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ZAHRA IYANETHIAM DIOP, SUR LES ACCUSATIONS DE FRAUDES «Que l’opposition cesse de nous servir du réchauffé»

Abordant les querelles intestines dans sa formation politique, Zahra Iyane Thiam Diop qui a fusionné son parti dans l’Apr, estime que chaque Sénégalais a le droit d’avoir une ambition. Sur l’affaire Khalifa Sall et Cie, elle est convaincue que ce n’est pas un acharnement. Cette responsable est aussi d’avis que les accusations de fraude de l’opposition sont passées de mode.

SANTE DU BETAIL A DIOURBEL – Objectif, plus de 170.000 bêtes à vacciner

Selon le Dr El HadjiYade, chef de service régional de l’élevage de Diourbel, plus de 240.000 vaccins contre les différentes maladies prioritaires sont disponibles. Objectif : vacciner plus de 170.000 bêtes contre les maladies ravageuses.

5 ANS APRES L’INCENDIE DE LA MEDINA – Les talibés toujours exposés

Le 3 mars 2013, 9 talibés périssaient de façon atroce dans un incendie qui avait ravagé la chambrette qui leur servait de dortoir. Une tragédie qui avait émue la nation, et toute la République qui s’était déplacée sur les lieux avec le chef de l’Etat en tête. En cette douloureuse circonstance, Macky Sall avait promis des mesures pour mettre un terme à la mendicité des enfants. Cinq ans après ce drame, les belles résolutions dorment dans les tiroirs et les enfants plus que jamais exposés.

3% DES TERRES ARABLES DU SÉNÉGAL ATTRIBUÉS À DES ÉTRANGERS ? Pas de preuve

Au Sénégal, les acquisitions de terres à grande échelle concernent 270.908 hectares, entre les mains d’entités privées et d’individus, a récemment indiqué un observatoire spécialisé dans le monitoring des acquisitions foncières. Pour le moment, il n’y a pas de preuve de cette affirmation.

COURSE POURSUITE MORTELLE – Le rabatteur et le policier placés en garde-à-vue

L’accident qui a fait deux morts et plongé le conducteur du véhicule dans un coma profond, continue de faire couler beaucoup de salive. Le rabatteur et le policier ont été arrêtés.

Les deux rabatteurs, Fallou Ndiaye et Maguette Thiam, et le policier Ma- madou Lamine Kane, sont en garde-à-vue à la gendarmerie de Tivaouane. Ils sont accusés d’être à la base de l’accident qui s’est produit jeudi matin, entre 7h 30mn et 8h 30 mn, sur la route de Tivaouane. Bilan : deux personnes ont perdu la vie sur le coup. Et le chauffeur, Adama Sylla, gravement blessé et dans le coma. C’est suite à une course poursuite avec les limiers que le véhicule a dérapé avant de heurter violemment un arbre. Les deux passagers, Pape Fall, employé à la Gco, et Moussa Diallo, maçon de profession résidant au quartier Fogny de Tivaouane, ont succombé sur le coup. D’après Cheikh Diop, un ami du chauffeur qui condui- sait le taxi immatriculé TH7527B qui a heurté l’arbre, «ce qui est arrivé à mon ami est vraiment regrettable. C’était un policier qui le pourchassait». Avant d’ajouter que le policier qui pourchassait son ami a été aidé par les rabatteurs du garage qui lui ont suggéré de poursui- vre leur ami. Et de se demander : «comment est-ce que celui qui est chargé de nous protéger peut-il se comporter de cette façon ? Le véhicule de mon ami a violemment heurté un arbre causant ainsi la mort de trois personnes. C’est vraiment désolant de la part d’un mem- bre des forces de l’ordre». A l’en croire, «c’est ce calvaire que les chauffeurs vivent avec les policiers de Tivaouane et de Thiès». Pis, informe-t-il, «le policier était hors des li- mites de sa commune. Reve- nant sur le problème du ma- raudage, M. Diop souligne : «Nous sommes des jeunes sans emploi. Nos revenus provien- nent de nos véhicules. Et ils sont conformes au règlement, contrairement à d’autres qui sont souvent sans visite tech- nique fiable. Rien que pour cela, on doit pouvoir nous to- lérer». Ce énième accident de la cir- culation repose la lancinante question du maraudage. Le phénomène demeure encore une vieille épine que les auto- rités doivent retirer du secteur du transport

  JUSTICE  AFFAIRES PUBLIQUES – Le Procureur de la République se redresse et se dresse

 

            Il le fallait bien. La Justice du Sénégal s’est retrouvée dans la rue. Pulvérisée selon qu’on est d’un camp ou d’un autre et violemment attaquée, l’appareil judiciaire qui a toujours été un mythe et une Institution est sous le risque d’une désacralisation. Des sorties au vitriol remettent en cause sa dimension institutionnelle de régulateur et de veille de l’application des Lois et règlements. Le Procureur de la République se sent alors directement interpellé. Il s’est non seulement donné le devoir d’informer l’opinion publique, de clarifier les dossiers, d’endiguer tout amalgame mais aussi de faire taire les dérapages libertaires et désinvoltes.

            Le Sénégal a, à la fois  l’atout et le drame d’être est une société orale. La parole et toujours la parole. La culture est démesurément orale. Cette oralité est un signe identitaire et elle est  la seule arme de ceux qui sont pris la main dans le sac, de ceux qui échouent et de ceux qui cherchent à se draper de manteau de victimes ou de proie d’un adversaire. Ainsi, devant toute affaire judiciaire qui implique un responsable politique, la classe politique volubile   se donne, au nom de la liberté d’expression et d’opinion le droit de tout dire.

            Endiguer les dérapages

            Depuis un certain moment, devant les affaires pendantes devant la Justice et sur la personnalité institutionnelle du Procureur de la République, que n’ont, par exemple, dit de désobligeant les Barthélémy Diaz, Me Amadou Sall, Me EL Hadji Diouf, entre autres ! D’autres, pratiquement tous responsables politiques ou militants de partis comme des guides religieux, sont intervenus maladroitement sur ces affaires judicaires.

            La violence des propos,  la surabondance de calomnie, la grossièreté des commentaires et la brutalité des répliques ont naturellement, tout naturellement, mis le Procureur de la République dans tous ses états. Il se redresse et constate : « on injure, on calomnie, on diffame ; je dois dire aux uns et aux autres, que ça cesse ! ».  Et le cœur meurtri et la mort dans l’âme, il se dresse en bouclier : «  je ne vais plus permettre à qui que ce soit, de quelque bord qu’il puisse se situer, de continuer à invectiver les magistrats, d’atteindre à leur honorabilité et de jeter le discrédit sur la Justice. C’est terminé ! »

            Certes ça doit cesser. Mais le Sénégal connait une révolution de l’information et de la communication ample, large et incontrôlable. Il ne sera pas facile de faire taire en raison de la délicatesse du système actuel de divulgation d’idées, d’opinions, de vérités et de contrevérités.

            Le Procureur de la République se dresse et se redresse contre les dérives. Il s’assume et assume. Il y va sa responsabilité car son autorité se déploie dans le sillage de l’ordre moral en vue du bien commun. En s’accommodant d’un ordre juridique légitimement établi, les citoyens, les avocats et les responsables politiques sont obligatoirement tenus à l’obéissance et au respect de l’Appareil judicaire. Mais le feront-ils ? que ferait le Procureur si la tornade du discrédit sur la Justice continue ? Voilà deux grandes questions.

PROCESSUS ÉLECTORAL

Le Comité de suivi des opérations sur la refonte partielle du fichier électoral a visité hier 23 commissions administratives dans la région de Dakar. Le comité a été scindé en 3 délégations. La première dirigée par le pré- sident de la Cena, Issa Sall était dans le département de Dakar. Djibril Gning de la société civile et Moustapha Ndiaye étaient dans la seconde délé- gation et ont fait un tour dans les dé- partements de Rufisque et Guédiawaye. Ousmane Faye, président de la commission inscription et enrôlera du comité et Ousmane Badiane étaient dans le département de Rufisque. Les visites qui ont commencé à 9 heures ont pris fin aux environs de 17 heures. Toutes les délégations étaient munies d’une trentaine de questions qui ont été posées aux chefs des centres d’inscription et aux citoyens trouvés sur place, pour s’enquérir de l’état des lieux sur les inscriptions.

AMADOU SY MBENGUE

Le maire de Tivaouane Amadou Diagne Sy Mbengue qui était à la maison des hôtes du complexe Seydi el hadji Malick Sy est largement revenu sur la visite du Président Barrow. Laquelle visite témoigne à suffisance du rôle ô combien important joué par la diplomatie sénégalaise. Selon lui, «C’est le lieu, pour tous les Sénégalais, de rendre grâce à Dieu qui a fait que les relations entre la Gambie et le Sé- négal sont en train de s’huiler à merveille. Tout le monde avait un pincement de cœur à chaque fois qu’il y avait des frictions entre ces deux pays qui, en réalité, ne font qu’un. A travers cette visite, le Président Adama Barrow a voulu rendre un hommage au Sé- négal mais également remercier le peuple sénégalais et surtout au Chef de l’Etat, affirme-t-il

ABDOUL MBAYE

Le procureur de la République a ré- vélé qu’il a sur sa table une plainte avec constitution de partie civile encore déposé par l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye contre son ex épouse Aminata Diack. Selon Serigne Bassirou Guèye, le fils du juge Kéba Mbaye estime dans sa lettreplainte que la dame Aminata Diack a falsifié leur certificat de mariage en faisant croire à la justice qu’ils étaient mariés sous le régime de la monogamie et de la communauté de biens. Le maître des poursuites a promis de traiter ce dossier avec professionnalisme. A l’en croire, dans cette affaire qui fait les choux gras de la presse, il n’y a pas d’acharnement contre quoique que ce soit.

Mode menaces

Après le chef de l’Etat qui avait distillé des menaces à ses compatriotes avec ces mots : «j’ai décidé, un point un trait» pour clore le débat soulevé par sa décision unilatérale d’envoyer nos Jambars en Arabie Saoudite, c’était au tour de son Premier ministre qui, irrité par les questions «gênantes et impertinentes » sur la gestion nébuleuse de notre pétrole, avait lui aussi menacé de ses foudres quiconque s’aviserait à disserter sur cette affaire. Comme si cela ne suffisait pas, hier, c’était au tour du Procureur de suivre la ligne tracée par ses patrons: «Je ne vais plus permettre à quelqu’un de continuer à jeter le discrédit sur la justice». Leur énervementsuivi de menace se justifie parle fait qu’ils étaient en mal d’arguments convaincants sur des questions d’importance nationale. Pour un régime quise veutsobre et vertueux, la transparence aurait dû être de rigueur. Malheureusement, ce à quoi l’on assiste ne rassure pas les esprits. C’est ce qui explique ce torrent de commentaires et de supputations quisemblent mettre les dirigeants dans tous leurs états. Étant donné que nous sommes dans un pays de démocratie, ils devraient être à l’écoute de leurs compatriotes et apporter les réponses idoines aux questions posées, et non user de menaces qui n’impressionnent personne. Car la démocratie ne s’aurait s’accommoder de méthodes clandestines de gouvernement, encore moins de pensée unique.

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