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FINANCES LOCALES, FONCTION PUBLIQUE LOCALE, STATUT DE L’ELU LOCAL,… :  Ces dossier sur la table de Tanor

Finances locales, fonction publique locale, statut de l’élu local, découpage administratif, Statut de l’élu local, Aménagement du territoire, deuxième phase de l’Acte III de la décentralisation, les dossiers s’accumulent sur la table du Président du Haut Conseil des Collectivités locales depuis son installation à la tête de l’institution. Les Hauts Conseillers ont en effet décidé d’aller vite dans le diagnostic et le bilan de la Décentralisation au Sénégal, secteur après secteur, avant de faire des propositions de corrections sous forme de recommandations.

AUDIT DE LA CAISSE D’AVANCE DE LA VILLE DE DAKAR : Birima MANGARA blanchit l’Ige

Le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, chargé du Budget dément toute démarche politicienne de l’État dans la convocation du maire de Dakar khalifa Sall devant la Dic pour s’expliquer sur le rapport de l’Inspection générale d’Etat (Ige). Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud fm (privée) hier, dimanche 26 février, Birima Mangara a indiqué que la mission de l’Ige à la ville de Dakar s’inscrit dans le cadre d’une démarche républicaine et normale visant le respect du principe du suivi-évaluation de l’impact des politiques publiques sur la vie des Sénégalais

COLLISION ENTRE UN BUS ET UN CAMION, A HAUTEUR DE SANDIARA : L’accident fait 2 morts et 7 blessés

Deux morts sur le coup et 7 blessés, dont 2 grièvement : tel est le bilan de l’accident de la route qui s’est produit hier, dimanche 26 février, vers les cours de 6h du matin. Il s’agit, en fait, d’une collision entre un minibus en provenance de Banjul et un camion en partance vers la Gambie, à hauteur du village de Sandiara, à 21 km de Mbour.

MONNAIE ET L’EMERGENCE DE L’AFRIQUE : Des économistes disqualifient le FCFA

Souveraineté monétaire, régime de change, garantie de la convertibilité, politique monétaire… Un débat aussi vieux que la monnaie elle-même longtemps porté par d’éminents économistes, relancé en juillet 2015 à la suite du feuilleton relatif à la sortie de la Grèce de la zone euro, et en 2016 par le fameux «Brexit» s’intensifie de plus en plus. Appuyé en cela par la sortie du président Tchadien Idriss Déby Itno en 2015, le Bissau Guinéen Carlos, secrétaire exécutif démissionnaire de la commission économique pour l’Afrique des Nations unies, Kako Nubukpo, ancien ministre de la Prospective et de l’évaluation des politiques publiques du Togo, agrégé d’économie, et des économistes sénégalais comme Demba Moussa Dembélé, Ndongo Samba Sylla entre autres qui militent en faveur d’une monnaie nouvelle pour émerger. Tout le contraire pour Thiémoko Meyliet Koné, gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’ouest (Bceao), qui minimise les agitations et trouve qu’une nouvelle donne commandée par les besoins des économies dans leur quête de transformations structurelles d’émergence et non des critiques rarement appuyées par des études scientifiques, ne saurait faire évoluer le dispositif monétaire actuel

Une défaite historique pour l'OM contre le PSG

Corrigé par le PSG (1-5), l’OM a concédé la plus lourde défaite de son histoire face à son rival, ce dimanche au Vélodrome.

C’est un petit évènement dans l’histoire du Championnat de France, et surtout celle de l’OM, qui s’est produit ce dimanche au stade Vélodrome. Surclassé par le PSG (1-5), le club olympien a concédé la plus large défaite de son histoire face à un rival. Le 8 janvier 1978, les Marseillais s’étaient déjà inclinés à Paris, exactement sur le même score. Mais jamais jusque-là, il n’avait pas encaissé autant de buts dans leur enceinte face aux Parisiens.

Pour retrouver trace d’une même déroute, sur un résultat d’une telle ampleur, il faut remonter au 23 août 1953. Ce jour-là, l’OM avait été corrigé par Nîmes (0-4), lors de la première journée.

De la caisse d’avance au terrorisme : un pas de géant (Par Birahime Seck)

L’arrestation par la police nationale de deux présumés djihadistes peut être vue comme une preuve supplémentaire du dynamisme et du professionnalisme de la « communauté de renseignements mis en place par le Sénégal » pour prévenir tout acte de terrorisme dans notre pays. Il s’agit-là d’un résultat réconfortant et rassurant qui est en total déphasage avec le sentiment d’inquiétude ambiant qui a prévalu suite aux propos tenus tout récemment par la hiérarchie de cette même police nationale sur l’insécurité.

Cependant, la publication du communiqué de la police nationale du 23 Février 2017 relatif à l’arrestation de deux présumés Djihadistes maliens à Dakar, dans un contexte de « poursuite de reddition des comptes », soulève quelques interrogations. La question du terrorisme est souvent considérée comme un sujet tabou même si le Président de la République lui-même avait appelé à plus de vigilance et avait  dans le même ordre demandé de signaler toute personne suspecte ou ayant un comportement douteux. Une conférence sur le sujet a été organisée par le ministère chargé des Affaires étrangères.

Malgré cela, nous avons constaté que l’Etat du Sénégal a toujours été avare en information sur des affaires relatives au terrorisme. Un comportement compréhensible dans une moindre mesure car il s’agit de questions stratégiques qui demandent beaucoup de discrétion. Cette réticence du gouvernement à partager l’information avec les citoyens s’est manifestée de manière très forte quand les autorités avaient décidé de transférer au Sénégal deux ex détenus de Guantanamo. Les Sénégalais s’étaient posé des questions sur la contrepartie américaine de ce transfert. Ils n’avaient récolté comme réponse que des sorties triangulaires et vagues données par les ministres chargés de la Justice, de l’Intérieur et celui des Affaires étrangères, quand Barack Obama lui-même déclarait que  la prison de Guantanamo est  néfaste pour la « sécurité nationale » des Etats Unis et contraire aux valeurs de l’Amérique (lemonde.fr du 23 février 2016).

Est-ce à dire que les profils des sieurs Ould Sidi Mouhamed Sina et Ould Ame Sidalamine, présumés djihadistes arrêtés dans notre pays  sont moins inquiétants que les deux ex détenus de Guantanamo pour figurer sur le communiqué de la police nationale citée plus haut ?

L’information sur la forme de terrorisme contre lequel nous nous battons ne doit nullement prendre le dessus sur le terrorisme systémique que subissent nos deniers publics et nos ressources naturelles.
Qu’on ne perde pas de vue que l’argent volé, détourné, issu de la corruption, du trafic d’influence, de la prise illégal d’intérêt… est celui qui est blanchi pour financer le terrorisme qu’on veut prévenir et éradiquer. Qu’on ne  perde pas de vue aussi, que le détournement, le vol, la corruption créent de la frustration, installent la pauvreté et peuvent pousser les jeunes à rejoindre les groupes terroristes que les Etats combattent. Alors, que la reddition des comptes se poursuive dans l’équité, l’éthique et la justice. C’est pourquoi, Monsieur Madiambal DIAGNE, il ne faut pas «brûler les rapports de l’Inspection Générale d’Etat ». La transmission des rapports de l’IGE et ceux des autres corps de contrôle doit se poursuivre pour quatre raisons.

D’abord, par respect aux parlementaires, qui en 2011 ont pris une loi, au nom du peuple pour renforcer les pouvoirs opérationnels et stratégiques de l’IGE, suite aux réformes de 2005 et de 2007.
Deuxièmement, par respect au citoyen sénégalais qui a financé la conception et la production de ces rapports par ses impôts. Troisièmement, par respect aux Inspecteurs Généraux d’Etat, qui ont dépensé beaucoup d’énergie, de temps et  ont fait montre de compétence (même si c’est leur travail) à produire ces rapports. Enfin de compte, par le fait le Président de la République, Macky SALL, avait promis le 3 Avril 2012 de mettre à sa charge « l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux ».

Donc au lieu de « brûler les rapports de l’IGE » que le Président de la République respecte sa parole et ne protège personne. C’est pourquoi cette information des deux présumés terroristes appréhendés ne doit nullement étouffer cette histoire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar. C’est une occasion de mettre en relief les autres rapports d’audit, d’investigation, d’inspection et d’enquête de l’IGE, de la Cour des Comptes, de l’OFNAC … ainsi que les fonds alloués à certaines autorités du pays, du Président de la République, du Premier Ministre, des Présidents de l’Assemblée nationale, du Conseil Economique, Social et Environnemental, du HCCT, de la Cour suprême, du Conseil Constitutionnel et d’autres personnalités et structures.

 Birahime SECK 

Membre du Conseil d’Administration du Forum Civil.

Me El Hadji Diouf sur l’affaire Khalifa Sall : «Pour plus de transparence, il faut déclassifier tous les rapports de l'Inspection générale d'Etat»

Me El Hadji Diouf, l’un des avocats du maire de Dakar, Khalifa Sall se prononçant dans l’imbroglio juridique de la caisse d’avance, a préconisé la déclassification de tous les rapports d’audits de l’Inspection générale d’Etat, qui présentement, ne sont connus que par le président de la République, les enquêteurs et le Parquet…afin que nul n’en ignore. Me El Hadji Diouf était l’invité de Mamoudou Ibra Kane dans l’émission ‘’Grand Jury’’ de la RFM.

Tanor : «La reddition des comptes, un principe incontournable de la gestion saine»

La reddition et la redevabilité des comptes, “des principes incontournables pour une gestion saine’’, sont au cœur de la bonne gouvernance, a affirmé, samedi, à Mbour (ouest), Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Parti socialiste (Ps).

‘’Quand on gère le bien public, on doit en rendre compte et, d’ailleurs, tout le monde l’accepte. On peut faire des critiques sur des intentions ou sur les non-dits, chacun est libre de le faire, mais le principe n’est contesté par personne’’, a insisté M. Dieng, lors d’une visite de proximité dans la commune de Mbour dans le cadre de l’animation de sa formation politique. .

Le PS, ancien parti au pouvoir, est secoué par des remous lié à une éventuelle candidature à la présidentielle de 2019 et l’audition, ces derniers jours, de l’un de ses hauts responsables Khalifa Sall, maire de Dakar, par la DIC, dans le cadre de la gestion de la caisse d’avance de sa mairie.

Selon M. Dieng qui, selon toute vraisemblance fait allusion à ce dossier, toute personne qui gère des biens publics doit s’attendre à faire la reddition des comptes, un principe auquel tout le monde doit s’y plier, a-t-il dit 

‘’Sur la base des postes que j’ai occupés, l’Inspection générale d’Etat est une structure prestigieuse de contrôle [et] je connais la compétence et la probité des grands collaborateurs du chef de l’Etat qui la composent. De ce point de vue-là, il faut savoir raison garder, respecter notre justice et lui faire confiance’’, a indiqué le secrétaire général du PS.

A son avis, la justice étant chargée de trancher un certain nombre de questions, il faut la laisser faire son travail et non pas avoir un jugement sur les décisions de justice qui en dépendent.

‘’Si la décision de justice vous arrange, vous pensez qu’elle est bonne, si elle ne vous arrange pas, vous la critiquez. Ce n’est pas une attitude, ni objective, ni honnête ni républicaine’’, a martelé le président du Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT).

Il a ajouté qu’il faut laisser la justice faire ce pourquoi elle constitue au Sénégal un pouvoir judiciaire. ‘’A tous ces gens qui parlent du Parti socialiste, c’est gentil, mais vraiment, nous, nous savons ce que nous avons à faire. Qu’ils nous laissent tranquilles s’occuper de nos problèmes. Ils ont, chacun, dans leurs partis et dans les structures dans lesquelles ils s’agitent, suffisamment de problèmes dont ils doivent parler’’, a lancé M. Dieng.

‘’La seule requête que je formule à leur endroit, c’est qu’ils laissent le Parti socialiste en paix et nous laissent s’occuper et régler nos problèmes. De toute façon, je ne réponds pas à des interprétations, des commentaires, des critiques et quelques fois même des insultes et des injures. Je conserve mon énergie pour des choses importantes et positives et non pas pour l’agitation médiatique avec des gens qui veulent se faire un nom et qui font feu et flèche de tout bois’’, a-t-il martelé.

Ousmane Tanor Dieng est d’avis que certaines accusations faites à son encontre relèvent d’un procès d’intention.

CLASSIQUE : Les Ultras du PSG et de l'OM en fusion avant le match

​L’effervescence renaît autour de ce Classique de Ligue 1. En effet, après plusieurs années de désintérêt du fait du déséquilibre entre les deux équipes, l’OM s’est considérablement renforcé cet hiver et réduit l’écart avec le club de la capitale.

Conscient de cette nouvelle donne, les ultras olympiens n’hésitent pas à donner de la voix afin de soutenir ses ouailles et jouer le rôle de douzième homme. Lors du dernier entrainement à la commanderie, ils ont mis le feu et montré aux joueurs qu’à défaut de gagner, il sera absolument nécessaire de tout donner lors de cette rencontre.

 

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