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TRIBUNE LITTÉRAIRE – ANCIEN DIRECTEUR DE CABINET DU POÈTE PRÉSIDENT

Christian Valantin présente ses «Trente ans de vie politique avec Léopold Sédar Senghor»

Ancien directeur de cabinet du président Léopold Sédar Senghor, Christian Valantin témoigne, à travers une parution littéraire, de faits majeurs qui ont marqué la République du Sénégal, mais aussi du poids des engagements philosophiques de Senghor dans sa pratique politique.

Éditée chez Belin en janvier 2016, cette œuvre préfacée par le professeur Souleymane Bachir Diagne, de l’Université de Columbia, intègre la liste des nombreux ouvrages écrits sur le chantre de la négritude. Elle sera présentée le 23 mars prochain au siège de la fondation Léopold Sédar Senghor, en présence de l’auteur et en présence du professeur Abdoulaye Elimane Kane, ancien ministre de la Culture, et du professeur Ibrahima Sow, philosophe, fondateur du Laboratoire de l’imaginaire de l’Institut fondamental d’Afrique noire. Ces derniers livreront leur analyse de l’œuvre, avant que Christian Valantin ne procède à des échanges avec l’assistance.

Les termes de référence de l’ouvrage indiquent que pour rédiger ses «Trente ans de vie politique avec Léopold Sédar Senghor», l’auteur est parti de son expérience personnelle, mais aussi d’une certaine documentation sur le premier président de la République du Sénégal. Outre la préface, le livre comprend une introduction, cinq chapitres et un épilogue intitulé «Senghor et la civilisation de l’universel». Épilogue dans laquelle Christian Valantin conclu par la démission volontaire et inattendue de celui qu’il dépeint comme «l’âme de la République».

Par Mohamed NDJIM(Tribune)

ASSANE MANSOUR MBENGUE, CCR RUFISQUE «Nous devons éviter la politique du m’as-tu-vu»

Depuis peu, de nombreux meetings et autres rassemblement s’organisent au niveau du département de Rufisque. De bon augure, en perspective des prochaines élections législatives prévues le 30 juillet, estime Assane Mansour Mbengue, coordonnateur des cadres républicains (Ccr) de la localité. Toutefois, il pense que l’intérêt du Parti doit être privilégié. Estimant qu’«il n’est ni pour Jean ni pour Paul, parce que travaillant exclusivement pour le Parti et non pour un camp, il invite ses camarades à éviter la politique du “m’as-tu-vu” parce qu’elle est synonyme de division». «Nous devons bannir l’intérêt particulier pour l’intérêt exclusif de l’Alliance pour la République, a-t-il exhorté, soulignant qu’une fois que le Parti aura choisi ceux qui doivent être sur les listes électorales, tout le monde doit se plier».

Appelant à un choix «sans parti pris» parce que tous les responsables s’investissent de la même manière. «Nous n’avons jamais attendu d’avoir un poste dans le pouvoir pour travailler. Tous les jours, nous nous donnons à fond pour la politique du chef de l’État en étant aux côtés des populations», a-t-il laissé entendre.

Toutefois, il pense qu’il reste au Président Macky Sall de faire le choix «en mettant les responsables qu’il faut à la place qu’il faut». Sur l’affaire du maire de Dakar, Khalifa Sall, placé sous mandat de dépôt pour s’expliquer sur sa gestion de la caisse d’avances, Assane Mansour Mbengue qui estime que c’est une situation regrettable, souhaite qu’un dénouement heureux soit trouvé. D’autant plus que Khalifa Sall faisait partie de la coalition Benno. Néanmoins, il demande à cette opposition «sans programme» de ne pas mettre de l’huile sur le feu. Son rôle c’est de soumettre aux Sénégalais un programme «crédible et alternatif». Sans quoi, elle perd son temps, car le Président Macky Sall sera élu majoritairement aux prochaines élections en raison de ses réalisations «incontestables». Car «seul le travail paye», motive le coordonnateur de la Ccr de Rufisque.

(Tribune)

APPRENTISSAGE DU FRANÇAIS À L’ÉCOLE GAMBIENNE  Quand Molière bouscule Shakespeare chez Barrow

À la suite de la visite officielle du Président de la République de la Gambie en France, sur invitation du Président François Hollande, un communiqué conjoint signé des deux pays informe des nouvelles mesures de partenariat et de coopération signées entre les deux États. «Outre son entretien avec le Président de la République française, le Président Adama Barrow a rencontré le président de l’Assemblée nationale, les ministres des Affaires étrangères et du Développement international, de la Défense et de l’Économie et des Finance», en vue de renforcer les «liens diplomatiques, sécuritaires, et de développement économique».

Une rencontre avec des entreprises françaises a également eu lieu au siège du Medef international, informe le communiqué. Et malgré l’appartenance de la Gambie au Commonwealth duquel l’ancien Président avait annoncé le départ, la langue de Molière va désormais intégrer le programme gambien. «Les deux chefs de l’État sont convenus de favoriser la francophonie et de développer l’apprentissage de la langue française, notamment dans les établissements scolaires gambiens», a révélé le communiqué.

Félicitant son homologue pour sa victoire, le Président de la République française a salué l’annonce de réformes «dans le domaine de la justice, des droits de l’Homme et de la sécurité et le lancement d’une initiative de justice et de réconciliation». Et, alors que le débat du retrait de la Gambie de la Cpi a été agité avant le départ de Yahya Jammeh, la France s’est réjouie de la décision du Président Barrow d’annuler cette décision.

«Les deux présidents ont décidé de renforcer les liens entre les deux pays pour affermir la démocratie et l’État de droit en Gambie. Un séminaire sur la justice transitionnelle sera accueilli à l’Alliance franco-gambienne de Banjul pour illustrer, par des exemples africains et étrangers, l’importance des processus de justice et de réconciliation. Ils ont eu un échange approfondi sur les perspectives de renforcement de la coopération bilatérale. La France et la Gambie sont convenues de développer leur coopération en matière de formation des forces gambiennes de sécurité», précise le communiqué.

Dans une optique de répondre aux défis économiques de la Gambie, le communiqué indique que les entreprises françaises présentes rencontrées au Medef par le Président Barrow ont été encouragées à venir prospecter le marché gambien en vue d’apporter leurs capitaux et leur expertise au développement du pays. D’ailleurs l’Agence française de développement (Afd) et les opérateurs ont marqué leur volonté d’accompagner des projets en Gambie. Sur le plan diplomatique, la France a salué «la décision des autorités gambiennes de rehausser le Consulat général de Gambie en France en Ambassade de plein exercice».

(Tribune)

«Gorgui Cheikh», l’empereur !

Ce jeudi seize mars est brumeux, c’est un jeudi nuageux, un jeudi froid. Le ciel a baissé ses rideaux pour raccompagner un homme de Dieu. Depuis le mercredi, debout sur le balcon de l’immeuble Taïf sur la corniche, je regardais les tombes silencieuses du cimetière des abattoirs de Soumbédioune et une voix intérieure me rappelait les dires du Khalife Général des Tidianes. «Il y a sept milliards de vivants sur terre et 25 milliards d’êtres humains dans l’au-delà donc si cet au-delà était maudit mon homonyme n’y aurait pas passé une nuit». La phrase me faisait réfléchir et je me demandais si les morts, pour qui je psalmodie quotidiennement du haut de ce quatrième étage douze fois la sourate Ikhlass, se réveillaient subitement alors qu’aurai-je fait ? Qu’aurait fait le monde des vivants ? J’ignorais à cet instant précis que la grande faucheuse s’apprêtait à se rendre un peu plus loin sur cette même corniche de Dakar, précisément à Fann, pour nous arracher notre maître coranique, notre source de savoirs, l’homme qui disait aux bambins que nous étions que «la monnaie est source d’impérialisme» et «l’argument majeur appartient au ciel». Nous buvions ses paroles. Nous aimions, tout-petits, le voir nous consacrer un pan de son précieux temps pour nous regarder jouer au football avant de nous parler de la vie. Nous l’appelions affectueusement «Gorgui Cheikh». Il nous trouvait à Méouane, Keur Chérif Lô, Taïba Ndiaye, Ndomor Diop, Diogo, Darou Khoudoss, Mboro et quelques fois tôt le matin aux abords de la grande mosquée de Tivaouane.

Tous ses enseignements se terminaient par l’obligation pour chacun d’entre nous d’avoir un métier, de s’accomplir, de travailler, de ne jamais tendre la main, de ne jamais consommer de l’alcool et de participer à la construction de notre pays. Il cultivait en nous le leadership. Nous étions pourtant de simples mômes venus d’un peu partout : les uns étaient envoyés par leurs parents pour la mémorisation du coran, les autres – c’est mon cas – avaient fugué et s’étaient réfugiés dans la ville sainte. Nous avions compris, grâce à Gorgui Cheikh que le savoir et l’avoir sont des instruments au service de l’homme. Bien des années après, je revois le bonnet rouge de celui qui deviendra pour le public al makhtoum, sa barbe toujours bien taillée, ses verres correcteurs et sa mise bien soignée. Toujours élégant et propre, cet homme au savoir encyclopédique forçait le respect. Nous étions des privilégiés. Enfants bénis par ses doigts cotonneux, nous aimions jouer l’imiter avec ses «ndeyssan», «wallah», «ouhoum». Il s’esclaffait. Que de souvenirs ! Nous ne pleurons pas Serigne Cheikh ! Il nous a appris à surmonter les épreuves et à laisser notre cœur parler. Aujourd’hui, ce cœur perle des larmes mais qui peut les voir ! Là-bas, sous les tamariniers à Tivaouane, l’ambassadeur, l’écrivain, le producteur d’arachide, l’homme d’affaire, l’anticonformiste, l’intellectuel multidimensionnel dort d’un sommeil profond. Il a enfin rejoint ses amis qui piaffaient d’impatience de profiter de son savoir. Oui, Serigne Cheikh Gaïndé Fatma, Elhadji Ibrahima Niasse et bien d’autres encore qui dorment dans le monde des Cieux sourient aujourd’hui puisque le créateur leur permet de côtoyer un homme unique, un de nos contemporains qui vous conte la bataille de Badr en vous montrant cette cicatrice issue des coups de l’ennemi. Dorénavant, je ferai plus attention aux dires de son respecté et engagé fils, Serigne Moustapha qui, en parabole lors du dernier Maouloud, demandait aux fidèles de se préparer ! L’on se demandait à quoi devions-nous nous préparer ? La réponse est tombée mercredi.

Le patriarche de «l’Islam éternel» (du nom d’un de ses livres) s’en est allé. Nous le remercions pour l’enseignement et la formation. Il nous a fait homme. Nous lui devons beaucoup. Dors en paix, patriarche adulé.

Diop Makhtar

Le Groupe La Poste et Jumia en partanariat

Le Groupe La Poste et Jumia ont signé avant-hier un accord de partenariat pour maximiser la livraison des commandes en ligne. C’est ce qu’ont indiqué les responsables des deux parties face à la presse.

La collaboration entre La Poste et Jumia va permettre d’offrir aux Sénégalais, et notamment ceux qui sont au niveau des régions, une livraison ‘’plus rapide’’. En effet, selon le Président directeur général de Jumia Afrique, Sacha Poignonnec, ‘’l’expérience client en ligne’’ au Sénégal sera ‘’fortement améliorée’’ avec ce partenariat.

‘’Les clients vont bénéficier du système de maillage d’adresses physiques fiable et performant de la Poste. Les e-clients bénéficieront aussi de ses 200 points de retrait à travers le territoire sénégalais où il sera possible de retirer les colis de Jumia’’, a-t-il expliqué.

M. Poignonnec a indiqué que l’e-commerce est ‘’un rivage’’ que tous les pays sont en train de prendre en Afrique. ‘’Tous les consommateurs sont attirés par les possibilités d’acheter en ligne. Au Sénégal, pour l’instant, les consommateurs sont concentrés à Dakar. On n’en a pas beaucoup dans les régions.  Alors que dans les autres pays, ils sont également dans les régions.  Aujourd’hui, avec ce partenariat avec La Poste, nous allons enfin permettre à tous les consommateurs qui sont dans les régions de pouvoir profiter pleinement du e-commerce’’, a-t-il renchéri.

 ‘’Le secteur du e-commerce se porte très bien. C’est un virage qui est en train de se généraliser.  Avec le e-commerce, l’Afrique va rattraper les autres pays plus vite, comme les Africains l’ont fait avec le téléphone où le Smartphone est arrivé et s’est démocratisé très vite. Parce que le e-commerce va suivre ce même schéma’’,  a soutenu Sacha Poignonnec.

Pour sa part, le Directeur du Courrier et de la Production de La Poste, Dame Fall, a affirmé que cette collaboration sera également profitable pour son groupe. ‘’Nous allons servir de relais entre les vendeurs et les clients à qui nous allons livrer. C’est quelque chose qui va nous enrichir parce qu’il va nous apporter du business dans le secteur postal et on en a effectivement besoin’’, a-t-il confié.

Malfaiteurs armés de machettes

Dans la chambre, les limiers ont trouvé 7 machettes, 3 couteaux et 700 grammes de chanvre indien. Une moto de marque Tmax qui avait fait l’objet de vol dans la nuit du 14 au 15 mars 2017 et dont le propriétaire avait été grièvement blessé a été aussi retrouvée sur les lieux tachée de sang. Quant aux deux femmes, l’une en l’occurrence la nommée N. Seck née en 1978 à Yeumbeul, a été surprise au marché de Thiaroye en train d’écouler de faux billets de banque d’une valeur de 100 000 F cfa. Elle a déclaré que les faux billets venaient de C. Ndiaye née 1966 à Guédiawaye.

Malfaiteurs

La Brigade de recherches du Commissariat de Thiaroye a démantelé le 15 mars, dans la matinée, une bande de 8 malfaiteurs parmi lesquels, 2 femmes dont l’une trouvée en possession de faux billets de banque. Ils ont été surpris dans une chambre sise à Thiaroye-gare, quartier Djida II. Il s’agit de A. Ba alias «Mairie port», né en 1995 à Pikine, O. Ndiaye, alias «Oussou rock», né en 1984 à la SICAP liberté III, E. H. Faye, 18 ans, M. Kaire, 18 ans, O. Ndiaye, né en 1995 à Thiaroye, B. Pouye alias «laobé», né en 1986 à Wakhinane, I. Ba, né en 1990 à Pikine, D. Mbaye, né 1986 à Kébémer. Ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, vol en réunion avec violence commis la nuit, et détention illégale d’armes blanches.

Un élève de 10 ans tué par un camion à Gniby

Un camion immatriculé Th 6751 S en provenance de Kaffrine pour se rendre à Touba a mortellement heurté un enfant de 10 ans, hier, à Gniby à l’heure de la récréation vers 11 h30. L’élève, B Thiam, est décédé sur le coup. Il était en classe de CI (cours d’initiation). Après son forfait, le chauffeur au lieu de s’arrêter, a appuyé sur l’accélérateur. Il a finalement été appréhendé par les forces de l’ordre. La population de Gniby a déversé sa grosse colère en brûlant des pneus sur l’axe Kaffrine-Touba. La circulation y a même été bloquée. La population réclame la construction de ralentisseurs.

Mobilisation des Pro-Khalifa aujourd’hui

Le passage de Khalifa Sall et Cie devant le doyen des juges Samba Sall aujourd’hui risque de se dérouler dans une atmosphère tendue. Khalifa Sall et son Daf, Mbaye Touré seront entendus sur le fond par le doyen des juges. Les partisans du maire de la capitale vont se retrouver au Tribunal de Dakar, pour soutenir l’édile de Dakar. Les militants socialistes s’activent pour réserver un accueil digne de ce nom à Khalifa Sall et ses collaborateurs de la mairie suspectés de détournements de deniers publics,  d’escroquerie et d’associations de malfaiteurs. Les pro-Khalifa se mobilisent pour réclamer la libération de leur leader. A l’instar des sympathisants du maire de Dakar au Sénégal, ceux de la France organisent aussi un rassemblement de soutien à Khalifa Ababacar Sall. Des socialistes, des militants et responsables des partis de l’opposition, des mouvements de soutien, la société civile et des citoyens épris de justice vont se rassembler samedi prochain dans l’après-midi à Paris.

Babacar Touré sauve Sidy Lamine Niass

Alors que le torchon brûlait entre Sidy Lamine Niasse et l’Etat par l’intermédiaire de l’Artp qui réclamait au Pdg de Walf le payement de plusieurs millions de redevances, le président du Cnra est venu à la rescousse. Babacar Touré a réussi en dépit des diatribes contre lui à décrocher une remise gracieuse de plusieurs millions en faveur de Sidy Lamine Niass, Pdg de Walf Fadjri. En effet, dans la polémique entre l’Artp et le Big boss de Walf, le président du Cnra a saisi le chef de l’Etat qui a accepté de passer l’éponge sur le préjudice estimé à des centaines de millions de nos francs. Babacar Touré travaillait en douce sans tambour ni trompette et a réussi à décocher cette remise qui devrait taire la querelle entre Sidy Lamine et l’Artp. C’est dire que Babacar Touré est un grand seigneur

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention