jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 4925

Nébuleuse de 30 milliards autour du titre chevance Bertin

Une information judiciaire contre le directeur des domaines réclamée

Déplorant le fait que le Sénégal ait perdu, selon le rapport 2013 de l’Inspection générale d’État, pas moins de 30 milliards de francs dans les transactions financières faites avec les terres du Général Chevance Bertin sises à Bambilor, le coordonnateur de la coalition Jubanti Senegal, Mamadou Mouth Bane a saisi la présidente de l’Ofnac pour qu’une information judiciaire soit ouverte contre l’actuel directeur national des Domaines Mamour Diallo qui occupait, au moment des faits, les fonctions de Directeur des Domaines du dé- partement de Rufisque.

Le Mofes alerte Macky

Le Mouvement fédérateur pour l’émergence du Saloum (Mofes) fustige la démarche de certains maires du département de Kaolack qui ré- clament l’investiture aux élections législatives. Pour Bamba Mbodj et ses camarades, ceuxci sont «caractérisés par une boulimie insatiable et une gourmandise indescriptible». «Ces maires impopulaires et incompétents dans la prise en charge des questions économiques et sociales des populations du dé- partement de Kaolack sont disqualifiés pour de telles investitures», explique un communiqué qui nous est parvenu. «La non transparence, la gabegie et le népotisme qui accompagnent leur gestion, sont décriés par les populations du Saloum. Ils se sont coupés de la base réelle et des militants préférant s’enfermer dans un luxe et une bourgeoisie dont seuls les opportunistes sont capables dès leur élection», poursuit le document. «Leur activisme récent, suite à leur longue hibernation, ne se justifie que par leur volonté de leurrer et tromper l’Alliance pour la République (Apr)», dé- nonce le Mofles. «Ce regroupement de maires du département de Kaolack apparaît comme un groupe de lobbyistes et de maî- tres chanteurs indignes de la confiance des populations du Saloum dont les souffrances, la précarité, le chômage doivent être pris en charge par un leadership nouveau, jeune, dynamique et fédérateur», renchérit le communiqué. «C’est dans ce sens que nous avons décidé d’alerter et de mettre en garde la direction du parti», poursuit la source. «L’investiture de ces mairesimpopulaires décriés et discrédités serait lourde de conséquences négatives allant du vote sanction à l’abstention, car le département dispose d’un potentiel de res- sources humaines, de cadres et de personnel politique crédible pour porter les couleurs de la grande coalition de son excellence le Président Macky Sall», croientsavoir Bamba Mbodji et ses partisans. «L’Apr et la coalition Bby disposent de dignes fils du Saloum sans lesquels, toute chance de victoire aux lé- gislatives serait compromise», conclut le communiqué.

L’écurie Walo en ascension

L’on a constaté que ces derniers temps, l’écurie Walo qui regorge de talents hors pairs connaît actuellement une ascension. Au-delà d’Alioune Sèye Jr qui a raté son dernier combat, Alioune Sèye 2 et Cheikh Bou Walo ont gagné leur dernier combat. Il leur en reste d’autres, mais le plus attendu de tous c’est le combat de leur mentor, Lac 2, qui doit faire face à Modou Lô en fin de saison.

Marche des hommes de Medias «La presse est en danger, le gouvernement doit prendre ses responsabilités»

La presse sénégalaise a célébré la journée mondiale de la presse et a profité de l’occasion pour exposer une kyrielle de doléances dont la plus pressante a été le règlement de la précarité vécue par les reporters.

C’est comme un seul homme, avec le soutien des acteurs politiques de tous bords, du pouvoir comme de l’opposition, et la société civile, que la presse sénégalaise a célébration la journée mondiale de liberté de la presse. Occasion choisie pour initier une marche au cours de laquelle elle a pu dénoncer les manquements et autres maux qui la gangrènent. Parmi ces maux, la précarité a été la chose la mieux partagée. Des doyens comme Mame Less Camara, aux aînés comme Massamba Mbaye, El Hassane Sall ou Cheikh Oumar Ndao, en passant par les jeunes comme Pape Cheikh Sylla ou Thierno Dramé pour atterrir aux plus jeunes comme Safiétou Cissé de Walfadjri, Fatoumata Diop ou Amina Guèye de Dmedia jusqu’aux sta- giaires et étudiants en journalisme et communication, tous se sont donné ren- dez-vous à la Place de l’Obélisque qui a été le point de départ d’une marche qui s’est ébranlée jusqu’au rond-point de la Rts(Place Doudou Ndiaye Rose) comme point de chute. La marche quis’est tenue avec des pauses pour rassembler les deux vagues qui la composaient en plus des reporters dis- persés un peu partout, qui pour des re- trouvailles avec des confrères qu’ilssont restés des mois sans les voir, qui pour procéder à de petites interviews. Dans leur volonté de faire savoir qu’ils ont mal quelque part et qu’ils voudraient en faire part à leur hiérarchie, c’est-à- dire les patrons de presse ou aux autorités gouvernementales, la couleur la plus distinctive a été le rouge arboré en tee shirt ou en brassard. Une fois devant les grilles de la Rts, c’est au porte parole du jour, par ailleurs président du Cored, Bacary Domingo Mané, de s’adresser aux marcheurs en entamant son speech avec le constat selon lequel la plupart des entreprises de presse est incapable de payer correctement les salaires. Bien qu’il y a certaines en- treprises qui essaient tant bien que mal de respecter la convention collective, certains journalistes ne perçoivent pas un salaire à la fin du mois. Et nous disons qu’il ne peut pas y avoir de liberté de presse avec la précarité. Par rapport aux conditions sociales des travailleurs, certainsjournalistes n’ont pas de cotisation à l’Ipres, donc une fois appelés à faire valoir leur pension à la retraite, ils n’auront rien. Pourtant, pour la plupart, cet argent est défalqué de leur salaire, mais il n’est pas reversé. La presse est en danger et le gouvernement doit prendre ses responsabilités» a vociféré Bacary Domingo Mané, qui a invité l’autorité à organiser le secteur. Évoquant la question de la publicité, Bacary Domingo Mané constate amèrement qu’elle est distribuée n’importe comment sans aucune équité. Sur le Code de la presse sur lequel il insiste pour dire qu’il est dans le circuit depuis 2010, il signale qu’il répond à toutes les questions qui interpellent le secteur de la presse. «Désormais il y aura deux portes d’entrée dansle journalisme. Ce sera la formation ou le niveau universitaire de la licence 3 qui sera par la suite sanctionné par deux années de pratique et une évaluation par une commission pour valider l’accès», a indiqué le président du Cored. Pour ce qui est de la gestion de la Maison de la presse qui est dirigée par le jeune responsable apériste et non moins maire de Méouane, Bara Ndiaye, Bacary Mané estime que «ce pays est un pays de paradoxe si on sait que danstoutesles nations, cette structure est dirigée par les acteurs du secteur». Et pour remédier à cela, les acteurs invitent le gouvernement à respecter les conclusions de Somone. En définitive, Bacary Domingo Mané indique que les acteurs veulent une presse libre, épanouie, responsable et de qualité qui ne peut être une réalité si les fré- quences de télévision ou de radios sont distribuées à tour de bras selon des ap- partenances ethniques ou religieuses. Le président de l’Association de la presse en ligne Ibrahima Lissa Faye qui constate le départ desjournalistes versles bureaux climatisés des chargés de communication, estime que c’est à cause de la précarité que les carrières sont réorientées et qu’il faut que cela cesse. «Si les conditions sont améliorées, lesjournalistes aimeront la profession parce qu’elle leur permettra de gagner leur vie honnêtement, d’avoir une voiture, une maison et de pouvoir bien s’occuper de leur famille», a signalé Lissa Faye.

La fondation de Sonatel récompense le lycéé de Thiaroye

17 millions pour l’équipement en matériel didactique

La Fondation Sonatel, par le biais de son administratrice générale, Aminata Fall Sidibé, a remis, hier au Lycée de Thiaroye, un important lot de matériel didactique comprenant des manuels de Mathématiques, de Sciences Physiques, de Sciences de la vie et de la terre (Svt), de Philosophie et de Langues d’une valeur de 17 millions Cfa.

Débat ou pugilat ? La presse regrette la violence du duel Macron – Le Pen

La presse souligne, jeudi, la brutalité du débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron, déplorant la disparition du fond au profit des invectives. Quant au gagnant de ce duel, il s’agirait, pour Le Figaro et BBC, du candidat d’En Marche !.

Un débat confus d’une brutalité inédite. Voici ce qui transparait, jeudi 4 avril, à la une de la presse, de la joute télévisée entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.

À quatre jours du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen se sont affrontés “au cours d’un débat d’entre-deux-tours d’une brutalité inédite, qui a souvent manqué de hauteur et sans parvenir à instaurer un dialogue à la hauteur de l’enjeu”, résume Le Figaro.

“Il est malaisé de qualifier de ‘débat’ le pugilat d’hier soir”, assène Paul-Henri du Limbert, l’éditorialiste du Figaro. Pour le quotidien, un candidat se distingue : Emmanuel Macron, qui “tient le choc” et “s’impose”.

L’impossible débat ?

Un “débat brutal, violent de bout en bout”, constate le site Internet du Monde, moins catégorique, qui consacre un article sur l’”impossible débat avec l’extrême droite”.

“Jamais un débat de l’entre-deux-tours n’aura été aussi vif”, écrit en une Le Parisien. “On attendait un débat tendu, il fut brutal. Pas une seconde de courtoisie ou d’amabilité ou tout simplement de politesse”, poursuit en pages intérieures le quotidien, regrettant que “pour le fond des programmes, on reste sur sa faim”.

“Il y a beaucoup à dire sur les projets d’Emmanuel Macron mais pas comme cela. Pas avec une grosse artillerie qui tire au hasard toujours le même boulet”, s’emporte Laurent Joffrin, dans Libération.

La BBC décerne la victoire à Macron

Pour les Britanniques de la BBC, Emmanuel Macron est clairement le “gagnant” de ce débat.

Chez les Russes, Sputnik déplore un affrontement entre les candidats où “les programmes passent au second plan”. Quant à Russia Today, il estime que le débat a révélé deux visions de la France et de sa place dans le monde, deux projets “radicalement différents” celui d’une “nation souveraine”, soutenu par Marine le Pen, opposé à une “civilisation ouverte” prônée par Emmanuel Macron.

Idrissa Seck veut Thierno Alassane Sall

Le parti d’Idrissa Seck a ouvert ses portes à Thierno Alassane Sall, démis de ses fonctions de ministre de l’Énergie. En marge d’une cérémonie de remise de dons aux femmes, Alioune Sow, maire de Thiès-ouest a lancé un appel à l’ancien ministre et responsable Apr dans la région.

“Thierno Alassane est un homme de principe. Et je crois qu’il n’y a aucun complexe par rapport au motif de son renvoi pour qu’il baisse la tête. C’est un thiessois de pure souche. Cela me rappelle Wade et Idrissa. Wade ne voulait pas de quelqu’un  qui lui dise la vérité. Il a chassé Idrissa. Aujourd’hui, Thierno Alassane Sall vit le même sort. Tous les thiessois doivent se mobiliser et le réconforter à continuer davantage sur son chemin”, dit-il.

Pour le maire de Rewmi, il n’est pas fréquent de voir une autorité de la République claquer la porte au Sénégal. “Certains parlent de renvoi, mais nous prenons en compte la démission. Même s’il est renvoyé, c’est par opposition à des principes. Puisqu’il est devant quelqu’un (Macky Sall) qui a une nature de dictateur, il n’a qu’à prendre la porte. S’il continue son chemin dans l’Apr, bon vent, mais s’il ne s’y sent plus à l’aise, nous lui ouvrons les portes de notre parti. Parce que Thierno n’est pas n’importe qui. Il faut le reconnaître”.

L’État face aux doléances du secteur artisanal

À la veille de la fête du travail, le ministre de la Formation professionnelle, de l’apprentissage et de l’artisanat, Mamadou Talla, et le ministre d’État Mbaye Ndiaye, ont fait face aux doléances de près de 2000 artisans issus des diverses régions du Sénégal. Ces derniers ont plaidé pour que leur secteur d’activité, actuellement en déliquescence, soit davantage appuyé par l’État ; notamment pour ce qui a trait à l’accès à la commande publique.

Ziguinchor – Le préfet annule le match Casa Sports-Guédiawaye FC

le préfet de Ziguinchor (sud), ibra fall, a interdit la tenue du match en retard de la sixième journée du championnat de ligue 1, entre le casa sports et guédiawaye fc, une rencontre prévue ce mercredi au stade aline-sitoé-diatta.

Dans un arrêté dont l’aps a obtenu une copie, m. fall a invoqué des “menaces réelles de troubles à l’ordre public” pour justifier cette mesure. il signale que la police et la ligue séné- galaise de football professionnel n’ont pas préparé la couverture sécuritaire du match. “a moins de neuf heures du coup d’envoi de ce match, les organisateurs n’ont pas pris contact avec la police pour solliciter le service d’ordre”, écrit le préfet, mettant en garde contre “toute infraction” à l’arrêté interdisant la tenue de la rencontre sportive. le 14 décembre, l’équipe de guédiawaye fc devait se rendre à Ziguinchor pour jouer la sixième journée de la ligue 1 contre celle du casa sports. mais elle n’y est pas allée à cause de “la panne de l’avion qui devait convoyer les joueurs”, a fait valoir la direction du club de guédiawaye. le casa sports a refusé le report du match, qu’il dit avoir gagné “sur tapis vert”. “nous avons constaté l’absence de guédiawaye fc, mais nous considérons que c’est un match déjà gagné sur tapis vert. il est hors de question de rejouer le match parce que la ligue de football professionnel ne nous a écrit qu’à 24 heures du match pour nous parler d’un report”, avait déclaré le secrétaire général du casa sports, siaka Bodian. les dirigeants du club ziguinchorois ont encore récemment manifesté leur opposition à un report du match, “quelles qu’en seraient les conséquences” pour eux. les supporters de l’équipe de Ziguinchor avaient menacé de perturber le déroulement de la rencontre, si elle venait à être programmée de nouveau. “aucun adversaire du casa sports ne peut prétexter un motif de voyage pour l’annulation d’une rencontre, parce que le club du sud voyage plus que quiconque” pour rencontrer ses adversaires, ont-ils argué. l’équipe de guédiawaye fc et les arbitres du match prévu ce mercredi étaient déjà à Ziguinchor, qu’ils devraient quitter sans que le contentieux qui a duré près de cinq mois ne soit définitivement vidé.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention