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SELON LE PRÉSIDENT DE L’ACT, ABDOUL MBAYE «Le Président Macky Sall utilise la justice pour combattre l’opposition»

Le président de l’Alliance pour la citoyenneté
le chef de l’État doit laisser la justice faire son travail au lieu de continuer à l’instrumentaliser au détriment de l’opposition. «J e vous prends à témoin, parce que je ne suis pas le seul concerné. Nous avons un régime en place qui a décidé de combattre son opposition en utilisant le sys- tème judiciaire. La justice est une chose importante, la justice est une chose sacrée ; mais elle est malheureusement manipulée par les hommes et j’ai la conviction, comme je l’ai toujours dit à mon père, monsieur le juge feu Kéba Mbaye, que la justice appartient au Bon Dieu qui en donne délégation», a regretté le président de l’Act. Et d’ajouter : «Monsieur le Président Macky Sall, faites attention à la manière dont vous utilisez la justice pour combattre l’op- position». Sur un autre registre, le patron de l’Act est revenu sur sa tour- née à Kaolack. Une tournée qui lui a permis de faire dix jours dans le Saloum et d’être en contact direct avec les populations qui, dit-il, peinent à joindre au quotidien les deux bouts. «J’ai été dans les coins les plus reculés de Kaolack. J’ai écouté les chefs de famille, les hommes de ma génération et j’ai noté une sorte de désespoir, de rési- gnation et d’échec. Non pas l’échec d’efforts qu’ils avaient déployés tout au long de leur vie pour construire une famille, mais un échec qui n’est pas de leur responsabilité. C’est pour les jeunes et le futur du Sénégal que j’ai décidé de m’engager en politique. J’ai rencontré des femmes, beaucoup de femmes ; sur leurs frêles épaules elles ont la charge de leurs enfants, elles ont la charge de leur fa- mille, c’est dur car elles tra- vaillent du matin au soir, avec peu de revenus pour beaucoup d’efforts. Enfin, j’ai écouté les jeunes et ils se plaignent du chômage. Et ce qui est déses- pérant c’est qu’il n’y a pas dans leurs yeux une lueur d’espoir d’un lendemain qui pourrait être plus prometteur et ils ont même une sorte de pudeur à en parler, il faut savoir lire dans leurs yeux, pour mesurer l’importance de leur détresse». Abdoul Mbaye a terminé son discours en invitant le Président Macky Sall à se concentrer sur la demande sociale, «au lieu de passer son temps à caser sa clientèle politique et sa famille au détriment des Sénégalais qui ne savent plus à quel saint se vouer».

FÉDÉRATION DES JEUNES RÉFORMATEURS (FJR) «Le Sénégal est assis sur une poudrière»

La fédération desjeunesréformateurs a tenu avant-hier une assemblée générale au siège du parti pour s’exprimer sur les difficultés qui «secouent le Sénégal et aussi renouvelé leur confiance à Modou Diagne Fada, leur leader». Les jeunes réformateurs s’indignent de «l’indifférence du ré- gime Sallface aux problèmes que rencontrent les Sénégalais quotidiennement», a déclaré Cheikh Samb, responsable politique de Ldr/Yessal. Parlant au nom des jeunes réformateurs, Cheikh Samb a ajouté qu’«à cause des nombreux engagements non tenus de Macky Sall lors des élections en mars 2012, le Pré- sident de la République a brisé le contrat de confiance qui le liait au peuple sénégalais». Selon le responsable des réformateurs, la réalité du pouvoir a fini par montrer les limites objectives du président de la République. «En plus des engagements délibéré- ment piétinés, touslessecteurssont en souffrance ; bref notre pays va mal, il est assis sur une poudrière», a-t-il dit. Sur les prochaines élections législatives Ldr/Yessal dénonce fermement les nombreux «dysfonctionnements» constatés au sein des commissions et qui s’appellent «lenteurs, déficit de logistique…». La Ldr/ Yessal dénonce aussi le «favoritisme» dans la ré- ception des matériaux d’inscription selon les localités «où se trouvent plus de militants apéristes». Se considérant toujours membre de Mankoo wàtu Senegaal, les jeunes de Ldr/Yessal demandent à l’opposition de «transcender les intérêts partisans, pour arriver à la constitution d’une liste commune pourleslégislatives», a déclaréCheikh Samb. Seulement, le responsable politique de Ldr/Yessal rappel que «la Ldr/Yessal est prête avec ou sans coalition d’allerseule aux législatives».

POUR FREINER KHALIFA SALL – Jusqu’ou ira le pouvoir ?

Le maire de Dakar sera l’hôte de la Dic ce mardi. Il passera à la table des limiers pour y être cuisiné dans le cadre d’une affaire de gros sous. D’ores et déjà des voix s’élèvent et voient dans cette convocation une stratégie du pouvoir qui, ne pouvant digérer les raclées que le baron socialiste ne cesse de lui infliger au fil des élections pour le contrôle de la ville de Dakar, ne cesse de fomenter des plans pour l’affaiblir ; asphyxie financière, intimidation, décapitation de ses lieutenants…

Après moult tentatives déployées, retrait de la gestion des ordures, blocage de l’emprunt obli- gataire, etc, pour arracher la capitale des mains du maire de Dakar qui semble en avoir fait sa chasse gardée, l’Etat-Apr n’a pas dit son dernier mot et vient d’accrocher une autre corde à son arc. Celle de fouiner dans la gestion de Khalifa Sall pour débusquer des ca- fards. L’Ige a séjourné dans la ville de Dakar pendant 18 mois afin d’éplucher les comptes de la Mairie. C’est ainsi que Khalifa Sall devra déférer à une convocation des enquêteurs de la Division des inves- tigations criminelles pour s’expliquer sur la gestion de la caisse d’avance, une sorte «caisse noire» dont la gestion relève du pouvoir discrétionnaire du maire de la ville de Dakar. Si le maire a toujours été blanchi lors des différents audits de sa gestion au point d’être cité en exemple, il risque cette fois ci d’être noirci à cause cette caisse noire. A moins qu’il ne donne des justificatifs convaincants sur la gestion de ces fonds destinés le plus souvent aux nécessiteux. COMPTES POLITICIENS Si le fait de passer au peigne fin la gestion de Khalifa Sall est tout à fait normal dans le cadre de la reddition des comptes, ce qui ne l’est pas du tout c’est de prendre prétexte de cela pour solder des comptes politiciens. Car ce à quoi l’on assiste actuellement ressemble à une tentative de réduire un opposant à sa plus simple expression. Pour ne pas donner l’impression qu’il s’agit de reddition de comptes politiques, l’Etat devrait faire en sorte que «tous les derniers rapports de l’Ige, qui concernent la période comprise entre 2008 et 2014, et qui font état de dysfonctionnements aussi bien dans la gouvernance administrative que dans la gouvernance économique et financière dans certaines entreprises publiques fassent l’objet de poursuites» comme promis par le Premier ministre. BounAbdallah Dione qui, lors de son troisième passage à l’Assemblée nationale, soutenait devant les députés : «87 rapports et sous-rapports ont été remis et publiés. Ils sont en train de faire l’objet d’une exploitation sous forme de directives gouvernementales. Nous sommes en train d’envoyer deslettres donnant instructions au département de la Justice d’engager des poursuites», avait notamment dit M. Dionne. Mais aujourd’hui, il semble que seule la lettre de Khalifa Sall a été diligentée. Ce qui laisse penser que le maire de Dakar donne des insomnies à l’Etat-Apr qui ne lésinera sur aucun moyen pour l’anéantir et récupérer la capitale. INDIGNATION D’ailleurs nombre de voix se sont élevées et considèrent cette convocation de Sall devant la Dic comme une traque aux opposants. Car depuis sa réélection à la tête de la ville de Dakar, le pouvoir ne lésine pas sur les armes conventionnelles et non conventionnelles pour freiner son ascension vers le sommet. Un combat qui a des relents de politique politicienne car il ne fait l’ombre d’aucun doute que si la ville de Dakar était aujourd’hui entre les mains d’un apèriste, ou si Khalifa n’avait pas fait scission avec Tanor, non seulement on ne lui mettrait pas les bâtons dans les roues, mais on lui octroierait des moyens colossaux pour qu’il réussisse sa mission. Pour rappel, Aliou Sall, le maire de Guèdiawaye, par ailleurs frère de l’apériste en chef, avait dans une de ses sorties soutenu que le président de la République avait demandé à tous les ministres de l’accompagner dans la réalisation de ses projets. Donc aujourd’hui, la seule attitude qui vaille est, à défaut de l’accompagner, laisser le maire de Dakar travailler et à l’heure du bilan, il appartiendra aux électeurs de sanctionner positivement ou négativement son travail. Mais en essayant de le liquider de façon aussi flagrante, l’Etat-Apr ne fera qu’augmenter son capitalsympathie. Pourtant l’Etat a fort à faire avec ses projets pharaoniques que sont le Pse, la Cmu, l’autoroute illaTouba, leTer, la modernisation des villes de l’intérieur du Sénégal qui manquent de tout, etc. Au lieu de s’acharner sur un adversaire politique, il gagnerait à réaliser ses promesses et à éviter que cette entreprise de déstabilisation engagée contre Khalifa Sall ne se retourne contre lui. Étant entendu que tous les coups que le pouvoir administrera à Khalifa Sall risquent de lui valoir des élans de sympathie de la part de ses compatriotes qui abhorrent l’injustice. Le Président Sall est bien placé pour le savoir.

Par El Hassane SALL

Une «justice téléphonée»

I l faudrait beaucoup de ressources au président et à ses partisans pour expliquer aux Sénégalais que les actes qu’ils posent n’entrent pas dans le cadre d’un acharnement contre Khalifa Sall. Après Bamba Fall et d’autres responsables emprisonnés, Barthélémy Dias condamné à se taire, c’est au tour du Maire de Dakar d’être dans le viseur d’une «justice aux ordres utilisée pour régler des comptes politiques», selon le constat de beaucoup de nos compatriotes dont, comble de l’ironie, un magistrat démissionnaire du Conseil supérieur de la Magistrature. On n’aurait rien à reprocher aux tenants du pouvoir si les enquêtes des inspecteurs généraux d’État sur la gestion de Sall n’étaient mues que par une volonté de transparence. Hélas, tout cela donne l’impression d’un scénario qui était joué d’avance si on se fie aux déclarations antérieures de responsables de haut rang. Il était écrit que l’édile de la capitale allait payer, à l’instar de tous ceux qui sont susceptibles de barrer la route au champion de l’Apr. L’utilisation de corps de contrôle comme l’Ige, aurait été pertinente s’il n’y avait pas une application à double vitesse de leurs résultats qui laissent de marbre certains mauvais gestionnaires du régime.

ENTRETIEN AVEC… MAME LESS CAMARA (JOURNALISTE) : «L’originalité de la situation au Ps, c’est l’installation d’une opposition interne qui refuse de partir»

Pour notre confrère, il est possible qu’une candidature éventuelle du maire de Dakar à l’élection présidentielle de 2019 soit finalement un acte destiné à sauver l’honneur du doyen des partis politiques au Sénégal. Un témoignage pour l’histoire.

Que vous inspire la situation actuelle du parti socialiste avec l’affaire Khalifa Sall ?

 L’affaire Khalifa Sall est, de même abord, la conséquence de l’absence de débat au sein de la hiérarchie du parti socialiste. Le consensus permanent n’est qu’une apparence qui masque mal la prééminence de l’avis du chef du Parti. Cette situation s’est installée depuis que le bicéphalisme en vigueur au début des années 1960 avait failli mener le Sénégal au chaos, suite aux choix politiques contraires du Président Léopold Sédar Senghor et du chef du gouvernement de l’époque Mamadou Dia. L’ultra présidentialisme instaurée par le vainqueur, Senghor, perdure et constitue un obstacle au débat d’idées. Des leaders comme Djibo Kâ, Moustapha Niasse, Robert Sagna, Mamadou Diop, Souty Touré ont quitté le Ps dont la direction avait refusé de donner suite à leurs demandes de reconnaissances des courants politiques au sein du parti. L’originalité de la situation actuelle, c’est l’installation d’une véritable opposition interne qui refuse de partir, laissant le Ps aux mains de la direction.

Que comprenez-vous de sa stratégie ?

Khalifa Sall explore actuellement le Parti socialiste afin d’avoir une idée claire du rapport de forces entre lui et la direction. Au plan interne, il tâte le pouls du pays comme en attestent ses voyages à l’intérieur. Il devra s’ouvrir à des alliances électorales, mais exclusivement avec des forces électorales disposées à lui laisser le leadership de l’attelage. Cela va le contraindre à ne tisser des coalitions qu’avec des partis de petite envergure, ce qui est une hypothèque à son élection,

Face à Ousmane Tanor Dieng, Khalifa Sall est-il dans la tactique ou gère-t-il une stratégie ?

Tanor Dieng ne saurait être autre chose pour Khalifa Sall qu’un obstacle à surmonter pour mobiliser le parti, en majorité ou non, pour soutenir sa candidature. L’actuel Secrétaire général du Ps n’est pas un candidat à l’investiture de son parti. Il cherche, au contraire, à soutenir le président sortant, Macky Sall, candidat déclaré et leader de la coalition Bennoo bokk yakaar à laquelle appartient le Ps.

Beaucoup de ses supporters, sympathisants et même adversaires lui reprochent un attentisme un peu trop prononcé. Ont-ils raison ?

Khalifa Sall a trop attendu pour assumer, enfin, sa candidature. Cela entretient la confusion, car on ne sait pas s’il s’engage par ambition personnelle ou pour sauver l’honneur du Ps qui a toujours présenté des candidats à toutes les élections. Son discours teinté de nostalgie avec des références récurrentes à Léopold Sédar Senghor semble renforcer la thèse d’une candidature pour l’honneur du Ps.

Ses références nouvelles à Senghor et Abdou Diouf ne seraient-elles pas une fuite en avant face aux exigences qui l’interpellent ?

 En se voulant l’héritier des grandes figures historiques du Ps (Senghor et Diouf totalisaient 39 ans à la tête de l’Etat), Khalifa Sall reprend, peut-être inconsciemment, la posture de Djibo Kâ il y a deux décennies. Il revendique la légitimité/rénovation du Parti socialiste. Cette posture avait mené Djibo Kâ hors du Ps alors que c’est Ousmane Tanor Dieng, chef de file de la légalité/refondation, qui avait remporté le bras de fer, Jusqu’où l’histoire va-t-elle se répéter ? On verra.

Au fond, le maire de Dakar n’est-il pas une simple victime du Président de la République ?

Je ne le crois pas. On ne saurait tenir Khalifa Sall pour une victime du Président Macky Sall. D’ailleurs il semble éviter l’affrontement direct avec le chef de l’Etat, alors que l’opposition du gouvernement à ses projets-phares aurait dû le faire entrer clairement en conflit avec le Président de la République. C’est Khalifa Sall qui a sans aucun doute trop tergiversé alors que le Ps vit le prologue d’un processus de scission réactivée en 1996 avec le Congrès sans débat qui consacrait la victoire du camp d’Ousmane Tanor Dieng.

Par Momar Dieng (actunet.sn)

BLANCHIMENT D'ARGENT : LE VATI- CAN A GELE 2 MILLIONS D'EUROS SUSPECTS EN 2016

Le Vatican a gelé en 2016 deux millions d’euros d’origine douteuse déposés à la Banque de l’État pontifical. C’est une étape de plus dans la lutte contre le blanchiment d’argent sale, entamée par Benoît XVI et poursuivie par le pape François. Les deux millions d’euros gelés en 2016 portent à 13 millions d’euros les fonds ainsi neutralisés depuis 2013 par la banque du Vatican en raison de leur origine douteuse. De la même façon, 5000 comptes suspects ont déjà été fermés quand la banque n’en connaissait pas les détenteurs ou qu’ils n’avaient pas de lien avec l’Église catholique ni ses activités carita- tives.

PR PENDA MBOW, REPRÉSENTANTE DU CHEF DE L’ÉTAT À LA FRANCOPHONIE «Les risques que nous encourons en perdant notre laïcité…»

La Professeure Penda Mbow en- courage les Sénégalais à protéger la laïcité de leur pays, estimant qu’ils auraient plus à perdre au cas où elle disparaîtrait.

Intervenant au cours d’un panel organisé, à la Maison de la culture Douta Seck, par «Présence chrétienne» à l’occasion de la commémoration du 25ème anni- versaire du passage au Sénégal du défunt Saint Pape Jean Paul II, la Professeure Penda Mbow, historienne, a appelé les Sénégalais «à veiller» sur la laïcité au Sénégal. «Parce que le jour où on la perdra, on n’aura plus cet espace neutre où chrétiens, musulmans, non croyants pourront se retrouver pour bâtir ce Sénégal». Estimant que ce n’est vraiment pas le moment de flancher, elle appelle au renforcement de tous ces acquis «si nous voulons continuer à être un exemple pour le reste du monde, pour en tous cas ce qui est de cette volonté de vivre ensemble». D’ailleurs, l’historienne qui informe que le Sénégal a une «responsabilité à jouer par rapport à ce qui se passe dans le monde», exhorte les populations à continuer de «mener la réflexion». Car «c’est cette laïcité que nous vivons qui a permis, par exemple, la cohabitation entre les différentes religions (…) dans la construction de la nation et d’une véritable citoyenneté par rapport à la question de l’égalité, de la justice, mais aussi de la démocratie et l’organisation de cette démocratie dans un cadre de paix». Prévenant que «nous ne pouvons pas bâtir la citoyenneté si nous ne sommes pas vraiment prêts à nous battre pour défendre la justice, sociale, la justice tout court mais aussi nos intuitions», Mme Mbow encourage «Présence chrétienne» à persévérer dans ce travail qu’elle fait depuis 25 ans. L’historienne qui a revisité les coins chauds de notre planète, enseigne qu’au Sénégal, «si nous voulons juguler par exemple toute velléité liée au Jihadisme, à l’incompréhension, au racisme, tousles maux que nous évoquons, il faudrait absolument mettre l’accent sur l’éducation». «Malheureusement, aujourd’hui, notre école a besoin d’une société qui se mobilise pour la porter». Puisqu’«aucune école ne peut prospérer si elle n’est pas portée par desforcessociales, aucune université ne peut avancer si elle-même n’est pas portée par des forces sociales». Mme Penda Mbow qui salue le fait que c’est sur le milieu de l’éducation que l’église du Sénégal s’est le plusillustrée au cours de l’histoire du Sénégal, enseigne que la lutte contre l’incompréhension doit être précédée d’une école performante.

SÉNÉGAL – GAMBIE : UNE NOUVELLE ÈRE

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre non seulement en Gambie, mais entre ce pays et le Sénégal. Les discours tenus samedi à l’occasion de la célé- bration de la fête de l’indépendance gambienne par les présidents Barrow et Sall ont mis en évidence la nécessité de travailler à faire en sorte que les difficultés d’avant ne soient plus que de mauvais souvenirs. Des questions précises n’ont évidemment pas été prises en compte de façon spé- cifique dans les discours publics, mais à travers ses mots, Barrow donne les gages d’une politique gambienne qui va se préoccuper du bon voisinage avec le Sénégal. Et cela passe par la question sécuritaire dans la partie Sud du pays. Parce que la stabilité entre le Sénégal et la Gambie est un élément de stabilité au niveau de toute la sous-région. L’érection programmée du pont de Farafégné est, si besoin en était, une preuve de bonne foi de la Gambie qui s’est débarrassée du dictateur Jammeh et qui s’engage dans une nouvelle ère de respect mutuel et de confiance.

OMAR SARR, SECRÉTAIRE NATIONAL ADJOINT DU PDS «Il est clair que Karim Wade va revenir»

Dans le cadre d’une tournée nationale que le Parti démocratique Sénégalais est en train d’entreprendre au niveau du pays, le bureau exécutif du parti conduit par le secrétaire national adjoint, Omar Sarr, a séjourné ce dimanche à Diourbel, pour faire la revue des troupes.

TALLA SYLLA PRÉSENTE SON PLAN DE DÉVELOPPEMENT DE LA VILLE (PDV)

Le Pdv remplace les chantiers deThiès

La Maire deThiès a présenté ce weekend le Plan de développement de la ville (Pdv). Le projet estimé à plus de 78 milliards Cfa, a pour objectif de faire émerger la capitale du rail. Et selon le maireTalla Sylla, son Plan de développement de la ville vient remplacer les chantiers deThiès d’Idrissa Seck. La guerre totale ?

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention