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Donald Trump face au Congrès: une prise de contact très attendue

Donald Trump s’adresse ce soir pour la première fois au Congrès : ça n’est pas vraiment l’habituel discours sur l’Etat de l’Union, étant donné qu’il vient tout juste de prendre ses fonctions. C’est plutôt une prise de contact avec la branche législative du gouvernement dont il va avoir besoin s’il veut accomplir son programme. C’est donc un moment important pour lui.

Corée du Sud: l'héritier de l'empire Samsung inculpé pour corruption

Lee Jae-yong, héritier du groupe Samsung, a été formellement inculpé ce mardi « pour corruption, détournement de fonds, dissimulation d’actifs à l’étranger et parjure ». Déjà en détention provisoire, le président de facto du groupe – son père est dans le coma – est accusé de corruption dans le cadre d’un immense scandale autour de la présidente destituée, Park Geun-hye.

Philippines: Rodrigo Duterte veut relancer la guerre antidrogue

Aux Philippines, Rodrigo Duterte appelle la police à reprendre la guerre antidrogue qui a déjà fait près de 7 000 morts depuis son arrivée au pouvoir, il y a sept.mois. Le président philippin avait annoncé une suspension temporaire après des révélations de corruption au sein de la bridage des stupéfiants.

Thierry Solère « Les Etats-Unis se sont dégagés d’Afrique, il faut en profiter, c’est notre jardin, ce continent. »

Une interview surréaliste, de la chirurgie esthétique, une agriculture productiviste, des ados forcément angoissants… et beaucoup de rediffs. Pour ses débuts, CNews a fait du Morandini sans Morandini.

« Ce matin, est-ce que vous continuez à réclamer une pause de la justice ? », attaque Jean-Pierre Elkabbach. Thierry Solère, porte-parole de François Fillon, est le premier invité de L’interview politique de la matinale de Cnews, nouveau nom censé renouveler iTélé, à défaut de la rajeunir. La recrue pilonne son interlocuteur sur les ennuis judiciaires du candidat à la présidentielle, « l’homme qui est attaqué, justement ou injustement … Vous ne pensez pas que l’on vit la République des juges ? »

Comme Thierry Solère affirme voir la main de l’Elysée derrière les malheurs de François Fillon, il s’attire l’implacable réplique de Jean-Pierre Elkabbach : « Il faudra produire les preuves ! » Ce n’est pas à son âge qu’on va la lui faire. Le député proteste de sa récente visite sur un marché de Boulogne : « Les Français, ça les intéresse pas ! Les Français, ils me parlent des racailles qui empêchent les meetings, ils me parlent… » « Ils vous parlent des migrants, de l’insécurité », l’interrompt Jean-Pierre Elkabbach, qui possède une ligne directe avec les Français (la même que celle de Ruth Elkrief).

L’intervieweur est aussi bien renseigné sur les soucis des puissants que sur ceux de la plèbe : « Il paraît que votre ami Jean-Louis Borloo s’apprête à rallier Emmanuel Macron… » Thierry Solère nie, rappelle le dévouement de l’ancien ministre pour le développement de l’Afrique, dont il importe de renouveler l’asservissement : « Les Etats-Unis se sont dégagés d’Afrique, il faut en profiter, c’est notre jardin, ce continent. » Une telle évidence ne peut souffrir la contradiction — que Jean-Pierre Elkabbach se garde bien d’apporter.

« Est-ce que vous pensez que c’est l’heure du centre ? », interroge perfidement Jean-Pierre Elkabbach pour remettre subtilement Emmanuel Macron au centre (du débat) avant d’analyser magistralement la réponse de son invité : « Vous vous rendez compte que plus vous l’attaquez, plus vous le renforcez ? » Puis de poser la question qui fâche : « Si Emmanuel Macron est au deuxième tour… »

A la fin de l’entretien, Jean-Pierre Elkabbach pose encore deux de ces perfides questions dont il a le secret, propres à déstabiliser le bretteur le plus rusé : « Est-ce que François Fillon reste François Fillon ? » « Vous croyez vraiment tout ce que vous avez affirmé ? » Thierry Solère est contraint de clamer sa sincérité et celle de son champion.

Après le rappel des infos (Oscars à Los Angeles, Fillon à Meaux et foot à Marseille), le duo de présentateurs interroge un couple d’éleveurs en direct du Salon de l’agriculture à propos du succès de la vente directe : « Est-ce que la vente directe vous assure d’autres revenus ou au moins un contact plus facile donc plus de bonheur ? » Pas autant que CNews. A 8h49, une nouvelle rubrique assure la publicité d’un site qui offre (contre rétribution) « une garantie pour vendre sa voiture d’occasion ». Ça marche avec les Autolib’ ?

A 9h02, un journaliste profite du Salon de l’agriculture pour établir un bilan du secteur. Constatant la disparition de plus de la moitié des exploitations en moins de trente ans, il explique que « les fermes disparaissent parce qu’elles ne sont pas assez compétitives, elles sont trop petites ». Il faudrait encore en supprimer les trois quarts. « Avec 180 vaches, les élevages laitiers allemands sont beaucoup plus puissants, plus compétitifs pour absorber des chocs qui peuvent être un petit peu compliqués. » Comme exemple de ces « chocs un peu compliqués », le journaliste donne la crise sanitaire de la grippe aviaire, mais n’indique pas le nombre de canards dans les élevages allemands.

Pascal Praud apparaît pour animer L’heure des pros sur le thème : « Faut-il avoir peut de la chirurgie esthétique ? » Je vois que CNews tient sa promesse de prendre du recul sur l’actualité, de privilégier le décryptage. « Nous serons avec deux chirurgiens esthétiques dont l’un rallonge le pénis des hommes », précise le présentateur avant de rappeler quelques vérités universelles : « La chirurgie est une promesse de séduction. » « Personne n’échappe à la dictature de la beauté. » Mais d’abord, parlons de l’allongement du pénis avec un praticien dont c’est la spécialité. « Vous n’allongez pas le pénis en érection mais au repos. Comment vous faites ? » « En procédant à un épaississement. »

« C’est cher ? », s’enquiert Pascal Praud, soucieux de la bonne information du téléspectateur. « Ça dépend de l’état initial. Entre 2 500 et 3 500 euros. » « Ça dure entre quatre et six mois », intervient la présidente d’une association de défense des pratiquants de la chirurgie esthétique. Le chirurgien proteste : « Au bout de dix-huit mois on perd 30 % de l’épaisseur. » « On est au cœur de la discussion », juge Pascal Praud.

Le débat s’engage sur la réfection d’Uma Thurman. Le second chirurgien invité la trouve « pas si différente », Pascal Praud n’est pas convaincu par « l’œil gauche ». « On va revoir la photo » pour se faire une meilleure idée. « La chirurgie, c’est une psychanalyse inversée, assène la présidente d’association. Elle s’occupe du corps pour que l’esprit aille mieux. » Et CNews, c’est du journalisme inversé.

La diaspora trahie par ses patries !

Bouna Traoré, Zied Benna, Adama Traoré avaient respectivement 14, 17 et 24 ans et appartenaient à ce qu’on appelle communément en France, au moins dans les médias, des «Français issus de l’immigration », expression quelque peu discriminatoire puisqu’elle ne s’applique qu’aux Français nés, ou dont les parents, voire les grands parents, sont nés en Afrique sud saharienne ou au Maghreb. Jamais en effet il ne viendrait l’idée à un organe de presse français de désigner sous ce terme Manuel Carlos Valls Galfetti , ancien Premier Ministre né à Barcelone et naturalisé français à vingt ans, ou Ana Maria Hidalgo, née à San Fernando, en Espagne toujours , et qui a conservé sa nationalité espagnole, ou encore Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale française, né à Tunis , sous la colonisation, d’un père italien et d’une mère maltaise…

FIFA: Rencontre entre Fatma Samoura et les responsables du football sénégalais

Présente à Dakar depuis dimanche, la secrétaire générale de la Fifa, Fatma Samoura, va effectuer ce mardi une série de rencontres avec les membres de la fédération sénégalaise de football (Fsf). Elle s’entretiendra également avec le ministre des Sports, Matar Ba.
Au terme de ces rencontres, M. Samoura va tenir un point de presse au siège de l’instance dirigeante du football sénégalais.

Mankoo Wattu Senegaal s'insurge contre la recrudescence des meurtres au Sénégal

La plateforme de l’opposition, Mankoo Wattu Senegaal s’insurge contre la recrudescence des meurtres au Sénégal, depuis un certain temps. Face à la presse hier, lundi, Mamadou Diop Decroix, membre de ladite coalition a dénoncé le manque de politique sécuritaire du régime de Macky Sall, devenu à son avis aphone sur la question. Tout comme il a fustigé les poursuites judiciaires contre Khalifa Sall et Cie.

La recrudescence des cas de meurtres au Sénégal préoccupe la classe politique, plus précisément la plateforme de l’opposition regroupée au sein du Front Mankoo Wattu Senegaal. En conférence de presse hier, lundi 27 février, Mamadou Diop Decroix a tiré à boulets rouges sur le régime de Macky Sall. L’ex-coordonnateur de Front pour la défense de la République (Fpdr) a estimé que, concernant la lancinante question de la sécurité, personne n’est plus à l’ abri au Sénégal.

Pour lui, l’insécurité règne partout dans le pays, aussi bien dans les centres urbains, les zones périurbaines, que dans les campagnes. Il pense, en fait, que le gouvernement a beaucoup épilogué concernant les arrestations de Djihadistes à la Cité Keur Damel, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Même s’il magnifie ladite prise de la police sénégalaise, Decroix trouve que l’État est aphone sur les dizaines de Sénégalais assassinés ou blessés. Il a déclaré, à cet effet, qu’il n’a pas entendu le ministre de l’Intérieur expliquer la politique sécuritaire du Sénégal.

Pour lui, “il y a quelque part l’impression que l’État est inexistant sur ce terrain”. Ce qui n’est pas nouveau, a son avis, dans la mesure où l’État est inexistant sur d’autres terrains aussi.

Se prononçant, en outre, sur les poursuites judiciaires contre des responsables proches du maire de Dakar, Khalifa Sall, Mamadou Diop Decroix qui dit ne pas vouloir faire de l’ingérence dans les affaires internes d’un parti, a trouvé tout de même que cela pose des problèmes. A son avis, à partir du moment où les conflits débordent le parti et affectent la sécurité publique, Mankoo est obligé d’en parler. C’est ainsi qu’il a affirmé que Khalifa Sall et compagnie sont “poursuivis pour des raisons politiques et non pour des raisons de moralisation de quelque vie publique”.

A son avis, la notion de “gestion sobre et vertueuse” n’est aucunement mise en œuvre par le régime de MackySall. Et d’estimer que “c’est la manipulation de la justice qui est en train d’être mise en avant, pour régler des comptes politiques avec des adversaires potentiels ou actuels”. Decroix trouve, par conséquent, que cela est inacceptable, dans la mesure où “récemment, des proches du président de la République ont été épinglés par l’Ofnac”.

Rappelant que la présidente de l’Ofnac qui a diligenté l’enquête a été relevée de ses fonctions, au moment où les auteurs de malversation ne sont pas inquiétés, Decroix a indiqué que l’argument brandi par le camp du pouvoir ne tient pas la route. Pour autant de faits, il a soutenu que “Mankoo dénonce avec la dernière énergie cette pratique du deux poids deux mesures et considère que le régime actuel n’est pas capable de respecter ses engagements de gestion sobre et vertueuse”.

Poursuivant sur ses attaques contre le régime actuel, Mamadou Diop Decroix a évoqué le conflit au niveau du Marché Bou Bess, sise à Djidah Thiaroye Kaw et mettant aux prises le frère du président, AliouSall et le maire Cheikh Dieng. Rappelant le verdict de la Cour suprême, dans l’affaire des 600 élèves maitres, rejeté par le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, le leader d’Aj/Pads s’est demandé si “on ose parler encore d’État de droit au Sénégal”. A noter, par ailleurs, que la coalition MankooWattuSenegaal dit déceler des irrégularités dans le processus d’enrôlement des Sénégalais.

EFFECTIVITE DE LA BAISSE DES TARIFS DE L’ELECTRICITE : La Senelec perd, les ménages soufflent

Avec la baisse des tarifs, la Senelec devrait percevoir en 2017 des recettes de 329 milliards 627 millions de francs, contre 366 milliards 083 millions de francs avec les anciens, soit une réduction des recettes de 36 milliards 456 millions de francs. Selon le président de la commission de régulation du secteur de l’électricité, Ibrahima Amadou Sarr qui animait un point de presse hier, lundi 27 février, «cette réduction va engendrer un manque à gagner de 21 milliards 354 millions de francs sur l’année, correspondant à 5 milliards 338 millions de francs au titre du 1er trimestre

La tension aux fronts

La Commission de régulation de l’électricité a confirmé que pour une fois, la Senelec ne plongeait pas les usagers dans des histoires frelatées et que la baisse annoncée de prix de courant était vraie. Une annonce qui aidera à faire baisser quelque peu la tension et dont le pays a besoin, car le front politique, lui, est en ébullition. Aussi bien entre les différents partis qui se disputent la prochaine majorité à l’Assemblée, ou au sein de certains partis où plusieurs prétendants se voient khalife à la place de… Niasse. Et depuis un certain temps, la stratégie de la tension de Khalifa Sall est redevenue violente, ce qui doit plaire à son acolyte, le «tireur d’élite» de Mermoz Sacré Cœur. Celui-là, sans tension, il cesse d’exister.

Gambie – L'armée fait le nettoyage

En Gambie, le président Adama Barrow ferme chaque un jour un peu plus l’ère Yahya Jammeh. Selon une source militaire, le général Ousman Badjie, chef d’état-major des armées, a été limogé. Il était un rouage essentiel de l’ex-président.

Il était considéré comme un pilier du régime de Yahya Jammeh. Le général Ousman Badjie a été remplacé à son poste de chef d’état-major des armées de Gambie. ‘’Le général Massaneh Kinteh est maintenant le nouveau chef des armées de Gambie.

Il a remplacé le général Ousman Badjie  qui occupait ce poste depuis 2012’’, a indiqué à l’AFP une source militaire sous couvert de l’anonymat, sans qu’une confirmation officielle n’ait pu être obtenue dans l’immédiat.

La même source assure que le général Badjie sera muté dans une des représentations gambiennes à l’étranger : ‘’On attend encore de savoir où il sera affecté’’.

Avant sa nomination, le général Kinteh était un conseiller militaire spécial du président Barrow, fonction qui lui avait été confiée en janvier. Le nouveau chef des armées de Gambie retrouve un poste qu’il a déjà occupé de 2009 à 2012. Il avait été remplacé à la tête de l’armée par le général Ousman Badjie, puis nommé ambassadeur à Cuba.

Chef d’état-major depuis 2012, fantasque, portant des talismans, Ousman Badjie a multiplié durant les deux mois de crise les déclarations contradictoires. Il avait d’abord affiché son soutien à Adama Barrow après sa victoire, avant d’affirmer ‘’je n’ai qu’un seul chef, c’est Yahya Jammeh’’  devant les présidents de la Cedeao venus négocier à Banjul.

Après le départ de Jammeh, Ousman Badjie avait de nouveau fait allégeance au président élu. Le chef d’état-major était visiblement prêt à tout pour plaire. Adama Barrow en a décidé autrement.

Ce limogeage fait suite aux arrestations, la semaine passée, du chef des renseignements, Yankuba Badjie, et du responsable système pénitentiaire, David Colley. Etape par étape, le président Barrow est donc en train de déconstruire le système Jammeh, un système créé par et pour l’ex-chef de l’Etat.

Pour au contraire faire de l’armée, une armée au service de la Gambie. Ousman Badjie était considéré comme un pilier de son régime, qui a régulièrement été accusé par des ONG et diplomates de violations systématiques des droits de l’Homme, accusations que M. Jammeh a toujours rejetées.

Reconnaissable notamment par ses talismans au cou et aux poignets, cet officier supérieur avait été vu à Banjul dansant en public, au milieu d’une foule de supporters de M. Barrow célébrant leur victoire à la présidentielle du 1er décembre 2016 perdue par Yahya Jammeh.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention