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Boughazelli à Aliou Sall : "Qu’il soit le frère ou le fils du Président, je ne le laisserai pas détruire le parti"

C’est un secret de polichinelle de dire que rien ne va plus entre le député Seydina Fall alias Boughazelli et le maire de la ville de Guédiawaye, Aliou Sall. Ces responsables « apéristes », qui prétendent tous être la tête de liste de la coalition Benno Bokk Yakaar du département de Guédiawaye lors prochaines élections législatives, ne se font plus de cadeaux.

Samedi, lors d’un meeting organisé à la cité Aliou Sow, Seydina Fall est monté au créneau pour fusiller le frère du Chef de l’Etat. Selon lui, Aliou Sall a divisé les membres de l’Alliance pour la République dans ledit département. « Il fait dans l’achat de conscience. Il offre à tout va des véhicules pour appâter d’honnêtes citoyens», a révélé Boughazelli qui persiste et signe qu’il sera la tête de liste de la coalition au pouvoir.

« Je suis et je resterai la tête de liste de Benno Bokk Yakaar. Qu’Aliou Sall soit le frère ou le fils du Président de la République, je ne le laisserai pas détruire notre parti. Si les élections étaient organisées demain, je les remporterai d’une manière éclatante, car, ni la légitimité historique, ni la représentativité politique ne me font défaut », a indiqué le parlementaire face à ses militants qui se sont déplacés en masse pour assister à cette rencontre qui a battu le record de la mobilisation.

Responsable APR à Guédiawaye, Moussa Fall a, lors de sa prise de parole, déclaré que Seydina Fall est incontournable. Car son accessibilité, sa modestie et son sens du partage attestent qu’il est un véritable député du peuple. «Plus de 163 représentants de Comités ont pris sur eux la responsabilité de l’investir comme tête de liste départementale de la coalition Bennoo Bokk Yakaar pour que la victoire soit au rendez-vous au soir du 30 juillet. Notre forte conviction est qu’il est le candidat le mieux placé pour donner la victoire à notre liste. Il est l’homme fort de la banlieue », a-t-il dit.

Abondant dans le même sens, madame Séga Mbaye, représentante des femmes, demeure convaincue que « le député Seydina Fall a des prédispositions pour diriger la liste de la coalition à Guédiawaye ». Qu’il est un authentique fils de Guédiawaye qui s’est toujours fait distinguer par sa promptitude à apporter son assistance aux populations confrontées à des problèmes sociaux.

Eumeu Sène previent Bombardier " Il yaura de la Bagarre" !

Prévu le 4 avril et reporté à une date ultérieure, le combat pour le titre de roi des arènes s’annonce chaud. Eumeu Sène se dit prêt à affronter Bombardier et lui demande de se préparer comme il ne l’a jamais fait auparavant.  « La bagarre est inévitable. Et je suis prêt à y faire face. Je n’ai peur d’absolument rien. Je ne crains pas Bombardier. Je suis prêt pour la bagarre à 100% ». Le leader de l’écurie Tay Shinger qui demande à ses fans de se mobiliser en masse promet un combat de feu. « Bou dara sedd, na saf sap (qu’il y ait du show). Qu’il se prépare comme il n’a jamais préparé un combat », lance-t-il à son adversaire.

Confronté à ses co détenus Jeudi – La liberté se dessine pour Khalifa Sall

 

Cheikh Abdou Lahad Gaindé Fatma lui rend visite

 

Par Ndiogou CISSE

 

Les avocats du maire de Dakar qui avaient promu de déposer hier lundi 20 mars, une demande de liberté provisoire pour leur client, sont passés à l’acte. La requête qui est sur la table du juge Samba Sall et pour laquelle les avocats du maire emprisonné sont confiants, est introduite au lendemain de l’interrogatoire sur le fond de khalifa Sall. Ce dernier qui a reçu la visite de Cheikh Abdou Lahad Gaîndé Fatama, sera confronté jeudi avec son directeur administratif et financiers, Mbaye Touré, le comptable Yaya Bodian et les receveurs percepteurs que sont Ibrahima Touré et Oumar Bocoum. C’est à la suite de ses auditions que le juge Sall   va se prononcer.

Par Ndiogou CISSE

Les avocats du maire de Dakar ont déposé une demande de liberté provisoire au nom de Khalifa Sall  mais aussi de ses coinculpé, arrêtés pour détournement de deniers publics. La demande est déposée auprès du greffier du premier cabinet d’instruction et vise la liberté des personnes inculpées et mises en prison dans le cadre de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakaqr. Mais avant que le doyen des juges samba Sall ne se prononcé sur la requête, il va procéder jeudi  à une nouvelle audition du maire de Dakar qui a été entendu vendredi dernier. Khalifa Sall qui a fait face au magistrat instructeur sur le fond de l’affaire qui lui vaut d’être arrêté, sera confronté cette fois à son directeur administratif et financier, Mbaye Touré ainsi qu’au comptable Bodian,. Outre ces derniers, le maire de Dakar sera confronté à l’actuel receveur percepteur de la ville de Dakar, Ibrahima Touré et à son prédécesseur, Mamadou Oumar Bocoum, passé compatble des grands projets de l’Etat et du Plan Sénégal Emergent. En effet, plus chanceux que Khaf et les autres, les inspecteurs du térsor qui sont incriminés dans cette affaire de caisse d’avance ont été placés sous contrôle judiciaire. Le dépôt de la demande de liberté provisoire de Khalisa Sall et Cie intervient dans un contexte où les soutiens du maire de Dakar se multiplient. A celui du maire de Paris, Mr Sall peut également compter sur celui de l’ancien maire de Nouakchott Ahmed Hamza ex édile de la capitale de la Mauritanie qui se dit «  peiné par l’arrestation de Khalifa Sall l’a qualifie « d’homme de grand coeur qui a toujours porté haut le drapeau du Sénégal dans toutes les institutions Internationale ». Ces soutiens s’ajoutent aux démarches de certains cercles religieux qui se démènent pour que le maire de Da        kar retrouve les siens.   Pour rappel, l’actuel khalife général des tidjanes qui a avoué son rôle pour la libération du maire de Dakar est sur la même ligne que le guide moral des moustarchidines qui fait de la liberté du maire de Dakar, un préalable pour tout rapprochement avec le Président Macky Sall. C’est à la suite d’une mission de l’inspection générale d’Etat que des actes de mauvaise gestion ont été décelés dans les fonds de la caisse d’avance. Le maire de Dakar que la justice a invité à présenter les preuves des décaissements d’un montant d’1, 8 milliard n’est pas en mesure de présenter les pièces justificatives de l’utilisation de la caisse d’avance dont des communautés religieuses et ethniques, des associations et de simples citoyens ont eu à bénéficier des fonds.

Mor TOURE, Président Amâna, Pour 1000FoisResponsable

 

Je m’engage auprès des talibés et vous ?

A Sam Notaire sis à Guediawaye, Une foule immense est sortie pour répondre à l’appel de l’association d’AMÂNA qui a organisé une journée de cooptations des Ambassadeurs pour les talibés.

AMÂNA est une association en France et au Sénégal qui gère une Dâara pilote à Guediawaye Cité Gadaye qui prend en charge dans un internat près de 150 pensionnaires (6 promotions encadrées par 23 salariés à temps plein) pour leur enseigner gratuitement à la fois les cours de l’école primaire (selon le curriculum de l’éducation nationale) et l’éducation islamique. La structure en n’a profité pour présenter au public le programme 1000 Fois Responsable pour étendre leur intervention vers d’autres Daaras. 1000fois responsable est une plateforme de sensibilisation pour lutter contre la mendicité infantile. Selon Mor Touré Président de ladite structure «  le programme repose sur 10 thématiques suivants : Education /Formation, Encadrement, Santé, Labellisation Autofinancement, Sensibilisation, Réhabilitation, Règlement/Juridique, Gouvernance/Représentative, Sécurité alimentaire».L’objective a Sam Notaire était selon Mor Touré de rassembler 50 Ambassadeurs qui ,vont s’engager a donner 10000FCFA ,et 500 donateurs qui verserons 1000FCFA chaque moi pour prendre en charge a cour terme 10 Daaras ,et des bénévoles qui donneront 10 heures de leur temps soit deux demi-journées pour leur accompagner dans leurs différentes activités . Mais Face au projet de Réforme des Dâara, enclenché depuis l’année dernière par le Gouvernement du Sénégal , ’AMÂNA est persuadé qu’il ne peut pas en venir à bout sans l’implication des « Serigne de Dahra » Dés lors le 1000fois responsable invite l’Etat a prendre ses responsabilités pour une bonne gestion de la question des Dâaras. C’est dans ce cadre qu’il entamera d’autres activités dans d’autres localités afin de mieux sensibiliser les populations sur la responsabilité de tout un chacun de nous sur la question des talibés, mais aussi l’objectif d’atteindre les 1000 Dâaras avec l’appui des Ambassadeurs, des Donateurs ainsi qu’aux bénévoles selon Mor Touré.

Oumar DIALLO

 

CAF : Issa HAYATOU est enfin parti – Et Augustin Senghor pour la FSF ?

Hayatou ou n’est plus à la tête de la Confédération Africaine de Football. Il est parti par la petite porte d’un vote qui ne l’a pas seulement défait mais dénudé et humilié. Un immense ouf de soulagement est dégagé en Afrique. Mais pour le Sénégal, ça murmure. Le Fédération Sénégalaise de Football est entre les mains d’un immuable Président dont le génie est d’en faire un grenier de forfaiture et d’échecs. Et si ce qui est arrivé à la CAF advenait à la FSF ? Question ou souhait ?en tout cas ça marmotte déjà ça et là.

 

                L’actualité politique et religieuse ont pratiquement font ombre sur le déracinement du Camerounais de la tête de la Confédération Africaine de Football. Ce fut une revendication du monde footballistique africain. Des décennies à la tête d’une structure continentale furent trop, excessive et à la limite indigeste.  On n’en a vu ni à la tête de l’Union Africaine ni au niveau de toutes les institutions africaines. Seul dans le monde du Football n’a existé cette boulimie qui a fini par en faire perdre le goût.

Au Sénégal, Me Augustin Senghor, homme politique et Maire de Gorée, trône depuis des années à la tête de la Fédération Sénégalaise de Football. Jusqu’ici, il n’a pas encore fait sonner ses étriers pour une équipe nationale qui gagne et porte au pinacle le Drapeau national pour que la Nation trouve dans le Foot Ball des raisons d’être fiers, plus fiers et davantage fiers. Seulement, au-delà de l’anthologie de défaites et d’échec, le Football sénégalais claudique en raison d’un  clanisme partout décrié, de coups bas conspirateurs,  de complots clandestins et d’intrigues de bas étage.

Des actes sombres alimentent des soupçons aussi bien au niveau des Lions et des Lionceaux avec des primes qui parfois tardent sans que des raisons concluantes et convaincantes ne soient données et des failles qui sapent le moral et brisent des élans. Selon des sources, la FSF est une véritable caserne d’Ali Baba. Peu de membres du Bureau sont nourris de sacerdoce si bien qu’une obligation de résultats et de comptes rendus aurait dû être codifiée pour une gestion transparente qui impose le consensus.

Ce qui est indubitable est que cette FSF a besoin d’une véritable cure contre une sombre gestion de mitre et de hausse col comme il en est ainsi avec la CAF aujourd’hui dépoussiérée !

LIBERTE IV – POUR UNE DETTE DE 6 000 F CFA – L’ex-taulard poignarde son voisin

I. Sakho a déjà fait 5 séjours en prison, pour divers délits. Cette fois-ci, il a planté plusieurs coups de couteau sur son voisin J. Daouda, le touchant à la poitrine et à la tête.

J. Daouda et I. Sakho sont voisins à Liberté IV. Leurs relations étaient au beau fixe jusqu’à dernièrement. Il y a de cela quelques jours, J. Daouda vaquait à ses occupations, lorsqu’il a été apostrophé par son voisin. Qui s’est jeté sur lui avant qu’il ne réalise ce qu’il voulait. Il s’en est suivi une rude bagarre au cours de laquelle il a reçu plusieurs coups de couteau. ‘’Il m’a réclamé 6 000 F CFA. Avant que je ne réponde, il s’est jeté sur moi. J’ai riposté et nous nous sommes battus. Il m’a donné plusieurs coups de couteau à la poitrine et à la tête. Il ne s’est arrêté que lorsque j’ai perdu connaissance’’, a-t-il déclaré devant les enquêteurs du commissariat de Dieuppeul.

Devant les hommes du Commissaire El Hadji B. Sène, I. Sakho est passé aux aveux, en plaidant la légitime défense. Il raconte avoir remis à Daouda une chaîne d’une valeur de 6 000 F CFA pour qu’il la lui écoule. Après des mois d’attente, il a entendu que la chaîne avait été remise à Mme Daouda qui se pavanait avec. ‘’Je lui ai demandé de me restituer ma chaîne. Il a refusé et m’a proposé en échange du chanvre indien. Ce que j’ai catégoriquement refusé. Nous nous sommes disputés. Dans la bagarre, je me suis emparé du couteau qu’il avait sur lui. Je l’ai poignardé à la poitrine et à la tête. Il a de la chance ; je voulais le tuer avant qu’il ne le fasse, car il avait l’intention de me tuer’’, s’est-il défendu devant les policiers. Il a ajouté avoir été déféré au parquet et condamné à plusieurs reprises, pour les délits de coups et blessures volontaires et détention de chanvre indien.

Agé de 34 ans, sans profession, il a été déféré cette fois pour les délits de coups et blessures volontaires, violence et voie de fait (arme blanche).

VELINGARA – Une Guinéenne arrêtée avec un bébé gambien volé

Mariama Diaby, âgée de 22 ans et originaire de la Guinée Conakry, a été arrêtée à Vélingara, avec un bébé volé en Gambie. Elle a été confiée aux autorités gambiennes.

Mariama Diaby a quitté la Guinée Conakry, il y a quelques jours, pour se rendre en Gambie, en traversant le Sénégal. La dame âgée de 22 ans s’est rendue à Bassé, une localité distante de Vélingara (Sénégal) de 15 km. Le matin, la soi-disant femme d’affaires s’est rendue au marché. Elle s’est présentée avec beaucoup d’affabilité à Adja Sidibé, une dame venue du village de Haloharé, localité située non loin du marché de Bassé pour vendre son aubergine afin de subvenir aux besoins de sa famille. « Avec la forte canicule, mon bébé pleurait. Je n’arrivais pas à le calmer. Soudain, une dame s’est approchée et m’a demandé d’allaiter mon enfant, à défaut, de lui remettre mon bébé en attendant que je marchande avec les clients. Ce que j’ai accepté », raconte la maman. « Comme il y avait beaucoup de clients, la dame a profité de mon inattention pour disparaître avec mon bébé. Après moult recherches sans résultats, je suis allée signaler la disparition aux policiers. »

DIX MESURES CONTRE LES ACCIDENTS DE LA ROUTE L’Etat, les transporteurs et le défi du suivi

Aux gares Lat Dior et Petersen de Dakar, des transporteurs en commun saluent les dix mesures annoncées par l’Etat dans la lutte contre les accidents de la route, mais s’inquiètent du suivi de ces décisions.

Rencontrés samedi matin à la gare de Petersen, des transporteurs en commun se retrouvent dans les 10 mesures prises par l’Etat du Sénégal pour faire face aux accidents de la route. Abdou Diop, chauffeur de ‘’Ndiaga Ndiaye’’, adhère aux dispositions et invite le gouvernement à mettre l’accent sur le suivi des mesures qu’il ambitionne d’appliquer. ‘’C’est important parce que, dit-il, l’Etat doit accompagner le processus, aller au-delà des effets d’annonce. Sur la route, certains chauffeurs ont des comportements qui méritent d’être sanctionnés.’’

‘’La vie humaine est sacrée. Maintenant, au Sénégal, les accidents de la route sont récurrents. C’est comme si on les banalisait’’, fulmine le jeune chauffeur. Avant de souligner que l’Etat n’a pas les moyens de surveiller chaque conducteur de véhicule sur la route. Ainsi, pour éviter les dérives routières, Abdou Diop insiste auprès de ses collègues pour qu’ils fassent preuve de plus de ‘’responsabilité’’ et de ‘’rigueur’’ sur la route.  ‘’C’est une question vitale. Parce qu’il faut respecter la vie des clients. Ils sont des parents, des soutiens de famille etc.’’, embraye-t-il, assis près de ses deux camarades qui l’écoutent attentivement.

Hormis le comportement des chauffeurs qu’ils incriminent de façon unanime, ces trois conducteurs déplorent l’état ‘’défectueux’’ des routes. A leurs yeux, ces dernières sont ‘’accidentogènes’’. ‘’Donc, l’Etat doit travailler à construire des routes praticables’’, glissent-ils. Ailleurs à Lat-Dior, le constat est le même. Les propos recueillis auprès des chauffeurs interrogés recoupent ceux d’Abdou Diop et Cie. Conducteur de ‘’car rapide’’, Moussa Fall est affecté par la recrudescence de ce phénomène qu’il condamne. ‘’La décision de l’Etat est venue à son heure. Malheureusement, ici au Sénégal, les gens n’ont pas la culture de faire le suivi des mesures qu’ils prennent’’, se désole-t-il. Avant de signaler que les accidents de la route sont liés à plusieurs phénomènes. Il s’agit de l’indiscipline, de l’intolérance, de la précipitation, de l’état des véhicules et des routes, etc.

Face à la recrudescence des accidents de la circulation qui causent beaucoup de pertes en vies humaines, le ministère des Transports a pris, la semaine dernière, dix mesures qui, dit-on, vont être appliquées sans délai. Elles sont relatives à l’immobilisation et la mise en fourrière de tout véhicule en circulation que le propriétaire n’a pas présenté à la visite sans motif valable, à l’expiration du délai de la visite technique ; aux réparations à effectuer sur le véhicule ; aux opérations de mutation de Dakar vers les régions pour les véhicules de transport public interurbain de voyageurs et de marchandises (elles sont suspendues à titre provisoire sur tout le territoire national), etc.

PAPE NOUHA SOUANE

MANQUE DE SPECIALISTES, INSUFFISANCE DES MEDECINS FORMES, MANQUE DE MOTIVATION, BOURSES…

La longue liste de doléances du Sames 

Une rencontre de réflexion sur la gestion des ressources humaines dans les secteurs de la santé et la problématique de la formation des médecins a regroupé, à Saly, le Syndicat Autonome des Médecins du Sénégal (Sames), le Doyen de la Faculté de Médecine de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) et le conseiller technique du ministère de la Santé.

BLOCAGE DANS LE PROJET DE LOI DE MODERNISATION DES DAARA – Les maitres coraniques prennent les choses en main

Pour la vulgarisation de l’enseignement coranique au Sénégal, le Conseil supérieur des maîtres d’écoles coraniques s’engage à prendre une nouvelle voie. Relancer la modernisation des ‘‘daara’’ est son premier chantier.

Les blocages sur le projet de loi portant modernisation des écoles coraniques vont bientôt être levés. ‘‘Avant-hier, on a partagé les 18 articles que compte ce projet de modernisation. Les délégués des 45 départements ont bien compris la teneur du texte après le séminaire de janvier dernier à Saly organisé par le ministère de l’Education nationale. Tous les responsables de ces organisations sont d’accord sur la nouvelle mouture du texte’’, a annoncé  le député de Vélingara, Ahmed Tidiane Tall. C’était hier en marge du premier congrès du Conseil supérieur des maîtres d’écoles  coraniques du Sénégal. La structure se veut le nouveau défendeur de la propagation de l’enseignement coranique dont le parlementaire en est le président.  La lenteur dans ce projet initié par l’Education nationale était due à la réticence d’une partie des maîtres coraniques, mais le président rassure que ce projet de loi repassera à l’Hémicycle incessamment.

Quant à la brûlante problématique des enfants mendiants, M. Talla promet également une législation imminente, de concert avec les autorités. ‘‘Les maîtres coraniques, qui envoient les enfants mendier, ne le font pas de gaieté de cœur. Nous travaillons à trouver des solutions à cet état de fait. C’est un problème qui est né de la démission des parents. Nous allons travailler avec l’Etat pour légiférer sur le statut des talibés et les inviter à leur prise en charge’’, déclare-t-il après avoir fustigé l’absence des financements des projets d’écoles coraniques au même titre que ceux de la société civile.

Combattre le terrorisme

La Conseil a pour ambition d’améliorer et de réorganiser les conditions de vie et d’apprentissage dans les écoles coraniques, de servir d’interface avec l’Etat et de trouver de nouveaux partenariats. Déjà la Ligue islamique mondiale s’engage à les accompagner avec la mise en place d’un fonds de zakat (aumône légale). ‘‘Nous allons mettre en place le bureau de départements dynamiques car avec les organisations précédentes, ces derniers ne fonctionnaient pas. Ce qui explique leur léthargie’’, poursuit-il. Le Conseil qui comprend toutes les obédiences confrériques et même les non-alignés se veut aussi un rempart contre l’extrémisme violent et le terrorisme. ‘‘Nous allons travailler pour la paix dans notre pays. Nous allons surtout lutter contre le terrorisme. En tant que membres du Conseil supérieur des maîtres coraniques, nous allons mettre en place un programme pour combattre le terrorisme dans notre pays’’, conclut-il.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention