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Marche contre  Macky Sall – La diaspora étale sa colère à Montréal

 En réponse à l’appel  à la mobilisation de y’en a marre, nous apprenons que la diaspora Sénégalaise en Amérique et au Canada a marché hier vendredi 7 avril 2017 à Montréal.  Une manifestation partie  du métro Guy-Concordia  qui s’est terminée au Carré Phillip par un point de presse richye en révélations.
Par Ndiogou CISSE
 La diaspora sénégalaise des Usa et du Canada a répondu à l’appel à la manifestation y’en a marre. Celle-ci constituée par les partis politiques, la société civile, la Table de concertation de l’opposition, le Cercle des sociaux-démocrates de Montréal, Mouvement M23 et Y’en a MARRE, aux Usa et au Canada a organisé comme prévue,  une grande marche hier à Montréal. La manifestation qui a débuté à  17h 30 mn est partie du métro Guy-Concordia pour se terminer au Carré Phillip. Comme prévu, les organisateurs ont saisi l’occasion pour faire face à la presse et dresser un bilan des années de gestion du Président, Macky Sall.  Pour la diaspora qui a marché à Montréal  où le maire est un fervent souteneur de son homologue de Dakar, Khalifa Sall  « les  5 ans du Président  Sall au pouvoir ont pour résultat : la mal gouvernance, le recul démocratique, les dérives et la patrimonialisation du pouvoir ».  La diaspora Sénégalaise qui a fait ce constat a profité de cette marché pour dire son  mécontentement vis-à-vis de la justice sénégalaise, qui selon elle «   de par son caractère sélectif, n’est qu’au service du pouvoir en place et d’exiger la libération immédiate et sans condition de Khalifa Sall, de Bamba Fall et de tous les prisonniers politiques ».
Les Sénégalais de Usa et du canada qui se sont donné rendez vous hier devant le  métro Guy-Concordia, ont demandé à «  Macky Sall de faire preuve de courage et de transmettre tous les rapports issus des corps de contrôle de l’État qui épinglent certains proches du régime pour d’éventuelles poursuites judiciaires sur les détournements de derniers publics». Elle a cité «l’affaire du titre foncier 1975/R issu du rapport de l’IGE de 2013 et de la Cour des comptes, le rapport sur Pétro-Tim, celui de l’IGE issu du Fesman qui retrace un détournement de 15 milliards, le rapport de l’IGE de 2013 et de la Cour des comptes sur les détournements de derniers publics au CSS etc…pour demander que tous ces dossiers soient diligentés.  La Diaspora mécontente a aussi fait allusion au « rapport de l’IGE de 2013 sur l’affaire « Navire pétrolier Olinda » qui aurait couté 9 milliards à l’Etat du Sénégal mais aussi la mauvaise gestion de SENELEC avec Myna Distribution, le rapport de l’Armp concernant des surfacturations, celui de l’Ofnac » pour demander au Président Sall de les faire diligenter comme il  l’a  fait avec celui de la caisse d’avance de la mairie de Dakar ? Comme pour montrer  que sa colère est grande contre la justice , la diaspora a cité des cas récents de scandales présumés pour relever. La communauté Sénégalaise qui a étalé son mécontentement Canada également dénoncé «  les promesses non tenues du Président de la République comme la réduction du mandat présidentiel, le train de vie de l’État avec un nombre pléthorique de ministre au moment où des une manne est confiés à Ousmane Tanor Dieng pour gérer une institution budgétivore La manifestants de Montréal ont  dénoncé en même temps «  l’accaparement des terres au profit d’une minorité, le chômage de la jeunesse » mais ont aussi interpélé « le ministère des Affaires étrangères et de la diplomatie sénégalaise pour plus de dynamisme et d’être solidaires aux sénégalais de la diaspora rapatriés récemment des États unis.

Lent suicide du Sénégal – Exploitation de sable à Niague: le microclimat et l’écosystème en sursis

L’autorisation accordée à la société de bâtiment moderne et de travaux publics (SOBAMO-TP) pour l’écrêtage des dunes risquent, à terme, de faire disparaître l’écosystème et le microclimat présents dans la zone de Niague. Les activités liées au tourisme ne seront pas épargnées. Les acteurs économiques de la zone ont fait bloc pour sauvegarder ce milieu naturel en péril, ils ont tenu une manifestation ce samedi.
Au rythme où vont les choses, c’est l’écosystème dans la zone du Lac Rose qui risque de disparaître. En effet, l’exploitation effrénée du sable qui sévit dans le lac suscite de vives inquiétudes auprès des populations, des hôteliers et des différents acteurs économiques de la zone. En cause, le protocole d’accord signé entre la direction des eaux, forets, chasses et de la conservation des sols et la société de bâtiment moderne et de travaux publics (Sobamo-Tp) pour l’écrêtage de dunes de sables nues (dépourvues de toute plantation ou végétation naturelle) sur le site des Niague, lac rose, dans le périmètre des restaurations du lac Retba. Signé à Dakar en février 2015, ce document est considéré comme l’élément accélérateur de la destruction le microclimat qui règne sur le lac rose, mais également tout l’écosystème de Niague village qui abrite le Lac Rose.
Sur le site de 27 ha 57 ares 73 depuis octobre, la société Sobamo-Tp a démarré l’exploitation du sable de dune, les populations. Mais, depuis cette date, hôteliers et marchands d’arts ne dorment plus à cause du balai incessant de camions de centaine de camions remplis de sable qui se suivent sur les pistes sablonneuses. A la minute, 20 camions transportant du sable quittent les carrières, directions Dakar, traversant le village à vive allure. Sur place, ce sont des centaines d’autres camions qui attendent d’être chargés. Le tout, sous le regard du chef du service des mines et de du responsable des eaux et forêts.
Mapathé Wade alias Baye Fall, vice-président du syndicat d’initiative du tourisme du lac rose et gérant d’hôtel revient sur la vie dans le lac et les dangers que ces pilleurs de dunes, ont installé dans le village touristique. « Pour revenir à l’histoire, on sait que le lac rose est un bras de mer que les mouvements dunaires ont enclavé au 15e siècle. Il était donc devenu un lac bleu et salé à la fois. Ces dunes-là que vous voyez, c’est notre mur, notre palissade contre la mer mais aussi celle du lac. Vous savez très bien que la mer située à 800 mètres est à plus ou moins 3 mètres au-dessus du lac rose. Donc, dès les années 1963, un cordon de filaos avait été installé pour arrêter l’avancée de la mer. Ensuite, il y a eu deuxième cordon de filaos qui avait été installé en 1979 par les éclaireurs du Sénégal, toujours renforcer ces dunes de sable et lutter contre l’avancée de mer», explique le président du syndicat d’initiative.
Lui et ses camarades ne savent plus comment les autorités en charge de la gestion des sites naturels tels que le lac ont pu autoriser cette exploitation des sables. « Donc, aujourd’hui, je ne sais au nom de quelle loi, le service des eaux et forêt ou un ministère ou le président de la République autorise des gens à couper ces filaos. Allez à Tivaouane Peulh, allez à Malika, il n’y a plus de filaos, la mer est en face des habitations. Pire que cela, les dunes de sables qui sont là et ont servi pendant longtemps rendre le lac salé par l’arrivée du Paris Dakar, maintenant qu’est-ce qu’on voit ? Un balai continuel de camions de sables. Et avec ces fossés qu’ils laissent derrière eux, je crois que le Sénégal est en train de favoriser un tsunami dans peu de temps. Cette mer-là, lorsqu’elle va déferler, aucune force ne pourrait la retenir. Le lac rose va disparaitre et la population avec » déclare Mapathé Wade.
Pour les responsables du tourisme, c’est une image qui n’est pas bonne pour le pays au moment où l’on parle de Sénégal émergent, au moment où on parle de développer le secteur touristique.
«On permet ici au lac rose qui se trouve à 39 kms de Dakar, que le tourisme soit menacé avec un balai continuel de camions qui met à risque la quiétude des touristes et des populations. Imaginez-vous un jour, un des camions rentre un bus de la Fram ou d’une autre structure touristique. Ce sera un scandale national. Malheureusement, on a toujours devant nous quelqu’un de plus fort, quelqu’un de plus gradé», indique le gérant d’hôtel.
Mor Gueye, président du village artisanal du lac rose est du même avis que les hôteliers. «Nous savons le danger que représente la présence de cette carrière de sable. Et nous avons tout fait pour empêcher l’exploitation du sable. Mais, vous savez la force de l’argent, est plus forte que nous. Avec les dunes qui sont en train de disparaitre, l’eau va à coup sûr arriver sur nos hôtels. On arrivera à un moment où nous serons chassés par la mer. En compagnie des villageois, on a lutté de toutes nos forces, mais, notre combat n’a servi à rien» clame président du village artisanal du lac rose.
Aujourd’hui, alors que la situation s’aggrave de plus en plus, les contestataires réclament l’intervention de l’Etat. « Le lac rose est un patrimoine mondial avant d’être un patrimoine du Sénégal. Aujourd’hui, des centaines de personnes travaillent autour du lac. Il n’y a pas seulement ceux qui interviennent dans le marché artisanal mais, il y a ceux qui exploitent le sel, ceux qui font l’agriculture, il y a les hôtels. Le lac est menacé de disparition. Nous avons peur pour notre futur. Vous savez aussi que les touristes qui fréquentent les hôtels, viennent ici pour se reposer et découvrir notre beau pays. Mais ici au lac rose, on ne peut plus dormir tranquillement parce qu’on entend le bruit des machines à longueur de journée et de nuit » dit le président du village artisanal du lac rose.
Pape Mbaye, un habitant de Niague dit ne jamais connaître une telle peur depuis qu’il est né au village. « Nous n’étions jamais aussi exposés. La route est envahie par les camions de la carrière. Les exploitants de tourisme, n’en parlons pas parce qu’ils n’ont plus de route calme ni de piste pour accéder aux dunes. 2500 camions qui défilent dans un village tous les jours de 4 heures du matin à 19 heures, supplice ne peut être aussi grand pour nous ont l’habitude de journées tranquilles», se désole le jeune du village.
sudonline/Actuvert.com

LEGISLATIVES GAMBIENNES – L’Udp d’Ousainou Darboe en pole position

Les électeurs gambiens se sont rendus aux urnes ce jeudi pour élire leurs nouveaux députés depuis le départ en exil de l’ex-président Yahya Jammeh. Les premières tendances issues des bureaux de vote qui ont fermé à 17 heures donnent une nette majorité aux candidats du United Democratic party (UDP), le parti d’origine du Président Adama Barrow et de Ousainou Darboe son ministre des Affaires étrangères et opposant historique au règne de Yahya.

Les Gambiens étaient aux urnes pour choisir 48 députés sur les 53 que compte leur Parlement. Il fallait pour cela faire un tri parmi 238 candidats issus de neuf partis politiques ou de listes indépendantes en course dans toutes les circonscriptions électorales du pays. Après le vote des 48 députés, les cinq autres députés restants devront être désignés exclusivement par le Président Adama Barrow, selon la loi gambienne taillée sous Yahya Jammeh. Une loi qui ne pouvait être modifiée en raison des contraintes de la CEDEAO qui refuse toute modification des règles du jeu démocratique dans ses pays membres, six mois avant une échéance électorale.

Sauf que dans l’écriture de ce nouveau chapitre du grand roman politique de leur pays, les Gambiens ont été moins enthousiastes et euphoriques qu’ils ne l’ont été au moment de la présidentielle de décembre dernier par laquelle ils se sont débarrassés de Jammeh. Jusqu’à la clôture des urnes à 17 heures, heure locale, l’affluence des électeurs dans la capitale Banjul et les autres centres dans la région du Greater Banjul a été un peu faible, selon les propres termes du président de la Commission Electorale Indépendante, Alieu Momar Njie. Les forces de la coalition au pouvoir parties au scrutin en ordre dispersé tout comme la démobilisation des partisans de Yahya Jammeh ont été pour beaucoup dans cette faible affluence.

Selon les premières tendances, l’UDP d’où est issu le Président Adama Barrow et le ministre des Affaires étrangères Ousainou Darboe qui est aussi le leader de cette formation politique s’est bien comporté dans toutes les circonscriptions, à l’intérieur du pays. Les victoires de l’UDP ont surtout été nettes dans des villes comme Bassé, Brikama, Janjanbureh, Jarra et beaucoup d’autres localités intérieures où la coalition ayant porté Barrow au pouvoir avait obtenu de bons scores lors de la présidentielle.

Le parti de Yahya Jammeh n’a sauvé les meubles que dans le Fogni où il pourrait obtenir tout au plus cinq députés. La capitale Banjul et le Greater Banjul area qui polarise la grande région de Serrekunda sont l’affaire de l’ancien parti au pouvoir, le PPP, mais également des socialistes du PDOIS avec Halifa Sallah qui remporte Serrekunda Central. Le reste des maigres sièges est partagé entre le parti GDC du néo opposant Mama Kandeh et celui du GMC du ministre de l’Intérieur Mai Fatty.

Mame Talla Diaw

MOHAMED SAMB, SG DU CADRE DE CONCERTATION LIBÉRAL «Au sein de l’Apr, il y a des jaloux et des méchants»

Agacé par les attaques contre le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Mohamed Samb s’érige en bouclier, appelant ceux qu’il appelle les snipers, à savoir garder raison. Selon le secrétaire général du Cadre de concertation libéral, il n’est pas normal que des gens tapis dans l’ombre, cherchent à nuire au ministre de l’Intérieur, «patron d’un grand dé- partement, en l’occurrence Podor, respecté par tous en raison de son sérieux, de son engagement auprès du président de la République qui lui fait confiance». Mohamed Samb qui prône l’unité à quelques mois des élections législatives, affirme qu’aucun militant dans le parti n’est plus engagé que le ministre Ab- doulaye Daouda Diallo. Le problème, c’est qu’à l’Apr, il y a «des jaloux, des méchants, des gens qui ne veulent pas que d’autres prospèrent». Et pour l’an- cien wadiste, le Président Macky Sall doit siffler la fin de la récréation. Re- gardant dans le rétroviseur, il demande à ces «méchants» de revenir à la raison, «parce qu’aujourd’hui, nous avons vu ce que sont devenus certains dans l’en- tourage de Me Wade à cause de leurs comportements vis-à-vis des populations. À l’en croire, «ceux qui se croient importants aujourd’hui peuvent devenir demain la risée des Sénégalais, comme c’est le cas de certains dans le précédent régime. M. Samb qui invite les uns et les autres à un comportement «exemplaire», appelle au soutien du Premier ministre, du ministre de l’Intérieur et de tout le gouvernement. «Que ceux qui cherchent la mauvaise voie en critiquant, en insultant même le ministre Abdoulaye Daouda Diallo, sachent que leurs ob- jectifs ne seront pas atteints», prévient- il. Par ailleurs, pour les élections légis- latives, il appelle les souteneurs de Macky Sall à se «battre, à communi- quer». «Nous devons apporter à Macky Sall ce qu’il nous a donné, a-t-il dit, exigeant que Y’en a marre fasse sa marche sans être inquiété au nom de la maturité de notre démocratie». M. Samb a annoncé qu’il fera sa rentrée politique avec 47 mouvements de soutien aux actions du Président Macky Sall. Cette sortie qui sera un moment de «démonstration de force», verra la participation de nombreuses personnes qui étaient avec Me Wade. Ils seront désormais avec Samb pour soutenir Macky Sall.

ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DU 30 JUILLET – Près de six millions d’électeurs inscrits

Les prochaines élections législatives peuvent atteindre un nombre record en termes d’inscription sur les listes électorales. Le ministère de l’Intérieur annonce un chiffre record de 6 millions d’inscrits.

Dans le cadre des inscriptions sur les listes électorales, il n’y a plus aucune raison d’être pessimiste. En marge d’un atelier de formation sur la constitution et le dépôt des dossiers de candidature, le directeur de la formation et de la communication du ministère de l’Intérieur a déclaré que «nous allons vers 6 millions d’inscritssur le fichier électoral». Dans ce sens, Bernard Casimir Demba Cissé poursuit qu’«à l’allure où nous allons, il est indéniable que c’est le nouveau fichier que nous utiliserons pour ces élections». Sur un autre plan, M. Cissé indique que les entités indépen- dantes qui peuvent désormais prendre part à toutesles élections ont aussi l’obligation de réunir 0,5% de signature des électeurs inscrits. «Cessignatures doivent être cherchées à raison de mille signatures au moins dans la moitié des 14 régions. Elles ont obligation de chercher au moins mille signatures dans au moins 7 régions. Cela fait 7 mille, et si le terme était de 30 mille, ces entités ont la liberté de pouvoir chercher les 23 mille autres dans une des 7 régions», a-t-il précisé. Ces entités qui peuvent rechercher des signatures à l’extérieur comme à l’intérieur du pays sont dans la possibilité de pré- senter des candidats au niveau local comme à l’extérieur du pays. Les entités indépendantes qui ne sont pas statutairement connues, doivent notifier leurs noms 24h avant le dépôt de leur dossier. Car, toute coalition ou entité dont le nom n’aura pas été notifié au plus tard le 29 mai, ne pourra pas compétir. Par contre, s’il s’agit d’une coalition qui manque le rendezvous du 29 mai, elle a toujours la possibilité d’utiliser le nom d’un parti qui la compose. Au cours de la rencontre, le ministère en charge des élections a essentiellement insisté sur les délais, invitant les acteurs à être dans le cadre des délais légaux. «Ces délais, c’est 65 jours au plus avant le jour du scrutin, et 60 jours au moins avant le jour du scrutin, pour venir déposer les dossiers de candidature. Ce délai peut être situé entre le vendredi 26 mai et le mardi 30 mai pour le dépôt», a-t-il indiqué. M. Cissé a aussi confié qu’en raison du nombre atteignant 40 mille inscrits, la France aura droit à au moins deux députés. «Les entités sont libres de prendre les trois candidats de ce dé- partement au niveau de la France comme ilssont libres de prendre le troisième candidat dans tout autre pays constitutif du dépar- tement», a-t-il noté.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention