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Fernandinho : "Manchester City peut battre Chelsea pour le titre"

Le milieu de terrain brésilien croit fermement que Manchester City peut décrocher un troisième titre de champion d’Angleterre en six saisons.

Manchester City n’a pas abandonné l’espoir de remporter la Premier League au détriment de Chelsea. Actuellement troisième du championnat anglais à 11 points des Blues, le club mancunien compte un match en moins mais semble largement distancé dans la course au titre.

Manchester City – Leroy Sané, le talent précoce qui brille sous Guardiola

Interrogé par Sky Sports, Fernandinho a estime que les Citizens pouvaient encore croire au titre de champion malgré leur retard sur Chelsea. Le milieu de terrain brésilien est persuadé que Manchester City peut s’offrir un troisième sacre en six saisons.

PSG : la prime indécente promise aux joueurs en cas de qualification face au FC Barcelone

Le latéral gauche du PSG Maxwell aurait révélé à un joueur du FC Barcelone que Nasser Al-Khelaifi avait promis un million d’euros par tête en cas de qualification pour les quarts de finale.

L’information est à prendre avec des pincettes car la presse espagnole est capable de toutes les interprétations pour faire monter la pression en vue du choc de ce soir entre le FC Barcelone et le Paris-Saint-Germain. Mais le site Sport révèle qu’après le match aller il y a deux semaines, Maxwell est allé saluer ses anciens coéquipiers catalans. Tout en leur remontant le moral, il aurait révélé à l’un d’entre eux qui s’étonnait de voir les champions de France “se jeter comme des avions sur tous les ballons” que la prime promise par Nasser Al-Khelaifi était très motivante.

Un million d’euros par tête !

Le Brésilien aurait avancé un chiffre à six zéros ! Ce qui signifie que tous les joueurs présents sur les deux feuilles de match deviendraient millionnaires en cas de qualification ce soir. Encore une fois, le conditionnel est de rigueur car, plus loin dans le papier de Sport, il est question de somme à six chiffres. Cent mille euros, c’est autre chose qu’un million. Même si ce dernier montant est plus en rapport avec l’exploit qui se profile pour les joueurs d’Unai Emery…

Actunet rend hommage à la femme sénégalaise : Nder, 198 ans après, la résistance à l’esclavage, quel héritage ?

Nder et ses femmes. Nder et ses flammes qui ont emporté des femmes, des mères, des sœurs. Un fait particulièrement tragique resté longtemps dans la mémoire des Sénégalais. L’histoire des femmes de Nder qui, un mardi du mois de novembre 1819, se sacrifièrent collectivement pour ne pas tomber entre les mains d’esclavagistes maures. 198 ans après, cet héritage de bravoure devrait encore et toujours resté dans les mémoires de nos femmes, qui, aujourd’hui, marchent et courent pour atteindre les sommets de la réussite. Car, ici au Sénégal, les femmes ont démontré qu’elles étaient des descendantes de celles de Nder, même s’il est vrai qu’il y a encore du chemin à faire en rapport avec nombre de facteurs sociaux, politiques, économiques et culturels. En ce jour du 8 mars dédié aux femmes du monde, actunet vous replonge dans l’enfer vécu par ces femmes du Walo pour dire non à l’esclavage à revisitant le roman de Sylvia Serbin intitulé ‘’Reines d’Afrique et Héroïnes de la diaspora noire’’.

A cette époque, le Walo constituait une province prospère située à l’embouchure du fleuve Sénégal. Ses habitants, de paisibles cultivateurs, vivaient du commerce avec les caravaniers du commerce transsaharien et avec les gens de Saint-Louis, première capitale coloniale du Sénégal, où ils écoulaient leurs denrées agricoles. Le fleuve séparait le Walo de la Mauritanie où était notamment établie la tribu des Trarzas. D’eux, on ne savait jamais à l’avance s’ils débarqueraient en clients pour échanger des marchandises ou en ennemis pour se ravitailler en captifs. Toujours est-il que depuis l’installation des troupes françaises à Saint-Louis, les Maures ne cessaient d’accentuer leur pression contre le Walo, qu’ils voulaient faire passer sous leur contrôle, afin d’empêcher la région de tomber sous domination européenne.

Cette année là, une longue période d’accalmie avait succédé aux violents affrontements dont les guerriers maures et leurs alliés Toucouleurs étaient une fois de plus sortis vainqueurs. On était au début de la saison sèche et Nder vivait un peu au ralenti. Le Brack (le Roi) était à Saint-Louis pour se faire soigner d’une mauvaise blessure reçue lors de la bataille de Ntaggar contre les Maures justement. Comme à l’accoutumée, les dignitaires du royaume étaient du voyage et une bonne partie de la cavalerie les accompagnait.

Ce mardi comme les autres jours, les hommes avaient rejoint les champs dès l’aube, la daba (houe traditionnelle) sur l’épaule. D’autres s’étaient rendus à la chasse, tandis qu’un troisième groupe avait pris la direction du fleuve où étaient amarrés leurs barques de pêcheurs. Seuls quelques ceddos (soldats) étaient restés en garnison, et s’occupaient à astiquer nonchalamment leurs grands fusils de traite.

Dans le village aux cases rondes livré aux femmes, aux enfants et aux vieillards, régnait l’animation du quotidien. Les coups de pilon, en une ronde saccadée, redoublaient d’ardeur à moudre le mil. Les femmes, vaquant à leurs occupations, s’interpellaient à l’intérieur des concessions. D’autres s’affairaient à l’entour des greniers où étaient entreposées les dernières récoltes. Quelques-unes enfin bavardaient tranquillement sur la place du village, tandis que les jeunes enfants se poursuivaient bruyamment autour de l’arbre à palabres où, le soir venu, les anciens avaient coutume de dérouler les histoires du passé.

Soudain un cri d’effroi troubla la quiétude du lieu. En un instant, les rires se figèrent, les pilons tombèrent, les concessions se vidèrent. Tous les regards convergèrent vers la femme qui venait de franchir en trombe l’entrée du tata, ce mur d’enceinte en branchages et terre glaise, censé protéger les villages en cas d’offensive.

La main agrippée à une calebasse ruisselant d’eau bien que vidée de son contenu, la femme haletait, terrorisée : « Les Maures ! Les Maures sont là ! Ils arrivent ! J’étais au bord du lac de Guiers et je les ai vus à travers les roseaux. Une armée de Maures ! Ils ont avec eux une troupe de Toucouleurs conduits par le chef Amar Ould Mokhtar ! Ils s’apprêtent à traverser le fleuve et viennent vers notre village ! »

Toutes les femmes crièrent en même temps. Elles savaient quel sort les attendait… Les Maures avaient repris leurs razzias dans le Walo pour s’approvisionner parmi les autochtones. Un grand nombre d’hommes, de femmes et d’enfants seraient arrachés à leurs familles pour être vendus comme esclaves aux riches familles d’Afrique du Nord. Cela avait toujours été ainsi et Nder y avait perdu bien des fils et des filles.

Pendant ce temps, à quelques kilomètres de là, postés sur l’autre rive du fleuve, les cavaliers enturbannés venus du désert s’apprêtaient à lancer leurs chevaux à l’assaut du village. Les femmes décidèrent aussitôt d’organiser la résistance avec les soldats demeurés sur place.

A la hâte, elles expédièrent les enfants dans les champs avoisinants sous la conduite de leurs aînés, afin qu’ils se cachent dans les hautes tiges de mil. Puis elles se précipitèrent dans leurs cases pour en ressortir vêtues de boubous et de pantalons bouffants, qui d’un époux, qui d’un père, qui d’un frère ; les cheveux dissimulés sous des bonnets d’homme. Elles s’étaient munies de tout ce qui pouvait servir à leur défense : coupe-coupe, lances, gourdins et même de vrais fusils qu’elles s’apprêtaient à manier pour la première fois.

Amazones d’un jour, ces femmes se battirent avec l’énergie du désespoir. Servantes, paysannes, aristocrates, jeunes, vieilles, elles s’engagèrent, animées de leur seul courage, dans la terrible confrontation avec l’ennemi. Dans leurs chants de célébration à la mémoire de ces femmes d’exception, les griots, illustrateurs des pages de l’histoire africaine, assurent que ce jour là, elles tuèrent plus de trois cents Maures. Le combat était cependant inégal. Les ceddos furent rapidement exterminés. Des rigoles de sang bouillonnant s’épandaient en une boue rougeâtre sur le sol de terre battue. Ça et là gisaient pêle-mêle des cadavres et des blessés agonisants.

Le soleil était maintenant haut dans le ciel. Un silence angoissant s’abattit sur le village. Muettes de désespoir, les femmes s’avancèrent lentement vers la vaste case qui s’élevait, imposante, au milieu du village. Pas une n’avait osé s’opposer à Mbarka Dia, de crainte que l’écho de leur couardise ne rejaillisse sur leur descendance. Une dernière fois elles contemplèrent le décor familier de leur quotidien, laissèrent traîner leurs regards embués de larmes sur les volailles affolées, les greniers pillés, les pilons abandonnés sur le sol, les marmites renversées, les cases éventrées et tous ces cadavres de proches qui commençaient à gonfler sous l’effet de la chaleur…

Comment toutes les femmes de Nder avaient péri

A quelques kilomètres de là, postés sur l’autre rive du fleuve, les cavaliers enturbannés venus du désert s’apprêtaient à lancer leurs chevaux à l’assaut du village. Les femmes décidèrent aussitôt d’organiser la résistance avec les soldats demeurés sur place.

Alors elles s’entassèrent dans la case principale. Quelques jeunes mères qui n’avaient pas voulu se séparer de leurs nouveau-nés, les serraient contre leurs seins, à les étouffer. La dernière à pénétrer dans la pièce était enceinte et près de son terme. Mbarka Dia ferma la porte. D’un geste précis, elle enflamma une torche et sans même un tremblement, la lança contre l’une des façades de branchages. Aussitôt jaillit un immense brasier. A l’intérieur de la case, les femmes enlacées, serrées les unes contre les autres, entonnèrent, comme pour se donner un dernier sursaut de courage, des berceuses et de vieux refrains qui depuis leur enfance avaient rythmé leurs activités.

Les chants commencèrent à faiblir… aussitôt remplacés par de violentes quintes de toux. C’est alors que la future mère, guidée par son instinct de survie, poussa violemment la porte d’un coup de pied et, happant une goulée d’air, se précipita à l’extérieur où elle s’évanouit sur la terre battue. Celles qui vivaient encore ne bougèrent pas. Quelques-unes eurent le temps de murmurer : « Qu’on la laisse. Elle témoignera de notre histoire et le dira à nos enfants qui le raconteront à leurs fils pour la postérité. » Celles qui n’avaient pas encore été asphyxiées continuaient à chercher dans leurs chants de supplique, le courage de rester dans ce cercueil incandescent. Et les voix s’éteignirent peu à peu… Tout à coup, un effroyable craquement domina le crépitement des flammes. La charpente du toit venait de s’affaisser sur les corps. C’est un silence de mort qui accueillit les hommes arrivés trop tard au secours du village. Toutes les femmes de Nder avaient péri.

Ce qui est certain, les femmes du Sénégal ont démontré qu’elles étaient des descentes de celles de Nder, même s’il est vrai qu’il y a encore du chemin à faire en rapport avec nombre de facteurs sociaux, politiques, économiques et culturels.

Actunet.sn

Naples, De Laurentiis content du travail de Sarri

Aurélio De Laurentiis, président de Naples, a souligné l’excellent travail de Maurizio Sarri malgré l’élimination de son équipe face au Real Madrid.

Naples a fait trembler le Real Madrid ce mardi soir au San Paolo mais n’a finalement pas réussi à l’emporter et à éliminer les Merengue. Après une première période de grande envergure, les Partenopei ont mené au score mais ont finalement dû s’incliner après un doublé de Sergio Ramos et une réalisation d’Alvaro Morata. Malgré cet échec, Aurélio De Laurentiis a confié après la rencontre être fier de la prestation de ses joueurs contrairement à celle du match aller.

Sergio Ramos : “Penser à nos erreurs”

“Même si le résultat a été le même qu’à l’aller, je n’ai pas été déçu comme je l’ai été à Madrid. La première période a été exemplaire, et l’équipe a tout donné en seconde période, mais le Real Madrid reste le Real Madrid”, a déclaré Aurelio De Laurentiis après la défaite de ses troupes devant le public de San Paolo.

Khalifa dans la caisse

Le maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, a passé hier sa première nuit à Rebeuss. Pour cause, le Doyen des juges qui l’entendait dans le cadre de l’affaire liée à la caisse d’avance de la mairie de Dakar lui a notifié une ordonnance de placement sous mandat de dépôt. Cette détention a été décidée, à l’issue de plusieurs heures de “contestations sérieuses” et les exceptions soulevées par la défense n’ont pas pu convaincre le Doyen des juges qui a suivi le réquisitoire du procureur de la République. Khalifa Sall est envoyé en prison en même temps que ses cinq autres co-accusés pour détournement de deniers publics portant sur plus de 1,8 milliard de nos francs, association de malfaiteurs, escroquerie portant sur les deniers publics et blanchiment de capitaux.

Me Doudou Ndoye dans le Macky

Alors qu’il avait démissionné de manière fracassante de son poste de président de la Commission nationale de réforme foncière et étant en un moment donné trop critique contre le régime de Macky Sall, Me Doudou Ndoye est en train de faire un nouveau revirement. Hier, lors d’une rencontre entre les acteurs du foncier présidée par le ministre des Finances, Amadou Bâ, l’avocat s’est montré très «doux» avec le président de la République. Saluant la décision de ce dernier de transformer les titres précaires en titres fonciers, Me Doudou Ndoye a indiqué que Macky est entré dans l’histoire. Se rapprochant plus du Président, il a confié à l’actuel président de la Commission nationale de réforme foncière qu’il est près à aider et est à la disposition de l’Etat pour travailler en faveur des populations. Aussitôt, l’argentier de l’Etat, qui présidait la réunion, a demandé à ceux qui sont chargés de travailler sur la mesure du chef de l’Etat de s’appuyer sur l’expérience de Me Doudou Ndoye et compagnie pour une réussite de la décision présidentielle. La rencontre a réuni, au delà de Me Doudou Ndoye, El hadji Malick Sy Souris, mais aussi l’Inspecteur des Impôts à la retraite Abdoul Magip Sène, le Directeur de la Bhs, le Dgid Ahmed Tidiane Bâ entre autres. Toutes ces personnalités ont été invitées à promouvoir la transformation des titres précaires en titres fonciers.

Arrestation de Khalifa Sall – Émeutes à Grand-Yoff

Suite à l’annonce du mandat de dépôt de Khalifa Sall, les jeunes de son fief à Grand-Yoff ont envahi les rues pour protester contre l’incarcération de leur responsable. Ils ont laissé éclater leur colère en brûlant tables, étals et autres pneus sur la chaussée. N’eût été l’intervention de la police, la circulation sur la route menant vers le marché et l’église Saint-Paul resterait bloquée pendant de longues heures. Face à des limiers déterminés, les jeunes de Grand-Yoff se sont finalement repliés. Refusant de s’avouer vaincus, les jeunes partisans de Khalifa Sall prévoient de redescendre aujourd’hui dans la rue et de battre le macadam. Wait and see !

SEYDOU GUÈYE «La bulle médiatique créée par Khalifa Sall est en train de se dégonfler»

Convaincu que la mouvance présidentielle a les moyens d’élargir la majorité de Benno bokk yakaar au niveau de l’Assemblée nationale, le ministre porte-parole du Gouvernement, Seydou Guèye, dresse un bilan flatteur des cinq années que le président de la République vient de passer au pouvoir.

ROBERT SAGNA, LEADER DU RSD/TDS SUR LA CRISE AU PS «Je regrette que l’on en arrive à une telle situation»

L’ancien ministre, Robert Sagna, ne reste pas insensible à la crise qui mine actuellement le Parti socialiste, même s’ils’en est éloigné depuis de longues années. Il l’a fait savoir au cours du discours qu’il a prononcé à l’occasion du congrès de son Parti, le Rassemblement pour le socialisme et la démocratie/Takku defaraat Sénégal. «Je regrette pour mon ancien parti, le Partisocialiste.Je regrette que l’on en arrive à une telle situation», a-t-il soutenu, se plaignant de voir «le Parti socialiste qui est la roche mère de la dé- mocratie au Sénégal commencer à se fissurer». Pour autant, il y a lieu d’espérer. À l’en croire, il y a un travail interne qui se fait actuellement pour trouver une solution politique à cette crise. Robert Sagna qui précise ne pas connaître «les parties judiciaires, parce que ne les maîtrisant pas», annonce toutefois que «sans trompettes, ni tambours, ils sont en train de faire tout ce qu’ils peuvent pour aider à trouver une solution politique à cette affaire». Parce que ce qui les intéresse, c’est que «le Partisocialiste puisse retrouver sa solidité d’antan. C’est-à- dire, là où le Président Senghor l’a laissé, là où le président Abdou Diouf l’a fortifié et renforcé». D’ailleurs, le Rsd/Tds qui réaffirme son ancrage dansle Benno bokk yakaar, prône les retrouvailles des socio-démocrates. Parce qu’il est fondamental que tous ceux qui gravitent, de manière satellitaire, autour de la «roche mère» se retrouvent pour permettre à la social-démocratie d’avoir la force qu’elle mérite afin de prospérer au Sénégal, a motivé M. Sagna. Par ailleurs, le leader du Rsd/Tds a fait savoir que le choix du thème portant sur la gouvernance «n’est pas fortuit». «La gouvernance, qu’elle soit politique, économique, sociale ou culturelle, fait l’objet de beaucoup de débats», a-t-il motivé, soutenant qu’«elle doit être au centre de toute initiative et de toute action surtout dans un pays émergent ou en voie d’émergence comme le Séné- gal».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention