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La Sénélec veut griller les…

La Sénélec attire l’attention sur les voles qu’opèrent certaines personnes sur leur ligne électrique. Le directeur général de la société d’électricité, Mouhamadou Makhtar Cissé, au cours d’une visite d’installation a fait savoir que c’est une opération de sensibilisation à l’endroit des autorités publiques qui sont impliquées.

A l’en croire, beaucoup de personnes vivent sous les fils à haute tension. Un problème, aux yeux du directeur de la Sénélec difficile à solutionner et qui devient un défi de sécurité nationale.

C’est dans cette optique que Mouhamadou Makhtar Cissé a soutenu que des «mesures radicales» seront prises pour faire face à ce qu’il qualifie «d’occupation anarchique» des espaces sous haute tension électrique.

«Ce fléau expose tout le pays. Un incident au Sénégal peut impacter le Mali, La Mauritanie. Il est temps que cela cesse. Il y a eu des déguerpissements dans les autres zones du pays et cela se fera aussi à Dakar», a précisé Mouhamadou Makhtar Cissé dans les colonnes du journal «En Quête», lu par Actunet.net.

Ce dernier se dit déterminé à sanctionner  allant dans le sens de priver d’électricité à ceux qui ne respectent pas les servitudes de la société.

En effet, les lignes de hautes tensions sont établies selon le secrétaire général de la Sénélec suivant des normes réglementaires, avec des décrets signés par le pouvoir public.

“Le départ de Daouda Diallo c’est du bluff”, selon Héléne Tine

Hélène Tine, de la Coalition Manoo Taxawu Senegaal, s’est prononcée sur la composition du nouveau gouvernement. Elle pense qu’il s’agit d’un gouvernement politique dont le souci majeur risque d’être orienté vers la prochaine échéance électorale.

Pour ce qui est du départ d’Abdoulaye Diallo au poste de ministre de l’Intérieur, elle considère que c’est tout simplement comme un coup de Bluff. Député de la douzième législature, Mme Tine estime, à travers les colonnes du journal l’As, lu par Actunet.net, que c’est un responsable du parti au pouvoir qui a été enlevé, pour être remplacé par un autre responsable de même dimension.

A l’en croire, cette démarche ne change en rien la revendication de la société civile et de l’opposition, liée à la désignation d’une personnalité neutre pour conduire le processus électoral.

Toronto, Montréal et Vancouver veulent abriter le nouveau siège d’Amazon

Les maires de Toronto, Montréal et Vancouver ont déclenché jeudi l’offensive pour tenter d’amener Amazon à implanter son deuxième siège social dans leur ville, où de nombreuses entreprises de haute technologie sont déjà installées.

Un peu plus tôt jeudi, le PDG d’Amazon Jeff Bezos a annoncé un appel d’offres pour bâtir un siège social avec 50.000 emplois à la clé. Ce sera “l’homologue de notre siège de Seattle”, dans l?État de Washington, le nord-ouest des États-Unis, d’où est originaire le groupe, a-t-il annoncé.

Par tweets interposés, les maires des trois plus grandes villes canadiennes ont fait acte de candidature.

“Je crois réellement que Toronto est un candidat de premier plan pour accueillir le deuxième siège social d’Amazon en Amérique du Nord”, a indiqué son maire John Tory.

L’édile de la cinquième ville nord-américaine a assuré qu’il allait prendre lui-même ce dossier en charge pour qu’Amazon se sente “comme à la maison à Toronto (…), une ville audacieuse et innovante qui a plein de talents en technologie”.

Son homologue montréalais Denis Coderre lui a rapidement emboîté le pas sur Twitter: “Bien l’intention de convaincre Amazon que Montréal est la métropole rêvée pour leur deuxième siège social en Amérique du Nord”, a-t-il écrit.

“Montréal va sûrement répondre à l’appel d’offres pour HQ2”, nom donné par Amazon à son futur site, a-t-il ajouté.

“Excellente nouvelle! Amazon serait un ajout fantastique à l’écosystème d’innovation de dimension mondiale” de Vancouver, a pour sa part renchéri son maire Gregor Robertson, même si sa ville souffre d’être à seulement 220 km au nord du siège historique de Seattle.

“Amazon HQ2 va apporter des milliards de dollars d’investissements en amont et après (sa construction) créer des milliers d’emplois bien rémunérés”, a indiqué le fondateur Jeff Bezos.

Amazon veut installer son siège dans une zone urbaine habitée par plus d’un million de personnes. Il y en a environ 50 de ce type aux États-Unis, et les trois villes canadiennes ouvertement candidates remplissent ce critère.

Aly Ngouille Ndiaye promet de “dialoguer” avec l’opposition

L’ancien ministre de l’Intérieur Abdoulaye Daouda Diallo avait été sévèrement critiqué par l’opposition. Son successeur, Aly Ngouille Ndiaye, envisage d’instaurer un dialogue avec les organisations politiques. Déclaration faite sur les ondes de la Radio Sénégal International (RSI), quelques temps après la publication de la liste des membres du nouveau gouvernement de Dionne.
« (…) Je pense que nous mettrons en place avec tous les hommes politiques un système qui nous permet de dialoguer, de discuter de tous les points qui sont essentiels pour notre démocratie. Parce qu’une démocratie va forcément avec le dialogue. Donc nous dialoguerons avec tous les acteurs politiques », assure Ndiaye.
« (…) On ne peut pas travailler sans dialoguer avec ces différents partis », a-t-il soutenu.

La Cojer de Rufisque menace de geler ses activités

Une partie de la Cojer du département de Rufisque est en colère contre le président Macky Sall. Il l’accuse de manquer  de considération vis-à-vis d’eux et de leur localité. Lors d’un point de presse, explique le journal Zoom Infos, lu par actunet.net, les jeunes « Apéristes » ont exigé de leur chef de parti, en plus d’une audience, des postes de responsabilité. A défaut de quoi, le mot d’ordre sera le gel de toutes leurs activités.

Déthié fall : “Macky a rompu le dialogue avec l’opposition”

Si le chef de l’Etat pensait pouvoir satisfaire l’opposition en démettant Abdoulaye Daouda Diallo du ministère de l’Intérieur et en l’y remplaçant par Aly Ngouille Ndiaye, il peut déchanter. En effet, les membres de l’opposition, qui réclamaient le départ d’Abdoulaye Daouda Diallo, ne sont pas pour autant satisfaits de l’arrivée d’Aly Ngouille Ndiaye à la tête du ministère de l’Intérieur. Pour Déthié Fall, vice-président de Rewmi, le tout nouveau Ministre n’est ni neutre, ni consensuel.

Macky a rompu le dialogue avec l’opposition

«L’opposition avait formulé une demande: le départ d’Abdoulaye Daouda Diallo et également son remplacement par une personnalité neutre et consensuelle. Mais le Ministre Aly Ngouille Ndiaye n’est ni neutre, il est Maire d’une Commune gagnée par l’Apr, membre de l’Apr, membre du directoire de l’Apr et il n’est ni consensuel», a déclaré le collaborateur d’Idrissa Seck du parti Rewmi.

M. Fall déclare que le chef de l’Etat Macky Sall  a rompu le dialogue avec l’opposition et a rompu le consensus qui a toujours prévalu depuis 1992 en matière d’élections libres et transparentes. «Donc, ce qu’il vient de faire ne constitue en rien une réponse positive à la demande formulée par l’opposition », a-t-il ajouté.

Au Togo, nouvelle journée de mobilisation à l’appel de l’opposition

Au Togo, l’Internet mobile est toujours coupé, ce jeudi 7 septembre 2017, alors que de nouveaux rassemblements de l’opposition ont lieu. Une nouvelle journée de mobilisation massive contre le pouvoir, notamment dans les rues de Lomé. L’opposition ne lâche rien.

L’opposition ne lâche rien et compte capitaliser sur cette sortie massive de la population dans les rues mercredi. Et c’est d’ailleurs pour cela qu’au grand meeting qui clôturait la marche de cette première journée, Jean-Pierre Fabre a renouvelé l’appel au rassemblement pour ce jeudi.

En début d’après-midi, malgré la fine pluie qui a arrosé Lomé ce jeudi matin, les manifestants ont afflué. Drapeaux à la main, sifflet à la bouche, le rassemblement a presque pris des allures de carnaval. Certains manifestants abordaient même des t-shirts sur lesquels il était écrit : « Les enfants du Togo se sont réveillés ».

Castrophe # Dior Dieye descend Macky et Youssou Ndour

https://www.youtube.com/watch?v=gLQKcBq3Jqk

Dionne 2 – Macky mise sur les politiques purs et durs

Le chef de l’Etat a fait son choix. A moins de deux ans de l’élection présidentielle, il a choisi de travailler avec un Gouvernement composé d’hommes politiques purs et durs, c’est-à-dire qui ne sont pas seulement cloîtrés dans les activités de leurs Ministères. Macky Sall a besoin d’hommes capables de descendre sur le terrain et de convaincre les électeurs.

Huit Ministres ont sauté. Leur point commun : ils n’ont pas de base politique. Peut-être qu’ils ont fait du bon travail, mais ils ne pèsent pas sur la balance électorale. C’est cela leur tort. Le chef de l’Etat a misé sur des personnes qui mouillent le maillot.

Même ceux qui peinent à faire de bons résultats, mais qui s’y essaient quand même, sont soit maintenus, soit renforcés de pouvoir. Une manière de leur mettre la pression, mais aussi de les laisser terminer le travail entamé à la base. Quant à ceux qui font de bons résultats, ils sont pour la plus part mutés vers des Ministères à gros budget, s’ils n’en n’occupent pas déjà un.

Le nouveau Gouvernement a également vu l’entrée de nouvelles têtes. Pas trop connus du des sénégalais, pour la plus part, ces derniers devront se donner les moyens de faire rempiler le chef de l’Etat à la prochaine présidentielle. Ils sont mis à l’épreuve, avec l’opportunité de s’imposer sur le terrain, de se construire une personnalité, tout en évitant l’erreur de leurs prédécesseurs.

Ceux qui voudraient que le Sénégal sorte de sa permanente campagne électorale resteront sur leur faim. Macky Sall n’est pas d’avis que le travail seul peut lui donner un second mandat. Pour la campagne présidentielle de 2019, déjà entamé par Macky, les coups (bas ?) voleront de partout.

L’appel au dialogue lancé par Macky Sall à l’opposition n’était qu’un os à ronger pour ces derniers. Il vient de fouler au pied l’une des exigences phares de l’opposition : la nomination d’un ministre l’Intérieur neutre et consensuel. A la place, il a amené Aly Ngouille Ndiaye, un homme chevronné et déterminé à accomplir les tâches du bon militant.

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