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MACKY 2012

Son Excellence le Président Macky Sall, Président de la coalition Macky 2012, a rencontré ce samedi sa coalition du premier tour. Une délégation conduite par le coordonnateur Moustapha Fall «Che». Les échanges ont porté sur l’actualité nationale et les prochaines échéances électorales. C’est du moins ce que nous apprend un communiqué issu de cette coalition.

Mbaye Touré, Daf de la mairie de Dakar placé sous mandat de dépôt

Les carottes semblent cuites pour Khalifa Sall, le maire de Dakar, qui va incessamment faire face au Doyen des juges du tribunal de grande instance de Dakar, Samba Sall.

En effet, Mbaye Touré, le Directeur administratif et financier (Daf) de la mairie de Dakar, vient d’être inculpé et placé sous mandat de dépôt. Il va passer sa première nuit à la Maison d’arrêt de Rebeuss (Mar).

Lors de son audition par la Division des investigations criminelles (Dic), il avait expliqué aux enquêteurs que chaque mois, il récupérait 30 millions au Trésor pour les remettre à Khalifa Sall. Ce qui n’augure rien de bon pour le Secrétaire à la vie politique du Parti socialiste (PS).

REMOUS AU PRODAC

Nommé en juillet 2014 à la tête du Programme des domaines agricoles communautaires (Prodac), remplacé en janvier 2017, Jean Pierre Senghor est devenu ministre-conseiller. C’est la volonté du chef de l’État qui, deux mois jour pour jour après son départ du Prodac, a réhabilité le 2 mars dernier M. Senghor, qui est du coup le premier sédhiouois à être élevé au rang de ministre sous le magistère du Président actuel. Un fait qui réjouit ses partisans. Mais si M. Senghor peut s’estimer heureux, ses supposés «amis» au niveau du Prodac sont en train de souffrir, nous apprennent nos sources. Devinez par exemple pour le stratégique secteur de la communication, des remous ont été notés. El Guissé qui était jusqu’ici le coordonnateur de cette com’ a été «exilé», pardon, affecté à Boulele dans le Kaffrine. Pour quoi faire là-bas ? Peut-être palabrer avec les villageois, si l’on sait qu’il n’y a pas encore grand-chose au niveau de ce Domaine agricole communautaire (Dac). Quid de Louis Phlippe Sagna, de la Rts, il est «affecté» à Dodji. C’est la touche du nouveau directeur Mamina Daffé, précédemment directeur technique du Prodac. Des changements ont été opérés dans le Dac de Keur Samba Kane, dans la région de Diourbel. Il y a d’autres mesures, sur lesquelles on reviendra…

La Hongrie relance la détention systématique des migrants, l'ONU s'inquiète

Budapest réintroduit la détention systématique des migrants. Le texte a été adopté à une large majorité par le Parlement, ce mardi 7 mars 2017. La mesure avait été supprimée en 2013 sous la pression de l’Union européenne et du Haut Commissariat de l’ONU aux réfugiés (HCR).

La nouvelle loi prévoit que les migrants seront placés dans des « zones de transit », aux frontières serbe et croate. Ils y seront détenus, dans des conteneurs spécialement aménagés à cet effet et entourés de hautes clôtures en fil de fer barbelé, le temps qu’une décision définitive soit prise sur leur demande d’asile.

THIÈS – RETARD DE PAIEMENT DES 800 EX-TEMPORAIRES CHEMINOTS – L’État tarde à tenir sa promesse

Macky Sall avait promis que leurs pensions allaient leur être payées au plus tard le 31 décembre dernier. Les huit-cent ex-temporaires des chemins de fer attendent toujours. Si l’État ne s’exécute pas dans un délai d’un mois, ils vont reprendre le chemin de la contestation, ont-ils promis lors d’une assemblée générale tenue ce week-end àThiès.

Macky Sall invite le bureau des mines à mettre une rigueur extrême dans les visites techniques

Réagissant hier au drame routier qui a causé la mort de 18 personnes à Saint-Louis, le président de la République, Macky Sall, a pré- senté «des condoléances attristées à la Nation suite à cet énième accident mortel avec un bilan extrêmement lourd». Mettant en relief la recrudescence de tels cas de figure au Sénégal, le chef de l’Etat a laissé entendre que «le moment est venu de prendre toutes les mesures vis-à-vis du parc automobile», notamment en faisant en sorte de «procéder momentanément à l’arrêt de tous ces véhicules qui, présentement, ne devraient jamais disposer de visite technique leur permettant de circuler et de transporter des personnes». Assurant que «nous avons dépassé les limites en matière de tolérance», et mettant le bureau des mines face à ses responsabilités, il a indiqué qu’il est «important de revoir les visites techniques avec une rigueur extrême». Il a également recommandé de «voir avec les professionnels du transport, les transporteurs, les chauffeurs et l’administration les modalités de formation pour les conducteurs afin de rappeler les dispositions du Code de la route». Macky Sall qui avait, il y a peu, demandé au Premier ministre de tenir, dans les meilleurs délais, un Conseil interministériel en vue de mettre en œuvre un Plan d’urgence de sécurité routière, a ajouté qu’il urge de mettre en œuvre les voies et moyens pour pré- venir les accidents de la circulation. D’autant plus que, dé- plore-t-il, «aujourd’hui, personne n’ose prendre la route de peur d’y laisser la vie». «Ce n’est pas acceptable» estime le chef de l’Etat.

Assane Ndiaye prépare la grande offensive

Après Pape Abdou Fall au stade Demba Diop, c’est au tour d’Assane Ndiaye de préparer la grande offensive. Ce sera le vendredi prochain au stadium Iba Mar Diop. L’attraction de cette journée sera sans doute le face-à-face entre Zoss et Siteu.

POUR UNE JUSTICE ÉQUITABLE – Levez le coude !

«Ce que vous êtes parle si fort que je n’entends pas ce que vous dites», disait Emerson. Les accusations portées par le pouvoir sur les malversations supposées ou réelles de Khalifa Sall, sont d’une gravité extrême, surtout de la part d’un leader qui aspire à présider aux destinées du Sénégal. Seulement, aussi graves qu’elles soient, une bonne frange de la société ne parvient toujours pas à croire que le Maire de Dakar ait pu se rendre coupable de tels méfaits et crie au complot politique ou à l’acharnement. Une situation qui découle du fait que l’immixtion de l’État-Apr dans les affaires judiciaires, a toujours été dénoncée par des justiciables et par les magistrats eux-mêmes. D’ailleurs, l’Union des Magistrats a, à travers des sorties récentes, eu à déplorer cette immixtion quasi intempestive des pouvoirs publics dans les affaires judiciaires. La démission du substitut général Ibrahima Hamidou Dème du Conseil supérieur de la magistrature n’était que la goutte de trop qui a fait déborder le vase de contestation. LÀ OU RÈGNENT L’IMPUNITÉ ET L’INJUSTICE… Ce qui est dommage dans la situation actuelle du pays est le fait que le chef de l’État avait fait de la rupture son cheval de bataille. Les Sénégalais fatigués par la conjoncture économique et les sempiternels détournements restés impunis de leurs maigres deniers, attendaient de lui un assainissement des finances publiques et un châtiment exemplaire des pilleurs de l’argent public. C’est pourquoi, lorsqu’il avait soutenu qu’il ne protègerait personne lors du déclenchement de la traque, les Sénégalais étaient remplis de joie à l’idée de savoir que l’impunité serait désormais un mauvais souvenir. Malheureusement, cette joie fut de courte durée, quand certains prédateurs qui étaient dans le viseur de la Justice ont commencé à affluer dans les prairies marronnes au point de pousser le chef de l’État à donner un coup de frein ou à mettre le coude sur des dossiers compromettant ses affidés. Aujourd’hui, la désillusion semble être la chose la mieux partagée au sein de l’opinion. Une opinion qui semble plus que jamais convaincue que la Justice roule au pas de charge pour les opposants, et au pas de l’oie pour les proches du pouvoir. En atteste la sortie du Procureur de la République qui, malgré ses explications sur les lourdes charges qui pèsent sur Khalifa Sall, n’a pas réussi à tempérer les ardeurs, et des voix continuent de s’élever de plus belle pour crier à l’acharnement et au complot. Comme «la loi est générale et impersonnelle» et qu’elle s’applique à tous, le chef de l’État doit faire en sorte que tous les rapports qui lui sont transmis par les corps de contrôle soient remis à la Justice. De sorte que tous ceux qui se seraient rendus coupables de prévarication tombent sous le coup de la loi. Pour ce faire, il doit lever le coude sur certains dossiers qui épinglent ses proches, avant que les populations, ivres de colère, ne se laissent emporter par les discours va t-en guerre distillés ça et là. Ce qui pourrait être dommageable pour la paix et la stabilité du pays. Étant entendu que là ou règnent l’impunité et l’injustice, le chaos n’est pas loin.

CREI : 3e année de prorogation du dossier d’Abdoulaye Baldé

L’instruction du dossier d’Abdoulaye Baldé a été encore prorogée de 6 mois par la commission d’instruction de la CREI. En effet, d’après le journal « Les Echos », cette affaire du  maire de Ziguinchor entamée en 2014 n’a pas encore connu son épilogue. Hier, la commission d’instruction près la CREI a rendu une ordonnance de prorogation de 6 mois.

Ce qui fait dire au journal du Front de Terre que l’équipe de Cheikh Ahmed Tidiane Bèye gère différemment les dossiers de Aïda Ndiongue et Abdoulaye Baldé. Car l’instruction est souvent prorogée de 2 mois. Nos confrères s’étonnent d’ailleurs de cette prorogation. Pour rappel, le maire de Ziguinchor a été inculpé et placé sous contrôle judiciaire en août 2014.

Igfm

Me El Hadj Diouf déballe – «Moustapha Diakhaté et Benoit Sambou ont bénéficié de la caisse d’avance»

L’affaire de la caisse d’avance de Dakar risque de connaitre une autre tournure. C’est-à-dire, de déballage en déballage et cela risque d’atterrir à la barre. Sur les ondes de la Rfm, ce mardi, dans l’édition de 12 heures, en français, Me El Hadj Diouf, un des avocats du Maire de Dakar, a révélé que «non seulement son client ne fera pas de transaction, mais que Moustapha Diakhaté, actuel Président du Groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar et Benoît Sambou, ministre conseiller, ont eu à bénéficier de la caisse d’avance».

Suffisant pour que le responsable apériste de Ziguinchor qualifie l’avocat de « maître chanteur ». «J’ai travaillé à la Mairie de Dakar et j’ai été payé. C’est irresponsable de la part de Me El Hadj Diouf de tenir de tels propos. C’est de la diffamation et je me réserve le droit d’ester en justice», a déclaré Benoît Sambou à la Rfm.

Quant à Moustapha Diakhaté, les tentatives de le joindre par la Rfm ont été vaines.

IGFM

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention