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Dionne rempile aujourd’hui, Niasse lundi

Mohammad Boun Abdallah Dionne sera bel et bien reconduit aujourd’hui au poste de Premier ministre du Sénégal. Cette information que nous avons livré hier est confirmée par le journal Sud Quotidien, lu par Actunet.net, qui a recueilli les propos d’une source.

En effet, dès confirmation de son poste de chef du Gouvernement, Dionne procédera automatiquement à la constitution de sa nouvelle équipe. Il n’y aura pas de changement quant à la taille du nouveau Gouvernement, comme l’avancent certains. “il n’y aura pas plus de Ministre, ce ne sont que des des supputations”, indique une source. “De nouvelles têtes vont cependant faire leur entrée, tandis que d’autres vont sortir.

La composition du nouveau Gouvernement sera connu durant les heures qui suivent, sinon demain jeudi 7 septembre.

Quant à la non installation de l’Assemblée nationale élu en fin juillet 2017, des sources du journal l’As, lu par Actunet.net, indique que Moustapha Niasse sera reconduit à la tête de l’hémicycle dès ce lundi 11 septembre. Ou au plus tard le 17 septembre, date à laquelle le chef de l’Etat devrait se rendre à New York, à l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unis (Onu).

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Sénégal : plus de 425 milliards de transferts d’argent effectués par les établissements de crédit

Le cumul des transferts nets d’argent effectués par les établissements de crédit du Sénégal s’est établi à 1425,2 milliards FCFA (environ 680,320 millions de dollars) au premier semestre 2017, a appris mardi APA auprès de la Direction de la monnaie et du crédit (DMC) du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.

 

Ces transferts nets d’argent résultent de la différence entre les transferts reçus qui se chiffrent à 521,7 milliards FCFA et ceux émis d’un montant de 96,5 milliards FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0016 dollar).

 

Comparé au premier semestre 2016 où il s’établissait à 385,2 milliards FCFA, le montant des transferts nets connait une progression de 10,4%. Toutefois, en variation trimestrielle, ces transferts connaissent une forte hausse de 23,3% à 234,8 milliards au deuxième trimestre 2017 contre 190,4 milliards FCFA au premier trimestre 2017.

 

Selon les données de la DMC, plus de la majorité des transferts reçus (62,1%) provient d’Europe, 15,6% des autres pays, 9,4% des USA, 6,7% des pays de l’UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine) et 5,4% de la zone CEMAC (Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale).

 

 

Le kankourang de retour à Mbour du 10 septembre au 8 octobre

La collectivité mandingue de Mbour (ouest) a annoncé avoir décidé d’organiser ses activités culturelles du 10 septembre au 8 octobre, période également retenue pour la sortie du ’’kankourang’’, un personnage mythique de la culture mandingue censé protéger les nouveaux circoncis.
Pour cette année, six cellules vont abriter les “leuls” (case des hommes), dont cinq dans la commune de Mbour et une à Mboulème, un village de la commune de Malicounda, a précisé mardi le secrétaire exécutif adjoint de la collectivité mandingue de Mbour, en charge de la sauvegarde de ce patrimoine culturel.
“L’édition 2016 a été vécue avec beaucoup d’émotion, de stress, de frustrations, de remise en cause, d’actions préventives” contre les violences notamment, a-t-il souligné au cours d’une réunion du conseil départemental de développement (CDD) consacrée à ce sujet.
Le préfet de Mbour Saër Ndao, présidant cette rencontre, a assuré que toutes les dispositions avaient été prises pour “un bon déroulement” des activités retenues.
“Soyez rassurés, monsieur le préfet, que la violence, d’où qu’elle vienne, sera bannie et dénoncée”, a lancé le secrétaire exécutif adjoint de la collectivité mandingue de Mbour, en réponse aux assurances de l’autorité administrative.
Des échauffourées impliquant des membres de la collectivité mandingue avaient marqué l’implantation, l’année dernière, d’une cellule de la collectivité mandingue, en l’occurrence celle de Dioudiou Cissé Counda.
Les choses étaient rentrées finalement dans l’ordre grâce à l’intervention des autorités administratives dont le préfet et le commissaire de Mbour, Mandjibou Lèye, qui, après plusieurs séances de négociation, étaient parvenus à arrondir les angles entre les différentes parties.
Les responsables de collectivité mandingue font valoir qu’il n’y a “pas de dissension” au sein de leur structure, concédant juste “un problème de délocalisation des cellules voulue par certains membres’’ dont le voeu était de voir les sites regroupés “en un seul lieu”. Finalement, seule la cellule de Woyinka Counda va être délocalisée dans un nouveau site

Plus de 300 kg d’aliments impropres à la consommation saisis à Kaffrine

La brigade départementale d’hygiène de Kaffrine (centre) a récemment saisi “plus de 300 kilos” de produits alimentaires périmés d’une valeur de 700.000 francs CFA, a annoncé mardi à l’APS son chef, le lieutenant Meï Fall.
Il a précisé que les produits avaient été saisis sur les marchés du territoire départemental, “avant, pendant et après la Tabaski”, la fête musulmane de l’Aïd-el-Kébir célébrée vendredi et samedi.
De la moutarde, des bouillons, de la boisson, du lait et du vinaigre périmés et impropres à la consommation ont été saisis par la brigade départementale d’hygiène, selon Meï Fall.
“Ces produits qui inondent les marchés hebdomadaires du département de Kaffrine viennent souvent des pays voisins. Le commerce de ces produits impropres à la consommation commence à prendre de l’ampleur à Kaffrine”, a-t-il souligné.
Le chef de la brigade départementale d’hygiène promet de renforcer les contrôles surtout “avant, pendant et après” les fêtes et grands évènements pour mettre fin au commerce de ces produits.
Il appelle aussi les populations à faire preuve de vigilance sur la qualité des produits qu’elles consomment.
Les acteurs du commerce des produits périmés et impropres à la consommation seront sanctionnés sur la base des “dispositions légales” prévues, a averti le lieutenant Meï Fall.

Oumar Sow du Renades : La problématique de l’élevage ne se limite pas à la Tabaski

Président du Réseau national des éleveurs du Sénégal (Rebnades), Oumar Sow estime qu’au delà de la filière ovine qui est sous le feu des projecteurs en période de Tabaski, le secteur de l’élevage doit être développé de manière intégrée. Assurant que l’autosuffisance en moutons est possible dans trois ans, il se réjouit des mesures prises par l’Etat afin de réduire le gap, mais préconise d’autres mesures pour booster l’élevage. “Il faut donner des orientations précises et claires en termes d’encadrement technique et financier, et d’espaces où on va développer tout ce qui est élevage. Nous avons demandé de nous asseoir avec l’Etat pour faire des propositions allant dans le sens de renforcer les infrastructures au niveau de l’Elevage. L’Etat est en train d’achever le projet du ranch de Doli mais ça ne suffit pas.  Nous voulons aussi qu’on aménage un  ranch au Saloum et un autre ranch à Tambacounda. Dans le moyen et long terme cela va nous permettre  non seulement d’atteindre l’autosuffisance et de nous tourner vers l’exportation. Le Réseau national des éleveurs du Sénégal travaille avec toutes les filières. On a besoin aussi de développer les autres sous-secteurs de l’élevage mais il faut les développer à travers une approche intégrée”mu assure le président du Renades.

 

Donald Trump met fin au programme d’Obama protégeant 800 000 jeunes sans-papiers

Diego Rios, 23, of Rockville, Md., rallies in support of the Deferred Action for Childhood Arrivals program, known as DACA, outside of the White House, in Washington, Tuesday, Sept. 5, 2017. President Donald Trump will end a program that has protected hundreds of thousands of young immigrants brought into the country illegally as children and call for Congress to find a legislative solution. Attorney General Jeff Sessions announced the changes Tuesday. (AP Photo/Jacquelyn Martin)

Le président américain a mis fin mardi au programme mis en place par son prédécesseur permettant à près de 800.000 jeunes sans-papiers d’étudier et de travailler aux États-Unis. Une décision vivement critiquée par Barack Obama, la Silicon Valley, et qui divise le camp des républicains.

Donald Trump met fin aux rêves des «Dreamers». Le président américain a décidé ce mardi de ne pas poursuivre le programme mis en place par Barack Obama, mettant des centaines de milliers de jeunes sans-papiers à l’abri d’une expulsion et leur permettant d’étudier et de travailler aux États-Unis. Le chef de l’État, qui s’était engagé à aborder ce dossier sensible «avec cœur», ne s’est pas personnellement exprimé sur cette décision qui devrait provoquer une tempête politique à Washington, laissant son ministre de la Justice, Jeff Sessions, monter en première ligne.

À compter de ce jour, aucune nouvelle demande ne sera examinée. Le sort de quelque 800.000 personnes qui bénéficient déjà de ce statut, connues sous le nom de «Dreamers», ne sera pas affecté jusqu’au 5 mars 2018, délai de six mois accordé par l’administration pour que le Congrès légifère sur ce thème. Un compromis sur un sujet qui divise Washington depuis des années apparaît cependant loin d’être acquis. Et de nombreuses questions restent sans réponse pour ces milliers de jeunes le plus souvent complètement intégrés à la société américaine: que se passera-t-il si aucune solution n’est trouvée à l’issue du délai fixé par la présidence?

Les premières sélections du Goncourt et du Renaudot manquent d’audace

eu de premiers romans voire aucun, des auteurs confirmés plutôt que débutants: les premières sélections de l’académie Goncourt et du Renaudot en vue de l’attribution des grands prix littéraires d’automne font la part belle aux valeurs sûres au détriment des découvertes.

Et encore, ces deux titres, “Innocence” (Grasset) d’Eva Ionesco et “Fief” (Seuil) de David Lopez, ne figurent que dans la sélection du Renaudot. Le Goncourt n’a retenu cette année aucun premier roman.

Parmi les 390 livres d’auteurs francophones de la rentrée littéraire, on compte cette année 81 premiers romans.

Peu de premiers romans voire aucun, des auteurs confirmés plutôt que débutants: les premières sélections de l’académie Goncourt et du Renaudot en vue de l’attribution des grands prix littéraires d’automne font la part belle aux valeurs sûres au détriment des découvertes.

Parmi la trentaine de romans sélectionnés lundi et mardi par les jurys du Renaudot et du Goncourt ne figurent que deux premiers romans.

Et encore, ces deux titres, “Innocence” (Grasset) d’Eva Ionesco et “Fief” (Seuil) de David Lopez, ne figurent que dans la sélection du Renaudot. Le Goncourt n’a retenu cette année aucun premier roman.

Parmi les 390 livres d’auteurs francophones de la rentrée littéraire, on compte cette année 81 premiers romans.

Les titres retenus dans la première sélection du Goncourt sont en lice automatiquement pour le convoité Goncourt des lycéens. L’an dernier c’est l’auteur d’un premier roman, Gaël Faye, qui avait remporté ce prix grâce à sa sélection lors du premier choix de l’académie Goncourt.

Alors que la diversité de l’offre est immense, les jurys du Goncourt et du Renaudot ont retenu cinq mêmes auteurs dans leur sélection. Il s’agit d’auteurs confirmés, unanimement et justement salués par la critique: Kaouther Adimi pour “Nos richesses” (Seuil), François-Henri Désérable pour “Un certain M. Piekielny” (Gallimard), Olivier Guez pour “La disparition de Josef Mengele” (Grasset), son deuxième roman, Philippe Jaenada pour “La serpe” (Julliard) et Alice Zeniter pour “L’art de perdre” (Flammarion).

La romancière Alice Zeniter doit recevoir vendredi le convoité prix des libraires de Nancy et est en lice pour le prix littéraire du journal Le Monde qui sera décerné mercredi. Trois autres auteurs sélectionnés par le Goncourt (François-Henri Désérable, “Un certain M. Piekielny”, Gallimard; Patrick Deville, “Taba-Taba”, Seuil et Monica Sabolo, “Summer”, JC Lattès) sont également en lice pour le prix du Monde.

La romancière Véronique Olmi, sélectionnée par le Goncourt pour “Bakhita” (Albin Michel) compte parmi les cinq finalistes du prix Fnac qui sera décerné le 13 septembre.

– Absents de marque –

Cela ne veut pas dire que les jurys des grands prix littéraires ne jurent que par les “valeurs sûres” de la littérature. Ils ont choisi d’ignorer dans leur sélection plusieurs titres plébiscités par le public.

C’est ainsi qu’on ne trouve pas Amélie Nothomb dont le 25e roman, “Frappe-toi le coeur” (Albin Michel) est en tête des meilleures ventes en catégorie romans, ni le populaire Sorj Chalandon (“Le jour d’après”, Grasset).

Parmi les autres oubliés de marque, on remarque notamment l’absence de Chantal Thomas (“Souvenirs de la marée basse”, Seuil) ou d’Eric Reinhardt (“La chambre des époux”, Gallimard).

Il faut également souligner que certains des auteurs sélectionnés, même si ce ne sont pas des primo-romanciers, manquent encore de notoriété. C’est le cas d’Yves Bichet, pourtant finaliste du Femina en 2014, qui a été sélectionné par le Renaudot pour “Indocile” (Mercure de France) ou d’Alexis Ragougneau, retenu par l’académie Goncourt pour “Niels” (Viviane Hamy).

La plus grande surprise est la sélection dans la liste du Goncourt du roman d’Eric Vuillard, “L’ordre du jour” (Actes Sud), un fantastique récit sur la prise du pouvoir des nazis en Allemagne. Le roman est sorti en mai bien avant la rentrée d’automne.

Le jury du Renaudot affinera sa sélection à deux autres reprises les 3 et 31 octobre. L’académie Goncourt fera connaître sa deuxième sélection le 11 octobre à l’occasion de la Foire du livre de Francfort dont la France est le pays invité d’honneur, puis désignera ses finalistes le 30 octobre.

Le Goncourt et le Renaudot seront décernés le 6 novembre.

La semaine prochaine ce sera au tour des jurys du prix Médicis (le 13 septembre) puis du prix Femina (le 14 septembre) de dévoiler leur première sélection.

Macron définit une ligne ferme pour la future loi sur l’immigration

“Nous reconduisons beaucoup trop peu”: en matière d’immigration, Emmanuel Macron a fixé mardi un cap de fermeté pour la loi qu’il veut voir bouclée début 2018, dans le cadre d’une “refondation complète” prenant l’Allemagne pour modèle.

“Je veux que l’on engage la refondation complète de notre politique d’asile et d’immigration”, a déclaré le président de la République dans un discours aux préfets, “comme l’avait engagé le général de Gaulle avec l’ordonnance du 2 novembre 1945”.

La référence est ambitieuse, puisque cette ordonnance fixe encore aujourd’hui le cadre général de la politique en matière d’entrée et de droit au séjour des étrangers.

Pour cela une loi, dont la première mouture est attendue à l’automne, devra être adoptée “au premier semestre 2018”, a-t-il ajouté. Les enjeux sont élevés: “si nous n’agissons pas pour refonder” cette politique, “c’est le consensus républicain autour de notre tradition d’accueil et d’asile qui est remis en cause” et “les seuls gagnants sont les extrêmes”, a averti M. Macron.

Du côté de l’asile, il a répété sa volonté de réduire à six mois le délai d’instruction des demandes. Optimisation des moyens, rapidité des procédures… Sur ce “droit imprescriptible”, une communication en Conseil des ministres avait fixé des objectifs ambitieux à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et son instance d’appel début juillet.

Fidèle à sa dichotomie réfugiés/migrants économiques, M. Macron a répété la nécessité de favoriser l’intégration, chargeant le député REM du Val d’Oise Aurélien Taché d’une mission sur la “refonte” de la politique avec un accent “sur l’apprentissage du français”.

Mais l’heure est aussi à la fermeté. “Nous reconduisons beaucoup trop peu”, a-t-il martelé, et nous “laissons s’installer des centaines de milliers” de personnes dans un “no man’s land administratif”.

– “Modèle allemand” –

Le projet de loi piloté par l’Intérieur comportera “plusieurs dispositions pour permettre d’améliorer les retours vers les pays d’origine”, comme le font “nos voisins, en particulier l’Allemagne”.

Car il faut désormais “que le modèle français se rapproche du modèle allemand. Nous avons des défis communs. Rapprochons nos droits, soyons plus efficaces”, a-t-il affirmé.

Avec cette référence, Emmanuel Macron inscrit habilement son action dans le sillage de la politique généreuse d’Angela Merkel, qui avait ouvert la porte à un million de réfugiés en 2015. Mais l’Allemagne a aussi pris des mesures beaucoup plus fermes depuis — soutien au très décrié accord UE/Ankara de 2016 permettant le retour de réfugiés en Turquie, renvoi en Grèce de migrants déjà enregistrés dans ce pays, asile plus strict qu’en France pour les Afghans et les Albanais notamment…

Au 1er semestre, l’Allemagne a expulsé 12.545 personnes. C’est autant que la France sur tout 2016, alors que 91.000 personnes en situation irrégulière avaient été interpellées.

“Nous sommes inefficaces dans la reconduite”, a affirmé M. Macron devant les préfets qui s’apprêtaient à recevoir dans l’après-midi leur feuille de route du ministre de l’Intérieur.

Quelles seront les consignes? Les pistes sont connues depuis le Conseil des ministres de juillet: “assouplir les contraintes liées à la durée de la rétention” (en clair, allonger les 45 jours autorisés), “révision” du cadre de la retenue (possible pendant 16 heures)…

Il s’agit aussi de convaincre les pays d’origine de reprendre leurs ressortissants déboutés: “un ambassadeur sera nommé dès demain (mercredi) en Conseil des ministres” pour “accélérer la délivrance” des documents nécessaires par les pays “récalcitrants”, a annoncé M. Macron.

Mais pour la France, la priorité est aussi d’accélérer le transfert des “dublinés” vers le pays européen où ils sont déjà enregistrés, comme le prévoient les accords de Dublin. Ils ont pu représenter les deux tiers des migrants à Paris en début d’année, venus d’Allemagne notamment. Or la procédure fonctionne mal (10% de transferts l’an dernier).

Les pouvoirs publics devraient aussi continuer à mettre l’accent sur les retours volontaires, moins coûteux que les reconduites, mais décriés par les ONG. Depuis le début de l’année 4.500 personnes en ont bénéficié (+40% sur un an), et le pécule a été porté à 1.850 euros.

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