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Face au juge aujourd’hui – Liberté provisoire pour Khalifa ?

Après 10 nuits passées à la prison de Rebeuss,  le maire de Dakar comparait ce vendredi pour la seconde fois devant le doyen des juges. Si le magistrat instructeur ne s’oppose pas aux contestations des avocats de Khalifa Sall   et à la demande de mise en liberté de leur client, ce dernier va retrouver les siens .

 

Par Ndiogou CISSE

 

Après son face à face de ce vendredi avec le doyen des juges, Khalifa pourrait recouvrer la liberté. En effet, le maire Sall qui est sous le coup d’un mandat de dépôt dans le cadre de la procédure judiciaire sur la caisse d’avance de la ville de Dakar va être entendu aujourd’hui sur le fond du dossier qui lui vaut d’avoir maille à partir avec la justice. Face au juge Sall, Khalifa sera auditionné en présence de ses avocats. Ceux-ci, qui avaient émis lors de lza première comparution de l’édile de Dakar, des contestations qui non pas été jugées assez sérieuses pour motiver la remise en liberté de leur client vont ce vendredi, y ajouter d’autres arguments pour convaincre le doyen des juges de le laisser  rentrer chez lui. Ainsi, si de tels arguments sont acceptés, les avocats du maire de Dakar pourront s’enorgueillir d’avoir tiré Khalifa Sall de cette affaire de la caisse pour laquelle, il soutient mordicus n’avoir pas détourné une tune. En revanche, si le magistrat instructeur juge que les contestations qui lui ont présentées ne sont pas sérieuses , Khalifa pourra aussi recouvrer la liberté avec la demande que ses avocats vont introduire dans ce sens. L’audition de Khalifa Sall intervient dans un contexte où son arrestation   est au centre de tous les débats. Si les partisans du maire de Dakar considèrent son emprisonnement comme « une tentative de liquidation politique d’un adversaire gênant », leur vis-à-vis agitent le rapport de l’inspection générale d’Etat pour qualifier le maire de Dakar de « parfait détourneur de deniers publics ». Quoi qu’il en soit, au niveau de l’opinion neutre, ceux qui souhaitent la libération de Khalifa Sall évoquent des cas présumés de détournement qui sont plus cocasses mais qui n’ont pas entraîné l’arrestation de leurs auteurs. Il ya également que dans les rangs des partisans du Président, Macky Sall, des voix s’élèvent contre l’arrestation du maire de Dakar. Parmi ceux-ci se trouve, Abou Abel Thiam. Cet ancien porte parole du président Sall qui est responsable politique à Matam a déclaré que « la justice ne sert pas le régime de Macky en arrêtant Khalifa Sall. Chez les religieux, Abdoul Aziz Al Amin devenu khalife général des tidjanes avec la disparition de Cheikh Ahmeth Tidiane Su Al Makhtoum a appelé à la libération de Khalifa Sall.   Même si chez les autres religieux, le même appel n’a pas été émis, tout laisse croire que leur souhait dans cette affaire de causse d’avance,  c’est la liberté du maire de Dakar.       

 

Accusé d'interdire son bar aux femmes, le patron d'un café de Sevran porte plainte

Le propriétaire d’un café de Sevran décrit comme interdit aux femmes dans un reportage a, d’après son avocat, porté plainte contre France Télévision. Plusieurs contre-enquêtes montrent que ce bar PMU de Seine-Saint-Denis n’est pas réservé aux hommes.

CHEIKH BAMBA DIÈYE

Les femmes du Fsd-Bj qui se sont rassemblées hier au siège de leur parti, sont convaincues que leur leader est blanc comme neige. Contrairement à certaines personnalités du régime qui secouent des poursuites, ces femmes martèlent que Cheikh Bamba Dièye est un exemple de gestionnaire du fait de sa probité morale et intellectuelle. Cheikh Bamba Dièye qui était présent à la rencontre est en phase avec «ses» femmes qui dénoncent un «acharnement» contre Khalifa Sall. Pour le chef de file du Fsd-bj, la manière dont le pays est géré est inquiétante.

SEYDINA ISSA LAYE BANE

Seydina Issa Laye Bane n’est pas du tout d’accord avec Barthélemy Dias. Le leader du Mouvement Jappal ma Japp est d’avis que le Maire de Sacré Cœur Mermoz ne devait pas répondre aux propos prêtés à Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine sur le dossier relatif à la caisse d’avances. «Nous sommes des Sénégalais et nous sommes profondément ancrés dans nos réalités. Nous devons du respect à nos hommes religieux qui ont leur rôle à jouer», explique ce soutien de Khalifa Sall. Pour lui, Dias doit savoir raison garder dans l’avenir pour «éviter certaines positions susceptibles d’affaiblir notre camp».

MOUSSA TAYE, CONSEILLER POLITIQUE DE KHALIFA SALL  «Macky Sall gagnerait à éviter les pyromanes qui polluent son environnement»

«Peiné» par le comportement de Seydina Oumar Touré, le conseiller politique de Khalifa Sall, Moussa Taye, estime que le chef de l’État ferait mieux d’éviter les pyromanes qui pullulent dans le sérail politique sénégalais.

Par Charles T. SENGHOR

De quelle manière comptez-vous tirer d’affaire le maire Sall ?

Au plan juridique d’abord, en prouvant son innocence par le travail de nos conseils qui ont compris que cette affaire de détournements de deniers publics est une fausse accusation, de même que les autres chefs d’inculpation. Ensuite, et c’est le plus important, au plan politique, nous apporterons les réponses politiques. Parce que depuis le début nous le disons tout haut : c’est une entreprise de liquidation d’un adversaire politique. Le pouvoir en place cherche à disqualifier Khalifa ou, tout au moins, à le neutraliser dans sa volonté de présenter une liste face à Bby.

Que signifie pour vous la volonté de l’opposition d’investir le maire pour les législatives de Dakar ?

Cela peut traduire un début d’organisation de l’opposition sur la question des alliances. Il faut comprendre que notre intérêt est de travailler à la mise en place d’une large coalition de toutes les forces qui luttent pour changer les choses à l’Assemblée nationale. Si nous parvenons à unir nos forces et à faire en sorte que les différents responsables soient investis dans leurs localités et gagnent, il est certain que nous aurons une présence confortable à l’Assemblée. C’est comme cela que je le comprends, et j’encourage l’opposition à aller vite dans cette dynamique de regroupement.

Quels commentaires faites-vous de la sortie d’El Amine depuis Tivaouane pour intercéder en faveur du maire, même s’il «a commis beaucoup d’erreurs» ?

Tivaouane est dans son rôle de médiation et de régulation comme tous les autres foyers religieux ainsi que d’autres organisations et individualités. C’est cela aussi la particularité du Sénégal, mais n’oublions jamais que dans cette affaire, Khalifa est présumé innocent et n’est demandeur d’aucune faveur. C’est de l’acharnement et les sorties intempestives des membres de l’Apr le prouvent davantage. Macky Sall gagnerait à écouter les conseils des hommes de paix plutôt que les pyromanes qui polluent son environnement.

Justement, le maire subit beaucoup d’attaques de la part des responsables du Pouvoir…

Ceux qui attaquent le maire sur la Caisse d’avance sont de deux ordres : soit ils sont de mauvaise foi, et dans ce cas ils ne méritent pas notre attention. Soit se sont des ignares qui ignorent tout du fonctionnement des Collectivités locales, et dans ce cas, il ne faut pas leur en vouloir car l’ignorance est douloureuse. Je ne citerai pas les responsables de l’Apr comme Mimi, Diakhaté ou Diouf Sarr. Ils sont dans leur rôle ou dans leur obligation de plaire. C’est pourquoi ils s’autorisent tout au mépris de la morale et de la bonne foi. Le ministre Diouf Sarr est quand même un conseiller à la Ville. Mais il ne vient que deux fois par an. Par contre, j’éprouve beaucoup de pitié pour Seydina Omar Touré. La versatilité reptilienne avec laquelle il change ses convictions est à la limite angoissante.  Et pourtant, il y a un mois seulement, il appelait à la Mairie pour livrer des messages d’encouragement et de soutien. La recherche effrénée de prébendes ne doit jamais autoriser certains comportements. En 2009, quand il devait quitter la direction du cabinet, Khalifa m’avait remis son dossier pour un recyclage à la Banque mondiale Paris comme consultant. Malheureusement, son dossier était jugé «peu pertinent». C’est vous dire que Khalifa l’a souvent soutenu. Mais, pour quelqu’un qui a trahi Mamadou Diop, Djibo Kâ et Pape Diop, je ne suis pas étonné de ses prises de positions actuelles.

MAMADOU GAKOU, MOUVEMENT DOOMU KAOLACK YI BEUG KAOLACK «Laissons à la justice le soin de faire son travail»

Selon le responsable politique, l’affaire du maire de Dakar est actuellement entre les mains de la justice, de ce fait, les commentaires doivent cesser une bonne fois pour toute afin que les procédures judiciaires aboutissent au grand bonheur de l’opinion nationale et internationale. «Les commentaires vont bon train depuis que les poursuites ont été enclenchées par la justice. De mon point de vue, je trouve que c’est inopportun, car l’essentiel est de mettre fin aux agitations tous azimuts pour que le juge d’instruction et le procureur de la République éclairent la lanterne de l’opinion sur cette affaire dite de la caisse d’avances de la mairie de Dakar».

Par ailleurs, le secrétaire élu au Conseil départemental de Kaolack de souligner que le Président Macky Sall ne peut guerre être lié à ce dossier judiciaire. «Les citoyens doivent reconnaître que nous avons dans notre pays une nette séparation entre les pouvoirs, surtout entre l’exécutif et le judiciaire. Certes, il y a beaucoup de déclarations du côté de l’opposition foulant au pied cet acquis. N’empêche, cet état de fait existe et tout le monde doit contribuer à le renforcer».

Face à la presse locale, Mamadou Gakou est aussi revenu de long en large sur le programme de modernisation des foyers religieux. À l’en croire, la série d’inauguration de la salle de conférence de Médina Baye et la grande mosquée de Léona Niassène, montre à suffisance que des efforts sont consentis par l’État pour rénover les édifices se trouvant au niveau des cités religieuses telles que Touba, Tivaouane, Médina Baye, Léona Niassène, entre autres.

Par Moussa FALL(Tribune)

MOUSTAPHA THIAM KAMAL, APR DIEUPPEUL : «Ceux qui s’agitent sur l’affaire Khalifa Sall souffrent de la dictature de l’ego»

Estimant que «le temps de la justice n’est pas celui de la politique», Moustapha Thiam Kamal, responsable Apr à Dieuppeul – Derkhlé soutient que «ceux qui s’agitent souffrent de la dictature de l’ego».

 Par Charles T. SENGHOR

 Que vous inspire ce débat sur le placement sous mandat de dépôt de Khalifa Sall ?

 Je pense qu’on devrait dépassionner le débat en se rappelant que le président de la République avait promis une gestion vertueuse, transparentes des deniers publics. Il faut nécessairement une rupture. Malheureusement, ça tombe sur Khalifa Sall. Personne ne souhaite à personne d’aller en prison encore moins quelqu’un qui a servi ce pays pendant très longtemps.  Mais, si on se base simplement sur cet aspect, on ne va jamais avancer et on risque d’instaurer au Sénégal une jurisprudence qui risque de lui être fatale. Si aujourd’hui, les partisans de Khalifa Sall mettent la pression sur la justice pour libérer Khalifa Sall, ce peut être dangereux. Car, il n’y aura plus cette indépendance de la justice. Je pense que ceux qui sont en train de s’agiter en ce moment souffrent de ce qu’on appelle la dictature de l’ego. Ils veulent une chose et son contraire, à savoir l’indépendance de la justice mais en même temps ils veulent mettre la pression sur la justice. Ceci est inadmissible pour un pays comme le Sénégal. Les Sénégalais ne sont pas dupes.

 

S’ils s’agitent c’est parce qu’ils sont convaincus que c’est une cabale contre leur leader…

 

Ce n’est pas à eux de le dire. La seule personne apte à se prononcer sur cette affaire est le juge. La seule chose que Khalifa Sall devrait faire, c’est d’apporter les preuves de sa bonne gestion. Avec ces preuves, il ne peut pas être condamné. S’il est coupable, il peut aussi demander d’autres solutions. Me Tall Sall qui a la tête sur les épaules parle de remboursement.

 

En tant que responsable à Dieuppeul, que faites-vous pour redynamiser l’Apr ?

C’est vrai que l’Apr était à un moment très faible dans cette commune. Ce qui a été confirmée lors des élections locales de 2014 à cause des situations conflictuelles. C’est d’ailleurs ce qui a permis à Cheikh Guèye, qui n’est pas originaire de la commune, de gagner les élections en faisant dans l’escroquerie politique. Depuis cette date, on essaye de consolider les acquis et d’agir comme un seul homme. Nous sommes régulièrement sur le terrain pour faire des visites de proximité, discuter avec les populations.

L’histoire de «borom Ndakaru» ne va-t-elle pas plomber vos efforts ?

Je ne crois pas à cette affaire de borom ndakaru. Je pars de l’idée que le département de Dakar n’est pas une juridiction électorale en tant que telle. Il est constitué essentiellement des 19 communes de Dakar. Quelqu’un qui veut travailler pour le département doit nécessairement descendre au niveau de chacune de ces communes et faire le travail requis. Nous l’avons fait dans une dynamique pilotée par le ministre Diouf Sarr avec qui nous propulsons une dynamique unitaire pour que toutes les communes puissent se regrouper de temps en temps et approfondir le travail politique à la base. Nous l’avons fait parce que non seulement il est le seul maire élu dans ce département, mais encore, il a la confiance du chef de l’Etat. Nous pensons que le parti doit aider les responsables communaux pour réussir le travail. Il ne doit pas attendre que ce qui est arrivé en 2014 arrive pour ensuite sanctionner. Il faut prendre les choses en amont, travailler pour l’unification des responsables, taire les tendances pour le seul objectif de gagner les législatives.

 

Êtes-vous conscient que vous ferez face à une opposition qui s’organise ?

J’ai beaucoup de compassion pour cette opposition parce que très honnêtement, elle est passée à côté de la plaque. Je pense qu’elle aurait dû mettre à profit cette mobilisation, cette agitation sur le combat contre les accidents de la route, sur des questions qui portent sur l’intérêt de tous les Sénégalais. Aujourd’hui, ils s’agitent pour libérer quelqu’un en mettant la pression sur la justice. Il faut attendre que la justice se prononce. Tout ceci n’est que désinformation, intoxication, agitation pour déstabiliser le pays.

 

Vous ne croyez donc pas à cette coalition ?

 

Je ne vois pas ce qui peut rassembler cette opposition. Je pense que chaque parti doit aller travailler et conquérir la base avant de penser à quoi que ce soit. Ce n’est que de l’agitation qui va tomber à l’eau. Parce qu’elle a déserté le champ politique pour se lancer dans un débat qui ne la concerne pas, parce que la politique doit laisser la justice faire son travail, je pense que l’opposition ne doit pas privilégier la forme au détriment du fond.

Quelle est la place de l’Acbep ?

Je pense que la directrice générale est mieux habilitée pour en parler. Mais, cette agence est un instrument puissant pour l’Etat du Sénégal. Elle est en train de faire un travail extraordinaire dans ce pays. Et pour cela, je pense qu’il est important de lui donner plus de considération. Nous devons aussi faire l’effort de mettre en exergue les nombreuses bonnes réalisations que le président de la République est en train de faire à l’intérieur du pays.

VIOL D'UNE FILLETTE DE 9 ANS À BAMBILOR – Le ferrailleur Samba Baldé risque 10 ans de prison 

Un jeune ferrailleur répondant au nom de Samba Baldé a été attrait hier devant la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar. Le prévenu était poursuivi pour viol, pédophilie et détournement de mineure. Les faits remontent à la date du 15 février dernier. Ce jour-là, Samba Baldé n’a rien trouvé de mieux à faire que d’entraîner dans la forêt de Sangalkam la nommée A. Camara âgée à peine de 9 ans. Cette dernière qui était en train de raccompagner une de ses copines venue lui rendre visite, a été victime d’une attaque inopinée d’un individu ayant surgi de nulle part.

Sa copine a réussi à s’en fuir. Mais A. Camara moins chanceuse, a été prise et tenue en respect par son bourreau. Samba Baldé, puisque c’est de lui qu’il s’agit, l’a menacée avec une arme blanche avant de la pénétrer sans vergogne. Après avoir satisfait sa sale besogne dans la nature, il a abandonné sur place sa victime qui n’avait plus que ses yeux pour pleurer. Une dame qui revenait du boulot l’a croisée aux abords d’une route située à quelques jets de pierre du lieu du viol. A. Camara qui pleurait à chaudes larmes a été conduite à un endroit plus sûr. Entretemps sa mère avait lancé un avis de disparition au niveau de la brigade de gendarmerie de Sangalkam. Dans la foulée, elle a continué ses recherches pour retrouver sa fille qui était aux abonnés absents depuis le crépuscule. Coup du sort, c’est vers minuit qu’elle a retrouvé sa fille, contre toute attente, dans un piteux état. L’ayant bousculée de questions, la victime a longuement tergiversé avant de raconter sa mésaventure à sa mère. Celle-ci, toutes griffes dehors, après avoir eu l’identité du bourreau de sa fille, ne s’est pas fait prier pour déposer une plainte à la gendarmerie.

C’est sur ces entrefaites que le sieur Samba Baldé a été cueilli par les pandores et présenté au procureur de la République qui l’a écroué. Hier, lors de son procès, le prévenu a opté pour la dénégation systématique comme moyen de défense. À l’en croire, il n’est pas l’auteur du viol perpétré sur la petite A. Camara qu’il prétend n’avoir vue pour la première fois qu’à la brigade de gendarmerie. La victime qui a été constante depuis l’enquête préliminaire, a réitéré devant le juge pénal ses accusations. Sa mère qui s’est constituée partie civile dans cette affaire, a réclamé la somme d’un million Cfa, en guise de dommages et intérêts. Pour l’avocat du prévenu, son client doit être purement et simplement relaxé ne serait-ce qu’au bénéfice du doute. À l’en croire, le sieur Samba Baldé est innocent dans cette affaire. «Mon client n’a pas soustrait sa supposée victime de l’autorité de ses parents. C’est un viol imaginaire puisqu’aucune trace de lutte ou de sperme n’a été retrouvée par les enquêteurs lors de la reconstitution des faits», a-t-il soutenu. Prenant le contrepied de la défense, le maître des poursuites a requis une peine d’emprisonnement de 10 ans ferme à l’encontre du sieur Samba Baldé.

Pour le représentant du ministère public, la culpabilité du prévenu ne souffre d’aucune ambigüité. Il en veut pour preuve, le certificat médical délivré par l’homme de l’art faisant état d’une déchirure récente de l’hymen de la victime. Finalement, l’affaire a été mise en délibéré à la date du 22 mars prochain.

(Tribune)

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention