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OUZA DIALLO ROUVRE LES VANNES «Macky Sall a été élu en partie par des fonds de la caisse d’avance de la ville de Dakar»

De la situation en Gambie à celle qui prévaut au niveau de l’establishment de la ville de Dakar, en passant par le monde de la Culture au Sénégal, Ouza Diallo passe un grand oral qui a pour prétexte la parution de sa nouvelle production éminemment politique intitulée «Sondage». Entretien

Votre actualité récente est marquée par la parution d’une de vos chansons intitulée «Sondage» comportant une certaine coloration politique. Pouvezvous nous en dire plus sur cette production ? En réalité, la production remonte à juin-juillet 2016. Nous avions prévu de la sortir à la fin de l’année, mais nous avons dû repousser cette échéance pour ne pas créer de confusion. En effet, le contenu de ce morceau évoque certaines questions qui pourraient, dans l’esprit du public, croire que j’ai fait cette chanson pour aborder, entre autres, les événements survenus en Gambie, dans le contexte électoral. Comme je vous le dis, cette chanson a été réalisée des mois avant la crise gambienne suite à laquelle le Président Adama Barrow a été porté au pouvoir. Elle part d’un constat global portant sur la configura- tion de notre champ politique. Vous ne manquez d’ailleurs pas de clouer au pilori la classe po- litique dans sa globalité…. C’est de bonne guerre. Je suis parti du constat qu’une large frange de la classe politique, aguerrie aux rouages de la politique politicienne, s’enrichit sans commune mesure du fait de l’exploitation indue des deniers publics. Nous faisons actuellement face à une vraie «politocratie» marquée par l’ascension fulgurante des membres de la classe politique au détriment des masses laborieuses. Cela est problématique à plus d’un titre. Quand je chantais ce morceau, nous ne faisions pas encore face à la panne de l’appareil de radiothérapie de l’hôpitalAristide Le Dantec ; mais d’autres problèmes ses posaient avec autant d’acuité. Et il est malvenu, dans un pays comme le nôtre, de créer desinstitutions budgétivores et fantoches telles que la commission nationale du dialogue des territoires, le Haut conseil des collectivités territoriales, le Haut conseil pour le dialogue social, ou encore la Commission de protection des données personnelles dans le but non avoué de classer une clientèle politique qui ne nous est d’aucune utilité. Quel regard portez-vous sur la conjoncture marquée par l’imminence des législatives et par l’emprisonnement de certains hommes politiques ? De mon point de vue, le Président de la République a matérialisé la majeure partie de ses engagements à l’endroit des populations sénégalaises. Il fait face à une opposition hétérogène et mal inspirée, raison pour laquelle je ne comprends pas son acharnement à traquer ses opposants dans leurs derniers retranchements. Il est manifeste que l’emprisonnement de responsables socialistes comme Bamba Fall relève d’un acharnement sans commune mesure. Macky Sall a le fort pour renforcer ses adversaires en les martyrisant, et cela pourrait, à terme, lui porter préjudice. Il a la fâcheuse tendance à prêter une oreille attentive aux laudateurs et aux faucons du palais qui ne lui prodiguent pas de bons conseils. A ce propos je l’invite solennellement à lâcher du lest et à adopter une attitude républicaine et démocrate en laissant les opposants s’opposer comme ils en ont pleinement le droit. Je tiens d’ailleurs à témoigner que l’affaire dite Khalifa Sall a été montée de toutes pièces. Depuis belle lurette les Sénégalais ont eu à bénéficier de l’argent tiré des caisses d’avance et la mairie de Dakar, avec à sa tête Khalifa Sall, ne constitue en rien une anomalie ou une exception. Je prends sur moi la responsabilité de témoigner en indiquant que le Président de la Ré- publique a été élu en partie grâce à l’argent issu de la caisse d’avance de la ville de Dakar. Je pèse bien mes mots et je suis un témoin privilégié de cet état de fait en ce sens que, dans l’entre deux tours de la présidentielle de 2012, Khalifa Sall m’a remis des fonds substantiels, tirés de la caisse d’avance de la ville de Dakar, pour que je batte campagne en vue de l’élec- tion de l’actuel Président de la Répu- blique. Je lui recommande, en ce sens, de savoir raison garder et de ne pas verser dans un acharnement contrepro- ductif pour lui.

ALIOU SALL, SUITE À SON INVESTITURE PAR LA COJER «Je me considère désormais comme la tête de liste de Benno bokk yakaar à Guédiawaye»

Investi hier par la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) de son département, Aliou Sall se positionne dorénavant comme la tête de liste départementale de Benno bokk yakaar à Guédiawaye en vue des élections législatives du 30 juillet à venir

BRUCE LEE «Je réclame Amanekh, mais surtout Elton»

Après votre défaite devant Baye Mandione, on sent que vous êtes de plus en plus éloigné des arènes. Qu’est-ce qui explique cela ? Je suis parti aux États-Unis après mon revers essuyé devant Baye Mandione à Kaolack. En effet, j’ai eu à vivre quelques difficultés qui m’ont poussé à quitter momentanément le pays. Si vous vous rappelez, je suis allé jusqu’à dire que j’ai abandonné la lutte. Mais, ensuite je suis revenu sur ma décision à cause dessages conseils de messupporters, qui ne cessent de penser à moi et de m’encourager. Après six mois passés aux États-Unis, me voilà : je suis rentré au Bercail. Il est vrai aussi que je me suis tenu à l’écart de l’arène près d’un an. Votre retour coïncide en plein à la période de montage des combats pour la présente saison. Qui est dans le viseur de Bruce Lee ? Je veux lutter contre Amanekh et surtout Elton. C’est mon potentiel adversaire. J’ai plus de combats et de victoire que lui. Notre confrontation doit être possible. Avec le palmarès que vous avez, pensez-vous que votre cote dans l’arène n’a pas subi une légère décote ? À quoi est due cette dépré- ciation de votre valeur ? Est-ce à cause de votre dernière contre performance ? Encore une fois, je le répète, je compte plus de victoires que les lutteurs de ma génération. C’est certainement parce qu’ils préfèrent choisir d’autres lutteurs pour adversaire qu’ils en arrivent à me snober ainsi. C’est une voie trop facile qu’ils empruntent je trouve. Ce qui est anormal. Nous ne devons pas avoir peur de nous affronter entre nous. Après une si longue période sans combat, ne craignez-vous pas avoir un peu perdu vos repères ? Non, du tout. Durant mon séjour aux États Unis, je pratiquais la lutte gré- co-romaine. Avec votre retour, comptez-vous défier deslutteurs de votre génération, ou du moins, allez-vous tendre la perche aux jeunes loups ? Je ne fais pas de fixation sur un quelconque lutteur. Mais je leur signale à tous que je suis bien de retour et avec des arguments pour en affronter plus d’un lutteur. Je vous le disais tantôt. Amanekh et Elton doivent pouvoir m’affronter, sinon moi je les réclame. Nous ne devons pas chercher à nous éviter dans la mesure où nous sommes tous de la même génération. Êtes-vous toujours pensionnaire de l’écurie Fass ? Bien sûr ! J’y suis et j’y reste. Tout ce que j’ai gagné dans ma carrière c’est grâce à Fass.

BLESSURE À L’ŒIL DROIT – Boy Niang rassure et promet le feu à Gouy Gui

Avec un œil enflé caché derrière des lunettes noires, Boy Naing a visiblement mal à l’œil droit. Une blessure contractée aux cours de ses entraînements et qui suscite actuellement des débats. Bécaye Mbaye a signalé cette blessure et les risques d’un report du combat si le lutteur ne se rétablit pas vite. Boy Niang rassure et confirme que le combat est à sa portée : «Je sais que je me suis blessé, mais je sais que cette blessure va vite guérir. C’est juste une petite contraction. Mais je vous assure que je vais bientôt me rétablir. Et je tiens à dire à mes fans que je serai bien présent au combat. Qu’ils ne s’inquiètent pas». Interpellé sur cette blessure, le promoteur Pape Abdou Fall organisateur de ce combat précise qu’il n’a pas été saisi de cette blessure et qu’il espère que ce n’est pas une situation critique et qu’il a confiance que tout va bien se passer et le plus normalement du monde. Pour l’heure, les deux lutteurs ont procédé à leur dernier face à face hier dans les locaux de la 2 stv. Un face à face qui a tenu toutes ses promesses.

Aïda Mbodj reconnaissante envers Assane Ndiaye

Le maire de Bambey a tenu à remercier le promoteur Assane Ndiaye de par sa disponibilité et son courage d’en être à la 13ème édition de son drapeau. Madame Aïda Mbodj a magnifié ce geste, et selon elle, même si elle devenait un jour chef d’État, elle ne va en aucun cas manquer cet honneur. Des propos qui ont ému le patron de Baol Production qui n’a pas manqué de remercier la grande dame.

Modou Anta et Zarco assurent

L’ambiance était au rendez-vous au terrain municipal de Bambey. Les vingt lutteurs engagés par Assane Ndiaye ont livré une bataille médiatique en se lançant des piques acerbes. L’attraction a été sans doute entre les échanges de propos acides entre les deux combattants du grand combat. Le lutteur de Grand Yoff reste convaincu qu’il n’aura aucun souci à faire pour faire mordre la poussière à Modou Anta. «Je vais me batailler avec toi avant d’écraser au sol. C’est l’inévitable issue de ce choc», averti Zarco. Mais la ré- plique de son adversaire n’a pas tardé. «Tes proches ne t’auront jamais assez bien conseillé d’opter pour la bagarre avec moi», dit-il, avant d’ajouter : «Et tu n’auras pas à le regretter». L’autre duel a fait aussi faire vibrer le Baol. Il s’agit de Papis Général et Quench. Tous les deux se sont promis l’enfer. Le lutteur de l’école de lutte Manga 2 et celui de Lansar estiment que leur duel sera à l’image du «Classico» pour cette journée du 12 mars prochain au stade Demba Diop. L’ambiance électrique est donc à retrouver le jour du combat. Les amateurs se feront le devoir de ne rien manquer de ces chocs. Pas une miette.

Zarco refuse de descendre…

Le face-à-face entre  a failli tourner court pour ne pas dire se terminer en queue de poisson. Et pour cause ! Le lutteur de Grand Yoff a voulu rester dans sa voiture pour des raisons de sécurité a-t-il prétendu. Heureusement pour le staff de la structure «baol Productions»… Tout est finalement rentré dans l’ordre, et comme prévu le face-à-face a pu se dérouler. En supériorité numérique, les supporters du lutteur de Thiès ont failli passer à une démonstration de «force» en public. Mais c’était sans compter avec l’intervention de Modou Anta, qui, en bon chef d’équipe a su apaiser les choses. Chapeau au Thièssois.

Gouy Gui «réveille» Senghor et Cie

Encore le «roi du simpi». Lors de son face-à-face avec boy Niang, avant-hier, Gouy Gui a fait «retourné» Senghor, Molière et d’autres lettrés dans leur tombes.Au lieu de dire «vivacité», il ne cessait de répéter «vavacité». Un mot qui lui tient à cœur et qui lui «va-va» bien.

DR FATOU NDIAYE DÈME, APR SICAP «Les querelles à l’Apr nuisent à la dynamique victorieuse de Benno bokk yakaar»

Appelant ses camarades à occuper le terrain, Dr Dème souligne que le resserrement des rangs doit être de mise, parce que les querelles au sein de l’Apr «nuisent» à la dynamique victorieuse de Benno bokk yakaar

Certains comportements au sein de l’Apr dérangent au plus haut niveau Dr Fatou Ndiaye Dème. Estimant que le «resserrement des rangs s’impose» à près de six mois deslégislatives, cette responsable Apr au niveau des Sicap qui indique que les «déclarationstous azimuts sur la personne qui devrait être tête de liste ne sauraient être acceptables dans un parti au pouvoir qui jouit d’organes de fonctionnement qui lui per- mettent, à temps voulu, d’opérer des choix éclairés». Regrettant que «depuis son ac- cession au pouvoir, les batailles de positionnement affectent l’Apr», elle demande à ses camarades de savoir raison garder, car les querelles intempestives, les altercations entre jeunes de la Cojer, les théâtres d’attaques injustifiées des adultes à Kaolack, à Matam entre autres, «inquiètent» au sein de la mouvance présidentielle. «Ces comportements pour le contrôle du parti dans certaines localités du pays nuisent, à coup sûr, à cette dynamique victorieuse qui caractérise Benno bokk yakaar depuis sa naissance», réitère-telle. Or, la consolidation de cette coalition est un gage pour une parfaite réussite de la mis- sion confiée par les Sénégalais. Car, elle est composée d’hommes et de femmes de «conviction». Elle se dit convaincue que ces élections législatives seront la «confirmation» du choix pour le changement opéré le 25 mars 2012. Car, les populations sont conscientes de toutes les réali- sations du Président Macky Sall, et du fait que la majorité a plus que besoin d’une majorité confortable à l’Assemblée nationale pour la poursuite du dé- roulement du Pse. Toutefois, Dr Dème, «fière» d’appartenir à la circonscription de la Sicap dont elle a la confiance de ses camarades, appelle «impérativement» à l’occupation du terrain pour montrer une fois de plus toute la «pertinence, la «vitalité» de la coalition. À l’en croire, l’Apr des Sicap est dans cette voie en compagnie des alliés du Pré- sident Macky Sall. «Khalifa Sall se trompe de cible» Par ailleurs, Dr Dème a botté en touche les accusations de Khalifa Sall, estimant que le Président Macky Sall est occupé à faire avancer les chantiers de l’heure et à veiller à la bonne gouvernance à tous les niveaux de la vie publique. «En manque d’arguments pour justifier de la bonne gestion de la caisse d’avances, sa seule ligne de dé- fense politique est de jouer à fond la victimisation, appuyé en cela par une opposition en perte de vitesse et accompagné aussi par un avocat qui est plutôt dans le spectacle, comme tou- jours, plutôt que danslesleçons du droit», justifie-t-elle, notant qu’il « se trompe de cible ». Et Mme Dème, «très satisfaite de la cohésion et de l’engagement sansfaille» des «apéristes» dans les Sicap d’alerter que dans sa gouvernance sobre et vertueuse, le Président Sall va continuer pendant longtemps de créer de «l’anxiété» au sein d’un «certain groupe de malfrats et des marginaux politiques».

Cas marché bou bess – TIMBO en position tranchée

 Le maire de la ville de Pikine a une position tranchée sur l’affaire de marché Boubess, dont le contrôle divise la commune de Djeddah Thiaroye Kao et celle de Wakhinane Nimzatt. Abdoulaye Timbo n’y va pas du dos de la cuillère. Selon lui le marché Boubess appartient bel et bien à Pikine, par conséquent à la commune de Djeddah Thiaroye Kao. «Ma position est une position tranchée. Elle se situe en droite ligne de ce que la justice sénégalaise qui a redonné le marché à Djeddah Thiaroye Kao a décidé. C’est un marché qui dans sa localisation se trouve dans la commune de Djeddah Thiaroye Kao», martèle le maire de Pikine. À l’en croire, cet équipement marchand a été cédé à Guédiawaye par un arrangement fait à l’époque, pour permettre à la collectivité locale de bénéficier de recettes

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention