Le religieux est dans une profonde colère contre le régime de Macky Sall. Il dénonce avec la dernière énergie le blocage du projet de construction de l’Université Cheikh Oumar Foutiyou Tall à Guédiawaye. «Nous avons dé- croché un financement de 23 milliards Cfa pour construire une université dans la banlieue où nos enfants vont apprendre beaucoup de connaissances. Les autorités nous ont donné leur accord. Elles nous ont donné le terrain. Nous avions même commencé l’abattage des arbres, mais un bon jour, la police est venue nous demander de tout arrêter. Depuis 3 ans nous attendons. Le Sénégal risque de perdre le projet au profit de la Côte d’Ivoire, car Alassane Ouattara a donné 12 ha. Nous voulons que le projet reste au Sénégal», martèle Imam M. Diop. En marge d’un récital de Coran à l’intention de nos morts, il a aussi décrié le manque d’infrastructures à Pikine. «Pikine ne fait qu’élire des présidents. Mais si vous regardez bien, Pikine n’a absolument rien. En matière d’infrastructures, Pikine occupe la dernière place», ajoute-t-il sur un air dégoûté
Augustin Senghor : Président de FSF «satisfait du bilan, en attendant l’age du 12 août prochain»
La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a procédé hier à son Assemblée Générale Ordinaire pour faire le bilan de l’année écoulé 2016. Et à la fin de cet exercice, le président sortant Augustin Sénghor a dit sa satisfaction quant au bilan présenté et a annoncé la date de la prochaine AG élective. Elle est finalement fixée à la date du 12 août prochain, sous recommandation de la commission électorale. Dans son discours, le président de la Fédération sénégalaise de football a d’emblée tenu à expliquer que : « Cette AG, était une assemblée statutaire annuelle afin de procéder à l’exercice de reddition de comptes. Rendre compte à nos mandants, les délégués des différentes Ligues régionales, du travail accompli pendant tout cet exercice 2016. Mais aussi rendre compte de la gestion financière, et surtout faire approuver notre rapport ». Avant d’éclairer la lanterne des participants en ces termes: «Nous avons abordé certaines questions particulières relatives à la date de la prochaine AG. Cette Assemblée générale élective a été finalement fixée au 12 août 2017, sous recommandation de la commission électorale». Augustin d’évoquer « les avancées réalisées en termes d’ d’infrastructures. Et le bilan financier avec un ré- sultat exceptionnel de 55. 355 145 francs CFA, nous a permis de doter les clubs respectant certains critères, des subventions à même de les aider à bien mener leurs activités ». Et d’ajouter que : «nous avons eu à échanger, de long en large, avec les ligues ré- gionales sur les préoccupations de l’heure, dans le cadre de la vulgarisation du football à la base. On sait aussi que nous sommes parvenus à faire en sorte que le ballon roule partout au Sénégal. Mais cela n’est pas sans difficultés, parce que ça nécessitait de plus en plus de moyens». Et de se réjouir que tout se soit déroulé dans une bonne ambiance. «En somme, l’ambiance qui a prévalu était bon enfant, aussi sérieuse que studieuse. Nous avons eu à aborder toutes les questions sans tabous. Nous avons eu à régler certaines questions liées à des débats qui étaient sur la place publique, concernant les sponsors, l’équipementier, et les financements de la fédération. Et tout est fait dans la transparence. Globalement, c’est une AG qui s’est bien tenue», a conclu monsieur Senghor
Présence Citoyenne
Le Président Macky Sall n’est pas seul malgré la colère noire qui s’est signalée vendredi dernier à la place de la Nation. L’ancienne ministre de la Santé sous Abdoulaye Wade a procédé au lancement de son mouvement dénommé «Présence citoyenne», samedi à Thiès, pour «appuyer la politique sociale du président de la République». «J’ai décidé de mettre mon expérience de médecin mais aussi de ministre, également de manager et aussi toute mon expertise dans la gestion de problèmes sociaux et de problèmes de développement», a déclaré Safiétou Thiam, face à la presse. Sur le choix de la cité du rail, «Thiès est ma ville de cœur, où j’ai fait mes études du primaire au baccalauréat», a confié l’initiatrice du mouvement «Pré- sence citoyenne» dont le centre d’intérêt tourne autour des femmes, des jeunes, des couches vulnérables de la société.
Djiamil Faye boude et déclare la guerre à la fédération
sous prétexte que la Fédération n’a pas fait les choses dans les règles de l’art, et adéquation avec ses propres textes, que le président de Guédiawaye, Djamil Faye a boudé. ce dernier s’est plaint avec véhémence de n’avoir même pas reçu d’accréditation devant lui permettre d’accéder à la salle où se tenait les assises de l’instance fédérale. une inélégance dénoncée avec la plus grande énergie. et Djamil de déclarer la guerre à cette fédération qui, pernicieusement, essaie de saborder son club.
Seydou Gueye / Agne
Quand Abdou Rahim Agne et Seydou Guèye se rencontrent, les superlatifs ne manquent pas. Dirigeant une délégation de membres de l’Apr pour la cérémonie d’intronisation du nouveau secrétaire à la vie politique du Parti de la Réforme, le ministre, porte-parole du gouvernement n’a pas tari d’éloges à l’endroit de son ancien mentor qu’il appelle affectueusement «grand Agne», rappelant tout ce qui a marqué leur compagnonnage depuis la création du Parti en 2001, jusqu’à leur séparation. «Je voudrais féliciter Seydou Guèye sur le parcours qu’on a eu ensemble». Pour ce, dit-il, «tout ce qu’il a dit est tout à fait conforme à la réalité des choses… Si tous les hommes politiques avaient cette loyauté intellectuelle, ce courage politique, le paysserait aujourd’hui plus loin», a chanté l’ancien président du Conseil régional de Saint-Louis.
Triste riposte
L’attitude consistant à jeter le discrédit sur le mouvement Y’en a marre pour freiner leur ardeur contestataire s’est avérée contreproductive pour le régime. La réussite incontestable de la manifestation de vendredi dernier montre assez que les tentatives de sabotage et de brouillage de Yakham Mbaye et de ses camarades ont été vaines. Une telle situation s’explique par la légèreté des arguments avancés. Les accusations et autres calomnies ont manifestement poussé nombre de Sénégalais à aller dire leur ras-lebol à la Place de la Nation, prenant ainsi le contrepied de ceux qui voulaient organiser une contremanifestation. Y’en a marre a ainsi profité d’un contexte favorable pour marquer un grand coup. Audelà de cette majorité silencieuse, il y avait les frustrés venus d’horizons divers pour, eux aussi, crier «trop c’est trop». Si on y ajoute la mobilisation fort opportuniste des hommes politiques, la marée humaine constatée s’explique aisément. Le pouvoir gagnerait donc à riposter de manière plus coordonnée et plus intelligente au lieu de se laisser aller à une folle passion inutile.
Le maire de Mbao quitte Bokk Guiss Guiss pour le Macky
Le maire de Mbao, Abdoulaye Pouye, qui militait depuis 2012 au sein de la formation politique Bokk gis gis de Pape Diop, a décidé d’aller sous sa propre bannière politique. Selon un communiqué, cette décision s’explique par le «constat d’absence de considération du président de Bokk gis gis à l’endroit de son seul maire dans la région de Dakar». «Le président Pape Diop n’a jamais senti le besoin de rendre visite au maire Abdoulaye Pouye pour conforter les positions de ce dernier dans son fief politique», explique le document. Face à une telle situation, le maire Abdoulaye Pouye Obama dont la seule ambition est de servir sa commune et ses habitants, a lancé hier son mouvement politique dénommé «Geem sa Bopp». Cette manifestation a vu la présence du ministre Mbaye Ndiaye, et du directeur de l’Artp, Abdou Karim Sall. Ce mouvement a décidé de soutenir le Président Macky Sall en rejoignant la mouvance présidentielle.
Rassemblement de Y’en a Marre : L’Apr lève les boucliers
Au lendemain du méga rassemblement piloté à la Place de la Nation ex-Obélisque, vendredi dernier, par le Mouvement Y’en a marre, le parti au pouvoir n’a pas manqué de lever les boucliers contre Fadel Barro et cie. Moult responsables de l’Alliance pour la République (Apr) ont profité de sorties publiques au cours du week-end pour fustiger la démarche et tirer à boulets rouges sur le mouvement citoyen. A l’image de Moustapha Cissé Lô, vice-président de l’Assemblée nationale, Matar Bâ, ministre des Sports et maire de Fatick ou autre Mor Ngom, ministre conseiller et maire de Ndangalma
Camille Cerf complexée : l’ex-Miss France n’est pas “fière” de son corps
Ex-Miss France, Camille Cerf n’est pas totalement à l’aise avec son corps. La jolie blonde de 22 ans s’est confiée sur ses complexes.
Le monde entier a beau vous imaginé dans les bras de Miss Univers alias Iris Mittenaere, vous pouvez faire l’objet d’une cour assidue et insolite de votre voisin ou être élue plus belle femme de France mais vous pouvez conserver vos complexes. Camille Cerf s’est confiée à cœur ouvert à sa grande copine, Malika Ménard, sur le site de Télé-Loisirs. Les deux complices ont parlé de mode et de silhouette.
La jolie Nordiste de 22 ans en a profité pour révéler qu’elle n’était pas “fière” de son corps. “Mais je trouve que j’aurais pu être plus mal lotie donc je remercie quand même la nature. Après il n’est pas parfait mais je m’en fiche qu’il ne soit pas parfait. Je n’en suis pas fière mais je fais avec“, a lâché la Miss France 2015. Pour être moins intransigeante sur sa silhouette, Camille Cerf n’est pas aidée non plus par les nombreuses critiques dont elle fait l’objet de la part d’internautes indélicats sur les réseaux sociaux. “Ça me blesse mais j’arrive à passer au-dessus“, précise-t-elle.
“J’ai un peu de culotte de cheval”
Malika Ménard lui demande enfin son plus grand complexe ? “J’ai un peu de culotte de cheval”, a répondu la BFF d’Iris Mittenaere mais Camille Cerf est en train de retrouver un popotin de rêve grâce à ses multiples séances de sport depuis quelques semaines. De quoi parader sans complexe à la plage l’été
Djeddah Thiaroye Kao – Echauffourées entre la police et la caravane de Malick Gakou à , 06 militants du Grand Parti arrêtés
Caravane de Malick Gakou dans le cadre de sa visite de proximité prévue ce dimanche 09 avril, à l’occasion de la deuxième journée de son programme “Président Banlieusiard”, a été accueillie par des jets de grenades lacrymogènes de la police à Djeddah Thiaroye Kao .
Ce matin, Djeddah Thiaroye Kao a été le théâtre de violents affrontements entre les forces de l’ordre et les partisans du Grand parti d’El Hadj Malick Gackou qui se rendaient sur les lieux pour les besoins de leur programme ‘’Président banlieusard’’.
A cette occasion, la police a procédé une descente chez le responsable local du Grand Parti, Mamadou Badiane, dit GaÏndé où de nombreux militants se sont donné rendez-vous pour accueillir la caravane de Gakou.
Selon Bamba Ndiaye, un des responsables du Grand Parti, que votre site de référence Leral.net a joint au téléphone, ‘’la police est venue pour interrompre la caravane au motif qu’ils n’ont pas reçu d’autorisation. Des altercations verbales se sont produits entre le coordonnateur local de cette entité et des éléments des forces de l’ordre. Par la suite, ils ont commencé à jeter des grenades lacrymogènes sur des gens et c’est ça qui a dégénéré et naturellement, il y a eu des ripostes’’.
Quant à Matar S. Ndiaye, un des organisateurs de cette caravane que nous avons également joint au téléphone, il fait état de six (6) arrestations des militants du Grand parti parmi lesquels Mamadou Badiane dit Gaïndé, qui sont présentement au commissariat de la police de Djeddah Thiaroye Kao.
Non content de l’arrestation de leurs camarades, les jeunes de la localité se sont livrés à des échanges nourris de jets de pierres auxquels répondaient les policiers par des tirs de grenades lacrymogènes.
Des tractations sont présentement en cours pour obtenir leur libération.
Affaire à suivre donc…
Landing DIEDHIOU, Leral.net