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LA SUISSE SALUE LE SÉNÉGAL

La Suisse, par la voix de la présidente de la Confédération helvétique Doris Leuthard, a salué, lundi, le leadership du Sénégal dans le dénouement pacifique de la crise postélectorale gambienne. «La Suisse félicite le Sénégal pour son leadership dans la résolution pacifique de la récente crise en Gambie», a déclaré la présidente de la Confédération helvétique à Berne, lors d’un point de presse conjoint avec son homologue sénégalais Macky Sall, en visite officielle en Suisse. Le Sénégal a joué un rôle actif dans le dénouement heureux de la situation en Gambie, pays enclavé dans le Sénégal, qui était confronté à une crise à la fois politique, diplomatique et militaire, consécutive à la présidentielle qui y a été organisée le premier décembre dernier. Le président gambien sortant, Yahya Jammeh, refusait jusque-là de passer pacifiquement le pouvoir à son successeur élu, Adama Barrow, dont il avait reconnu la victoire avant de se rétracter et de porter un recours auprès de la Cour suprême.

INVESTISSEMENT – L’Allemagne met sur les rails son New Deal pour l’Afrique

Réunis à Baden-Baden vendredi et samedi, les ministres des Finances du G20, que l’Allemagne préside pour un an, ont accueilli plusieurs de leurs homologues africains. L’occasion pour l’Allemagne de mettre sur les rails son Compact for Africa, un programme de promotion de l’investissement privé en Afrique.

«Révolutionnaire». C’est par ces mots, rapportés par l’Afp, qu’Amadou Bâ a qualifié la place de l’Afrique dans la dernière réunion des ministres des Finances du G20. Le ministre de l’Économie et des Finances du Sénégal faisait partie des cinq pays africains (avec la Côte d’Ivoire, le Maroc, le Rwanda et la Tunisie) à avoir été conviés par leurs homologues des 19 économies − auxquelles s’ajoutent des représentants de l’Union européenne − qui représentent 80% du Pib mondial.

Et, en effet, la deuxième des 15 conclusions auxquelles les ministres sont parvenus fait la part belle au continent en s’engageant à «approfondir et élargir la coopération économique et financière avec les pays africains».

L’agenda 2063 de l’Union africaine

C’est la conséquence directe de l’engagement pris par l’Allemagne lors des débuts de sa présidence tournante du G20 le 1er décembre : faire de l’investissement en Afrique une priorité. D’où à Baden-Baden la mise en orbite diplomatique de son Compact for Africa, sorte de New Deal made in Germany «visant à promouvoir l’investissement privé notamment dans les infrastructures», selon le communiqué de clôture de la rencontre. L’initiative entend participer à la mise en œuvre des objectifs de l’agenda 2063, plan développé par l’Union Africaine pour la transformation économique, énergétique, agricole, de l’industrie et des services en Afrique. Mais passé l’effet d’annonce, peu d’engagements financiers concrets sont venus étoffer la nouvelle initiative, mise à part la Banque mondiale qui a sorti la calculette concernant les engagements qu’elle entend prendre pour l’Afrique au cours des trois prochaines années. Résultat de l’addition : 57 milliards de dollars.

60% des fonds de l’association internationale de développement

L’institution financière internationale a ainsi indiqué que des 75 milliards de dollars qui ont été promis en décembre à l’Association internationale de développement (Ida), sa branche dédiée aux pays pauvres, 45 milliards de dollars iront à l’Afrique. Ils seront alloués à un portfolio de 448 projets en cours de développement dans l’assainissement et la distribution de l’eau potable, dans l’augmentation des capacités électriques, l’amélioration des services de santé etc… Plusieurs autres institutions de la Banque mondiale seront mises à contribution, a également rappelé son patron Jim Yong Kim, qui mettait le cap sur le Rwanda et la Tanzanie au terme de la rencontre allemande. Ainsi huit milliards de dollars proviendront de l’IFC, sa filiale dédiée à l’investissement dans le secteur privé, dont les engagements totaux atteignent environ 20 milliards de dollars chaque année. Et, enfin, quatre milliards de dollars seront apportés par la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (Bird).

Des initiatives qui existent déjà

«Ce que le G20 Finance propose actuellement sont des investissements privés, sur lesquels il n’a pas la main, et des initiatives qui existent déjà», a réagi l’Ong One, co-fondée par le chanteur irlandais Bono et qui vise par le plaidoyer à mettre fin à l’extrême pauvreté, en particulier en Afrique. Seule nouveauté : une fenêtre pour l’investissement privé en Afrique (Private sector window, Psw) dont la Banque mondiale a fait l’annonce à Baden-Baden sans toutefois en indiquer l’éventuelle dotation ni les modalités de fonctionnement. L’outil doit compléter l’agence multilatérale de garantie des investissements (Miga), elle aussi membre de la Banque mondiale et qui délivre des garanties aux entreprises investissant en Afrique. Le prochain G20 doit se tenir à Hambourg, les 7 et 8 juillet.

Avec Jeuneafrique

QUAND LES POLITIQUES SE JETTENT LE DISCRÉDIT – L’inquiétude d’Al Amin vue à la loupe

Depuis l’éclatement de l’affaire de la Caisse d’avance de la mairie de Dakar qui a débouché sur l’incarcération de Khalifa Sall pour détournement présumé de deniers publics, on assiste de plus en plus à un discrédit terrifiant de la classe politique. Du côté du pouvoir comme celui de l’opposition, on rivalise de déclarations malheureuses. Dans ces attaques, les institutions ne sont pas épargnées, ce qui ne fait que les fragiliser davantage.

Voilà maintenant des décennies que l’État du Sénégal est pris en otage par des politiciens professionnels qui ont fait main basse sur les ressources publiques. Malgré deux alternances réussies, le pays semble chavirer de Charybde en Scylla. Du moins pour ce qui concerne l’assainissement des finances publiques.

Le drame dans cette situation est que pour des affaires de sous dont les populations ignorent les dessous, les politiciens sont en train d’hypothéquer de plus en plus la paix civile et la stabilité politique du pays qui faisaient sa bonne réputation dans le monde. Aujourd’hui, le champ politique ressemble à une arène où les biceps et les émotions viscérales ont pris le dessus sur la froide analyse. Du côté du pouvoir comme de l’opposition, on bande déjà les muscles, on rivalise de langage va t-en guerre, de sorte que le nouveau Khalife général est monté au créneau pour appeler les uns et les autres à la raison avant que le pays ne sombre dans le chaos.

Un appel qui vient à son heure d’autant qu’avec les immenses gisements de gaz et de pétrole découverts, le risque est grand de voir les puissances étrangères embusquées s’introduire pour profiter de cette situation délétère et attiser le feu comme c’est la coutume dans certains pays.

Seulement, le problème fondamental du Sénégal est que le pays manque d’hommes de convictions, sincères, aimant le peuple, résolus, avec un sens aiguisé pour l’intérêt général et reconnus pour leur honnêteté attestée, qui sont à même de lui apporter l’aide qu’il lui faut pour évoluer et progresser.

«Rien ne s’accomplit de grand dans l’ordre politique et rien ne dure sans la présence d’hommes dont le génie, le caractère, la volonté inspirent, rassemblent et dirigent les énergies d’un peuple. Tout se défait dès lors que des personnages insuffisants se succèdent au sommet de l’État. L’unité se dissout et la grandeur s’effondre», disait Maurice Druon dans les «Rois Maudits».

Constant amer

Le constat est amer de voir que les différents pouvoirs qui se sont succédé à ce jour au Sénégal, ont tous privilégié leur parti au détriment de la patrie. Si en 2000 Wade avait promis le “Sopi” avec à la clé des audits sans complaisance, le régime libéral qu’il a charrié a fini par s’empêtrer dans de scabreuses affaires de détournements. Finalement le peuple qui s’attendait à une gestion saine de ses deniers a eu droit à des scandales financiers à répétition dont le plus célèbre reste le feuilleton de mauvais goût intitulé «Lui et Moi» qui opposait le Président Wade à son Pm d’alors, Idrissa Seck, dans les obscurs chantiers de Thiès et dont le clap de fin reste encore vivace dans les mémoires : «les grands bandits ne se disputent que lors du partage du butin».

Aujourd’hui, après cinq ans de règne du Président Macky Sall, chantre de la rupture et de la gouvernance sobre et vertueuse, il semble que rien n’a fondamentalement changé. Et le butin continue toujours de faire saliver. C’est comme si le ver était dans le fruit, car pratiquement c’est comme si tous les promus avaient un seul objectif : profiter de leur position pour faire rapidement fortune. D’autant que pour faire la politique sous nos tropiques, il faut être balèze sur le plan financier. Malgré la résurrection de la Crei et la création de l’Ofnac, la machine qui s’était emballée un moment semble s’être grippée avec les dossiers accablants qui sont «mis sous le coude». Une aubaine pour tous ceux qui sont accusés, à tort ou à raison, de détournement de deniers.

Complot ou cabale politique ?

Aujourd’hui, il suffit qu’un opposant soit accusé de prédation pour qu’il crie au complot ou à la cabale politique. Ce fut le cas avec le feuilleton Karim Wade qui avait tenu en haleine le pays : il a ensuite été libéré après avoir purgé la moitié de sa peine. Condamné à 6 ans, Wade fils a été gracié et embarqué illico presto dans un avion pour le Qatar. À ce jour nul ne peut dire pourquoi il a été débarqué au Qatar encore moins s’il a remboursé l’argent supposé avoir été détourné et où est allé cette manne financière. Depuis lors c’est la confusion et ses partisans ne cessent de crier au complot politique, à l’acharnement contre leur candidat qui pourrait battre le champion de l’Apr lors des prochaines élections. Donc, ne serait-ce que pour des raisons de transparence, les Sénégalais à qui l’on avait dit que leur argent a été volé, avaient le droit de savoir ; d’autant que dans une vraie démocratie, les dirigeants ne devraient pas s’accommoder de méthodes clandestines de gouvernement.

Aujourd’hui c’est l’affaire Khalifa Sall qui agite le landerneau politique. Malgré les accusations graves qui pèsent sur sa personne, ses partisans enfourchent l’argument de la cabale politique pour cavaler dans le champ de la confusion et de la manipulation. Dès lors on assiste à un déluge d’accusations, de contre accusations et de dénégation. Ce qui est inquiétant dans ces attaques est qu’elles n’épargnent aucune institution, même le pouvoir judiciaire censé être le dernier rempart, est accusé d’être à la solde de l’exécutif. Les populations désabusées, prises au collet par la crise, ne savent plus où donner de la tête, ayant le tournis à cause de la valse des milliards qui ne leur profitent pas et qui perturbent leur quiétude. Dès lors la situation devient plus qu’inquiétante et il urge d’arrêter la saignée avant que le vase de la frustration ne déborde. «Quand les bornes sont refranchies, il n’y a plus de limite», pour parler comme Marc Aurèle. Est-ce le sens donné à l’avertissement d’Al Amine ?

Al Amine

DIOURBEL : DEMBA MAME NDIAYE «Les collectivités locales doivent s’impliquer pour promouvoir les mutuelles de santé»

 

En marge de la Rac (Rencontre annuelle conjointe) organisée la semaine dernière par la région médicale de Diourbel pour partager avec les partenaires et les acteurs de santé le bilan des réalisations au titre de l’année 2016 dans le domaine de la santé au niveau régional, Demba Mame Ndiaye, président de l’Union régionale des mutuelles de santé de Diourbel a souhaité vivement l’implication des maires dans la mise en route des mutuelles de santé.

La Rac (Rencontre annuelle conjointe) que la région médicale de Diourbel a organisée la semaine dernière, a permis au président de l’Union régionale des mutuelles de santé de la région de Diourbel, Demba Mame Ndiaye, de faire le point des orientations du secteur qu’il dirige. Des points importants, a-t-il reconnu, ont été relevés au cours des débats ; notamment l’enrôlement des élèves dans les mutuelles de santé et l’implication des collectivités locales.

Pour ce qui concerne l’enrôlement des élèves qui, dit-il, constitue une cible importante de la population, des avancées significatives ont été notées, a-t-il confié. Au niveau national, pense-t-il, dans un proche avenir, la mise en œuvre de cette prise en charge sera effective. Pour Diourbel, a-t-il souligné, autant que les élèves sont importants, autant les talibés constituent aussi une cible importante qu’il faut prendre en compte. Pour les élèves, a-t-il expliqué, des stratégies sont mises en place au niveau national pour toucher toutes les couches de la population afin d’atteindre les objectif de 75%. C’est pour cela, a-t-il poursuivi, que l’Agence de la Couverture maladie universelle a pris l’initiative de prendre contact à travers les ministères de la Santé et de l’Éducation nationale, pour aller vers l’enrôlement de ces élèves dans les mutuelles de santé, et que des résultats significatifs dans ce sens ont été obtenus, fait-il savoir. «Une convention a été signée entre ces deux ministères pour que la prise en charge soit effective».

Dans un proche avenir, des mesures pratiques vont être prises, a-t-il avisé. Ces élèves pourront être enrôlés avant la fin de l’année, répète-t-il. C’est l’ensemble des élèves du Sénégal qui seront concernés, y compris le cycle élémentaire, les collèges d’enseignement général et les lycées. Pour l’enseignement technique, pense-t-il, des dispositions techniques vont être bientôt prises. Concernant l’implication des collectivités locales – la santé étant une compétence transférée – le meilleur partenaire pour aller vers une couverture autour de 75% ne peuvent être que les collectivités locales qui, dit-il, doivent faire des efforts pour promouvoir le renforcement des mutuelles de santé. «Toutes les collectivités locales doivent se mobiliser pour que ces mutuelles soient fonctionnelles, que les populations de la commune puissent être prises en charge». Le premier animateur de ces mutuelles, a-t-il martelé, c’est le maire. «Le Conseil départemental de Fatick qui a acheté une moto pour l’ensemble des six mutuelles du département pour leur faciliter le recouvrement est un bel exemple à suivre». Cependant, a-t-il constaté, certains maires de la région ont commencé à octroyer des subventions aux mutuelles de santé pour leur permettre de faire face aux activités de sensibilisation et pousser les populations à adhérer à la cause. «Des unions départementales ont été mises en place et nous déplorons au passage l’Union départementale de Diourbel qui, jusque là, manque de siège». «Une structure aussi importante qu’une Union départementale qui ne dispose pas de siège est inadmissible et très déplorable», a-t-il mesuré, le patron de l’Union régionale des mutuelles de santé de la région Diourbel, Demba Mame Ndiaye. «Le Conseil départemental ou la mairie devrait fournir un effort pour trouver un siège à cette union pour lui permettre de se mettre en place et de fonctionner». C’est plus qu’une nécessité, c’est même une urgence, a-t-il balancé par finir.

Latribune

ASTA WALO KANE – AMINATA DIALLO FERAIT MIEUX DE SE TAIRE

 

Sokhna Asta Walo Kane conseillère économique social et environnemental est candidate pour diriger la tête de liste départementale des femmes de la coalition Benno Bokk Yakar .la responsable APR de sham notaire a Guediawaye qui déclare toute sa légitimité pour ce poste s est offusquée des sorties de la député socialiste Aminata Diallo contre le Président Macky Sall avant de déclarer que le leader du grand parti Malick Gackou se prépare pour aller en exil.

La sortie au vitriol ces derniers temps du député socialiste Aminata Diallo contre le président de la république n est pas du gout de la conseillère économique sociale et environnemental de Guediawaye. Sokhna Asta walo Kane s agissant bien d’elle pense que le députe socialiste ferait mieux de se taire et d arrêter les attaques contre leur leader le président Macky Sall qui n est pas l alter ego de Khalifa Sall « le président Macky Sall n a rien à voir dans cette histoire d’arrestation de Khalifa Sall. Il faut arrêter de le mêler dans cette histoire. Khalifa sall est accuse de détournement de derniers publics, il n a qu’a répondre de ses actes » fait savoir la responsable de l APR de sham notaire a guediawaye. Elle poursuit « Aminata Diallo est plutôt attendu sur des questions qui interpellent le vécu quotidien des populations que de vouloir être l’avocate du diable. Qu’elle se le tient pour dit, nous n accepterons plus qu’elle s attaque a notre leader pour les beaux yeux d un peureux, un homme qui n a pas de courage, qualificatifs qui selon elle colle bien son leader Khalifa Sall » tempête la conseillère économique social et environnemental. Sur la situation de guediawaye pour les législatives à venir Sokhna Asta Walo Kane est formel «  l APR de Guediawaye gagnera ces élections sans problème parce que dit elle en face d eux il n y a pas une opposition digne de son nom ou qui mérite d être pris au sérieux. Malick Gackou a commencer a plier ses bagages et s apprête a s exiler par ce qu’il sait que le combat est perdu d avance » soutient elle non sans oublier de crier urbi et orbi qu elle est candidate pour la tête de liste femme de la coalition Benno Bokk Yaakar du département de Guediawaye.

Latribune

AFFAIRE CHEIKH OUMAR HANN – Les apéristes de Podor s'érigent en bouclier du Dg du Coud

 

Le Dg du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud) est victime d’une cabale politique de la part de personnes tapies dans l’ombre. C’est en substance, ce qu’a déclaré hier le porte parole de la Coordination départementale de l’Apr de Podor. Selon Moussa Sow, cette campagne de dénigrement ne passera pas. «Le camarade Cheikh Oumar Hann ne mérite pas cette cabale orchestrée contre sa personne», a-t-il martelé.

Très en verve, le porte parole du jour des apéristes de Podor, a en outre indiqué que d’autres individus, notamment des “politiciens véreux”, souhaitent la défénestration du Dg du Coud. À l’en croire, ces manœuvres machiavéliques ne produiront pas les effets escomptés puisque le Dg du Coud à la confiance du Président Macky Sall. Il a dans la foulée, invité les détracteurs de Cheikh Oumar Hann à savoir raison garder. Selon Moussa Sow, ceux qui s’attaquent au Dg du Coud sont tout simplement de mauvaise foi.

Prenant la défense de leur camarade, la coordination Apr de Podor a vilipendé l’ancienne patronne de l’Ofnac Nafi Ngom Kéïta. À l’en croire, «son rapport tendancieux», avait un seul objectif : jeter en pâture le sieur Cheikh Oumar Hann. Après avoir tressé des lauriers au Dg du Coud et non moins maire de Ndioum, le porte parole des apéristes de Podor a souligné que ceux qui cherchent à faire un rapprochement «maléfique» entre le dossier du Dg du Coud et celui du Maire de Dakar dans le seul but de livrer à la vindicte populaire le sieur Cheikh Oumar Hann, vont bientôt déchanter. «Le Dg du Coud est un cadre émérite», a-t-il dit.

Très remonté, Moussa Sow a soutenu que désormais rien ne sera plus comme avant. «La coordination départementale de l’Apr de Podor s’érigent en bouclier pour barrer la route à tous ces marchands d’éthiques qui n’ont ni foi, ni morale politique», a-t-il déclaré. Auparavant, tous les apéristes de Podor qui avaient pris part à cette Assemblée générale ont réaffirmé à travers une motion de soutien, leur solidarité agissante au maire de Ndioum et Dg du Coud. Cette rencontre qui a battu le rappel des troupes s’est déroulée au Grand-Théâtre, en l’absence du ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, qui est par ailleurs le patron des apéristes du département de Podor.

Latribune

DORO DIAGNE «Benno doit prendre très au sérieux Khalifa Sall aux élections législatives»

 Porte-parole du Rassemblement pour le socialisme et la démocratie-Takku defaraat Senegaal (Rsd-Tds), Doro Diagne tient à l’organisation de Benno bokk yakaar qui doit selon lui prendre au sérieux la candidature de Khalifa Sall à Dakar aux prochaines élections législatives pour ne pas perdre Dakar.

 

Par Charles T. SENGHOR

En quoi l’invite du nouveau Khalife des Tidianes est-il important pour la classe politique ?

 

Permettez-moi de présenter mes sincères condoléances à la Ummah islamique suite à la disparition du vénéré Cheikh Tidiane Sy al Makhtoum, qui est une grande perte pour le Sénégal et toute la Ummah islamique. Je pense que le nouveau Khalife n’a fait que réitérer les recommandations que le vénéré a laissé avant sa disparition. Je crois que cela doit nous inspirer dans notre démarche de tous les jours puisqu’après tout, c’est le Sénégal qui doit nous intéresser par-dessus nos personnes. Et, c’est tout heureux que ça vient d’un homme qui s’est toujours consacré à militer pour l’unité des Sénégalais, à travers sa sagesse, sa droiture, sa vision éclairée. C’est tellement important que dans notre parti, c’est une conviction très forte. Ce n’est pas pour rien que notre parti aussi s’appelle Rassemblement. Dans la démarche de tous les jours aussi, nous faisons de notre mieux pour essayer de rassembler.

Quelle a été la particularité du congrès que votre parti vient de tenir ?

Ce congrès s’inscrit en droit ligne des préparatifs des élections à venir. Mais, je dois préciser qu’en tant que membres de Benno, notre souhait de toujours, c’est d’aller en coalition pour ces législatives. Le congrès a dit clairement qu’il donne mandat au président Robert Sagna pour discuter des modalités de ce compagnonnage. Et nous souhaitons vraiment trouver un accord avec le Président Macky Sall sur ces questions. Maintenant, si tel n’était pas le cas, le parti se retrouvera à nouveau pour envisager d’autres possibilités de participer à ces élections. Mais, cela n’exclut pas que notre soutien au président de la République demeure constant. Nous restons dans Benno bokk yakaar et derrière le Président Macky Sall que nous soutenons même pour la présidentielle de 2019.

 

Dans ce sens, est-ce que la dynamique de Benno vous convient ?

Il est vrai que notre coalition a quelques difficultés. Parce que véritablement, ce que j’ai vécu à Benno siggil Senegaal, c’était une expérience très concluante. Parce que même si ce n’était pas totalement formelle, ce n’était pas uniquement le Bennoo des leaders, mais c’était celui de tout le monde. Pour la coalition Benno bokk yakaar, il faut féliciter le Président Macky Sall de l’avoir maintenue jusque-là. Mais, il reste à avoir le maximum de relais à la base. Parce que si au sommet les leaders sont ensemble et qu’à la base, au niveau des responsables et des militants il n’y a pas d’unité, ça peut poser problème. La preuve, c’est l’absence de coordination qui a crée toutes les listes aux dernières Locales au sein de Benno. Et je crains fort bien qu’à ces élections législatives il y ait encore plusieurs listes. Nous devons absolument l’éviter en faisant une communication plus poussée et en nous organisant mieux. Mais, si un seul parti veut prendre l’initiative pour être au devant, conduire les choses comme il l’entend, sans en informer les autres membres, ça peut causer problème. Je pense que l’échéance des législatives est fondamentale en perspective de la présidentielle de 2019. C’est pourquoi nous devons mettre tous les atouts de notre côté pour les remporter haut la main. Je pense que le problème, ce n’est pas au sommet. La coalition doit être portée par la base.

En tant que Dakarois, quel commentaire faites-vous de la volonté de l’opposition de choisir Khalifa Sall comme tête de liste ?

C’est de bonne guerre parce que c’est très politique. On l’aurait certainement fait si on était à la place. Les Sénégalais sont souvent solidaires de quelqu’un qui est dans son cas aujourd’hui. Et cette opposition veut saisir cette opportunité. Maintenant, c’est à nous au niveau de Benno de trouver une réponse appropriée par rapport à cela. Si nous ne prenons pas cette candidature au sérieux au cas où elle serait réelle, nous risquerons de perdre Dakar. Je suis de Benno et je ne souhaite que notre victoire. Mais, Dakar va constituer un épineux problème qu’il faut savoir décortiquer, analyser pour avoir une réponse politique. Et, ce n’est pas en continuant d’expliquer pourquoi il a été arrêté. Notre rôle, c’est de voir comment nous organiser par rapport à ces élections ? Quelle stratégie mettre en place pour sortir avec une belle victoire ? Aussi bien à Dakar que dans le reste du pays. Nous avons besoin d’une majorité à l’Assemblée pour conduire et achever les politiques que le Président Macky Sall a déjà élaborées.

Est-ce que l’implication de votre leader, Robert Sagna, dans plusieurs dossiers n’est pas un handicap pour le Rsd-Tds ?

Au niveau du Rsd-Tds, c’est un fait que nous avons tous constaté. Mais, devant l’intérêt supérieur de la nation, il faut savoir choisir. Il a préféré s’impliquer sur les dossiers qui concernent le développement du pays, la réconciliation nationale, etc. Mais, quelque part, le Parti est quelque peu orphelin. Il n’est presque jamais là. Mais, heureusement qu’il a une équipe bien structurée autour de lui pour faire le travail.

Sur ce dossier qu’a-t-il fait ?

Le dossier casamançais ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir. J’avoue que le problème est presque réglé. Il n’y a pas longtemps, il a fait un déplacement très important avec les différentes factions du Mfdc pour les amener à parler le même langage. Sur le principe d’aller vers un dialogue, c’est acquis ; il reste des formalités d’organisation interne entre les différentes factions pour les amener d’abord à parler le même langage avant d’aller autour d’une table avec les autorités de ce pays pour enfin sceller une paix définitive. Les résultats obtenus nous font croire que très bientôt la Casamance retrouvera la paix.

Dossier Fesman : Grosses révélations sur Sindiély Wade et le Fesman, Baba Aïdara et d’autres lanceurs d’alerte prennent place entre New-York et Londres pour donner le tournis au régime

Sous le magistère du Président Wade, ils étaient nombre de sénégalais de la diaspora à prendre position. Leur démarche consistait à alerter le peuple sur nombre de dossiers nébuleux et surtout démontrer la nécessité de faire bloc autour des forces vives. Cela va être le cas sous le régime du Président Macky Sall puisque des lanceurs d’alerte vont occupe tous les canaux de communication pour créer une nouvelle dynamique afin de défendre l’intérêt général. D’ailleurs, cela a commencé avec le journaliste Baba Aïdara qui a indiqué depuis le pays de l’oncle Sam que Sindiéli Wade a bel et bien justifié toutes les dépenses liées au 3ème Festival mondial des arts nègres (Fesman).

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

En tout cas, c’est la révélation faite A. Seydi, activiste sénégalais basé aux États-Unis qui défend qu’il est aujourd’hui clair que lui tout comme ses collègues localisés au sein de la diaspora «vont passer à la loupe tous les scandales du régime en s’appuyant sur des documents clés comme c’est le cas avec Baba Aïdara qui est revenu sur un rapport de l’Inspection générale d’Etat pour démontrer qu’en réalité, Sindiéli Wade a bel et bien justifié toutes les dépenses effectuées lors du 3ème Festival mondial des arts nègres.» Et, à en croire M. Seydi qui est adressé avec actunet, «cela est un cinglant démenti sur la supposée magnanimité du Président Macky Sall qui ne voulait mettre en prison les deux enfants de son prédécesseur (Me Abdoulaye Wade).»

Pourquoi le régime du Président Macky Sall doit retenir son souffle

En effet, il est soutenu que les nostalgiques d’une société civile forte, dynamique et engagée peuvent désormais sécher leurs larmes. Et pour cause, des activistes vont utiliser à outrance les réseaux sociaux pour la défense de l’intérêt général. De quoi faire à notre interlocuteur : «Avec certains médias au service du prince pour l’abêtissement des masses, il aurait fallu le miracle du net pour trouver une voix de contournement pour s’adresser aux Sénégalais. Ce qui leur permettra de prendre la pleine mesure de la spoliation de nos ressources naturelles par le régime en place.»

Poursuivant, il confie à actunet que «ce combat portera cette fois-ci la marque indélébile d’une Diaspora engagée autour de lanceurs d’alerte comme l’incontournable Baba Aïdara des États-Unis, le très percutant Cheikh Saadbou Diop depuis Londres et coordonnateur du M 23 patriotique sans oublier le doyen Tékhé Gaye de New-York avec son poulain Saadbou Kébé de la mythique émission ‘’CI LA BOKK’’ de la même ville.» Non sans soutenir que «les soutiens sont nombreux au niveau de la diaspora pour aider véritablement ces lanceurs d’alerte qui ont décidé de donner un rendez-vous hebdomadaire aux sénégalais afin d’éclairer leur lanterne sur l’urgence du combat à mener la protection de nos ressources.»

En tout cas ce live programmé sur ‘’Facebook’’ tous les samedis soir à 22h GMT est parti pour être un marathon de révélations qui pourrait donner du tournis au régime du Président Macky Sall.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

BLANCHIMENT DE L’ARGENT DE LA DROGUE DANS L’IMMOBILIER – La CENTIF confirme le député Cissé Lô et JAMRA!

 

Des PPE, “Personnes politiquement exposées” – ainsi dénommées, dans la terminologie des experts de la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) -, ont occupé le haut du podium, dans le rapport d’activités que vient de rendre public cette structure de lutte contre la criminalité financière. Le plus sidérant est que ces incorrigibles PPE se sont particulièrement illustrées dans le recyclage de l’argent sale, issu du trafic international de drogue, dont on tournait pourtant en dérision les incessantes alertes que n’ont eu de cesse de lancer JAMRA et…le député Moustapha Cissé Lô !

Par Nd Cisse avec Jamra

La méthodologie est classique, quasi-immuable, comme en témoigne ce cas d’école mis en exergue par la Centif : un ressortissant d’un pays étranger, séjournant régulièrement au Sénégal, dispose dans les Livres d’une célèbre Banque de la place d’un compte qui enregistre, en un court laps de temps, trois volumineux virements, pour un total de 200 millions de nos francs! Cagnotte sera par la suite reversée dans le compte d’un notaire, pour diligenter l’acquisition d’un bien immobilier à Dakar. Les enquêteurs de la Centif, après avoir été saisis d’une “déclaration de soupçon” de la banque, n’ont pas tardé à découvrir la supercherie : le titulaire du compte (un modeste salarié de l’administration) n’est en fait que la “mule” attitrée d’un haut fonctionnaire, fiché “Ppe” dans son propre pays, où il a eu à faire l’objet de poursuites pour des faits de détournement de deniers public, de corruption et d’accointance avec un réseau de trafic de drogue. JAMRA attend avec impatience la suite qui sera réservée à ce sulfureux dossier, que la Centif a transmis au Procureur de la République !

Et dire que, quelques semaines plus tôt, s’exprimant à «Disso», l’émission sociétale de la DTV, le responsable de l’Alliance pour la République (Apr), et vice-président de l’Assemblée nationale, Moustapha Cissé Lô, avait jeté un gros pavé dans la mare… aux crocodiles du landerneau politique sénégalais! Sous le sourire narquois de certains. Il soutenait mordicus qu’il y aurait «de grands fumeurs de Yamba, doublés de trafiquants de Cannabis chez nos politiciens»! Et que «beaucoup de belles villas de la capitale seraient construites par des “blanchisseurs” de l’argent sale issu de la drogue». “El Pistoléro” devait conclure – dans cette même émission de la DTV (toujours disponible sur le Net) – en se disant «prêt à répondre à une convocation du Procureur de la République, pour lui fournir davantage d’informations»!

Réplique ne pouvait être plus éloquemment administrée aux fameux détracteurs de la Loi 2007-31, dite “Loi Latif Guèye“. Laquelle – et JAMRA ne se lassera de le répéter – n’a pas pour vocation de prôner une quelconque chasse-à-l’homme contre les consommateurs de “l’herbe-qui-tue“, que nous avons toujours considérés comme des victimes des narcotrafiquants! Ce sont plutôt ces derniers qui sont ciblés par cette loi qui criminalise le délit de trafic de drogue. C’est-à-dire, comme spécifié dans l’exposé des motifs du défunt député: la culture, la transformation, le conditionnement, le transport, la commercialisation… de ces produits de la mort. Le narco-dépendant doit donc être considéré comme un malade, victime d’addiction. Et, en tant que tel, doit être pris en charge par les structures spécialisées, comme le CEPIA (Centre de prise en charge intégrée des addictions) logé au Service psychiatrique de l’Hôpital Fann, à Dakar.

Qu’on arrête donc de dire que la “Loi Latif Gueye provoque l’encombrement des prisons“. Lesquelles devraient plutôt accueillir ces gros dealers (PPE le plus souvent !). Et non ces petits fumeurs de Yamba qui, répétons-le, ne sont que des victimes, auxquelles nous devons tendre une main fraternelle, les prendre en charge, les aider à s’affranchir de l’esclavagisme de la drogue! Que l’on cesse de s’acharner sur ces proies faciles, ces “boucs émissaires“, que sont les «fumeurs de joints», dont la place ne devrait pas être en prison mais dans les structures de désintoxication et de réhabilitation. Et que l’on s’attaque résolument à la véritable racine du mal: c’est-à-dire les gros convoyeurs de drogues dures, grands corrupteurs devant l’Eternel, qui brassent des milliards, détruisent la jeunesse, boostent la criminalité et déstabilisent notre économie, en y recyclant leur argent sale!

L’Organisation islamique Jamra et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, Mbañ Gacce, rendent un vibrant hommage à la pertinence cette œuvre de salubrité publique à laquelle s’attachent les experts de la Centif. Et exhorte l’Etat à plus de célérité dans la mise en œuvre de leurs recommandations, pour une meilleure protection de notre économie. Et de notre jeunesse.

Un an après, Babacar Gaye se prononce sur le référendum de 2016: «A part la création du HCCT pour caser ses amis, aucun acte n'a été posé»

Le porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds), Babacar Gaye déplore l’absence de pertinence du référendum, car selon lui, le régime n’a concrétisé que la mise en place du Haut conseil des collectivités territoriales (Hcct) pour caser son allié socialiste, Ousmane Tanor Dieng et ses amis.

Un an après le référendum, la nouvelle constitution n’est toujours pas publiée et il n’y a pas encore de statut pour l’opposition, le porte-parole du PDS regrette cette situation. «En annonçant en grande pompe le statut de l’opposition et celui de son chef, le Président Sall a pensé trouver dans cette réforme un pis-aller et un moyen de dépasser une passe difficile. Cette ouverture ne procédait pas d’une conviction avérée.»  Selon lui, cette réforme constitutionnelle s’est faite dans la précipitation et de manière exclusive.
«C’est d’ailleurs la principale lecture qu’il fallait avoir du choix du ‘’NON’’ par la coalition ‘’Goor Ca Waxja’’. En refusant d’appliquer les dispositions de cette nouvelle Constitution, le Président Macky Sall apporte la preuve qu’il n’a pas beaucoup de respect pour l’Etat de droit. Les citoyens doivent se lever pour lui rappeler ses devoirs

Babacar Gaye soutient que la seule mesure qui a été concrétisée, est la mise en place du Haut conseil des collectivités territoriales pour caser ses amis politiques et créer une institution sur mesure à l’allié Ousmane Tanor Dieng.

«Aucun acte n’a été posé pour une stricte application de la loi référendaire qui comporte des incongruités dont l’absence de disposition transitoire pour consolider la fixation du mandat du Président dans le quinquennat. D’éminents juristes s’interrogent à raison, sur la validité du mandat présidentiel au-delà du 3 avril, date à laquelle, le Président Sall avait prêté serment et à laquelle, le mandat du Président prendra fin

De son point de vue, «la classe politique, la société civile et le peuple devront en tirer toutes les conséquences politiques au nom de la République et de l’Etat de droit afin d’exiger l’organisation d’une nouvelle élection présidentielle

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention