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Recyclage ou adhésion bien calculée : Sous Macky, tout le monde est politicien

 Sous le magistère du Président Macky Sall, le recyclage de fossiles ou de nains politiques tout comme l’adhésion bien calculée sont devenus le jeu le mieux partagé. Tout le monde est politicien parce que l’on veut démontrer une puissance quantitative et non qualitative qui pourrait sonner la vraie adhésion qui est celle des 65% de Sénégalais qui ont fait gagner le candidat de Bennoo Bokk Yaakaar en 2012.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Aux premiers mois voire aux premières années de la seconde alternance, la communication du régime Sall s’articulait autour de propos qui mettaient en garde les personnes tentées de s’adonner à la transhumance. «Nous ne recevrons pas les transhumants», défendaient certains lieutenants du pouvoir. Mais, ce n’était qu’une poudre aux yeux des citoyens pour préparer la grande offensive en direction d’éternels ‘’brouteurs’’ qui ne cherchent et ne recherchent que l’herbe verdoyante du pouvoir. Quelques temps après, le discours change. Et, l’on commence à vendre une seconde idée qui est de recevoir à bras ouvert, toute personne qui peut apporter sa pierre à l’édifice.

Une démarche tout à fait normale, puisqu’il s’agit d’aller dans le sens de construire un pays qui refuse le développement depuis 1960. Un pays dévasté par des régimes tant au plan économique qu’au plan purement éthique. Les valeurs n’étant plus ce qu’elles devaient être surtout pour un pays qui se targue d’avoir des références certaines pour bâtir un modèle citoyen loin des crises ‘’pandoriennes’’ qui font légion dans la classe politique sénégalaise.

Mais à vrai dire, c’était pour clignoter à droite et tourner à gauche. Et pour cause, quelques temps ont suffit pour que le Président Macky Sall l’apologie de la transhumance, faisant savoir au passage que son unique objectif est de réduire l’opposition à sa plus simple expression. Peu avant et cette déclaration et juste après, il a démarré à outrance une vaste et large campagne de recyclage de fossiles et de nains politiques dont la plupart sont regardés par la majorité des Sénégalais avec un angle 90°.

Et, actuellement, par la force des jouissances du pouvoir, les strapontins, les prébendes et la sinécures, ces gens-là ‘’grossissent’’ et le peuple trinquent et se posent des questions sur les choix de l’homme du 25 mars 2012.

Ce n’est pas tout, puisque l’on assiste également à des adhésions bien calculées. Que dire de l’entrée fracassante de hauts fonctionnaires dans la chose politique. Ce qui est tout à acceptable. Mais, par mesure d’éthique et de transparence dans certains dossiers, il y a une race de fonctionnaires qui devraient éviter de devenir des politiciens. L’exemple le patent en dehors du ministre des finances, c’est bien Mamadou Mamour Diallo, directeur des domaines qui a récemment organisé à coût de plusieurs millions son meeting d’entrée dans la ville de Louga. L’idée n’est pas de contester leur choix, mais, compte tenu des contrôles et vérifications qui sont leur domaine de prédilection, il ne pourrait pas manquer de personnes qui soupçonneraient des ‘’coups’’ politiques contre des adversaires politiques. Car, il ne pas oublier de rappeler qu’Abdoulaye Diop, ministre des finances sous Wade n’a jamais voulu devenir militant du Pds. Les raisons sont déjà évoquées.

Ce qui est sûr, le Président Macky Sall est un politique loin d’être nul, même s’il est vrai que la quantité peut bel et bien cacher une armée mexicaine. Sous l’ancien régime, Wade avait autour de lui plus d’une centaine des partis comme soutiens. Au bout du compte, il s’est retrouvé avec seulement 35% des suffrages au second tour. Ce qui prouve encore une fois que la vraie opposition, celle qui est la plus avertie et la plus alerte n’est autre que le peuple. Mais, ce régime l’a-t-il si vite oublié au point que certains ouailles ‘’Sallissent’’ la gouvernance Sall par une arrogance sombre et non sobre, par une démarche vicieuse et non vertueuse ?

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Ces vieux loups malmenés par Siteu

Malaw Séras : la peur devant Siteu le fait perdre Il l’avait battu en février 2013. Un combat spécial où Siteu avait montré tous ses talents de grand champion de lutte. Un combat au cours duquel les gens avaient même cru que le poulain de Max Mbargane se ferait malmené. Mais au final, il a battu l’ami intime d’Ama Baldé. En ce temps, Siteu avait visé loin, poussant même l’audace à demander à en découdre avec Lac Rose. Mais ce qui a fait perdre à Malaw ce combat, c’est tout simplement la peur bleue qui l’a envahie face au phénomène de Lansar. Une peur injustifiée qui l’a bouleversé et qui l’a poussé à perdre ce combat capital. Pape Mor voulait lui imposer une force, Siteu se montre plus rusé Lors de ce combat, c’est à un derby entre Diamaguène et Grand Médine qu’on a assisté. Un combat qui était sur toutes les lèvres et qui, au final, a été gagné par Siteu. En ces temps-là, Pape Mor Lô était très redouté et très hargneux. Il ne se laissait surprendre par aucun lutteur qui le renverserait. Dès la première minute dans ce combat face à Siteu, il a essayé de maîtriser son adversaire avant de le mettre à terre. Un jeu qui n’a pas été facile, et il a manqué de réussite ce jour là face à Siteu. Suivant les conseils de son manager, Siteu avait appliqué une technique hors pair lors de ce combat, et c’est par un coup de dé que Pape Mor va finalement mordre la poussière et se retrouver à terre, même s’il était plus costaud que son adversaire. Zarco s’entête, Siteu ré- siste et le pousse à des erreurs Toujours dans sa dynamique de victoire, le phénomène de Lansar a surpris Zarco l’en ayant pris au piège. Lors de leur confrontation, le pensionnaire de Grand Yoff Mbollo qui voulait coûte que coûte corriger son jeune frère, a été pris au piège par sa fougue. Zarco n’a pas pu gérer son combat émotionnellement ce jour-là. Et comme Siteu est très futé, il a montré beaucoup de tact et s’est fait plus lucide face à son adversaire. Il a ainsi su cumuler tous ses atouts pour venir à bout de Zarco, même si au final le verdict de ce combat avait été un peu contesté par Zarco.

«Mbaye Touré et Bodian ont blanchi Khalifa, le Code de procédure pénale accorde la liberté à Bamba»

Assimilant les deux procé- duresjudiciaires conjointes à un film, le porte-parole du pool d’avocats en charge de défendre les maires Khalifa Sall et Bamba Fall, en l’occurrence Me El Hadji Diouf, a évoqué une «main salvatrice de Dieu» qui est intervenue en faveur de leurs clients. «Nous venons d’assister à un film divisé en deux parties. La première partie c’est Bamba Fall, la seconde c’est Khalifa Ababacar Sall. Ilssont tous deux membres du Partisocialiste dirigé par des gens qui souhaitent leur “mort”. Dans la Chambre d’accusation j’ai bien indiqué que c’est la main de Dieu qui est intervenue comme avec Maradona à l’époque, lors d’une phase finale de Coupe du monde», a d’entrée indiqué MeEl Hadji Diouf.Avant d’évoquer le vif de la question. D’abord sur l’affaire du maire de la Médina, l’avocat convoque les dispositions de la loi etrenseigne que Bamba Fall devait obtenir une liberté provisoire, à moins que les juges se permettent de violer expressément la loi. «L’appel contre une décision de refus de mise en liberté provisoire doit être jugé dansle mois danslequel il a été effectué. Dans cette affaire, l’appel a été interjeté le 21 février, donc la décision devait être rendue avant le 21 mars. Et on a statué le 23, bien après l’expiration des délaisfixés par le code de procé- dure pénale en son article 187. La loi prévoit que si on ne statue pas dans le mois, la Chambre d’accusation doit ordonnerlamise en liberté provisoire -immédia- tement- de l’inculpé», a expliqué MeElHadjiDiouf.Tout demême, le maire de la Médina attendra la date du 28 mars prochain pour être édifié sur son sort. «En l’espèce, les considérations de faux importent peu dès lors que la loi est violée. Le juge a fixé la date du délibéré le 28 mars. Donc ilssont obligés de libérer Bamba Fall et Cie s’ils ne veulent pas violer la loi», a renseigné l’avocat. «MBAYE TOURÉ ET M. BODIAN ONT BLANCHI KHALIFA SALL» Pour ce qui est de la seconde partie du film et qui concerne le maire de Dakar, l’avocat signale que ses collaborateursl’ont blanchi contrairement à ce qui a été avancé et qui stipulait que le Daf avait produit un document signé qui accusait le maire de Dakar de détournement. «Dans la seconde partie qui concerne Khalifa Sall, la main de Dieu est également intervenue, parce que les mensonges ont été démasqués.Mbaye Touré et M. Bodian ont dit que jamais Khalifa Sall n’a vu des documents. Il n’a jamais signé. Il n’a jamais vu de faux.Il n’a ja- mais usé de faux. Et la pratique avant l’arrivée de Khalifa Sall c’était la même que lorsqu’il est en place. Ils donnaient l’argent au maire tous les mois. Le maire ne se soucie pas de la manière par laquelle ils se débrouillaient pour faire libérer l’argent parce que ce sont des fonds politiques. La confrontation a été bénéfique à Khalifa Sall», a révélé Me El hadji Diouf. Selon Me El hadji Diouf comme pourles membres du pool d’avocats de la défense, cette affaire est «grotesque, criminelle et malhonnête : arrêter des adversaires politiques pourles empêcher d’être sur le terrain et de vous battre… Cela est déloyal, inacceptable et criminel. La lumière dans cette affaire, c’est que MbayeTouré et Bodian ont mis hors de cause Khalifa Sall qui ne connaît pas de faux, ne connaît pas de Gié, ne connaît pas de riz, ne connaît pas de mil, ne connaît pas de poisson encore moins de Guedj. Comme Macky Sall qui reçoit unmilliard parmois etMoustapha Niasse qui en reçoit 500 millions par mois, on remet à Khalifa Sall tous les mois la somme de 30 millions comme fonds politiques. C’est le maire de la capitale qui n’est pas égale à Fatick ou à Nguéniène. Le poste de maire de la capitale est plusimportant que celui d’un ministre». MOUSTAPHA DIA- KHATÉ, ABDOU MBOW ET BENOIT SAMBOU MOUILLÉS Selon l’avocat, Moustapha Diakhaté, Abdou Mbow et Benoît Sambou ont bénéficié de ces fameux fonds spéciaux. À l’en croire, c’était durant la période des vaches maigres où Macky Sall avait quitté sesfonctions de président de l’Assemblée nationale. Dans la foulée, Me El Hadji Diouf a précisé qu’en dehors de cestrois cas, d’autres Sénégalais anonymes en ont également bé- néficié. Déterminé à tirer son client d’affaire, Me Diouf a dé- claré à qui voulait l’entendre que la somme de 30 millions Cfa qui était mensuellement mise à la disposition du maire de Dakar par le Trésor public, n’était rien d’autres que desfonds politiques. Pour Me El Hadji Diouf, toute cette agitation orchestrée par le pouvoir autour de ces fonds ne vise ni plus ni moins qu’à éliminer un potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2019. Il a en outre souligné que l’édile de Dakar est toutsimplement «victime de ses ambitions».

Les bénéficiaires de la caisse d'avance de la mairie de Dakar

MOUSTAPHA DIA- KHATÉ, ABDOU MBOW ET BENOIT SAMBOU MOUILLÉS Selon l’avocat, Moustapha Diakhaté, Abdou Mbow et Benoît Sambou ont bénéficié de ces fameux fonds spéciaux. À l’en croire, c’était durant la période des vaches maigres où Macky Sall avait quitté sesfonctions de président de l’Assemblée nationale. Dans la foulée, Me El Hadji Diouf a précisé qu’en dehors de cestrois cas, d’autres Sénégalais anonymes en ont également bé- néficié. Déterminé à tirer son client d’affaire, Me Diouf a dé- claré à qui voulait l’entendre que la somme de 30 millions Cfa qui était mensuellement mise à la disposition du maire de Dakar par le Trésor public, n’était rien d’autres que desfonds politiques. Pour Me El Hadji Diouf, toute cette agitation orchestrée par le pouvoir autour de ces fonds ne vise ni plus ni moins qu’à éliminer un potentiel candidat à l’élection présidentielle de 2019. Il a en outre souligné que l’édile de Dakar est toutsimplement «victime de ses ambitions».

SIRA NDIAYE FLINGUE LE MAIRE SOCIALISTE «Barthélemy Dias était venu pour saboter»

L’incident quis’est produit, hier à l’Assemblée nationale, devant Mahammad Boune Abdallah Dionne sur les questions d’actualité des députés et dont l’auteur n’est autre que Barthélemy Dias qui a interrompu le Premier ministre, a fait sortir Sira Ndiaye de ses gonds. En effet, le député-maire de Mermoz Sacré-Cœur, «mécontent» du chef du gouvernement qui a voulu argumenter sur l’affaire Khalifa Sall, après avoir été interpelé par Moustapha Diakhaté, le président du Groupe parlementaire de la Mouvance présidentielle, a perturbé les débats. Ce que Sira Ndiaye regrette avec la dernière énergie. Selon la députée de la mouvance présidentielle, Barthélemy Dias sait bel et bien que les questions d’actualité, la motion de censure, la déclaration de politique générale d’un nou- veau Premier ministre nouvellement nommé sont des débats organisés, et il connaît bien le rè- glement intérieur. «C’est déplorable. Barthélemy Dias a programmé ce qu’il a fait parce qu’il a attendu jusqu’à la fin de la plénière pour hurler, pour manquer de respect au président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse et au Premier ministre qui a été l’invité»,s’estelle indignée. Pour Sira Ndiaye, Barthélemy Dias devrait se calmer, car estime-t-elle, le maire de Mermoz Sacré-Cœur n’avait pas le droit à la parole parce qu’il n’a même pas posé de question. C’est ce qui a fait dire à la députée de l’Alliance pour la République (Apr) que Barthélemy Dias était venu poursaboter, insulter les gens. «Il pouvait trouver un lieu autre que l’Assemblée nationale pour insulter la première personne de cette institution dont il est membre. Barthélemy Dias doit revoir sa copie. Il demande que justice soit appliquée dans toute sa rigueur. Et il ne montre pasl’exemple. Il est qui pour nous parler de cette manière ? S’il croit que c’est de cette manière qu’on devienne un guerrier, il se trompe. Il a insulté tout le monde. Il a un comportement qui n’honore pas les parlementaires. Nous pouvons hurler comme lui. Mais nous n’avons pas le même comportement ni la même éducation et nous respectons aussi les Séné- galais. Il l’a programmé et il n’a pas réussi. Il est devenu la risée de tout le monde», a ait savoir Sira Ndiaye. Pour cette dernière, le peuple sénégalais n’a pas besoin de Barthélemy Dias. Et Sira Ndiaye d’ajouter : «Je lui demande de démissionner non seulement de la coalition Benno bokk yakaar parce qu’il est député de la majorité,mais aussi, de démissionner en tant que député, car il a été investi par la liste Benno bokk yakaar. S’il est honnête, il n’a qu’à quitter le navire et même l’Assemblée nationale», a-t-elle martelé.

Serigne Abdoulahad Mbacké- Ndoulo « Macky va perdre Touba »

 

Pour les législatives de juillet prochain et à la présidentielle a venir, Serigne Abdoulahad Mbacké-Ndoulo du parti au pouvoir entrevoit une défaite de la coalition Benno à Touba. Le marabout qui met en cause le dispositif de Benno dans la cité religieuse déclare que ce ne sont pas ces gens qui vont faire gagner Macky Sall à Touba.

 

Par Ndiogou CISSE

 

 

Pour Serigne Abdoulahad Mbacké-Ndoulo, ci devant responsable Apr à Touba, « Macky Sall risque une cuisante défaite dans la cité religieuse lors des législatives ». Le marabout de s’expliquer en pointant du doigt le staff de la coalition Benno à Touba. « En les qualifiant d’affairistes qui ne servent pas le Président Sall », Serigne Abdoulah Mbacké qui cite : l’assainissement, l’hôpital, les routes et l’autoroute Ila Touba entre autre réalisations de Macky à Touba, rappelle que c’est avec ce staff que la coalition Bennon Bokk yaakar a perdu la ville sainte lors du référendum. « Si le Président Sall veut encore que Touba lui tourne le dos pour ces législatives et la présidentielle de 2019, il n’a qu’à les conserver à la tête de sa coalition », prévient le marabout qui reproche à ces responsables politiques du parti au pouvoir d’avoir écarté, Moustapha Cissé Lô de Touba , sans réussir à mobiliser comme lui. Pour reprendre Touba, conseille Serigne Abdoulahad Mbacké-Ndoulo, «le Président Macky Sall doit compter sur des responsables politiques qui mouillent le maillot et vont à la rencontre des populations et non sur ceux qui sont tapis dans la cour des marabouts pour leur propre intérêt » fulmine t-il. En se prononçant sur la chance de la coalition Benno pour Touba, le marabout politicien fait savoir à Macky Sall que les consignes de votes étant révolues, seule la confiance des populations importe pour gagner une élection. Que ce soit à Touba ou dans le département de Mbacké, serigne Abdoulahad qui révèle être en campagne pour une inscription massive des électeurs , constate pour s’en désoler « que l’opposition est entrain de gagner du terrain dans cette partie du Baol à cause de l’inertie des responsables de l’Apr et de Benno ». Si la dynamique n’est pas inversée d’ici les élections, entrevoit –il «  ce sera zéro député pour Macky à Touba et aux environs ». En donnant son point de vue sur les poursuites en cours contre des personnalités politiques, serigne Abdoulahad Mbacké informe qu’il est pour la reddition des comptes qui ne doit épargner aucun fautif de gestion ». Il tire également sur l’opposition en indiquant qu’à part quelques responsables qui n’ont pas assez de militants pour peser sur l’échiquier, tout ceux qui se réclament opposants de Macky Sall et lui jettent l’anathème sont d’anciens gérants de ce pays qui ont été chassés du pouvoir pour avoir échoué », dixit Serigne Abdoulahad Mbacké Ndoulo.      

 

  

 

Assane Ndiaye satisfait

Restons dans le cadre du face-à-face de lundi dernier en Gambie pour parler cette fois-ci du promoteur. Assane Ndiaye n’a pas raté l’occasion de manifester sa joie pour ce big rendez-vous qui a été à hauteur de ses souhaits, nous dit-on.

Gris Bordeaux – Balla Gaye 2 impossible !

Les amateurs qui espéraient sur la finalisation du combat entre Gris Bordeaux peuvent déjà déchanter. Gris Bordeaux etBalla Gaye 2 vont observer une saison blanche. Les raisons sont multiples. D’abord, pour la finalisation de cette affiche, le promoteur qui l’aurait ficelée connaîtrait certainement un problème de date pour la tenue de ce choc. Mais aussi, l’arène va observer une pause pour le Ramadan. De ce fait, le sport de chez ne reprendra service qu’au mois de juillet, sauf si le Comité national de gestion de la lutte (Cng) prolongeait la date de la fermeture de la présente saison audelà du 31 juillet habituel. Ensuite, l’affiche Gris Bordeaux et Balla Gaye 2 nécessiterait au moins trois mois à l’avance pour mener une bonne campagne de promotion. Face à cette situation, au coût d’opportunité calculé, les amateurs se verront sevrés de ce choc qui a tant fait rêver. Prince s’est manifesté pour le ficeler. Mais c’était sans compter avec le refus de Gris Bordeaux de lutter pour un cachet en dessous des quarante millions que le promoteur lui propose. Ainsi, la seule opportunité qui reste pour les deux lutteurs est de consentir revoir leur cachet à la baisse pour ne pas avoir à vivre les affres d’une année blanche.

Rien n’est encore perdu pour les Lions

Si le Sénégal veut confirmer sa bonne tenue au TQO, il doit absolument remporter tous ses matchs à Dakar, et obligatoirement sur un score fleuve. Voici quelques pistes à creuser pour réaliser un tournoi parfait.

Sans aucun doute, l’Équipe du Séné- gal au grand complet serait un pré- tendantsérieux auCongo.Cependant, voir Gorgui Dieng, Maurice Ndour, Georges Niang… reconquérir ce titre qui se refuse à nous depuis 1997, requiert d’abord de réussir un sans faute à Marius Ndiaye. Force est de constater que le quatrième du dernierAfrobasket, auteur d’un super tournoi préolympique, est très loin d’avoir validé sa place au championnat d’Afrique. Le Séné- gal est dans de sales draps après la manche aller des éliminatoires qui se sont jouées au Mali. Après le gros passage à vide à Bamako, les joueurs présents, sont dans l’obligation de faire mention honorable, en sortant des matchs retour de dingues. Vraiment les Lions n’ont pas le choix. Renverser la vapeur signifie sans doute d’avoir rempli le cahier des charges suivant… Jouer avec la tête et le cœur Il faudra que cette équipe soit plus tactique et joue en équipe dans les phases offensives. Au basket quand une équipe tourne à 10 passes décisives de moyenne en trois matchs, cela veut dire que le ballon n’a pas été partagé. Lesjoueurs ont cherché à faire la différence individuellement ; d’où l’abus de tirs difficiles(60/177 en trois matchs). Certes avec Xane D’Almeida à la mène, on a l’espoir à de meilleurs lendemains. En l’absence de Porfirio et devant le peu de temps pour apprendre à jouer ensemble, Dame Diouf doit opter pour la tactique de la tortue : tout miser sur la défense, comme au Tqo lorsque les Lions avaient bétonné comme jamais. Le staff technique a maintenant une idée de ses adversaires. À Bamako, le Sénégal a péché dans un secteur qui constitue une de ses forces : la défense. Contre la Guinée et le Mali, les Lions ont «lâchement» abandonné la bataille du cercle : (33 rebonds dont 23 défensifs contre 52 pour la Guinée) et (29 rebonds contre 36 pour le Mali). Emballer la rencontre Maliens et Guinéens ont limité en moyenne le Sénégal à 11 points par Q.T (le Sénégal a marqué respectivement dans chaque QT (13-13 ; 17-12) contre la Guinée et (10-11 ; 10- 6) face au Mali. Les partenaires de Malèye Ndoye peuvent réussir ce que leurs adversaires leur ont infligés à Dakar. À Bamako, le Sénégal n’avait «pas de réponses» pour contrer «l’agressivité des Aigles et du Syli». Cette fois, «les débuts de match seront différents». Le plan estsimple : pour renverser la vapeur, il faudra être très concentré dès le coup d’envoi, «intelligents» et «mettre la pression». Leslions ont maintenant une idée des potentialités de leurs adversaires. Avoir des leaders au top Pour faire un trois sur trois, Antoine Mendy et les autres joueurs cadres devront forcément évoluer à leur meilleur niveau. On pense aux meneurs Xan d’Almeida, ou encore même à Antoine Mendy au poste 2, pour donner du crédit au jeu extérieur. Évidemment, le secteur intérieur absent à Bamako, doit également répondre présent dans les deux raquettes. Pape Abdou Badji arrive heureusement avec de très bonnes lignes de stats. Les 12 Lions : Louis ADAMS, Xane D’Almeida, Malèye Ndoye, Moise Diame, Mouhamadou Lamine Diop,Abdoul Bâ, Pape Abdou Badj, Abdoulaye Coulibaly, Antoine Mendy, El hadji Malick Ndiaye, Djibril Thiam. Programme des rencontres Vendredi 24 Mars 2017 16H30 : Mali / Cap-Vert 19H00 : Sénégal / Guinée Samedi 25 Mars 2017 16H30 : Guinée / Mali 19H00 : Cap-Vert / Sénégal Dimanche 26 Mars 2017 16H30 : Guinée / Cap-Vert 19H00 : Sénégal / Mali

Affrontements entre la police et les sympathisants de Khalifa

La tension a frôlé les murs du tribunal de Dakar hier, lors de la convocation des avocats de Bamba Fall pour statuer sur sa demande de mise en liberté provisoire et celle du maire de Dakar pour une confrontation avec ses collaborateurs dans l’affaire de la Caisse d’avance de la mairie de la ville.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention