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Syrie : Damas frappée par deux attentats

La capitale syrienne a été la cible d’un deuxième attentat mercredi, moins de deux heures après une attaque-suicide meurtrière à l’intérieur d’un tribunal. La guerre en Syrie entre ce jour dans sa septième année et a fait plus de 465 000 morts.

"François Fillon va traîner sa mise en examen comme un boulet"

La mise en examen de François Fillon, mardi, n’est pas une surprise mais acte la tournure hors norme que prend la campagne présidentielle. Le politologue Philippe Breton dénonce un “désastre moral” pour la France.

La Fed s’apprête à augmenter le loyer de l’argent

Aux Etats-Unis, on s’attend à ce que la Réserve fédérale annonce ce mercredi une hausse significative des taux d’intérêt. Les Etats-Unis vont donc enfin sortir de cette longue parenthèse d’argent à bon marché.

Il est temps de serrer la vis du crédit car il n’y a plus l’ombre d’un doute sur la solidité de l’économie américaine. Non seulement la croissance est au beau fixe pour la huitième année consécutive, mais surtout la situation de l’emploi est plus que rassurante. Les créations d’emplois en 2017 sont encore plus importantes qu’en 2016, les salaires sont repartis à la hausse, un indicateur très suivi par Janet Yellen, la présidente de la Fed. Et les prix aussi remontent: alors qu’on a longtemps redouté la déflation, l’inflation est maintenant de 2%.

Rapport Ofnac – Les « forces vives du Coud »’, boucliers de leur Dg

La prétendue imminence de l’inculpation du directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), Cheikh Oumar Ann, épinglé dans le dernier rapport de l’Ofnac, suscite l’indignation d’organisations syndicales regroupées dans une entité dénommée « Forces vives du Coud ». Il s’agit des sections du Syndicat autonome des travailleurs des universités et des centres universitaires (Satuc), du Syndicat des travailleurs des établissements scolaires et universitaires (Stesu), de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal/Forces du changement (Cnts/Fc), du Syndicat national des travailleurs de la santé (Syntras), des amicales des femmes, des jeunes et des cadres du Coud, entre autres.

Dans un communiqué parvenu à Seneweb, les « Forces vives du Coud » pointent le rapport de l’Ofnac. Elles dénoncent : « Le principe du contradictoire est un principe de droit existant dans toute procédure, qu’elle soit civile, administrative, pénale ou disciplinaire, et qui signifie que chacune des parties a été mise en mesure de discuter l’énoncé des faits, les moyens juridiques qui leur ont été opposés et les conclusions des investigations ou enquêtes, posent-ils. C’est pourquoi, à l’image des rapports de l’Ige et de la Cour des comptes, et dans un souci de donner plus de crédit au rapport de l’Ofnac, institutions à laquelle les Sénégalais fondent beaucoup d’espoirs, il nous semble nécessaire de respecter ce principe en permettant aux personnes mises en cause de connaître les conclusions des investigations. »

Les soutiens du directeur du Coud regrettent que les intéressés découvrent les conclusions du rapport dans la presse. Pour eux, « un tel procédé conduit à une lecture biaisée des rapports ». Ils poursuivent : « Jusqu’à ce jour, le Coud n’a pas reçu le rapport définitif de l’Ofnac. Il a été informé à travers la presse comme tous les autres Sénégalais. Il en est de même lorsqu’on nous apprend que ledit rapport est sur la table du Procureur. »

L’Ofnac reproche à Cheikh Oumar Ann des irrégularités dans la gestion des fonds du Coud : fractionnement de marchés, octroi de subventions irrégulières, notamment.

Auteur: Youssoupha Mine – Seneweb.com

L’émouvante histoire du bébé sorti indemne d’un violent accident

Samedi dernier, une collision entre deux véhicules à “Allou Kagne” a occasionné 3 morts (2 dames et un homme). L’une d’elles portait un bébé de 2 mois au moment de l’accident. Un enfant qui, heureusement, est sain et sauf.

Le corps de la jeune dame est toujours à la morgue de l’hôpital régional de Thiès et l’enfant gardé au service social du même hôpital. Seneweb revient sur cette douloureuse affaire pour aider à retrouver leurs parents.

Vendredi 3 mars 2017. En début d’après-midi, une jeune dame, à peine 20 ans, haute de 1,72 mètre, teint noir, habillée d’une robe rouge, un bébé de 2 mois sur le dos (voir photo), quitte le domicile familial à Richard Toll. Direction : Pire, dans le département de Tivaouane. Elle n’a pour seul bagage qu’un sac contenant quelques effets de son enfant. Elle part à la recherche de l’homonyme de son bébé, Ndoye Bane en l’occurrence.

Lorsqu’elle débarque dans la ville de l’animateur de la Rfm, le soleil avait fini de se retirer et le muezzin appelait à la prière du soir. Elle sera orientée jusqu’au domicile des Bane et trouvera un vieux attentionné qui, pour rien au monde, ne peut laisser une jeune dame seule avec son enfant, braver la nuit. Il l’oblige à passer la nuit, promettant de lui donner le numéro de son fils, le lendemain. Rassurée, la jeune dame profite d’un sommeil réparateur.

Le lendemain matin, un copieux petit-déjeuner lui est servi avant qu’elle ne prenne congé de ses hôtes. Elle embarque, avec son bébé, à bord d’un car «Ndiaga Ndiaye» immatriculé ZG-7647-A, en partance pour Dakar.

À la sortie de Thiès, à hauteur de “Allou Kagne”, le, car entre en collision avec un bus immatriculé DL-0174-C. Il est 12 heures passées de quelques minutes. La violence du choc est telle que la jeune dame décède sur le coup avec une autre dame et un homme. Quinze personnes se retrouveront avec des blessures. Le bébé, lui, est sain et sauf. Les corps et les blessés sont acheminés à la morgue de l’hôpital El Hadji Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès par les sapeurs-pompiers.

Dès le lendemain, les dépouilles de deux des défunts sont récupérées par leurs parents et inhumées. Mais celle de la jeune dame est toujours à la morgue, presque deux semaines après l’accident. Son enfant est également gardé au service social de l’hôpital régional de Thiès. La raison est que la brigade de gendarmerie de Pout, qui a ouvert une enquête, n’a toujours pas pu identifier la défunte et le bébé. Aucun parent ne s’est encore manifesté.

Écoutez l’appel lancé par Mme Marème Christine Diouf, chef du service social de l’hôpital régional de Thiès

 

Auteur: Daouda Mine – Seneweb.com

Trump, sa feuille d'imposition 2005, ses déductions fiscales

C’était l’une des questions que tout le monde se posait durant la campagne pour l’élection présidentielle : est-ce que Donald Trump paye ses impôts ? Personne n’était en mesure de répondre et le candidat refusait de rendre public ses déclarations contrairement à la tradition. Mais mardi 14 mars, une chaîne de télévision a mis la main sur les deux premières pages de la déclaration datant de 2005 du milliardaire américain. Donald Trump paye bien ses impôts, en tout cas pour ce qui est de l’année 2005, même si son taux d’imposition est inférieur comparativement à d’autres grandes fortunes aux Etats-Unis.

Des comptes Twitter piratés en masse par des pro-Erdogan

Amnesty International, le ministère français de l’Economie, la marque Nike ou encore Alain Juppé… De très nombreux comptes du réseau social ont été détournés mercredi 15 mars. Le message, hostile à l’Allemagne et aux Pays-Bas, évoque le référendum constitutionnel du 16 avril en Turquie et émanerait d’activistes pro-Erdogan.

Législatives aux Pays-Bas: participation en hausse à la mi-journée

Un scrutin-test pour l’Europe se déroule ce mercredi 15 mars 2017 aux Pays-Bas. Il s’agit d’élections législatives, les premières dans un pays fondateur de l’UE depuis que les Britanniques ont choisi de quitter l’Union. Dans un contexte de montée des nationalismes en Europe, et à la veille d’élections majeures en France et en Allemagne, le score de l’extrême droite islamophobe et eurosceptique sera scruté de près. Ces derniers jours, la campagne électorale néerlandaise a été marquée par une crise diplomatique entre La Haye et Ankara.

La Gambie demande l'extradition de ses fils dictateurs

La Gambie a officiellement demandé une entraide judiciaire à certains pays pour obtenir l’extradition de Gambiens en fuite, après avoir été cités dans des cas avérés d’assassinats, d’enlèvements, de tortures et de crimes sous le règne du dictateur Yahya Jammeh. C’est le ministre de l’Intérieur gambien Mai Ahmad Fatty qui en a fait la révélation, ce vendredi, au moment de faire l’état des lieux sur l’enquête relative à la mort en détention de l’opposant Solo Sandeng, en avril 2016.

Aujourd’hui sous le coup d’une inculpation en Suisse pour crimes contre l’humanité, Ousmane Sonko, le principal cerveau et chef opérationnel de l’appareil répressif de Yahya Jammeh, est aussi désiré par la nouvelle administration du Président Adama Barrow qui souhaite le faire juger en Gambie, selon le ministre Mai Fatty.

Des sources sûres informent d’ailleurs EnQuête que des responsables de l’ONG Trial, qui ont constitué le dossier en instruction par la justice suisse, sont en Gambie depuis quelques semaines, pour interroger des témoins et effectuer des recoupements à la suite de dénonciations relatives aux actes supposés avoir été commis par l’ancien bras droit de Yahya Jammeh.

En Gambie, l’espoir subsiste donc qu’Ousmane Sonko soit bientôt traduit devant les juridictions de son pays. En fuite depuis septembre dernier, celui qui a été ministre de l’Intérieur assurait la coordination entre la NIA, la police secrète de Yahya Jammeh, les Junglers réputés pour leurs violence et leurs assassinats sur commande, la prison Mile Two et les autres centres secrets de détention et de torture d’où leurs victimes revenaient souvent les deux pieds en avant, si elles ne disparaissaient tout simplement à tout jamais.

“Nous avons activé et invoqué les mécanismes internationaux de coopération et d’entraide judiciaire en matière de rapatriement de suspects de crimes se trouvant hors de nos juridictions. Il s’agit de fugitifs comme l’ancien ministre de l’Intérieur Ousmane Sonko, etc. Nous avons déjà obtenu un premier succès avec l’extradition de Bora Colley, arrêté au Sénégal et aujourd’hui détenu en Gambie”, renseigne Mai Fatty.

“Nous avons constitué une équipe d’enquêteurs qui continue de travailler sur toutes les pistes à travers le pays. Et 14 Junglers (les tueurs à gages de Jammeh) sont déjà arrêtés, dont certains sont déjà jugés pour tortures et meurtres. C’est le cas de l’ex-directeur général de la NIA, Yankuba Badjie”, ajoute le ministre gambien de l’Intérieur. Il faut tout de même souligner que plusieurs suspects restent encore en fuite.

En attendant, il souligne, dans le cadre des enquêtes, que plusieurs avancées ont été notées sur des cas spécifiques de disparitions, d’assassinats, d’actes de tortures, de viols et d’autres crimes commis par les tueurs à gage de Yahya Jammeh et leurs complices dans l’administration publique et l’appareil sécuritaire de ce dernier.

Mai Ahmad Fatty a ainsi indiqué que des dossiers judiciaires ont déjà été constitués contre l’ancien directeur de la NIA Yankuba Badjie, ses assistants Sheikh Omar Jeng et Louis Gomez, dont les agents enlevaient et torturaient des Gambiens pour leur extorquer des aveux. Il en va de même pour l’ex-régisseur de la prison Mile Two, David Colley qui livrait les prisonniers à la torture et aux exécutions extra judiciaires.

Le dossier le plus attendu dans ce sens est sans doute celui de Solo Sandeng, militant de l’opposition gambienne, dont la mort, l’année dernière, a déclenché une série de manifestations annonciatrices de la chute du dictateur Yahya Jammeh. Ses restes ont été exhumés, samedi, par une équipe d’enquêteurs, en présence de son fils Muhammed Sandeng et son frère Famara Sandeng.

Et comme l’avait indiqué EnQuête, au lendemain de l’annonce de sa mort, c’est bien à Tanji, derrière les locaux de la NIA, près du mur de clôture, que le corps a été exhumé. Il reviendra désormais aux enquêteurs de prouver qu’il s’agit bien du corps de Solo Sandeng et de déterminer les causes de sa mort, selon le ministre Mai Fatty.

Lu Shan pdg CRBE"L'autorout Ila Touba sera livré avant fin décembre 2017

Le président de la République, Macky Sall, entame une visite officielle en Suisse du 19 mars au 22 mars, selon les autorités helvétiques. Il sera accueilli par Doris Leuthard, présidente de la Confédération suisse, cheffe du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (Detec).

GENEVE- (Suisse)- A Berne, la capitale fédérale, l’hymne national du Sénégal sera exécuté. Macky Sall, président de la République du Sénégal aura également droit aux honneurs militaires, selon un communiqué des autorités suisses qui annoncent au programme des entretiens officiels entre les délégations suisse et sénégalaise conduits par Macky Sall et Doris Leuthard.

Par ailleurs, le conseiller fédéral, Didier Burkhalter, chef du Département fédéral des affaires étrangères (Dfae), sera présent aux entretiens officiels, de même que Dagmar Schmidtt, ambassadeur suisse à Dakar. Au domaine du Lohn, le Conseil fédéral (ndlr : gouvernement suisse) offrira un déjeuner officiel en l’honneur du chef de l’État sénégalais.

Côté sénégalais, la délégation officielle sera composée, au-delà des diplomates en poste en Suisse, de nombreux ministres, Sidiki Kaba, garde des Sceaux, ministre de la Justice, Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Amadou Bâ, ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, Khoudia Mbaye, ministre de la Promotion des Investissements, des Partenariats et du Développement des téléservices de l’État, Mamadou Talla, ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Matar Bâ, ministre des Sports, Oumar Demba Ba, ministre, conseiller diplomatique du président de la République, etc. A la fin de la visite officielle à Berne, les deux présidents vont rencontrer la presse. Après Berne, Macky Sall sera à Genève, pendant deux jours, pour une série d’activités.

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