner la page. Mais si les membres de la BCE ont ouvert une réflexion sur les différents scénarios possibles, le chemin pour y parvenir sera long, tant les vents contraires sont nombreux. Exemple : l’euro, qui évolue aujourd’hui autour de 1,20 dollar. Depuis le mois de janvier, il a grimpé de près de 13 % face au billet vert. La rapidité de cette appréciation a pris de court les économistes. « C’est une source d’incertitude », a confié M. Draghi.

« La hausse de la monnaie unique est de nature déflationniste »Et pour cause : « La hausse de la monnaie unique est de nature déflationniste, puisqu’elle fait mécaniquement baisser les prix des produits importés facturés en dollars », explique Olivier Chelma, chef économiste de l’Association française des entreprises privées (AFEP). Plutôt ennuyeux, car le mandat de la BCE est…

 

Loi de moralisation : le Conseil constitutionnel sauve la réserve ministérielle

Le Conseil constitutionnel rappelle aux parlementaires les principes intangibles de la séparation des pouvoirs. Il a décidé, vendredi 8 septembre, de censurer la suppression de la réserve ministérielle, une des mesures symboliques que les députés avaient introduites en juillet lors du débat sur les deux projets de loi, organique et ordinaire, de « moralisation », rebaptisées lois « pour la confiance dans la vie politique ».

Ce devait être le pendant de la suppression de la réserve parlementaire à laquelle rechignaient les sénateurs et les députés de l’opposition. Promesse électorale d’Emmanuel Macron après le ralliement de François Bayrou à sa candidature en février, la disparition du mécanisme permettant aux parlementaires de distribuer des subventions à des associations et à des communes pour certains investissements, était une mesure phare du projet de loi. Symbole du clientélisme pour les uns, outil indispensable de soutien aux projets dans les territoires pour les autres, la réserve parlementaire a représenté 146 millions d’euros en 2016.

 

En entreprise, le féminisme a encore du boulot

En ouvrant son courrier, ce jour-là, Armance hurle de joie et de soulagement. Elle crie : « J’ai gagné, j’ai gagné ! » Elle lit et relit ces quelques lignes sèches et austères qui viennent consacrer des mois de travail : l’administration abandonne le redressement fiscal.

Armance est fière. Quelques mois plus tôt, la nouvelle d’un redressement avait été accueillie avec résignation par ses collègues. Pour eux, c’était sûr, c’était perdu d’avance. Armance avait voulu tenter le coup. « Tu peux essayer, mais ça va être compliqué », avait mollement encouragé son chef.

Mais maintenant qu’elle a gagné, elle ne sait pas trop quoi faire de cette victoire encombrante. Elle pourrait débarquer triomphante dans le bureau de son chef en criant spontanément « j’ai gagné » comme elle vient de le faire, mais n’aurait-elle pas l’air de pavoiser ? Ne devrait-elle pas plutôt l’annoncer comme ça, l’air de rien ?

 

La Cour constitutionnelle espagnole suspend la loi de référendum catalane

La loi de référendum catalane n’aura été en vigueur que quelques heures. Jeudi 7 septembre, dans la soirée, la Cour constitutionnelle espagnole a suspendu le texte, voté la veille par la majorité indépendantiste du Parlement régional de Catalogne – 72 des 135 députés régionaux. Les douze magistrats qui la composent ont, à l’unanimité, déclaré recevable le recours déposé par Madrid contre cette loi censée encadrer la consultation populaire d’autodétermination unilatérale que la Catalogne a convoquée le 1er octobre.

Cette déclaration de recevabilité par la Cour constitutionnelle implique la suspension immédiate du texte pour un délai de cinq mois prorogeable jusqu’à ce que la Haute Cour prenne une décision définitive. Idem pour le décret de convocation du référendum et la création du conseil électoral, l’organe chargé de veiller au bon déroulement du scrutin. En revanche, la Cour constitutionnelle n’a pas répondu à la demande du gouvernement d’ouvrir une procédure pénale contre la présidente du Parlement régional et les membres de l’exécutif catalan.

 

A Saint-Martin, les habitants traumatisés tentent de fuir avant l’arrivée d’un nouvel ouragan

Ce qui frappe plus en arrivant par avion sur l’île de Saint-Martin, ce ne sont pas tant les maisons dévastées que l’on survole, la plupart sans toit quand les murs ont résisté. Ce n’est pas non plus l’aérogare qui a tenu autant que faire se peut, mais fracassée en de nombreux endroits – les dégâts de la tour de contrôle attestent de la violence des vents atteignant 350 km/h – et qui abrite des dizaines de lits de camps destinés aux militaires qui l’occupent.

Ce ne sont pas les carcasses de petits avions, retournés comme des fétus de paille par l’ouragan Irma, dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 septembre. Ni même les hélicoptères qui déposent leurs fardeaux accrochés sous eux et les centaines de packs d’eau passant de main de militaire en main de pompiers. Il n’y a plus d’eau potable sur l’île.

Non, le plus impressionnant, ce sont les dizaines de femmes avec enfants, de personnes dans des fauteuils, qui se pressent aux portes de ce qui fût l’aérogare, à peine contenues par des militaires.

 

L’ouragan Irma se renforce à l’approche de la Floride, Jose arrive aux Antilles

L’ouragan Irma s’est abattu sur Cuba ce vendredi 8 septembre, après s’être renforcé, repassant en tempête de catégorie 5. Il se dirige désormais vers la Floride, aux Etats-Unis. En parallèle, un autre ouragan, Jose, se rapproche des Antilles, tandis qu’un troisième cyclone, Katia, arrive au Mexique, déjà meurtri par un violent séisme vendredi 8 septembre.

Pod et Marichou – Saison 2 – Bande Annonce – Episode 37

Afrique du Sud – Le guérisseur donne de la chair humaine à…

Afrique du Sud: procès pour cannibalisme

Lorsque Nino Mbatha, 32 ans, s’est présenté le 19 août au poste de police d’Estcourt, dans l’est de l’Afrique du Sud, les agents ont d’abord été interloqués par la puanteur qui l’accompagnait. « J’en ai assez de manger de la chair humaine », a-t-il déclaré aux policiers incrédules. En guise de preuves, il a exhumé d’un sac la main et la jambe mutilées d’une femme.

L’Afrique du Sud a, depuis, découvert avec effroi des pratiques macabres venues du cœur du KwaZulu-Natal, le fief du controversé président Jacob Zuma. A la suite de ses sordides aveux, l’inyanga – sorcier en zoulou – a conduit les policiers chez lui, où d’autres restes de corps humains ont été saisis.

« Plusieurs habitants ont affirmé que les suspects leur avaient dit de manger du corps humain pouracquérir force et courage. » Jabu Mbhele, maire d’Estcourt

Il y aurait plus d’une victime : huit oreilles découpées ont été découvertes dans un pot. Soupçonnés de meurtres et de profanation de tombes, quatre autres hommes du quartier ont été arrêtés dans la foulée. La police suspecte désormais l’existence d’un réseau organisé opérant dans toute la province. De nouvelles arrestations pourraient survenir, donnant à ce scandale de cannibalisme une ampleur inédite. Depuis que les médias locaux ont pris d’assaut Estcourt, une bourgade sans charme située entre Durban et Johannesburg, les langues se délient.

A en croire la police, la consommation de chair humaine par les habitants n’est pas chose rare. « Lors d’une récente réunion publique, on nous a rapporté l’existence de pratiques horribles et dégoûtantes, a confié Jabu Mbhele, la maire d’Estcourt, au Sunday Times. Plusieurs habitants ont affirmé que les suspects leur avaient dit de manger du corps humain pour acquérir force et courage. » Ils seraient des centaines à avoir consulté le guérisseur et à avoir ingéré des membres ou des organes humains en connaissance de cause.

Ces dernières années, les habitants vivent dans une peur constante à la suite de plusieurs disparations inexpliquées qui prennent aujourd’hui un sens nouveau. La famille de Zanele Hlatshwayo, une jeune mère de 25 ans, en a fait l’expérience. Au poste de police, ses proches ont reconnu avec horreur ses habits tachés de sang, retrouvés chez Nino Mbatha.

« Nous ne sommes pas du KFC ! »

Parallèlement, un corps sans bras ni tête et sévèrement mutilé a été découvert dans un champ. Ils attendent depuis dans l’angoisse, comme d’autres familles, les résultats de tests ADN, pour confirmer le destin tragique de leur parente.

Le 28 août, les cinq suspects, qui ont tous la trentaine, ont comparu pour la deuxième fois devant le tribunal d’Estcourt, bondé comme jamais. La tête engoncée dans leur capuche, ils ont renoncé à demander une mise en liberté sous caution. Dehors, une foule de manifestants les attendaient, prêts à faire justice eux-mêmes. « Nous ne sommes pas du KFC ! », du nom de la célèbre chaîne de fast-food au poulet, pouvait-on lire sur les pancartes.

« S’il y a vraiment un guérisseur traditionnel parmi les cinq accusés, nous lui souhaitons la prison à vie. Nous sommes contre les guérisseurs bidons qui utilisent des membres humains pour leurs remèdes maléfiques », a déclaré Siphiwe Manana, de l’Organisation des guérisseurs traditionnels, qui s’inquiète des répercussions de ce procès.

Car plus largement, en Afrique australe, le trafic d’êtres humains et d’organes est un véritable fléau. Au Malawi, les personnes atteintes d’albinisme sont souvent enlevées, mutilées et tuées à des fins de trafics. D’après certaines croyances, l’utilisation de leurs organes en sorcellerie est censée apporter richesse et prospérité.

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