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Keur Yeurmandé : Que deviennent les 56 nourrissons retirés !

L’affaire de la pouponnière « Keur Yeurmandé » continue de susciter l’émoi au Sénégal. Au total, 56 nourrissons ont été retirés de l’établissement après l’arrestation de sa gérante, Ndella Madior Diouf, placée sous mandat de dépôt fin décembre 2023. Elle fait face à de lourdes accusations, notamment traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments et de soins ayant entraîné la mort, non-assistance à personne en danger et obtention illégale de certificats d’inhumation.

Les révélations de Pape Sarr, coordonnateur de l’Action éducative en milieu ouvert (Aemo) de Dakar-ville, sont accablantes. Sur les 56 bébés retirés de la pouponnière, quatre sont décédés. « Deux enfants sont morts car ils étaient dans une situation de déshydratation très critique et de malnutrition sévère », a-t-il déclaré dans les colonnes de L’Observateur repris par exclusif. Deux autres nourrissons ont perdu la vie après avoir été placés dans une pouponnière de Thiès, quatre mois après leur retrait de « Keur Yeurmandé ».

À ce jour, il ne reste que 52 enfants issus de cette affaire. Parmi eux, deux présentent encore des séquelles sur lesquelles les spécialistes travaillent activement. Toutefois, l’état de santé des 50 autres est jugé excellent.

Face à cette tragédie, certaines familles se sont manifestées pour récupérer leur progéniture. Selon Pape Sarr, « ils sont aujourd’hui 14 enfants, dont 8 garçons », pour lesquels des demandes de réintégration ont été adressées au tribunal.

D’autres cas sont plus complexes. Deux enfants ont été identifiés, mais leurs familles ne sont pas encore prêtes à les reprendre. Les services sociaux de l’Aemo poursuivent leur travail pour faciliter un retour progressif au sein du foyer familial.

Par ailleurs, une procédure d’adoption a été ouverte pour 18 bébés. Il s’agit soit d’enfants dont aucun proche ne s’est manifesté depuis un an, soit de ceux pour lesquels les parents ont renoncé à leurs droits. Le jugement d’adoption a donc été prononcé dans ces situations.

Enfin, cinq autres nourrissons se retrouvent dans une situation délicate : leurs parents, qui s’étaient manifestés après le retrait des enfants de la pouponnière, restent introuvables. « Nos services, avec l’aide de la police, mènent actuellement des recherches pour les retrouver », a précisé Pape Sarr.

Ce scandale, qui met en lumière des failles dans le contrôle des structures d’accueil pour enfants vulnérables, continue de faire réagir l’opinion publique. Tandis que l’enquête judiciaire suit son cours, la priorité reste la prise en charge et le bien-être des nourrissons rescapés de cette tragédie.

Les bouchers de Dakar réclament 19 milliards de francs CFA à l’État

Le collectif des bouchers de Dakar a exprimé sa colère lors d’une conférence de presse tenue cet après-midi au marché de Castors. Ils réclament à l’État du Sénégal une somme de 19 milliards de francs CFA, dénonçant ce qu’ils qualifient d’escroquerie et d’injustice. Selon Djiby Ba, coordonnateur du collectif, plus de 5 000 tonnes de viande non contrôlée ont été vendues à Dakar entre 2024 et 2025, en violation des réglementations en vigueur. Il pointe également du doigt le vol de bétail, l’abattage illégal et le non-respect des lois encadrant leur secteur.

« Nous, acteurs de la boucherie, subissons une injustice constante de la part de l’État. Nous avons été marginalisés et exclus des discussions importantes concernant notre secteur. Nos abattoirs ont été confisqués et loués à un promoteur nommé Sogas », a déclaré Djiby Ba repris par nos confères de Emdia . Il accuse l’État d’avoir détourné plus de 19 milliards de francs CFA, ainsi qu’un milliard supplémentaire sur la viande qu’il affirme avoir été volée.

Le collectif affirme avoir adressé, le 24 décembre dernier, une lettre au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, pour demander son intervention. Ils ont également soumis des documents à l’OFNAC, au Premier ministre Ousmane Sonko et au médiateur de la République, détaillant leurs plaintes et réclamations. Djiby Ba insiste sur le fait que ces fonds doivent être restitués pour permettre aux bouchers de répondre aux besoins de leurs clients, notamment en vue de la préparation de la Tabaski.

Le collectif appelle à une justice rapide et équitable, soulignant que cet argent leur appartient et qu’il est essentiel pour soutenir leurs activités et la communauté locale.

Réalisation de la première greffe de moelle osseuse au Sénégal: Les coulisses d’une prouesse médicale sans précédent

C’est une avancée majeure pour la santé au Sénégal ! Des médecins de l’hôpital Dalal Jàmm de Guédiawaye, à Dakar, ont réussi à réaliser la première greffe de moelle osseuse du pays, un exploit historique renseine le soleil .

Le Sénégal vient d’accomplir un exploit médical majeur : la première greffe de moelle osseuse réalisée dans le pays. Cette prouesse a été menée avec succès à l’Hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye. Une information confirmée par le ministère de la Santé et de l’Action sociale.

« Il s’agit d’une expérience unique, une première pour le Sénégal. Le patient zéro, opéré le 23 février, se porte bien après un mois de récupération », a déclaré la professeure Fatou Samba Ndiaye, cheffe du Service d’hématologie clinique et de greffe de moelle osseuse de l’hôpital.

La spécialiste, qui a conduit l’opération, a précisé qu’il s’agissait d’une autogreffe de cellules souches, ce qui signifie que le patient était lui-même son propre donneur.

« Depuis le 17 février, le patient est suivi selon des protocoles bien établis et a suivi un programme de rééducation pour mobiliser ses muscles, car il s’agit d’une autogreffe de cellules souches », a-t-elle expliqué, ajoutant que l’allogreffe, le don d’organes par une autre personne, n’est pas encore envisagée.

Processus minutieux

« Nous ne sommes pas encore dans l’allogreffe, car nous attendons que la loi soit finalisée afin de pouvoir aller plus loin et envisager un donneur différent du patient », a précisé la docteure Fatou Samba Ndiaye.

Le patient zéro a assuré que l’opération s’était bien déroulée après un an d’attente. « Je me suis senti comme un petit roi », a-t-il déclaré, visiblement heureux du succès de l’intervention.

De son côté, la professeure Seynabou Fall Dieng, spécialiste en hématologie, a évoqué le processus minutieux ayant conduit à cette intervention.

« Nous avons organisé des réunions multidisciplinaires avec les assistants, les internes et avons assuré des gardes. L’objectif était d’éviter toute infection », a-t-elle expliqué.

La professeure Fatou Samba Ndiaye a également souligné que l’opération a été réalisée gratuitement grâce à la solidarité de plusieurs acteurs.

« La direction de l’hôpital a pris en charge tous les bilans biologiques et l’imagerie, et nous avons pu compter sur l’aide de nos partenaires. Un laboratoire nous a fourni un lot de médicaments d’une valeur de 4 millions de francs CFA », a-t-elle détaillé.

« Cela n’a pas suffi, et nous avons dû nous cotiser pour acheter d’autres médicaments, extrêmement coûteux et non disponibles », a-t-elle ajouté.

« Heureusement, nous avons réussi à mener cette intervention à bien, un véritable exploit. Nous avons voulu la réaliser de manière autonome, en mettant en avant notre expertise locale pour prouver que nous en sommes capables », a-t-elle conclu.

Selon le directeur de l’hôpital Dalal Jàmm, Moussa Sam Daff, cette première greffe de moelle osseuse « s’inscrit pleinement dans le projet d’établissement 2024-2029 ».

« C’est l’un des premiers projets, aux côtés de la procréation médicalement assistée (PMA), et cela contribuera à réduire les évacuations sanitaires », a-t-il ajouté.

Renforcer l’autonomie du Sénégal en matière de soins de santé

 

Pour sa part, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Dr Ibrahima Sy, a exprimé ses sincères félicitations au Professeur Ndiaye, à toute l’équipe médicale ainsi qu’au Directeur de l’Hôpital Dalal Jamm et à leurs partenaires pour cette réalisation exceptionnelle.

Il a souligné que « cet exploit fait partie d’une série de réformes visant à renforcer l’autonomie du Sénégal en matière de soins de santé et à garantir une prise en charge de qualité pour tous ».

Pour rappel, la greffe de moelle osseuse est une étape cruciale dans le traitement de nombreuses pathologies hématologiques graves, et cette avancée ouvre des perspectives d’avenir prometteuses pour les patients sénégalais, qui n’auront désormais plus besoin de se rendre à l’étranger pour bénéficier de ce type de traitement de haute complexité.

ONU: réunion au Conseil de sécurité sur la situation au Soudan

Les intervenants attendus sont la directrice générale du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), Catherine Russell, et le secrétaire général de Médecins sans frontières (MSF), Christopher Lockyear. Le Soudan devrait participer à la réunion en vertu de l’article 37 du règlement intérieur provisoire du Conseil de sécurité.

La réunion, organisée à la demande du Danemark et du Royaume-Uni, portera sur la protection des civils et les conséquences humanitaires du conflit.

Près de deux ans après le début du conflit, le Soudan traverse une crise humanitaire dévastatrice, qui se traduit par d’importantes pertes civiles, des déplacements massifs et de graves pénuries de nourriture et d’eau.

La crise a également été marquée par un effondrement du système de santé et des services essentiels. Les combats ont déplacé environ 12,8 millions de personnes, dont environ 3,7 millions ont cherché refuge dans les pays voisins du Soudan, dont la République centrafricaine, le Tchad, l’Egypte, l’Ethiopie, la Libye, le Sud-Soudan et l’Ouganda.

Lors de la réunion, Mme Russell et plusieurs membres du Conseil devraient exprimer leur vive inquiétude face à l’augmentation des violations graves perpétrées à l’encontre des enfants dans le pays.

Les intervenants sont susceptibles de souligner le besoin urgent de protéger les civils, en particulier les groupes vulnérables tels que les femmes et les enfants. Ils mettront probablement l’accent sur la façon dont les combats en cours aggravent la crise humanitaire, et pourraient également souligner les effets dévastateurs à long terme du conflit sur toute une génération d’enfants au Soudan.

Plusieurs membres du Conseil devraient appeler à garantir un accès humanitaire complet et rapide, et à mettre en évidence les obstacles à cet accès.

Le lutteur Pokola Baldé finalement placé sous mandat de dépôt…

Le lutteur Pape Mbaye surnommé Pokola , mis aux arrêts par les limiers de Pikine , puis déféré au parquet , a été écroué. Poursuivi pour outrage à agent de la force publique dans l’exercice de ses fonctions, il sera jugé lundi prochain en flagrant délit.
Il est également poursuivi pour une autre affaire par les pandores . ” Pour ce cas, il s’agit d’une affaire d’association de malfaiteurs “

Du prestige à l’isolement : la dérive diplomatique du Sénégal

Pendant plusieurs décennies, le Sénégal avait construit une réputation diplomatique exemplaire, fondée sur un non-alignement pragmatique et un multilatéralisme équilibré et intelligent. Depuis Léopold Sédar Senghor jusqu’à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, le pays avait su habilement naviguer entre les grandes puissances mondiales, préservant sa souveraineté tout en entretenant des relations fructueuses avec divers partenaires tels que l’Occident, la Chine, la Russie et le monde arabo-musulman. Cette stratégie diplomatique avait permis au Sénégal d’occuper une place influente sur la scène internationale, notamment par une participation active aux missions de paix des Nations Unies et par des postes clés dans des organisations multilatérales comme l’Organisation internationale de la Francophonie et l’Union africaine.

Cependant, depuis l’accession au pouvoir en 2024 de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, le Sénégal connaît un tournant diplomatique particulièrement inquiétant, marqué par un virage brutal et idéologique qui menace sérieusement son rayonnement international. Cette nouvelle administration, portée par un discours populiste et souverainiste radical, rompt ostensiblement avec la prudence diplomatique de ses prédécesseurs. L’annonce précipitée de l’évacuation des bases militaires étrangères, particulièrement françaises, a profondément détérioré les relations avec la France, un allié stratégique majeur. Cette décision spectaculaire, prise sans dialogue préalable, a bouleversé des décennies de coopération sécuritaire essentielle pour la stabilité régionale.

Le duo Faye-Sonko a également lancé une campagne agressive de renégociation systématique des contrats internationaux liés aux ressources naturelles du pays, tels que le pétrole, le gaz et les mines. Bien qu’en théorie cette démarche vise à renforcer les intérêts économiques nationaux, la méthode choisie – combative, médiatique et sans réelle concertation – a eu l’effet inverse. Plusieurs grandes entreprises internationales ont décidé de geler ou de retarder leurs investissements, craignant une instabilité juridique et économique. Ainsi, des projets majeurs comme le gisement gazier Grande Tortue Ahmeyim ou encore le champ pétrolier Sangomar connaissent désormais des retards coûteux, compromettant gravement le potentiel de croissance économique du Sénégal.

Dans le domaine monétaire, les nouvelles autorités se sont engagées dans une critique virulente du franc CFA, héritage colonial selon eux. En prônant une sortie rapide de cette monnaie sans proposer de plan alternatif solide, elles ont généré une grande inquiétude auprès des institutions financières internationales et des pays voisins membres de la zone UEMOA. Cette imprudence diplomatique menace directement la stabilité monétaire du pays, avec des conséquences immédiates comme la hausse du coût de l’emprunt et une défiance accrue des marchés financiers internationaux envers le Sénégal.

Sur la scène occidentale, l’agressivité rhétorique d’Ousmane Sonko, notamment envers la France, a profondément affecté les relations avec les alliés traditionnels européens et américains. Jamais auparavant un dirigeant sénégalais n’avait adopté un ton aussi dur à l’égard de Paris, allant jusqu’à accuser publiquement le président Macron de complicité dans les abus politiques de l’ancienne administration sénégalaise. Ces déclarations ont eu un effet immédiat et durable, provoquant une prise de distance marquée des partenaires occidentaux, y compris des États-Unis, partenaires historiques et essentiels dans divers domaines comme le développement et la lutte antiterroriste.

Cette posture anti-occidentale a également rapproché le Sénégal des régimes militaires voisins comme ceux du Mali et du Burkina Faso, remettant ainsi en question l’engagement du pays envers les valeurs démocratiques et constitutionnelles défendues par la CEDEAO. Ce rapprochement avec des juntes militaires discréditées internationalement a gravement nui à la réputation régionale du Sénégal, rendant sa position de médiateur régional précaire et peu crédible.

La politique moyen-orientale de Faye et Sonko est également problématique. Adoptant une position radicalement pro-palestinienne lors du conflit à Gaza en 2024, Sonko s’est lancé dans une rhétorique très virulente contre Israël, rompant avec la traditionnelle modération diplomatique du Sénégal sur ce dossier sensible. Cette prise de position radicale a sérieusement refroidi les relations avec Israël, ainsi qu’avec certains alliés arabes modérés comme l’Arabie saoudite ou le Maroc, deux importants bailleurs de fonds historiques du Sénégal. Le risque est désormais réel de voir se tarir les flux financiers en provenance du Moyen-Orient, essentiels pour la réalisation de grands projets infrastructurels.

Les conséquences économiques de ces choix diplomatiques imprudents se font déjà sentir. Les investissements directs étrangers sont en chute libre, affectant durement le potentiel économique du Sénégal. Le secteur touristique subit également de plein fouet cette dégradation de l’image internationale, enregistrant une baisse significative des réservations venues des pays occidentaux. Même la diaspora sénégalaise, traditionnellement stable dans ses transferts financiers vers le pays, pourrait être indirectement affectée par les tensions croissantes entre le Sénégal et les pays occidentaux où elle réside principalement.

La cause profonde de ces dérives est à chercher du côté de l’inexpérience et du manque de crédibilité internationale de Bassirou Faye et Ousmane Sonko. Aucun d’eux n’avait eu de responsabilités diplomatiques importantes avant leur arrivée au pouvoir, et leur discours, souvent calibré pour séduire une audience domestique, peine à convaincre sur la scène internationale. De plus, les controverses judiciaires et politiques entourant Sonko contribuent à discréditer davantage leur gouvernement aux yeux des dirigeants étrangers. À cela s’ajoute une marginalisation préoccupante des diplomates sénégalais expérimentés, remplacés par des militants politiques sans réelle compétence diplomatique.

En conclusion, la diplomatie sénégalaise sous Faye et Sonko, censée renforcer la souveraineté nationale et restaurer la dignité du pays, se traduit paradoxalement par un isolement diplomatique grandissant et des difficultés économiques accrues. Les autorités actuelles ont dilapidé en quelques mois un précieux capital diplomatique accumulé patiemment au fil des décennies. Cette dérive inquiétante pourrait avoir des effets durables et dommageables, touchant directement la vie quotidienne des Sénégalais et compromettant l’avenir du pays sur la scène internationale.

Avec afriqueconfidentielle

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