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Mamadou Lamine Diallo de Tekki pose sur la table la question de la ‘’réserve de précaution’’ qui se situe à 63 milliards FCFA

Le Mouvement Tekki dans sa Question hebdomadaire a abordé le cas des 17 milliards de la réserve de précaution de 2015. « Le régime de Macky Sall a décidé de créer une réserve de précaution dans le budget de l’Etat. En 2015, elle se situait à 53 milliards et en 2016 à 63 milliards. Pour 2015, 17 milliards ont été́ avances pour financer les projets du Président Macky Sall. Où en sommes-nous ? Y a-t-il des justificatifs ‘’comme on le demande au Maire de Dakar’’ ? Qu’attendent les corps de contrôle comme l’IGE pour informer les citoyens ? En vérité́, la libération sélective des rapports de l’IGE par le Président de la République est inacceptable ; certains rapports sont mis sous le coude», déclarent Mamadou Lamine Diallo et ses camarades.

«On comprend mieux pourquoi le FMI estime qu’il y a une urgente nécessité de renforcer le Trésor qui fait face à la pression des arrimeras et les difficultés du système postal et attend l’audit prévu pour fin mars 2017 », ajoutent-ils avant de revenir sur une revendication permanente : « Le ridicule ne tue pas au Sénégal. Le Compradore, Facteur de Frank Timis est redevenu volubile et s’efforce de constituer une clientèle politique pour en faire du bétail électoral. Qu’est-ce qu’il dit, lui le mandataire, des décrets N° 2012-596 et 2012-597 du 19 juin 2012 portant approbation du permis de recherche de Petro-Tim Limited contenant des informations mensongères sur Petro Ascia Ressources Limited créer le 6 mars 2012 ? Les ressources gazières appartiennent au peuple sénégalais et non à la famille Faye-Sall.»

Entre persécution et délire de persécution : la quête d’un électorat

Par Ndiaga SYLLA

Une pratique bien ancrée au Sénégal depuis les chemins de fer jusqu’aux tunnels du sommet, les chantiers de l’indépendance firent tant de martyres. Et les ayants causes furent indemnisés des fonds de caisse destinés à l’achat de nourriture pour les orphelins, à soigner les dames, à soutenir les parents privés de bourse familiale, à évacuer les souffrants et à inhumer les défunts qui quoique accompagnés des prières des guides ne cessent d’être pleurés par les administrateurs et les régisseurs.

L’Alternance politique mit les caisses pleines au point que les dépassements des fonds politiques passent inaperçus tandis que l’Acte 3 de la Décentralisation continue d’en remplir exclusivement d’autres. Le procureur, excluant toute trêve judiciaire, aurait voulu se procurer la république en misant sur le temps de la justice qui chevauche le temps électoral.

L’avènement des deux alternances engendre une classe politique, nantie des fonds publics, est capable de prendre en charge les préparatifs, les primes, les supporters et se procurer un dopage aussi efficace que celui qu’emploient les tenants du titre.

Le Président Senghor et WADE se vouaient un respect mutuel. Entre Diouf et l’opposition, la considération était réciproque malgré les vicissitudes du champ politique. Il est vrai que l’opposant Wade, ne gérant pas de deniers publics, était le plus souvent inculpé pour troubles à l’ordre public. Le président Wade a réitéré maintes fois les appels au dialogue.

Mais, il plus que regrettable de constater que le respect et l’élégance républicaine n’est plus de mise dans le jeu du pouvoir qui oppose des gens d’une même génération. Le combat est plus redoutable lorsqu’il oppose d’anciens compagnons, voire des amis qui ont quasiment tous exercé le pouvoir. Le plus grand trophée est décerné à celui qui accomplit le parricide. Les générations des indépendances prônent encore leur suprématie malgré l’ère de l’internet et la nécessité de la modernité. Ce qui est plus désolant, c’est qu’on ne pense plus au peuple lequel a cessé depuis longtemps de penser, il subit le jeu malsain du pouvoir. J’en suis révolté !

La plupart des compétiteurs, il est certain, ont dû puiser, à coup de millions ou de milliards, des ressources durant le règne des régimes antérieurs et certains y ajoutent les fonds de caisse. Cela rappelle la boutade de Péguy : «Kant a les mains pures mais il n’a pas de mains». On s’est focalisé sur les avoirs de Meïssa alors que nombre de mains, même lavées à grande eau, ne mériteraient même pas d’user des cuillères rangées depuis longtemps dans les tiroirs.

Cette compétition met hors jeu une certaine catégorie quoiqu’elle veuille s’engager à toutes échéances à défaut de définir unilatéralement les règles du jeu comme lors de la dernière compétition ou se proclamer tout simplement arbitre partisan. Tant de béliers égorgés avant le jour J, sous le prétexte qu’ils soient blessés ou souffreteux, ne sauraient être comptabilisés. C’est un hors-jeu.

C’est à juste titre que Abdou Ndukur Ndao s’interroge: “A moins d’être dans la surenchère ou la démagogie, comment dans un pays qui se respecte, on peut prendre autant de temps à discuter de la différence entre caisse d’avance et fonds politiques ?”

A lieu de faire de vains sacrifices, les seniors qui ont déjà manqué de jouer un match officiel devraient s’entraîner et se préparer à livrer un ultime et loyal combat. Vouloir détruire ses frères dans l’unique but de les écarter de la course au trône, n’est guère un signe de grandeur. C’est refuser de rester un homme d’honneur ! C’est aussi ignorer la puissance de la volonté divine ! Tel était notre propos contenu dans une contribution publiée le 7 février 2015 et intitulée : « Wade et Macky, la bataille du trône : vers le syndrome Maodo » 

L’exercice du droit de suffrage et d’éligibilité demeure si sacré, c’est l’essence même de la démocratie. Il faudra préserver ces droits fondamentaux dans un climat pacifique.

Mais en attendant, le juge devrait-il accepter le surclassement ou la fraude d’où qu’ils proviennent ? Le nouvel adversaire, en usant de la caisse, a pris trop d’avance sur les autres compétiteurs au point d’être placé dans la caisse. En tout état de cause, quelqu’un devra forcément encaissera la mise. Notre souhait le plus ardent est que le peuple gagne.

Pourquoi aucune des réformes de la décentralisation, pas même la dernière, n’a clarifié la nature de ces fonds-là alloués à la Ville de Dakar ? N’est-ce pas “des fonds politiques” d’après ce que laisse entendre le Maire de la capitale en se fondant sur une pratique jurisprudentielle qui remonte à 1920?

A notre avis, il aurait été plus judicieux que les recommandations issues du rapport de la mission de vérification de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) impactent la clarification et la réglementation de ces fonds ou éventuellement leur suppression, à l’aune du nouveau statut de la Ville plutôt que de s’acharner sur la gestion antérieure dans ce contexte de précampagne électorale à moins de trois mois des investitures en perspective des prochaines législatives.

Par devoir de vérité, il faudra transmettre systématiquement à la justice tous les rapports des organes de contrôle et de vérification des finances publiques qui relèveraient des manquements graves dans la gestion des deniers publics afin de garantir plus d’équité et de transparence dans la reddition des comptes.

 

LA COALITION SAMM LI NU BOKK/ALTERNATIVE SOLIDAIRE SUR L’AFFAIRE KHALIFA SALL : « IL S’AGIT BEL ET BIEN D’UNE HONTEUSE OPERATION DE MISE AU PLACARD D’UN ADVERSAIRE POLITIQUE»

De l’avis de la coalition Samm Li Nu Bokk, il est clair que l’affaire de la caisse d’avances de la mairie de Dakar qui vaut au maire de la capitale un séjour carcéral s’agit bel et bien d’une honteuse opération de mise au placard d’un adversaire politique, à la veille d’échéances électorales jugées décisives. Actunet vous propos in extenso la déclaration rendue publique par Madièye Mbdoj et Cie.

Une semaine que le Maire de Dakar Khalifa Sall a été arrêté, inculpé et mis en prison. Selon le Président Macky Sall et les thuriféraires de sa coalition BBY, voici les ‘’faits’’ : «Le Sénégal, sous le Président Macky Sall, a fait le choix définitif de la lutte contre l’impunité et la délinquance financière… C’est donc pour l’utilisation frauduleuse de fonds publics destinés à la régie d’avance de la Mairie de Dakar, à hauteur du montant global d’1.830.000.000 CFA, que Khalifa Sall et ses collaborateurs sont inculpés par le Doyen des Juges, pour association de malfaiteurs, escroquerie portant sur des deniers publics, blanchiment de capitaux et détournement de deniers publics» (Communiqué du SEP de BBY).

Mais tout dans le processus et le montage de cette affaire montre que, loin de toute préoccupation de ‘’gestion sobre et vertueuse’’ figée du reste dès le départ au stade de slogan creux, il s’agit bel et bien d’une honteuse opération de mise au placard d’un adversaire politique, à la veille d’échéances électorales jugées décisives.

Le Sénégal, Pays Pauvre Très Endetté, est malade du pillage multiforme de ses ressources par des élites dirigeantes parasitaires et peu soucieuses de l’intérêt général. Les fonds spéciaux ou ‘’fonds politiques’’ ou ‘’caisses noires’’, institués depuis l’époque coloniale, ont été maintenus et même élargis, pour favoriser l’entretien et la reproduction du système de prédation et d’exploitation en vigueur dans notre pays. Avec ces fonds, l’on est autorisé à dépenser ‘’légalement’’ l’argent des contribuables de façon discrétionnaire, sans contrôle ni reddition de comptes, selon seulement le bon vouloir du prince ou de l’autorité concernée : 08 milliards pour le Président de la République, 500 millions pour le Président de l’Assemblée nationale, sans oublier la Primature, le CESE, le HCCT…

Ce dispositif a existé et a prospéré à la Mairie de Dakar, depuis 1920 souligne Khalifa Sall ! Un tel système, opaque et injuste, doit être aboli et banni à jamais. La méprise de Khalifa Sall a été certainement de sous-estimer le cynisme, l’anti-républicanisme et la roublardise de ces gens là au pouvoir : tant qu’il était dans leurs bonnes grâces, il a pu user de ce dispositif sans conséquences fâcheuses pour lui et ses collaborateurs ; mais le jour où il a commencé à prendre ses distances et à afficher ses propres ambitions, le couperet lui est tombé net, au nom soit disant de la lutte contre l’impunité, de l’obligation de rendre compte et patati patata ! Un coup apparemment imparable, avec toutes les allures de ‘’légalité parfaite’’, un coup tordu cousu de fil blanc au plus haut sommet de l’Etat APR incluant les alliés complices et autres comparses. Quelle supercherie juridique, quelle escroquerie politicienne !

En vérité, dans son esprit comme dans son fonctionnement, malgré les apparences d’une régie d’avance qui, aujourd’hui seulement, servent d’alibi et d’armature juridique pour le mettre en prison, le fonds utilisé par Khalifa Sall « n’est pas une caisse d’avance », comme l’a déclaré d’ailleurs publiquement le ministre APR Abdoulaye Diouf Sarr, à l’occasion du lancement de sa campagne de ‘’conférences itinérantes’’ dans les communes de Dakar. Le Maire Moussa SY courageusement confirme, en témoignant clairement de l’utilisation de cette caisse comme fonds politique, validé et autorisé comme tel depuis 2009 dans son existence et son fonctionnement, au vu et au su de tous- APR, PS, AFP et tutti quanti, tous ces gens là qui aujourd’hui accusent hypocritement et sélectivement le Maire Khalifa Sall.

Du reste, faut- il le préciser, ce qu’ici l’IGE a explicitement demandé, c’est de mener une enquête sur la création et le fonctionnement de la régie d’avance de la Mairie de Dakar : une telle recommandation, mise délibérément de côté, aurait été certainement fort révélatrice de pratiques largement partagées et non imputables sélectivement au seul Khalifa Sall. Comment peut on brandir l’argument de la reddition des comptes alors que tous ceux qui sont inquiétés, poursuivis, arrêtés, emprisonnés ou radiés avec une célérité sélective sont, comme par hasard, des responsables politiques en opposition au pouvoir en place : Bamba Fall, Barthélémy Diaz, Abdoul Mbaye, Ousmane Sonko, Khalifa Sall, peut être demain Cheikh Bamba Dieye, Malick Gakou  ou un autre? Comment peut-on brandir l’argument de la reddition des comptes pendant que plusieurs Rapports de l’IGE, de l’OFNAC, de l’ARMP, de la Cour des Comptes, de la CENTIF dorment impunément dans les tiroirs ?

Comment peut- on brandir l’argument de la reddition des comptes quand l’IGE Nafy Ngom Keïta se voit limogée pour avoir épinglé le DG du COUD, lequel n’a trouvé rien de mieux que d’injurier publiquement et effrontément ce haut fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions, sans aucune suite à ce jour de la part de nos Républicains en chef ? Que dire des rapports sur PETROTIM, Frank Timis et le frère du Président ? Sur le titre Bertin de Bambilor incriminant entre autres MM. Amadou Bâ, Mamadou Mamour Diallo, anciens responsables aux Impôts et Domaines puis bombardés responsables politiques APR ? Faut-il, au nom de la promotion de la transhumance, passer en pertes et profits les scandales révélés dans les Rapports sur les malversations commises à l’occasion du FESMAN ou sur le pillage des fonds de la LONASE et du Ministère de la Famille, pour ne citer que ceux là ? Eloquentes illustrations de la part du Président Sall, Messieurs de BBY, de votre « choix définitif de la lutte contre l’impunité et la délinquance financière » !

Il faut se rendre à l’évidence : l’escroquerie politicienne et le traquenard judiciaire sont déployés toutes voiles dehors pour espérer abuser les citoyens honnêtes. Mais assurément la justice ne saurait exister là où ne règne ni indépendance des juridictions ni égalité des citoyens devant la loi, en totale contradiction avec les dispositions du Préambule de la Constitution du Sénégal, laquelle préconise l’instauration «d’un Etat de droit dans lequel l’Etat et les citoyens sont soumis aux mêmes normes juridiques sous le contrôle d’une justice indépendante et impartiale ». La refondation de la République et de ses instituions est donc plus que jamais une exigence démocratique et de progrès pour notre pays, surtout après le référendum maquillé et tronqué du 20 mars, la réforme de la magistrature dénoncée publiquement par l’Union des Magistrats du Sénégal, la mise en cause de l’indépendance de la justice exprimée publiquement par des magistrats lucides et courageux tel le juge Ibrahima Hamidou Dème.

Comment s’étonner alors des procès à la carte et à la tête du client, sur instruction ou inspiration de l’Exécutif ? A la traque des biens mal acquis, elle aussi maquillée, s’est substituée la traque des opposants et des lanceurs d’alerte qui éclairent et dénoncent la mal gouvernance, la corruption, le népotisme et le clientélisme.

La Coalition Sàmm Li Nu Bokk/Alternative Solidaire fustige fermement toute justice à deux vitesses qui fait planer l’insécurité juridique sur la tête des opposants, des démocrates et patriotes sincères, qui décrédibilise l’institution judiciaire en érodant la confiance du peuple à son endroit. Elle exige la déclassification de tous les Rapports des organes de contrôle, la suppression des Fonds spéciaux dits Fonds politiques ou à tout le moins, l’institution d’un dispositif clair et transparent encadrant leur mise en place, leur fonctionnement et utilisation, sur la base d’une réglementation assurant leur contrôle et la reddition de comptes par tous sans exception, sans oublier la limitation stricte et l’encadrement rigoureux des caisses d’avance, afin que nul n’en ignore et que tous le voleurs rendent gorge : notre patrimoine national ne s’en portera que mieux !

La Coalition Sàmm Li Nu Bokk/Alternative Solidaire exprime sa solidarité entière à l’égard de Khalifa Sall et de ses collaborateurs victimes d’une procédure de règlement de comptes politiciens à des fins électoralistes et d’accaparement du pouvoir, de tous les pouvoirs. Elle exhorte l’ensemble des forces vives et le peuple sénégalais tout entier à se mobiliser et à se dresser vigoureusement contre l’arbitraire et le maa tey du pouvoir de dictature émergente de l’Etat-Parti APR. La Coalition Sàmm Li Nu Bokk/Alternative Solidaire met solennellement en garde le Président de la République, son Gouvernement, son Assemblée, sa Justice et ses autres Institutions contre le piétinement flagrant de la Constitution, contre les graves menaces qu’ils font peser sur l’unité nationale, la stabilité et la paix civile dans notre pays, au nom d’une folle ambition de forcing du destin en vue d’un hypothétique second mandat, quel qu’en soit le prix !

Actunet.sn

 

IDRISSA DIALLO, MAIRE SOCIALISTE DE DALIFORT : « Macky sera battu à plate couture »

«Macky Sall est vomi par tout le monde. C’est pourquoi, il a peur. De la réduction de son mandat, au programme Yonou Yokouté en passant par le Plan Sénégal Emergent, il n’a fait aucune réalisation. Son sort se rapproche de celui Yaya Jammeh. Et qu’il se le tienne pour dit, il sera battu à plate couture».

LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMINALITE : Quand l’absence de preuve plombe les enquêtes

L’absence de preuves nuit souvent aux enquêtes sur la cybercriminalité, déplore le représentant de l’Union européenne (Ue), Clemens Schroter. Par ailleurs, d’autres acteurs de la lutte contre les cybercriminels souhaitent une coordination et une coopération effectives entre Etats. Clemens Schroter et les autres intervenants sur la question, prennent part à l’atelier régional de formation des formateurs sur la cybercriminalité et la preuve électronique ouvert hier, mardi 14 mars à Dakar. Plusieurs juges et procureurs de l’Afrique de l’Ouest sont conviés à cette rencontre qui dure 4 jours

GOUVERNANCE DES RESSOURCES MINIERES : Une grande nébuleuse selon Elimane Haby KANE

On assiste à une gestion opaque des ressources minières du Sénégal. Tout se passe entre les sociétés minières, le ministre de tutelle et le président de la République. Les Sénégalais doivent rester vigilants et exigeants par rapport à la gestion de cette rente. C’est l’appel lancé aux Sénégalais par Elimane Haby Kane, expert en Gouvernance-Développement international, management de projet et responsable du volet gouvernance à Oxfam au Sénégal. Il animait samedi dernier, à Dakar, une conférence publique sur la thématique: «La Gouvernance des ressources naturelles au Sénégal» dans le cadre des activités mensuelles des «samedis de l’Economie», activités mensuelles de l’Africaine de recherche et de coopération pour le développement endogène (Aracade), en collaboration avec la Fondation Rosa Luxemburg.

EMEUTES A KOLDA : L’armée « sauve » la police

Kolda a renoué avec les chaudes journées de manifestation. Une matinée d’émeutes entre des jeunes conducteurs de motos Jakarta et policiers accusés d’avoir voulu tuer un des leurs a paralysé la commune hier, mardi 14 mars 2017.

AMSATOU FALL, DIRECTEUR EXECUTIF DE LA LIGUE DE FOOTBALL PROFESSIONNEL «Si le contrat avec Orange n'est pas renouvelé… on trouvera un autre sponsor»

 

La Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) n’a pas encore renouvelé son contrat de sponsoring avec Orange qui a duré 4 ans. Rappelons que pour la période 2013-2017, la Ligue de football avait reçu une enveloppe de 1,590 milliard de francs Cfa de l’opérateur de téléphonie mobile.

Directeur exécutif de la Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) Amsatou Fall affirme qu’ils sont toujours en pourparlers avec l’opérateur de téléphonie mobile Orange pour renouveler le contrat. Après une durée de 4 ans, le partenaire leader de la LSFP traîne les pieds dans le renouvellement de cette union. Ce qui pousse certains clubs, comme Teungueth FC et NGB à chercher des sponsors.

Interpelé sur cette affaire, Amsatou Fall explique que «le partenariat avec notre sponsor est arrivé à son terme cette année. Aujourd’hui, nous sommes en négociation avec Orange pour un autre contrat de partenariat, mais ce n’est pas encore finalisé. C’est la raison pour laquelle les équipes ne portent pas les maillots floqués du logo de l’opérateur de téléphonie».

Quid à chercher un autre partenaire pour accompagner le football professionnel ? «Il faut d’abord que l’’on sache si le partenariat avec Orange est terminé. Pour le moment, les négociations continuent. Car la subvention des équipes en Coupe de la ligue était allouée par le partenaire à hauteur de 1,5 million de francs CFA pour les deux premiers tours. Et la somme augmente au fil du tournoi. Comme on ne peut pas subventionner les équipes, elles se doivent donc de chercher leurs propres sponsors en attendant la suite des pourparlers. Des équipes comme Teungueth FC et Niary Tally en ont trouvé. Pourquoi pas les autres ?», suggère-t-il.

Et de souligner, avec l’énergie du désespoir, que «si le contrat n’est pas renouvelé sous peu, nous chercherons un autre sponsor. Nous donnons tout pour que le renouvellement se fasse. Mais si tel n’est pas le cas, nous en trouverons un autre partenaire».

Fafi DIOUF

Intercession d’Al Amine – Khalifa crache sur une liberté quémandée

 

Par la voix de Barthélémy Diaz, le maire de Dakar, Khalifa Sall crache sur   une liberté quémandée. Le maire de Dakar qui s’est servi de Barthélémy Diaz pour réagir à l’initiative du porte parole de la famille tidjane de Tivaoune a fait savoir qu’il n’est pas demandeur de faveur est que s’il ya erreur à l’imputer, c’est celle de vouloir devenir président du Sénégal.

Par Ndiogou CISSE

Le maire de Dakar ne veut pas une liberté quémandée. La révélation est de Barthélémy Diaz qui informe avoir reçu un message de Khalifa Sall lui demandant de faire savoir qu’il n’est pas « demandeur de faveur pour sortir de la prison centrale de Dakar ». La précision du maire de Mermoz Sacré Cœur fait suite à la sortie de Serigne Abdoul Aziz Sy AL-Amine qui a déclaré que « le maire de Dakar a commis des erreur dans l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar qui lui vaut d’être incarcéré à Rebeuss».  En se prononçant sur l’emprisonnement de Khalifa Sall, Al amine qui demande sa libération a fait savoir que « le maire de Dakar s’est retrouvé à Rebeuss à cause de son entourage » . En tout cas, en réaction à l’initiative du porte parole de la famille tidjane de Tivaoune, Khalifa Sall qui séjourne depuis quelques temps à la prison de Rebeuss a transmis un message que Barthélémy Diaz confirme en être le rapporteur dans lequel , son camarade, Khalifa Sall informe qu’il n’est pas demandeur de faveur pour être libre . Tout en remerciant le porte-parole du khalife des tidjanes par rapport à l’attention qu’il porte à l’affaire de la caisse d’avance en question, Barthélémy Dias a soutenu pour le compte du maire de Dakar, « que Khalifa sall, n’étant pas coupable de ce qu’on lui reproche, n’a pas à quémander une liberté » Le maire de Mermoz qui n’a pas raté Macky Sall dans sa sortie a précisé « que la seule erreur de khalifa Sall, c’est de nourrir une ambition présidentielle pour le Sénégal où il est né et y a grandi »

Khalifa dérégle l’Apr – Son arrestation fissure le camp de Macky

 

L’emprisonnement de khalifa Sall est entrain d’installer le malaise à l’Alliance pour la République s’il il ne va l’imposer . A la sortie de Mbaye Ndiaye justifiant l’arrestation du maire de Dakar pour des raisons politiques, Moustapha Diakhaté dont la position contraste avec celle d’Abdou Abel Thiam , qualifie les propos du ministre Ndiaye de « scandaleux et irresponsables ».

Par Ndiogou CiSSE

Après l’ancien porte parole du président Sall , Abou Abel Thiam qui a déclaré que « la justice ne sert pas le régime de Macky en arrêtant Khalifa Sall, c’est autour du président du groupe parlementaire de la majorité, Moustapha Diakhaté de descendre Mbaye Ndiaye en qualifiant sa sortie de « scandaleuse et irresponsable ». En s’attaquant à la sortie du ministre d’Etat Mbaye Ndiaye, Moustapha Diakhaté a laissé entendre « qu’il n’y a rien de politique dans l’affaire Khalifa Sall et que toutes les personnes épinglées pour mauvaise gestion pa l’IGE vont répondre devant la justice qu’importe leur appartenance politique » . Le président du groupe parlementaire de la majorité qui a fait référence aux maires Apéristes et de Benno Bok Yakar « démasqués » pour faute de gestion, ajoute à la liste de ceux qui doivent être poursuivis, tous ceux qui ont été épinglés par la Cour des Comptes, l’Ofnac etc. Au micro de Zik Fm, le président du groupe parlementaire Benno Bok Yakar a déclaré que : «l’affaire Khalifa est loin d’être politique et qu’il est poursuivi sur la base d’un modus operandi qu’il a choisi pour gérer la caisse d’avance de la mairie de Dakar ». Moustapha Diakhaté qui invite le ministre Mbaye Ndiaye à revoir sa position n’est donc pas du même avais que Abou Abel Thiam. Le ci devant président du collège de l’Artp et responsable Apr à Matam a laissé entendre que « l’affaire Khalifa Sall est un épiphénomène en marge des activités que le Président est en train de mener » non san ajouter que « la justice fait tort à notre régime en embastillant Khalifa ».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention