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NIORO : COLLISION ENTRE UN BUS ET UN CAR, 12 MORTS (MÉDECIN)

Un bus et un car de transport en commun “Ndiaga Ndiaye” sont entrés en collision vendredi, à hauteur de Dinguiraye (Nioro), faisant 12 morts, a appris le correspondant de l’APS de source hospitalière.

’’Sur les 24 victimes reçues à l’hôpital régional El Hadj Ibrahima Niass, il y a eu 10 morts enregistrés sur le lieu de l’accident, une victime a perdu la vie au cours de son transfert à l’hôpital et une autre à l’hôpital même. Ce qui fait un bilan provisoire de 12 morts’’, a confié à l’APS le directeur de l’hôpital El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack, le docteur Saliou Tall.


A la tête des opérations de secours des éléments de la 32ème
Compagnie des sapeurs-pompiers de Kaolack, le lieutenant Mame Kor Sall, commandant de ladite compagnie, a indiqué que 59 victimes ont été dénombrées, dont 11 corps sans vie. Parmi elles,10 se trouvent dans un état grave, 38 autres ont des blessures légères, a-t-il relevé.


Il a indiqué 29 éléments des sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur le terrain et trois ambulances militaires, appuyées par un véhicule léger et un camion, déployées.

’’ Du côté des moyens d’évacuation civiles, il y a eu huit ambulances mobilisées pour secourir les victimes vers les structures sanitaires ’’, a-t-il ajouté.


Selon des informations recoupées auprès de témoins, l’accident se serait produit alors que le conducteur du bus, qui venait de Touba pour rallier Porokhane à la recherche de passagers, avait plongé dans un sommeil.

’’C’est dans cette somnolence que le bus est venu heurter, à hauteur Dinguiraue (Nioro), le car +Ndiaga Ndiaye+ qui venait de quitter Porokhane avec à bord des passagers’’, selon les mêmes sources.


Les victimes enregistrées dans cet accident étaient venues pour la plupart célébrer jeudi l’édition 2017 du magal de Porokhane, un évènement religieux dédié à Mame Diarra Bousso, mère du fondateur du mouridisme, Ckeikh Ahmadou Bamba.

Affaire Khalifa Sall : Méfiance !

Il semble, d’après les informations sorties du côté des autorités que Khalifa Sall, maire de Dakar est trempé jusqu’au cou dans l’affaire de la caisse d’avances de sa municipalité. Ce qui est sûr, les accusations font légion et presque tout le monde se permet de violer la présomption d’innocence du principal concerné. Mais, méfiance dans ce dossier puisque tout n’a pas été dit. Pas encore, surtout que nombre de citoyens attendent une vive réaction dans la gestion du dernier rapport de l’Office de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac).

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Dans ce Sénégal, une mauvaise gestion des deniers publics voudraient dire ne point s’inquiéter. Mais, il est certain que pour échapper aux griffes de la justice, il faut bel et bien appartenir au pouvoir. Cela a été le cas sous les magistères des Présidents Diouf, Wade et maintenant Macky Sall. L’on se rappelle que tous les rapports produits par les organes de contrôle ont toujours été rangés dans les tiroirs de l’oubli. Que dire de l’épisode Awa Ndiaye, devenue transhumante et promise à un poste de responsabilité ?

C’est un petit exemple parmi tant d’autres. Plus récemment, c’est le dernier rapport de l’Office de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac) qui suscite nombre d’interrogations. Et pour cause, les Sénégalais ne cesseront de le dire. Des autorités de l’Alliance pour la République (Apr), ont été prises la main dans la…caisse. Malheureusement, aucun suivi, aucune sanction. Bien au contraire, ils sont tout à fait à l’aise et ne sont point inquiétés. Ce qui n’est pas le cas dans l’affaire Khalifa Sall.

Avec une violation flagrante de la présomption d’innocence, des informations sont fournies par certaines autorités, accusant ouvertement le maire de Dakar. Supposons qu’il soit coupable de ce qu’on l’accuse. Quoi qu’il en coûte, il a le devoir de rendre compte. Et, s’il est coupable de détournement de deniers publics, la sanction doit tomber. Seulement, pas dans ce contexte où véritablement personne ne peut nier une chasse, une traque aux opposants. Pour ce cas précis, il fallait bien casser les rebelles du Parti socialiste (Ps) dans l’opposition sous le regard (accusateur) du Ps au pouvoir. Peu importe ! Dans ce dossier, il faut savoir mesurer un degré de méfiance puisque les épinglés sont nombreux suite aux rapports de l’Ofnac et de l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp). C’est cette rapide entrée en matière des autorités que tout le monde attendait dans ces dossiers. ‘’Je ne protégerai personne. (…). L’Ofnac est pour nous’’, disait le Président Macky Sall. Donc, méfiance si l’on ne veut pas que les Sénégalais puissent profondément croire qu’il s’agit juste d’une liquidation…politique.

L’on se rappelle de l’épisode Macky Sall, accusé par Me Wade et son régime de blanchiment d’argent. Pourtant, s’il l’avait voulu, le pape du Sopi pouvait trouver le meilleur moyen d’envoyer son ex- Premier ministre à l’hôtel zéro étoile. Il a fallu l’intervention de bonnes volontés pour éviter un précédent dangereux qui voudrait que l’on liquide un ‘’innocent’’ jugé ‘’coupable’’ pour des considérations strictement politiques. Au finish, les Sénégalais ont engagé la bataille. La fin de l’histoire est connue. En 2012, Wade a perdu devant celui qu’il acculait et jetait en pâture.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Serigne Bassirou Guèye, Procureur de la République «poursuit» Khalifa Sall : «Cette affaire n’est nullement politique. Il s’agit de justifier l’utilisation de 1,800 millions de francs CFA»

Comme attendu, Serigne Bassirou Guèye, Procureur de la République est revenu sur le dossier relatif à la gestion de la caisse d’avances de la mairie de Dakar et qui implique au premier rang, Khalifa Sall, édile de la capitale. En conférence de presse ce vendredi dans l’après-midi, le maître des poursuites à fait savoir que «l’affaire Khalifa n’est nullement politique.»

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Nous sommes encore loin de la fin du feuilleton concernant la gestion de la caisse d’avances de la mairie de Dakar. En effet, il est dit que le maire de Dakar, Khalifa Sall est fortement impliqué dans une nébuleuse tournant autour d’un milliard et un peu plus de 200 millions francs CFA. Après avoir été entendu par les éléments de la Division des investigations criminelles (Dic), Khalifa Sall était sorti libre de cette confrontation avec les enquêteurs. Mais, il est certain que le dossier est loin d’être bouclé. Et pour cause, à défaut de saisir un juge d’instruction pour aller plus loin dans le fond de ce dossier, le Procureur de la République a tenu à faire quelques éclaircissements.

Des voix s’étant élevées pour affirmer que ledit dossier est strictement politique avec une démarche politique dans un contexte politique particulier, le maître des poursuites de clamer le contraire. «L’affaire Khalifa Sall n’est nullement politique», a-t-il défendu. Poursuivant, il ajoute : «Il n’y a pas eu de problèmes politiques. Il s’agissait plutôt de justifier l’utilisation de 1,800 millions de francs CFA.»

Pour lui, les déclarations écrites et réitérées par le Directeur administratif et financier (Daf) de la mairie de Dakar face à Khalifa Sall, suffisent pour établir le faux. De quoi faire dire à Serigne Bassirou Guèye : «Si on dit que l’argent a été distribué, alors pourquoi donner comme justificatifs l’achat du riz au GIE Tabara ? Et, je dois même dire que sur les vingt questions posées au maire de Dakar, il n’a nullement été question de donner les noms des bénéficiaires.»

Abdoul Mbaye, Barthélemy Dias, opposition : Les précisions et les éclaircissements du Procureur de la République

A propos des dossiers concernant l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye poursuivi par son ex femme tout comme Barthélemy Dias et la mort de Ndiaga Diouf, le Procureur de la République a apporté des précisions et des éclaircissements. Il n’a pas manqué de mettre en garde l’opposition dont certains membres tapent sur quelques magistrats.

Parlant de l’affaire de l’ex Premier ministre Abdoul Mbaye, poursuivi en justice par son ex femme, le procureur de la République s’est indigné du fait que des voix ont vite parlé d’acharnement sur la personne de l’ancien chef du gouvernement.  «On parle d’acharnement alors que Monsieur Abdoul Mbaye n’a pas été arrêté. Je voudrai dire ici qu’il n’y pas de manipulation, il n’y a pas de politique dans cette affaire», a fait savoir Serigne Bassirou Guèye.

Sur l’affaire Ndiaga Diouf il soutient : «L’enquête est l’instruction ont permis d’envoyer plusieurs personne vers la juridiction adéquate. Comme vous le savez j’ai relevé les appels de part et d’autre. Tout le monde a vu à la télévision celui qui avait une arme et qui a déclaré avoir tiré. Le procès va reprendre sous peu.»

Parlant de l’opposition, il clame «Je ne vais plus permettre à qui que ce soit, de quelque bord  que ce soit, de continuer à s’attaquer aux magistrats, de continuer à dénigrer les magistrats. Il faut que ca cesse. C’est terminé. Je ne vais plus le permettre.»

Actunet.sn

PROCESSUS ÉLECTORAL À DAGANA – Oumar Sarr crie à la fraude

Oumar Sarr, le secrétaire général national adjoint du Pds, crie à la fraude dans la commune de Dagana. En sa qualité de Coordonnateur général de la Fédération départementale de Dagana, il dénonce un transfèrement de milliers d’électeurs vers la commune. Ce qui a pour but, selon lui, de faire gagner l’Apr aux prochaines élections dans la localité.

Le Secrétaire général national adjoint du Pds et Coordonnateur général de la Fédération départementale de Dagana, dénonce un transfèrement d’électeurs vers la commune. En s’insurgeant contre le fait, Oumar Sarr fait savoir que : «Incapable de gagner la commune de Dagana, l’Apr a décidé de passer par une autre stratégie en transférant des milliers d’élec- teurs vers la commune». Ainsi, note M. Sarr, «de jeunes chômeurs de Dakar, de Saint- Louis, de Kaolack, de Thiès, de Lompoul, de Podor et d’autres communes du département de Dagana (Richard-Toll, Mbane, Bokhol et Ross-Béthio notamment), ont été frauduleusement inscrits dans la commune». Il fait remarquer que le procédé utilisé par l’Apr à Dagana est simple : «fabriquer de faux certificats de résidence et moyennant de l’argent pour l’inscription et une promesse d’indemnisation substantielle le jour du vote, et du travail à la Senelec». Pour obtenir cesfaux certificats, révèle Oumar Sarr, «ils ont fabriqué un certificat de résidence en scannant la signature d’un adjoint au Maire et l’ont multiplié par milliers». Après un suivi à la trace depuis quelquessemaines, informe t-il, «quelques-uns parmi eux ont été finalement pris la main dans le sac». Omar Sarr d’indiquer que «quatre (4) jeunes habitants de la commune de Richard-Toll (A. Mbodj, A. Gaye, M. Ndiaye, P.O. Fall) ont été inscrits à Richard-Toll comme électeurs de la commune de Dagana avec de faux certificats de résidence, et tousles documents sont aujourd’hui en notre possession». «LE PDS DÉFENDRA LA DÉMOCRATIE». Le Maire de Dagana soutient avoir «demandé aux avocats du parti de déposer une plainte contre ces jeunes frauduleusement inscrits comme électeurs de Dagana et contre les commanditaires pour que toute la chaîne des fraudeurs soit dé- masquée». Il faitsavoir en même temps que : «Le Pds a saisi la Cena et le ministre de l’Intérieur, et compte débusquer tous les cas d’inscription frauduleuse introduits par ce procédé dans le fichier électoral». Oumar Sarr de citer les articles L36 et L37 de la loi portant code électoral pour dire qu’ils sontsans équivoque sur la composition des listes électorales dans les communes. Et les lois portant refonte partielle deslistes électorales et création de la carte biométrique Cedeao ainsi que les décrets d’application exigent pour les nouveaux inscrits dans les communes, l’extrait de naissance et le certificat de résidence». Non contents de contourner la loi électorale en inscrivant de faux résidants à Dagana, dixit Sarr, «ils ont fait du faux et de l’usage de faux». Oumar Sarr qui poursuit que : «Lors du ré- férendum, constatant que le “non” l’avait emporté dans tous les bureaux de la commune, ils avaient, par rage, versé de l’eau dans les urnes du bureau pour empêcher le décompte final avec la victoire éclatante du Maire et de ses partisans». «Ce n’est pas parce qu’on est militant de l’Apr, estime Oumar Sarr, qu’on a le droit de fouler du pied les lois de notre pays,surtout en matière d’élection, fondement de notre démocratie». Il poursuit : «Les faits nous semblent particuliè- rement graves pour notre dé- mocratie, d’autant plus que les inscriptionsfrauduleuses de Da- kar ont été effectuées à la com- mission administrative sise à la sous-préfecture de Dakar Plateau, montrant peut-être une implication du ministère de l’Intérieur, aujourd’hui chargé des élections». En tout état de cause, insiste til, «le Pds utilisera toutes les voies de droit pour que la chaîne de fraude électorale de Dagana soit identifiée et éliminée définitivement». Chercher à déplacer 5000 personnes à Dagana, souligne le maire, «comme le veut l’Apr, rien que pour s’assurer une improbable victoire dans la commune, on ne sait pour quelle raison, quitte à se battre avec les populations qui chercheront à défendre leur bastion et leur victoire, est difficilement compréhensible». Oumar Sarr se désole en soutenant que : «Ces fraudes donnent assurément un visage hideux à notre démocratie dont l’un des fondements est le respect de nos lois électorales et l’interdiction de faux et de vols». Tout en criant à la fraude, le Secrétaire général national adjoint du parti libéral prévient que «le Pds défendra la démocratie»a

Gestion de l’ex-Bsda : Mounirou Sy annonce une plainte contre Ngoné Ndour

Jusque-là emmuré dans son silence, Mounirou Sy s’est enfin exprimé sur sa gestion présumée nébuleuse à l’ex-Bureau sénégalais des droits d’auteur (Bsda). Et, c’est pour annoncer qu’il va «saisir la justice pour l’ouverture d’une action judiciaire contre les gens qui, dit-il, ont professé des contre-vérités sur sa personne. Le Sénégal a des corps de contrôle. S’ils ont quelque chose à me reprocher, ils n’ont qu’à se diriger à la Cour des comptes. Je ne peux permettre que des gens, pour assouvir leurs ambitions, m’attaquent et me discréditent», a-t-il informé au Quotidien

Mounirou Sy vient ainsi répondre à la présidente du Conseil d’administration de la Sodav qui, pour expliquer le retard de paiement des redevances des ayants-droit, avait indexé sa gestion. Ngoné Ndour avait en résumé, expliqué que l’ancien directeur général du Bsda percevait 4 millions FCFA sur le dos des artistes.

A ce propos, l’ex-n°2 de ‘’Fekke ma Ci bolé’’ se veut clair : «C’est par décret que j’ai eu (ce salaire) donc ce n’est pas moi qui ai fixé mon salaire. Ce n’est pas 4 millions 700, mais 3 millions. Étant donné que ces deux éléments sont des mensonges, je les qualifie de diffamatoires. Au début, je m’étais dit que je n’allais pas répondre à Ngoné Ndour au regard des relations que j’ai avec frère (Youssou Ndour). J’ai toujours dit combattu la tricherie, donc je ne peux pas permettre les gens, sur la base d’informations totalement erronées pour porter atteinte à mon image et mon honneur

 Sur les prêts accordés aux employés qui s’élèvent à plus de 80 millions, Mounirou Sy explique que cela se fait dans toutes les entreprises aussi bien publiques que privées et que cette somme est le résultat de l’addition des salariés dus durant les 40 ans d’existence de la Bsda. Par ailleurs, il balaie l’accusation selon laquelle les frais de gestions étaient de 70%. «J’ai respecté les 35% de frais de gestion indiquée», déclare-t-il.

PREMIÈRE VISITE OFFICIELLE DU PRÉSIDENT GAMBIEN AU SÉNÉGAL Macky Sall et Adama Barrow pour un «nouvel état d’esprit» de coopération

Le Président nouvellement élu de Gambie a effectué sa première visite officielle au Sé- négal. Les deux chefs d’Etat comptent signer des accords de coopération dans l’optique d’impulser un «nouvel état d’esprit» diplomatique.

COMBAT COMMUN CONTRE LE TRAFIC DE BOIS Le Président Gambien a révélé avoir échangé sur la question du trafic du bois avec les acteurs concernés. «Nous avons discuté avec ceux qui travaillent dans le secteur du bois et leur avons clairement signifié qu’il n’est plus question de pro- céder de manière cavalière. Tout se fera dans la transparence avec nos frères du Sénégal. Toutesles négociationsse feront en accord avec le Sénégal» a indiqué le PrésidentBarrow. De son côté, le Président Sall a exposé les moyens qui ont été dé- ployés pour combattre le trafic de bois. Avant d’indiquer une gestion concertée tenant compte de la préservation de l’en- vironnement. «Nous allons mettre un terme au trafic du bois. Si nous pouvons organiser le secteur de sorte à limiter la destruction de l’environnement, nous pourrions arriver à assainir le secteur afin de rendre l’activité licite» a-t-il soutenu. GESTION DE LA CRISE CASAMANÇAISE Le Président Sall a d’abord rassuré que son homologue lui a signifié qu’il va apporter tout son soutien au règlement dé- finitif de ce conflit. «Le Président Barrow m’a assuré qu’il va accompagner le Sé- négal dans la quête de la paix en Casamance. Depuis que je suis arrivé, aucun coup de feu n’a été tiré de part et d’autre entre le Mfdc et les soldats. C’est vrai que les militants du Mfdc ont fait de gros efforts pour arriver à cela, mais c’est également parce que nous avons fait prévaloir la discussion et le dialogue. C’est lent mais il faut reconnaitre que ce sont des choses complexes et c’est pour cela que nous avons toujours tendu la main à nos frères du Mfdc en leur montrant la bonne direction». RESSUSCITER LA CONFÉDÉ- RATION DE LA SÉNÉGAMBIE Pour Barrow, la confédération est un fait au nom de ce que les deux pays partagent tout en commun. «Les relations entre nos deux pays, c’est déjà la Sénégambie. Nous nous sommes engagés à œuvrer pour la paix entre nos deux pays» a expliqué Barrow. Le Président Sall, quant à lui, a invité les uns et les autres à cesser de dépoussiérer les archives de l’histoire. «L’institution de la Sénégambie n’existe plus, mais nous n’avons jamais cessé d’œuvrer pour des relations fortes entre les deux pays. C’est un nouveau départ. On n’aurait jamais dû, d’ailleurs, interrompre cette coopération qui est spéciale en ce que la Gambie et le Sénégal sont imbriqués l’un dans l’autre. Nous sommes les seuls pays au monde à partager une pareille géographie et les mêmes cultures» a signalé le Président du Sénégal. Avant de poursuivre avec plus de radicalité : «notre ambition n’est pas de ressusciter la Confédération de la Sénégambie, mais nous nous sommes engagés à travailler directement. Je dois vous révéler que le salon qui va abriter le déjeuner officiel est celui-là même qui a abrité la signature de l’accord de la Sénégambie, et ce n’est pas un hasard», a-t-il fait savoir. VERS LA SIGNATURE D’ACCORDS DE DÉFENSE, DE COMMERCE, ETC. Les deux chefs d’Etat se sont accordés à éviter les lourdeurs protocolaires et de travailler directement sur les questions d’intérêts communs. «Nos deux pays ont décidé de remettre la coopération dans une bonne direction et de façon dynamique, dans l’intérêt des deux pays et des deux peuples, que ce soit dans le domaine du commerce, de la sécurité, de la justice, du tourisme, des investissements, de l’environnement, et de travailler d’arrache-pied» ont-ils rassuré. RÉALISATION DU PONT DE LA SÉNÉGAMBIE Macky a invité à moins de pression pour son édification. «Le pont ne doit pas susciter de la pression. Maintenant, toutes les pesanteursseront d’abord levées pour la réalisation de ce projet dans les prochains mois d’autant pluslesfinancements sont déjà bouclés et en place» a renseigné Sall. Pour Barrow, «la communication est très importante dans le cadre de relations diplomatiques entre deux pays. La réalisation de ce pont est un élément essentiel de la communication entre nos deux Etats. Nous nous sommes engagés dans les négociations pour son édification». NOUVELLES DE JAMMEH, RÉFORMES DU DALASI Après avoir expressément ignoré le nom de son prédécesseur lors de la célébration de leur 52ème fête d’indépendance, le Président Adama Barrow qui a été interpellé hier par rapport aux nouvelles sur Jammeh, a clairement indiqué qu’il n’en a pas. « Non, je n’ai absolument et naturellement pas de nouvelles de mon pré- décesseur». Sur la possibilité de changer la monnaie de la Gambie pour rejoindre la zone Cfa, Barrow a soutenu que ce n’était pas encore envisagé.

La question migratoire au cœur de la visite d’Angela Merkel en Tunisie

La chancelière allemande Angela Merkel doit effectuer, vendredi 3 mars, une visite à Tunis – arrivant du Caire où elle s’est entretenue jeudi avec le président Abdel Fattah Sissi – où pèsera lourdement l’enjeu migratoire. Si Tunis comme Berlin ne veulent pas qu’un tel sujet sensible oblitère le reste de la relation bilatérale, préférant mettre en exergue une coopération économique en expansion, l’opinion publique tunisienne s’interroge sur les arrière-pensées prêtées à Mme Merkel sur le dossier des migrants.

Bruxelles pousse les Etats à accélérer l’expulsion des migrants en situation irrégulière

Si elle affirme vouloir continuer à secourir les migrants « qui en ont vraiment besoin », la Commission européenne entend clairement limiter les arrivées des autres. Par deux biais : d’une part, le développement de « partenariats » avec une série d’Etats africains pour qu’ils contrôlent mieux les départs et, d’autre part, le renforcement de mesures en faveur d’une politique de retour rapide pour ceux qui, arrivés en Europe, ne peuvent prétendre à l’asile.

Ce dernier point fait l’objet d’un nouveau « plan d’action » de Bruxelles, réclamé au début du mois de février, lors d’un sommet à Malte, par les chefs d’Etat et de gouvernement. Présenté jeudi 2 mars par le premier vice-président, Frans Timmermans, et le commissaire à la migration, Dimitris Avramopoulos, le texte affirme qu’une « action plus résolue » est nécessaire pour intensifier et accélérer ces retours.

Les Français portent un regard de plus en plus sévère sur les responsables politiques

Comme inexorablement, le fossé ne cesse de se creuser entre les citoyens et la politique. Après bien d’autres, l’enquête réalisée par Ipsos du 20 au 24 février pour l’association Lire la société à l’occasion de la journée du livre politique organisée samedi 4 mars à l’Assemblée nationale, le démontre sans détour. Certes, d’une manière générale, près de deux Français sur trois (64 %) déclarent s’intéresser à la politique, en hausse de 7 points par rapport à novembre 2016, lors d’un précédent sondage Ipsos pour Le Monde ; et 71 % des personnes interrogées assurent être intéressées par l’élection présidentielle.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention