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BasKet : Nba saison reguliere – Golden state trop fort pour les Clippers

Les Golden state Warriors n’ont fait qu’une bouchée des Los Angeles Clippers au staples Center (133-120) avec un stephen Curry qui confirme son retour en force.

assis sur le banc avec sa main gauche dans un plâtre, Chris Paul a souffert pendant que ses los angeles Clippers recevaient les Golden state Warles Golden state Warriors n’ont fait qu’une bouchée des los angeles Clippers au staples Center (133-120) avec un stephen Curry qui confirme son retour en force.riors. le meneur blessé au pouce a assisté impuissant à une nouvelle défaite de ses coéquipiers face aux Warriors (voir par ailleurs). et il a dû se résigner assez vite. Distancés de onze points dès le premier quart-temps, les Clippers n’ont jamais réussi à vraiment revenir dans la partie, étant encore à la traîne de dix points à la pause (65-55) malgré quelques dunks spectaculaires de blake Griffin (auteur de 31 points son record cette saison). Ils n’avaient pas les armes offensives pour suivre le rythme imposés par stephen Curry (voir cidessous), Kevin Durant (26 points, 10 passes, 8 rebonds) et Klay thompson (21 points). l’écart est grimpé jusqu’à vingt-et-un points (113-92) avec neuf minutes à jouer.

Ghana-Burkina, le match pour le bronze amer

le Ghana et le burkina faso s’affrontent dans la petite finale de la Can-2017, ce samedi à libreville (19h), avec l’idée de décrocher une mé- daille à défaut de pouvoir se consoler de leur échec en demi-finales. Quelle nation inscrira la première son nom au tableau d’honneur de la compétition gabonaise avant la finale dominicale entre l’egypte et le Cameroun ? les Ghanéens sont sans doute les plus touchés par leur revers, jeudi face au Cameroun (2-0) : pour la sixième fois de suite, ils ont figuré dans le dernier carré du tournoi continental, et pour la sixième fois de suite, ont échoué à le remporter. les finalistes malheureux de la Can-2015, titrés quatre fois (la dernière en 1982), avaient remporté le bronze à domicile en 2008, mais faute de motivation, l’avaient laissé filer en 2012 et 2013. sur le papier, les burkinabè de Paulo Duarte ont en revanche un double avantage. D’abord physique, puisqu’ils ont disposé d’un jour de récupération en plus en ayant joué mercredi (élimination aux tirs au but face à l’egypte). mais aussi mental. les etalons ont déjà déjoué les pronostics en atteignant la demi-finale, et certes, l’appétit de titre vient en gagnant et ils ont progressivement développé l’objectif de faire mieux que la finale perdue de 2013, mais leur parcours constitue déjà une forme de succès. Une médaille à l’édition 2017 ne serait que la deuxième dans le palmarès du burkina : le rendez-vous de samedi prend donc un certain relief historique. (VOA)

finale Can 2017 – Duels à tous les niveaux entre l'égypte et le Cameroun

Avant la finale de la CAN 2017 entre l’Égypte et le Cameroun ce dimanche, nous faisons le point sur les forces en présence dans chaque équipe. Plusieurs duels seront intéressants à suivre pendant la rencontre

Entre l’egypte, qui compte sur ses deux stars essam elHadary et mohamed salah pour décrocher une 8e couronne africaine, et le Cameroun, avec un groupe homogène qui s’est sublimé, la finale de la Can-2017 dimanche à libreville (19h), promet des duels serrés à chaque ligne. L’héritier Ondoa face à la lé- gende el Hadary les deux meilleurs gardiens du tournoi vont pouvoir s’affronter. fabrice ondoa, qui peut déjà s’inscrire à 21 ans dans la lignée des glorieux gardiens camerounais Joseph-antoine bell ou thomas n’Kono en cas de succès, s’est révélé comme l’un des artisans majeurs du parcours surprenant du Cameroun. nommé dans l’équipe-type du 1er tour après avoir notamment écoeuré le Gabon de Pierre-emerick aubameyang grâce à une parade exceptionnelle dans les arrêts de jeu, le portier remplaçant de la réserve du séville fC a presque éliminé à lui seul le sénégal de sadio mané en quart de finale, en arrêtant le tir au but décisif. essam el-Hadary est lui, à 44 ans et avec quatre Coupes d’afrique des nations à son palmarès, déjà une légende du foot africain. le portier des « Pharaons », devenu le joueur le plus âgé à disputer une phase finale de la compétition, a montré qu’il avait gardé de beaux restes en gardant ses cages inviolées jusqu’en demi-finale. mais c’est surtout ses deux arrêts décisifs lors de la séance de tirs aux buts contre le burkina faso, alors que son équipe était en ballottage défavorable, qui ont marqué les esprits. Défense hermétique contre défense prolifique Un seul but encaissé en cinq matches, et 433 minutes d’invincibilité avant le but du burkinabè aristide bancé en demi-finale de la Can: la défense égyptienne est un coffre-fort redouté. Composée d’une charnière centrale 100% «locale» avec ali Gabr (Zamalek/30 ans) et ahmed Hegazy (al ahly/26 ans), l’arrière-garde brille par sa discipline. Celle du Cameroun a également fait ses preuves avec ses illustres inconnus. Collins fai (standard de liège/24 ans), adolphe teikeu (sochaux/26 ans) ou ambroise oyongo (Impact montréal/25 ans) ont ainsi mis nicolas nkoulou sur le banc ou laissé aurélien Chedjou à la maison. mais sa spécificité est tout autre: la défense camerounaise dispose avec michael ngadeu (slavia Prague/26 ans) du meilleur… buteur de l’équipe ! Déjà auteur du but décisif en poule contre la Guinée-bissau (2-1), le stoppeur a récidivé en demifinale contre le Ghana (2-0) en faisant preuve de plein d’opportunisme pour ouvrir le score. Des travailleurs au milieu avec la blessure au mollet de sa sentinelle mohamed elneny (arsenal/24 ans), l’Égypte a perdu un atout de poids dans son milieu, même si ses coéquipiers espèrent toujours son retour pour la finale, alors qu’il a manqué les deux derniers matches. mais avec ramadan sobhi (stoke City/20 ans) ou tarek Hamed (Zamalek/30 ans), les «Pharaons» disposent d’autres milieux travailleurs efficaces dans le pressing. tout comme les «lions indomptables» avec sébastien siani (ostende/30 ans), auteur d’un but dans la compétition, ou arnaud Djoum (Heart of midlothian/27 ans) et Georges mandjeck (metz/28 ans). en attaque, avantage salah contre le passeur Moukandjo l’Égypte possède en son sein le joueur de classe mondiale qui manque au Cameroun depuis la retraite de samuel eto’o: mohamed salah (24 ans). Classé dans le top 5 du ballon d’or africain 2016, l’ailier de l’as rome a rempli sa mission de joueur-clé en créant sans cesse le danger chez l’adversaire par des dribbles ou des dernières passes millimétrées. Il s’est surtout manifesté en inscrivant deux buts aussi beaux qu’importants. le premier sur un puissant coup franc contre le Ghana (1-0), grâce auquel son équipe a fini en tête de sa poule, et le second d’une frappe enroulée imparable, pour ouvrir le score face au burkina faso en demi-finale, avant de réussir son tir au but dans la séance fatale. les «lions indomptables» comptent de leur côté sur leur capitaine benjamin moukandjo pour faire la différence. si le buteur de lorient s’est davantage mué en passeur durant la compétition en tirant tous les coups de pieds arrêtés, le Cameroun possède avec les virevoltants Christian bassogog (aalborg/21 ans) et Karl tokoekambi, ainsi que le puissant Vincent aboubakar, d’autres attaquants capables de faire basculer le cours d’un match. (Ouest-France.fr)

COHÉSION DU PARTI SOCIALISTE – Abdou Diouf médiateur de l’ombre

Mu par la vivification de l’héritage senghorien, le président Abdou Diouf, ancien secrétaire général du Parti socialiste, milite dans l’ombre en vue d’assurer la survie de cette formation politique minée par de ré- currentes guerres de positionnement.

La bataille larvée entre les segments du Parti socia- liste respectivement fa- vorables à Ousmane Tanor Dieng et à Khalifa Sall connait un regain de tension induit, entre autres, par les incarcérations ré- centes de Barthélémy Dias et de Bamba Fall. En perspective des électionslégislatives de juillet prochain et en perspective de la présidentielle de 2019, chaque camp fourbit ses armes. Les uns réitérant leur ancrage au sein de la mouvance présidentielle au moment où les autres s’en démarquentsans demi-mesure. Actuellement en séjour au Sénégal, plus précisément à Popenguine, le président Abdou Diouf, ancien secrétaire général du Parti socialiste, suit d’assez près les affaires intérieures pour ne pas y être indifférent – même s’il a pris sur lui la décision, après avoir quitté le pouvoir, de ne pas se prononcer publiquement sur un bon nombre questions politiques et socio économiques. Désormais proche parmi les proches du président Macky Sall, l’ancien secrétaire général de l’Organisation inter- nationale de la francophonie n’en a pas moins gardé d’assez cordiales relations avec ses dés- ormais anciens camarades de Parti. Inconciliables positions Sans vouloir imposer une quelconque feuille de route à ces derniers, Abdou Diouf milite dans l’ombre en faveur de la vivification de l’héritage senghorien. яндекс Ce qui suppose, de son point de vue, d’éviter une scission qui serait préjudiciable, à terme, à la survie de cette formation politique. Une telle position recoupe d’ailleurs de Jean Paul Dias, chef de file du Bcg et non moins géniteur du maire socialiste de Mermoz – Sacré Cœur Barthélémy Dias. Il pré- conisait à ce propos, en date du 16 janvier dernier, «les parties antagonistes du Parti socialiste à se ressaisir» et indiquait dans le même temps que «l’éventuelle implosion du Ps ne bénéficierait à aucune d’entre elles». Cette injonction se heurte cependant à une mosaïque idéologique marquée par un émiettement du discours et ne polarisation extrême au sein du Ps. Tant et si bien qu’il y appert, à plus d’une occurrence, des positions tant inconciliables qu’antinomiques. Sous ce rapport, le bureau politique du Ps, ramant à contre courant de Khalifa Sall & Cie a tout récemment renouvelé «son soutien et sa confiance à Ousmane Tanor Dieng», sans manquer de demander aux instances de base de «travailler en parfaite intelligence avec les partis alliés au sein de Bennoo Bokk Yakaar, en vue de suivre le processus électoral, d’échanger des informations, de préparer les investitures des candidats de la Coalition, de mener campagne ensemble, pour les élections lé- gislatives».

 Grace au réseau sécurisé de Joni Joni – Igweka et sa bande démantelés

Le Nigérian Victor Emeka Igweka,  ses acolythes,  Sierra Léonais, Ejike Celestine Ibekwe et Azzam Fred ainsi que Mariam Touré du Mali ajoutée à Moctar Doucouré de la Côte d’Ivoire  dont le subterfuge pour détrousser Joni Joni n’a pas prospéré face à la sécurisation  du réseau, risquent des peines qui varient entre 4 à 5 ans.

Par Ndiogou CISSE.

 

L’arrestation de la bande à Igweka est la preuve que le réseau Joni joni est blindé contre les malfaiteurs de cette trempe.  En barrant  la route à la bande à Igweka  avec l’aide du commandant Diack de la Section de recherches et ses hommes, Joni Joni  démontre encore une fois de plus,  que son réseau, des plus sûrs,  n’est pas à pirater. Avec la poste, Joni Joni qui a étendu ses tentacules sur l’international a fait face à Victor Emeka Igweka et ses acolytes dans un procès au terme du quel le procureur a requis contre les malfaiteurs des peines qui varient entre 4 à 5 ans.  En effet, pour association de malfaiteurs, accès et maintien frauduleux dans un système informatique, interception frauduleuse de données informatisées, escroquerie,  faux et usage de faux dans un document administratif, les bandits susnommés ont comparu devant la barre du tribunal de grande instance de Dakar.  Pour tous les préjudices subis, la partie civile leur réclame 300 millions de francs Cfa.  Ils sont passés par la poste pour commettre leur forfait mais ont été démasqués par le responsable des opérations de la société Joni Joni. Saliou Thiam, dont le réseau de transfert d’argent est sécurisé et blindé contre toute forme de piratage. Thiam est donc celui  qui a découvert les agissements de la bande à Igweka.  C’était dans le courant du mois de septembre 2015. Après avoir alerté les responsables de tous les points Joni Joni, Thiam informe le commandant Diack de la Section recherches de la gendarmerie qui lâche ses hommes.  Etant donné que les malfaiteurs utilisaient le profil du bureau de la poste de Thies, les pandores procèdent à l’audition de plusieurs  responsables du bureau de la poste précitée   avant de mettre en place un dispositif de surveillance  qui a permis de mettre la main sur Ejike Ibekwe, Victor Elemeka Igweka et Azzam Fred qui s’étaient présentés dans un point Joni-Joni pour y effectuer un retrait d’un montant de 2 millions Cfa. Coincés, ils balancent leurs complices qui tombent un à un.  Le seul qui a réussi à prendre la fuite est  Moctar Doucouré, un Ivoirien  qui a tenté de soutirer du réseau sécurisé de Joni Joni  la somme de 900000 Fcfa sans y parvenir. En fait qu’il allait mordre à l’hameçon qui lui a été tendu, Doucouré s’est enfui au bord d’un véhicule. Pour le reste de la bande, tous se sont présentés à la barre et devront attendre jusqu’au 2 mars prochain pour être fixés sur leur sort.

KEUR MABADIAKHOU – CRISE AU SEIN DU PS LA SECTION ANNONCE SON SOUTIEN A KHALIFA SALL

Sous la houlette de l’un de ses anciens membres, Abdoulaye Koula Diallo, la section socialiste de la commune de Keur Mabadiakhou, située à plus d’une trentaine de kilomètres au Sud Ouest de Wack Ngouna, a annoncé hier, jeudi 2 février, lors d’une rencontre avec la presse son intention de soutenir le courant dirigé par le maire de Dakar Khalifa Sall.
Par la voix de ce même responsable, la section juge plus pertinent de soutenir les personnes élues par le peuple sénégalais que celles qui ont été nommées par le président Macky Sall. Pour ce besoin spécifique de soutien à Khalifa Sall et Cie, la section a aussi fait part de son initiative de poursuivre dans le département de Nioro, une série de campagnes de sensibilisation et de fortes mobilisations répétées, en direction des bases socialistes pour restituer au parti sa liberté de choisir ses alliés, de désigner un candidat en 2019 et aller aux élections avec qui il veut.
Cette rencontre avec la presse a aussi été une occasion de contredire le choix porté sur le Ministre Serigne Mbaye Thiam pour la succession d’Ousmane Tanor Dieng à la tête du parti. Et cela, dit Abdoulaye Koula Diallo, pour des raisons liées à une impopularité dans le département de Nioro et la région de Kaolack. Mais aussi pour le fait de n’avoir jamais réussi à mobiliser un électorat de 100 voix dans la commune de Keur Madiabel, son fief. « Si la coordination départementale socialiste plébiscite cette candidature c’est surtout pour de simples agissements autour d’un responsable qui est l’ombre de sa propre personne, mais rien ne peut justifier la candidature de Serigne Mbaye Thiam à la succession du camarade secrétaire exécutif national », a poursuivi le socialiste de KeurMabadiakhou.
Se prononçant par ailleurs sur l’avenir du Parti socialiste au sein de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (Bby), Abdoulaye Koula Diallo dit ne pas comprendre la crédibilité d’une telle coalition qui n’a ni un mouvement de jeunes ni un mouvement de femmes, encore moins un siège qui puisse abriter les militants, toutefois qu’ils auront besoin de pousser des réflexions politiques ou des échanges mixtes entre alliés d’une même coalition.

Jammeh-Guinée équatoriale

Actuellement exilé en Guinée Equatoriale, l’ancien dictateur Yayah Jammeh n’y est pas le bienvenu pour tout le monde. Selon «Rfi», un opposant équato-guinéen en exil dénonce l’asile de l’ex-président gambien. Selon le gouvernement de Malabo, ce «pays frère» offre toutes les « garanties de sécurité ». Mais le principal opposant équato-guinéen en exil, Severo Moto, estime que Yahya Jammeh n’est pas pour autant à l’abri. «On a déjà vu des ex-présidents africains se réfugier à l’étranger et se retrouver, malgré tout, devant les tribunaux. Je crois que Yahya Jammeh s’est fait avoir en se réfugiant en Guinée équatoriale. Mais, enfin, se réfugier dans un pays aussi instable, condamné partout au monde, tant par la communauté internationale que par la population de son pays. Il faut vite réfléchir à comment faire un procès, tant au réfugié qu’à celui qui a donné asile. Avant l’arrivée de Yahya Jammeh, beaucoup de gens ont débarqué en Guinée équatoriale, y compris des mercenaires. On a fini par comprendre qu’il s’agissait de l’entourage de Yahya Jammeh. Le président Obiang leur a ouvert les bras parce que cela renforce son pouvoir», dénonce Severo Moto.

Assane Ndiaye leader du Ngeweul Gui : «Ce que je regrette le plus dans ma carrière…»

Chanteur incontournable du Show-bizz sénégalais, Assane Ndiaye fait partie ces artistes qui entretiennent les soirées «must» de la Jet-set. En prélude à sa soirée prévue ce samedi au Grand-Théâtre, il fait face à l’Obs pour nous livrer les détails croustillants de sa préparation. Les regrets de sa carrière, ainsi que le bilan après plus de 16 ans de musique, sont également au menu de cet entretien. Il se lâche comme jamais…

 

Comment se prépare votre soirée au Grand Théâtre ?

Comme vous pouvez le constatez, nous sommes en pleine répétitions. La soirée s’annonce sous de bons auspices. Nous préparons un grand spectacle pour les fans. Que tout le monde se le tienne pour dit. Nous mettrons les petits plats dans les grands.

Quels en seront les temps forts ?

Il y aura cette année beaucoup d’innovations. À l’entame comme pendant le spectacle, l’ambiance sera au rendez-vous. Malheureusement, je ne peux pas vous dévoiler les détails ici, je les réserve pour ceux qui seront présents au Grand Théâtre. Retenez juste que nous allons revisiter le répertoire du «Ngéweul-Gui». Il y aura comme un air de souvenir mais également les dernières nouveautés, des morceaux inédits. Notre objectif étant de donner du plaisir aux fans, nous n’allons pas lésiner sur les moyens et les stratégies pour le faire. Tous mes collègues artistes sans exception aucune sont invités. Ce sera notre fête à nous tous…

Récemment, il y a eu des bisbilles entre l’administration du Grand Théâtre et certains artistes qui s’y sont produits. Ces derniers qui ont dépassé l’heure qui leur était impartie, ont vu les rideaux se baisser en pleine prestation. Assane Ndiaye a t-il pris toutes les dispositions pour ne pas que la même chose lui arrive ?

Rassurez-vous, nous avons pris toutes les dispositions idoines. S’il plait à Dieu, nous allons commencer le plus tôt possible, afin de pouvoir terminer à l’heure convenue. Nous tenons à dérouler tout notre spectacle dans les règles de l’art.

Lors de votre dernier spectacle au Grand-Théâtre, il s’était posé un problème de places. Tout le monde n’a pas pu accéder à la salle…

Effectivement ! Ce sont des choses qui peuvent arriver. J’en suis franchement navré. On ne peut jamais prévoir l’avance le nombre de personnes qui sera présent. Mais, n’empêche, nous allons tenter de sauver les meubles pour ce coup-ci, afin que tout le monde soit assis. Nous allons passer ensemble une merveilleuse fête.

 

Y a t-il toujours un engouement à jouer au Grand-Théâtre. Tous les artistes s’y bousculent ?

Comme je l’ai toujours dit, remplir le Grand-Théâtre n’a jamais été un défi pour moi. J’ai l’habitude de jouer à guichets fermés. Pour moi, ce n’est pas le plus important. L’essentiel, c’est que les fans qui feront le déplacement sorte de la salle, satisfait du spectacle. Même s’il n’y a qu’une seule personne, qu’elle le soit. Quand on organise un spectacle, c’est l’objectif que l’on doit avoir. Et non de remplir pour remplir. Maintenant, j’ai la chance de voir la salle pleine à craquer, à chaque fois que je joue.

Qu’est-ce qui fait alors courir Assane Ndiaye. Pourquoi le Grand-Théâtre ?

L’enjeu du Grand-Théâtre pour moi, c’est de faire plaisir à mes fans qui ne fréquentent pas les boîtes de nuit où je joue le plus souvent. Il y aussi, ceux qui ne veulent pas être dehors à certaines heures de la nuit. Ce sont, ces personnes là, inconditionnels d’Assane Ndiaye qui me font courir. Ils sont ma force et mon moteur, donc il est tout-à-fait normal que je leur offre, un cadre où ils pourront me retrouver, ne serait-ce qu’une fois par an et profiter de ma musique.

 

La carrière d’Assane Ndiaye semble stagner. On a comme l’impression que vous êtes au point mort et pourtant votre talent ne souffre d’aucun doute…

Je ne suis pas de cet avis. Au contraire, je remercie le bon Dieu. Au début, je jouais des premières parties de soirée, jusqu’en 2000, quand je créais mon groupe. Depuis lors, chaque année, je vais aux Etats Unis, en Europe et partout dans le monde. Aussi, chaque année, je sors un nouvel album. Chaque weekend je joue à guichets fermés. Donc, je pense que j’ai des motifs de me réjouir de ma carrière…

Ne pensez-vous pas que votre talent aurait-pu vous propulser beaucoup plus loin ?

Le problème c’est qu’on ne me voit pas tous les jours dans les médias. C’est pourquoi certains pensent que, je ne suis pas assez présent. Mais, c’est dans ma nature, je ne suis pas fait du bois de ces artistes qui font le buzz et occupent l’espace médiatique. Volontairement, j’ai opté de ne pas faire le pied de grue devant les médias juste pour que l’on parle de moi. Maintenant, lorsque j’ai un programme, j’en assure la promotion à travers les médias. Mais quand c’est fini, c’est fini. Je retourne faire mon job en toute discrétion. En tout cas tout le monde sait qui est Assane Ndiaye. Tout le monde sait si je suis bon ou pas. Je n’ai pas besoin de faire tout le temps l’actualité pour exister. Je reste dans mon coin et je travaille, je sors mes albums, je joue chaque weekend et je fais mes tournée jusqu’aux Etats unis.

Qu’est ce que la musique vous a apporté ?

La musique m’a apporté beaucoup de bonheur. Je connais toute sorte de personnes. Les gens me connaissent et ils m’aiment. Ils font tout pour moi. Il y a des gens qui sont prêts à donner leur vie pour moi. Tout ça, c’est grâce à la musique. J’en rends grâce à Allah.

Si vous deviez vous projeter dans l’avenir, dans 10 ans comment verrez- vous votre avenir dans la musique ?

Mon avenir est entre les mains de Dieu. Nous ne sommes pas les maîtres de nos destins. Nous prions juste d’être encore là dans 10 ans, d’être en bonne santé pour continuer à faire plaisir au public.

Est ce que vous vous sentez suffisamment récompensé par la musique ?

Je sais que durant toute ma carrière je n’ai jamais fait marche en arrière. On a toujours gravi les échelons. On ne se soucie pas de ce que untel a obtenu ou pas. Nous, nous occupons de ce qui nous regarde. Je suis un talibé. Comme disait Cheikh Ibrahima Fall, la vie est si courte. Est ce qu’elle vaut la peine d’avoir une maison ou une chambre ici-bas. Ce que je peux dire c’est que je vis comme tout Sénégalais. Je mange à ma faim, bois à ma faim, je me soigne, je subviens aux besoins de ma famille et j’ai une voiture pour me déplacer. Je crois que c’est l’essentiel.

Pourquoi Assane Ndiaye n’est pas présent dans les réseaux sociaux, comme la plupart de ces collègues ?

Je suis très timide, je l’avoue. Je ne m’affiche pas trop en public. Je ne m’occupe pas de toutes ces choses. Entrer dans les réseaux sociaux, chercher du buzz, je le jure que je ne suis pas dans tout ça. C’est grâce à Papis Niang (Art-bi Management), qu’on a commencé à me voir dans les réseaux ces temps -ci. C’est mon petit frère mais je l’écoute beaucoup. Il est un frère un conseil, il est tout pour moi.

 

La diffusion d’images et d’enregistrements de célébrités est devenue presque virale sous nos cieux. Quel est votre avis là-dessus ?

Il y a certains types de comportement que, je ne comprendrais jamais. On dit tout le temps que le Sénégal est le pays de la Téranga (l’hospitalité) et j’entends ça depuis mon enfance. Avant le Sénégalais ne versait pas dans ces pratiques. J’ai l’impression qu’on commence à tourner le dos à nos valeurs. Nos aïeux nous recommandaient de faire du bien et nous avons toujours respecté leurs recommandations. Diffuser des images ou des enregistrements dans le seul but de nuire à la personne, c’est assez regrettable. Je pense que ce sont des pratiques à bannir.

C’est un secret de polichinelle, Assane est assez proche du peuple gambien. Comment avez-vous vécu les récents événements qui s’y sont déroulés ?

La Gambie est mon pays parce que la population fait partie de moi. C’est là-bas que j’ai joué pour la première fois, lorsque j’ai créé mon groupe. C’est la raison pour laquelle, je porte la population de ce pays dans mon cœur, particulièrement celle de Birkama. J’ai une maison en Gambie, des homonymes, des parents. Les Gambiens, me le rendent bien aussi. A chacune de mes soirées, ils font le déplacement en masse. Les événements post-électoraux m’ont beaucoup touché. J’ai suivi la situation de très près. Heureusement, la quiétude est revenue maintenant sans qu’on ait eu à déplorer un seul mort. La Gambie a élu un nouveau président, il a pris fonction, prions pour que la paix continue de prévaloir dans ce pays voisin. Le Sénégal et la Gambie, c’est le même peuple et le même pays. Tout ce qui touche la Gambie, touche le Sénégal et vice versa.

Un œil dans le rétroviseur, quels sont les regrets de votre carrière, s’il y en a ?

Ce qui m’a fait le plus mal dans ma carrière, c’est la fuite de certains de mes musiciens en Occident. Certains, n’avaient jamais vu la couleur d’un passeport, de même qu’un visa, je les ai emmenés en tournée, ils ont pris la poudre d’escampette. C’est franchement déplorable. Si tu travailles avec une personne et que tu n’y trouve plus ton compte, tu peux tout bonnement démissionner. Mais certains préfèrent jouer la carte de la facilité et fuir. Le pire, c’est que je peux rien faire contre eux. Je ne peux que les laisser filer dans la nature et les laisser avec leur conscience. C’est comme ça la vie, il faut gérer les choses dans leur contexte parce que tout le monde n’est pas pareil…

PAR MARIA DOMINICA T. DIEDHOU ET MOR AMAR

ASSASSINAT DE LA VICE-PDTE DU CESE FATOUMATA MATAR NDIAYE – Le chauffeur de la victime entendue la semaine prochaine

Finalement, c’est la semaine prochaine que sera entendu au fond Samba Sow, le présumé assassin de la 5ème Vice-présidente du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Fatoumata Matar Ndiaye. Extrait de prison la semaine dernière, plus précisément le jeudi 26 janvier pour être auditionné, l’inculpé, chauffeur de la victime, a été renvoyé.

Le juge du 10ème cabinet d’instruction n’a finalement entendu que la partie civile, notamment le fils de la victime. Selon nos sources, Samba Sow sera entendu d’ici le 15 février prochain pour les chefs d’accusation d’assassinat, de tentative d’assassinat et de vol avec effraction, escalade et usage d’arme et de violence pour lesquels il est inculpé. Il lui est reproché d’avoir égorgé la responsable politique de l’Alliance pour la République (APR), Fatoumata Makhtar Ndiaye, le 19 novembre dernier, à Pikine. Selon les témoignages, Samba Sow voulait soutirer de l’argent à la dame qui venait de recevoir un financement destiné à des femmes.

Saccage du Ps

Après Abdourahmane Mbengue, Amath Diouf et Abdoulaye Wane, qui sont passés devant le Doyen des Juges d’Instruction (Dji), le 31 janvier dernier, ce sera au tour, aujourd’hui, le 3 février, de Maguette Ba, Cheikh Tidiane Baal et Malick Kébé Diouf de faire face à Samba Sall. Des auditions qui entrent dans le cadre de l’instruction sur l’affaire de mise à sac du siège du Parti socialiste (Ps) de Colobane. A en croire nos sources, Sérigne Saliou Mbacké Diop est convoqué le 7 courant. Le maire de la Médina, Bamba Fall et ses compagnons d’infortune sont incarcérés depuis le 6 janvier pour tentative d’assassinat, violence et voie de fait, destruction de biens appartenant à autrui. Le 05 mars 2016, le Bureau politique du Ps a tenu une réunion pour dégager une position sur le Référendum. Ousmane Tanor Dieng et Cie ont opté pour le «Oui». Les partisans du «Non» ne l’entendant pas de cette oreille, ont mis la Maison du parti sens dessus-dessous. Une plainte a été déposée, l’enquête menée par la Brigade des affaires générales (Bag) de la Division des investigations criminelles (Dic). Près de 200 personnes identifiées par des vidéos surveillance ont été auditionnées par les limiers. Finalement, ce sont Bamba Fall et cie qui ont été interpellés par la Dic, déférés devant le Procureur et inculpés après avoir fait l’objet de deux retours de Parquet.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention
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