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Le Forum du justiciable réclame la liberté provisoire pour Bamba Fall

Le Forum du justiciable a exprimé hier des appréhensions vis-à-vis de l’état de santé du maire de la Médina Bamba Fall qui séjourne actuellement à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss. Assurant avoir appris avec inquiétude que ce dernier, présentement en détention provisoire, souffre d’un diabète sévère qui lui a valu la semaine dernière une évacuation aux urgences du pavillon spécial de l’hôpital Principal de Dakar, cette organisation martèle que «chaque détenu a le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’il soit capable d’atteindre». À la lueur de ce constat, le Forum du justiciable interpelle par voie de communiqué les autorités étatiques, à qui il rappelle que «les règles minima pour le traitement des détenus adoptés par le premier congrès des Nations Unies et les conventions internationales prévoient la possibilité que chaque détenu malade qui a besoin de soins spéciaux puisse en bénéficier, ainsi que d’un traitement convenable dans les meilleurs hôpitaux». Assurant qu’au cas échéant, il convient de procéder au transfert des détenus malades dans les établissements spé- cialisés, le Forum du justiciable invite dans le même temps les autorités étatiques à être très attentives face à l’état de santé du maire Bamba Fall, et à prendre toutes les mesures nécessaires pouvant améliorer sa santé. La même source recommande également aux autorités judicaires d’accorder la liberté provisoire à Bamba Fall qui, outre le fait que son état de santé est incompatible avec la vie carcérale, pré- sente toutes les garanties de représentation en justice. Fort de cette injonction, le Forum du justiciable assure qu’il tiendra l’État du Sénégal, responsable de tout ce qui arrivera dans les liens de la détention au maire de la Médina.

Par Mohamed NDJIM

La libération de Khalifa sall préoccupe Moustapha Sy – Les Moustarchides s’activent pour le maire de Dakar

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Au moment où le Président de la République se déplace àTivaouane pour une visite expresse qui n’était pas inscrite dans son agenda, les Moustarchines wal moustarchidates dont le guide moral, Moustapha Sy, est plus que préoccupé par la libération de Khalifa Sall, multiplient les prières à cette fin.

Le guide moral des Moustarchidines wal moustarchidates, qui avait pro- mis de rejoindre le maire de Dakar, n’a pas lâché ce dernier. Mieux pour Moustapha Sy qui tient à la libération du maire Khalifa Sall, c’estsa détermination à voir cet édile, qui porte le nom de son grand père, Serigne Ababacar Sy, être li- béré, que ses disciples multiplient leurs prières. Ces derniers jours, elles se sont étendues au gudi ajuma (nuit du jeudi au vendredi) et se font dans certaines mos- quées. Il suffit de se rendre les vendredis au niveau de certaines mosquées de Dakar et d’ailleurs, pour se rendre compte de ce fait. Moustapha Sy avait promis de rejoindre Khalifa Sall en prison, mais si l’on sait qu’il ne peut se faire décerner d’office un mandat de dépôt pour être un compagnon de Khalifa Sall en prison, le mieux est de passer par les prières pour parvenir à cette fin. Rappelons que depuis que le maire de Dakar et ses proches collaborateurs ont été incarcérés à la prison centrale de Dakar pour des faits présumés de dé- tournement des fonds de la Caisse d’avance, le fossé n’a cessé de se creuser entre le pouvoir en place et le guide moral des Moustarchidines wal moustarchidates. Dialogue impossible pour Abdou- laye Makhtar Diop En faisant le déplacement avant hier en début d’après-midi, sur Tivaouane où des membres de la famille de Seydi Elhadji Macky Sy ont assisté à l’accueil de la délégation, le Président de la République a eu un tête à tête avec le Khalife général. Un entretien auquel n’a assisté que le ministre de l’Intérieur et de la sé- curité publique. Dans son souci de pré- servation de la paix sociale, Al Amin qui a toujours usé de son entregent pour désamorcer des tensions comme cela a été entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants, a encouragé le Président Macky Sall pour sa disponibilité au dialogue avant de lui demander de faire davantage d’efforts en ce sens. À ce propos de ce dialogue, le Grand Serigne de Dakar,Abdoulaye Makhtar Diop, ci-devant vice-président de l’Assemblée nationale qui s’est exprimé sur la visite du chef de l’État à Al Amin, il a déclaré qu’«il est aujourd’hui impossible entre l’opposition et le pouvoir», Abdoulaye Makhtar Diop qui a ajouté que «toutes les conditions d’une crise postélectorale sont réunies», est d’avis qu’il ne peut avoir de «dialogue sansles autoritésreligieuses du pays».

Par Ndiogou CISSÉ

Abdoul Mbaye et Thierno Alassane Sall

Le rappel à Dieu du père du ministre Thierno Alassane Sall a rassemblé toutes les personnalités politiques de tous les bords. Outre le Président Macky Sall qui a assisté à la levée du corps et le Premier ministre Boun Abdallah Dionne, pratiquement tout le gouvernement était hier à la grande mosquée Toucouleur, pour assister à la cérémonie religieuse. Des témoignages élogieux ont été adressés à Thierno Alassane Sall. Parmi ces témoignages, celui de l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a été des plus poignants. Le célèbre opposant au régime de Macky Sall affirme qu’il a connu Thierno Alassane Sall dans le gouvernement, mais il ne le regrette pas du tout. Car, dit-il, le ministre de l’Energie est non seulement un cadre compétent qui a fait ses preuves, mais il est aussi un homme de vérité de principes.

Salaire du Président

Le Président Macky Sall s’est glorifié devant son hôte de la gestion transparente qu’il dit avoir érigée en règle depuis son accession au pouvoir. En rappelant avoir plafonné les salaires dans la fonction publique, Macky Sall a révélé que son salaire est supérieur à celui de son hôte. «Vous voulez que je révèle le salaire du président de la République. Vous ne serez pas surpris parce que c’est un salaire qui a été plafonné. En 2012, j’avais pris un décret pour plafonner les salaires à 5 millions, (7500 Euros), c’est un peu plus que le salaire du président Portugais», a-t-il informé compte non tenu des fonds politiques estimés à des  milliards de nos francs.

Consultations gratuite oculaires à l’hopital Heinrich – L’objectif c’est d’atteindre 200 personnes

A person drawing and pointing at a Free Consultation Chalk Illustration

Depuis mardi, l’hôpital ré- gional, Heinrich Lübke de Diourbel, organise des consultations oculaires gratuites, accompagnées parAma (Agence des musulmans d’Afrique). Selon le directeur de l’hôpital, DrAmadou Dieng, l’objectif final c’est de pouvoir opérer 200 personnes souffrant de cataracte au niveau de la population de Diourbel, et également, au niveau des populations environnantes. 134 cas ont été atteints, pour deux jours, a-t-il informé. Il pense que l’objectif de 200 maladessera atteint, aujourd’hui. Leur engagement, pour la santé oculaire, a confié le directeur de l’hôpital, estsans conteste. Il rappelle que rien qu’en 2016, en termes d’investissement, l’État a consenti à hauteur de 13 millions Cfa par rapport à ce service. Ce qui a permis aujourd’hui,s’est-ilréjoui, d’avoir un plateau technique assez acceptable par rapport à ce service. Ces efforts, ils comptent les continuer l’année prochaine, a-t-il promis, pour consentir des investissementssupplémentaires sur l’échographie oculaire à hauteur de 8 millions Cfa. Ce qui, dit-il, va permettre de comparer ce service à ceux de Dakar et autres parsa modernité. Le suivi des malades, a-t-il rassuré, sera fait par l’hôpital. Cette initiative, a-t-il faitsavoir, a été prise vu que l’hôpital, a-til signalé, est un service public qui accompagne la politique du ministère de la Santé et de l’action sociale en santé oculaire. Et vu l’importante demande sentie auprès de leurs services, elle ne peut être satisfaite, par manque de praticiens, pour pouvoir être répondue. C’est pour cela, pour accompagner les populations, at-il avisé, il était important d’organiser ces portes ouvertes avec l’Ong Ama qui est venue leur prêter main forte pour rendre la vision à ces populations. Dr Amadou Dieng, directeur de l’hôpital, à l’occasion, invite toutes les populations à venir se faire consulter pour voir s’ils sont atteints de cataracte et profiter de cette opportunité que leur offre l’hôpital. Pour El Hadji Sall, le représentant de l’OngAma, ilssont à Diourbel en campagne de lutte contre la cataracte, qui a débuté du 11 au 15 avril, et pour opérer gratuitement ceux qui souffrent de cette maladie oculaire. Ainsi, il appelle toutes les populations à venir en masse se faire ausculter et se faire soigner s’il le faut. Pour Dr Khalifat Ababacar Bâ, opérateur de cataracte, chef de service du service Ophtalmo de l’hôpital, Heinrich Lübke de Diourbel, leur objectif c’est d’atteindre les 200 cas escomptés ; et il rassure que pour le moment, toutse passe bien et que les malades continuent d’affluer.

Mbagnick Ndiaye annonce le retour des rencontres cinématographiques de Dakar

À l’occasion de la cérémo- nie de publication desré- sultats du Fonds de pro- motion de l’industrie cinématographique et audiovisuelle (Fopica), et de remise des cartes professionnelles des Métiers du cinéma et de l’audiovisuel, le ministre de la Culture Mbagnick Ndiaye a annoncé le retour im- minent des rencontres cinéma- tographiques de Dakar (Recidak) qui ne figurent plus à l’Agenda culturel sénégalais depuis des années d’intermittence. Nées d’une initiative privée dans les années 1990, ces rencontres d’abord soutenues puis portées par l’État du Sénégal avaient fini de faire l’unanimité du fait de la qualité de l’organisation et de la richesse de sa programmation. Elles permettaient aux professionnels du 7ème art de se retrouver tousles deux ans à Dakar pour célébrerl’image, notamment en offrant au public un large panorama destendances esthétiques du cinéma mondial en général et africain en particulier. Conscient de l’importance de cet événement, Mbagnick Ndiaye a indiqué que, dans une perspective de relance, la prochaine édition des Rencontres cinématographiques de Dakarse tiendra en novembre prochain. Il n’a pas manqué de saluer le dyna- misme renaissant du cinéma sé- négalais qui n’a de cesse de faire bonne figure en raflant diverses distinctions au niveau interna- tional. Ce qui a d’ailleurs poussé le président de la République à allouer une enveloppe annuelle d’un milliard Cfa au Fonds de promotion de l’industrie ciné- matographique et audiovisuelle. À ce propos, le comité de pilotage de ce fonds a indiqué, avant- hier à la Maison de la culture Douta Seck, qu’une enveloppe de 921 millions a été allouée, au titre de la gestion 2016, à 38 projets de production, de distri- bution, d’exploitation et de for- mation cinématographiques.

Centrale Charbon de Bargny : L’alerte rouge de l’écologiste Bakary Sidy Ndiaye

«Avec la Centrale à charbon de Bargny sans parler de Mbeubeuss, Dakar est assise sur une poudrière…Durée de vie réduite, cancer, maladies pulmonaires, tuberculose…»

Écologiste, diplômé de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Bakary Sidy Ndiaye lance une alerte par rapport à la mise sur place de la Centrale à charbon de Bargny. Dans cet entretien avec actunet, il revient de long en large sur les véritables dangers d’un tel projet face à des populations fortement exposées. Non sans revenir sur l’autre bombe écologique que constitue la décharge de Mbeubeuss, notant au passage que Dakar est véritablement assise sur une poudrière.

Entretien réalisé par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

 

Il est indiqué que la Centrale à charbon de Bargny est une bombe écologique qui vient s’ajouter à la poudrière de Mbeubeuss. Quelle analyse faites-vous de la situation ?

Ce sont deux problèmes qui intéressent au plus haut niveau la survie des Sénégalais. Et, je dois dire qu’un écologiste authentique ne peut cautionner la mise sur pied de ce que j’appelle cimetière à bêton. Il s’agit d’un problème très sérieux et très grave. Cette centrale ne répond pas aux conventions internationales encore moins aux instruments de gestion de l’environnement au Sénégal. Il ne faut pas oublier le Code de l’environnement qui reprend des conventions comme celle de Varsovie, de Vienne, Montréal, Bamako et Abidjan. Je me demande même si l’on avait associé, au moment de la rédaction dudit code, des experts en la matière. En tout cas, depuis la Cop 19 tenue en Pologne, l’alerte a été lancée concernant les dangers d’une centrale à charbon. Aujourd’hui, il faut dire qu’elle ne répond pas aux exigences des pays en développement. Alors, face à cette situation, je me dis que le Président de la République pourrait ne pas être bien informé des dangers de cette centrale. En parlant de pistes énergétiques, il y a contradiction. Pour en revenir à la centrale à charbon de Bargny, elle ne s’appuie sur aucune réglementation que je connaisse. Il faut aller dans le sens d’une étude d’impact environnemental stratégique car, il s’agit de la survie des populations qui est compromise. Donc, nous sommes en déphasage avec les conventions du monde. Évitons tout ce qui est évènementiel en mettant en exergue les véritables problématiques et de donner la vraie information.

Quels sont les véritables risques en termes de santé publique ?

Qui dit charbon, dit pollution qui impacte sur la santé des populations. Les maladies pulmonaires vont ressurgir, des problèmes de cancer vont également se faire sentir. Bref, toutes les maladies qui proviennent d’un niveau de pollution élevé. C’est pourquoi, je dis que c’est un cimetière bétonné. Et, ce n’est pas nouveau puisque c’est un projet délocalisé qui viendrait d’Afrique du Sud. Dans cette histoire, on voit le maire de Bargny qui s’agite en essayant de légitimer ce projet, mais, il doit savoir que les populations, avec le dernier référendum, ont d’autres droits. Aussi, les profits de cette centrale ne valent pas mieux la santé des populations.

Et Mbeubeuss dans tout cela ?

Il n’y a une communication convaincante en rapport avec un tel projet. Il faut une étude d’impact environnemental en tenant compte des préoccupations sociales. C’est le cas avec Mbeubeuss où il faut changer le discours. Et pour cause, à chaque fois que l’on parlera de délocalisation, les populations des sites qui vont accueillir la nouvelle décharge se braqueront. Il faut un discours adéquat en parlant de nouvelles centrales d’enfouissement et non de décharge. Je dois même dire que je crois beaucoup plus à la décharge de Mbeubeuss qu’au pétrole, car, elle être une source d’énergie non négligeable pour les Sénégalais. Mais, en attendant, essayons de voir comment soulager les populations de la commune de Keur Massar qui ont accepté que les habitants des autres quartiers déversent leurs ordures dans leur localité. Il faut les respecter car, elles ont permis aux autres localités de vivre décemment. Dans cette localité, le nombre de victimes de tuberculose augmente. Alors, qu’on les accompagne en termes de prise en charge par rapport aux maladies cardiovasculaires, pulmonaires. Les gens sont en danger et il existe une nouvelle forme de tuberculose décelée là-bas. La durée de vie est réduite sans parler de la prolifération du typha. Cette plante, partout où elle pousse, la nappe phréatique est menacée. Bref, Dakar est assise sur une bombe. Il faut agir ou disparaitre.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

 

Commune de Kaolack – Les chauffeurs de Jakarta ont investi les rues

Gagnés par la grogne, les conducteurs de vélos taxis de la commune de Kaolack ont marché hier au niveau des grandes artères pour fustiger l’attitude d’un promoteur jugé «vé- reux», qui veut se sucrer sur leur dos avec la complicité des autorités locales

Elhadji Malick Diop propose un impôt économique local

À l’occasion des journées portes ouvertes du Cese, le président de la Commission économie et finance du Conseil des collectivités territoriales de l’Uemoa, El hadji Malick Diop a fait une communication sur : «Impact de la gestion des ressources pétrolières et gazières au développement local». À cet effet, l’ancien député maire de Tivaouane a proposé la création d’un impôt économique tout en insistant sur les avantages du Partenariat-public-privé (Ppp) comme mécanisme innovant de financement des collectivités locales.

18 e Edition de la Fiara – La commercialisation des produits agricoles, le principal problème du Prodam

Le Prodam c’est le Projet de développement agricole de Matam. Il est partie intégrante des programmes insérés dans la lutte contre la pauvreté rurale. Bintou Hann qui est la présidente des Réseaux des femmes du Prodam, profite de cette foire internationale de l’agriculture et des ressources animales, pour dénoncer le dé- faut de commercialisation des produits agricoles issus des réalisations du Prodam.

 

«L’objectif général du Prodam est de déve- lopper les capacités propres des populations rurales de la région de Matam de manière à améliorer durablement leurs niveau et conditions de vie», selon Bintu Hann, présidente des Réseaux des femmes de Prodam. Si la population peut cultiver durant la saison sèche, c’est grâce au Prodam «qui a installé des périmètres dans trois départements de la région de Matam pour permettre aux femmes de cultiver la terre toutes les saisons.» Mais le problème majeur demeure la com- mercialisation des produits agricoles une fois arrivés à maturation. À en croire la présidente des réseaux, «nous avons d’énormes difficultés de commerciali- sation. Il faudra que les producteurs nous viennent en aide pour acheminer ces produits jusqu’à Dakar». Mais à travers le Prodam dont l’un des objectifs fon- damentaux dans la région est de contribuer aux ob- jectifs de réduction de la pauvreté, «les Sipa (sociétés d’intensification de la production agricole), sont en train de révolutionner l’agriculture dans la onzième région du Sénégal.», précise Yaya Ndongo, animateur du Prodam. Dans un contexte de poursuite de politique d’autosuffisance en riz enclenchée par le chef de l’État Macky Sall depuis son accession à la magistrature suprême, le Prodam est optimiste quant à sa réalisation, jusqu’à faire dire à Bintou Hann que : «Nous allons dépasser cette autosuffisance jusqu’à être un pays exportateur en riz.». Avec une population polyglotte très inégalement ré- partie, Matam couvre trois zones éco géographiques distinctes (le Walo, le Diéri et le Ferlo) et son économie dépend fortement de l’agriculture sous pluie. Aujourd’hui, grâce au Prodam les paysans cultivent durant toute l’année.

Par Oumar Diallo

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention