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Macky Sall en Suisse

Le président de la République a repris l’avion de commandement ce week-end pour se rendre en Suisse sur invitation de la présidente de la Confédération Suisse, Madame Doris Leuthard Hausin. Le chef de l’Etat Sénégalais mettra en profit son séjour pour intensifier les relations bilatérales des deux pays en échangeant sur des dossiers de coopération, notamment le Programme pilote de promotion de l’enseignement technique et professionnel au Sénégal. Car, la Suisse jouit d’une expérience en matière de formation duale (École/Entreprise). A ce propos, le président Macky Sall fera un tour à l’École des Métiers  de Lausanne. Le chef de l’Etat prendra part aussi au CEO Africa Forum, une plateforme de dialogue entre chefs d’entreprises et décideurs publics pour encourager l’investissement en Afrique. Dans l’agenda du président Sall figure également la conférence qu’il animera à l’Université de Genève sur le thème : «Pour un nouveau regard sur l’Afrique». Avant de recevoir la distinction de Docteur Honoris Causa de l’Institut de diplomatie et des relations internationales de Genève. Il sera également reçu par le Comité International Olympique.

Jammeh a détourné 85 millions d’euros

Le président de la Gambie, Adama Barrow, a soutenu lors de son périple en Europe que son prédécesseur, l’ancien président Yahya Jammeh, avait pillé environ 85 millions d’euros plus de 55 milliards de francs Cfa (4 milliards de dalasi) pendant ses 22 ans de règne. Il renseigne que les enquêtes sur l’ampleur du détournement de Jammeh sont en cours. La Gambie compte rapatrier l’argent volé par l’ancien homme fort de Kanilaï. Dans une interview sur France24, il souligne qu’une autre commission d’enquête se penche sur d’autres domaines d’activités de Jammeh ainsi que sur les biens qu’il avait transférés à l’étranger. Le président Barrow déclare qu’il est plus que jamais déterminé à mettre la Gambie sur les rampes du développement. Il est rassuré que la France et l’Union Européenne apportent leurs soutiens financiers à la Gambie.

L’Etat augmente les amendes

Les autorités ont corsé les amendes de contravention aux règles de la circulation routière. Cette mesure prise par le ministère des Transport s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les accidents de la route et l’indiscipline des conducteurs. Ainsi, le tarif de toutes les contraventions est revu à la hausse. Par exemple, le conducteur d’un véhicule sans assurance va débourser 20 000 FCFA ainsi que celui qui stationne sans signalisation appropriée en cas de panne ou de détresse. Pour les véhicules transportant un liquide inflammable, le défaut d’extincteur entraine une amende de 30 000 FCFA. Pour échappement libre ou bruyant, le conducteur est sanctionné d’une amende de 5 000 FCFA. Pour non respect de feux tricolores, l’amende est de 10 000 CFA.

Liberté provisoire pour Khalifa Sall

C’est aujourd’hui en principe que le pool d’avocats du maire de Dakar, Khalifa Sall, va déposer une demande de mise en liberté provisoire de leur client qui a été entendu dans le fond par le juge d’instruction. Le pool d’avocats de Khalifa Sall, coordonné par Me Borso Pouye compte plus d’une dizaine d’avocats dont Mes Ciré Clédor Ly, Koureyssi Bâ, El hadji Diouf, Aissata Tall Sall etc. Quant aux avocats de Mbaye Touré, ils comptent déposer aussi une demande de mise en liberté provisoire, au plus tard mardi. Le Daf de la ville est défendu par Mes Bamba Cissé, Souleymane Ndéné Ndiaye etc. Khalifa et Cie doivent croiser les doigts et espérer un sursaut d’orgueil du magistrat instructeur.

PROFIL & PARCOURS. KHALIFA SALL – L'APPARATCHIK DEVENU ELU : Confidences inédites par proches et adversaires interposés

Emprisonné à Rebeuss à l’issue de la controverse sur la gestion de la caisse d’avances de la ville de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, maire de Dakar, est un politique précoce. Jeune militant à l’Union progressiste sénégalais (Ups) devenu Parti socialiste (Ps) à l’âge de 12 ans, l’enfant de Grand-Yoff né à Louga allait très vite gravir les échelons malgré quelques embûches. Nouvel Hebdo vous propose un profil-parcours avec des témoignages sur un homme que l’on présente comme un “khalife” au Ps, couvé par Senghor qui le confia à Diouf lequel demanda à Tanor Dieng d’en faire de même.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Khalifa Ababacar Sall, maire de Dakar depuis 2009, est un pur militant socialiste. Engagé très jeune, celui qui avait quitté son Louga natal pour s’implanter à Grand-Yoff (Dakar) où il a fait toutes ses humanités, marchait pour devenir une haute personnalité dans le parti du Président Léopold Sédar Senghor. D’un tempérament calme et d’un commerce facile, il n’a pas eu trop de difficultés pour séduire l’électorat dakarois qui lui a fait confiance en 2009 alors que le pays était géré par le régime libéral. Un pacte de confiance renouvelé en 2014 pour cet homme qui vit aujourd’hui des jours sombres depuis son placement sous mandat de dépôt par le juge d’instruction Samba Fall dans l’affaire de la gestion de la caisse d’avances de la ville capitale.

Militant du Ps à douze ans

Au moment où Khalifa Sall choisissait de militer au Parti socialiste (Ps), le Sénégal traversait des moments de tensions qui ont agité le landerneau politique. En effet, l’on venait de sortir de la grave crise de 1968 marquée par une révolte estudiantine et une grève générale des travailleurs pour faire face au Président Senghor. La plupart des partis qui étaient d’obédience marxiste-léniniste et communistes luttaient dans la clandestinité pour une meilleure ouverture démocratique. Leurs membres font face à d’autres jeunes socialistes comme Moustapha Niasse ou encore Djibo Kâ. «Révolté» par ce qu’il considère comme une offense au Président poète, le jeune Khalifa décide de devenir militant de cette formation politique. Il n’a alors que douze 12 ans. Né un 1er janvier 1956 à Louga, il va être l’un des plus jeunes militants du Ps. C’est en 1968qu’il intègre le Mouvement des jeunessessocialistes. «A l’époque, nous étions surpris de voir un aussi jeune enfant s’engager pour devenir militant. Figurez-vous qu’il n’avait que douze ans. C’était inimaginable à telle enseigne que le Président Senghor en avait fait une mascotte. Tout le monde l’adulait au regard de son engagement mais aussi de son intelligence», raconte Pape Ibrahima Ndiaye, 79 ans, lui-même militant du Ps depuis 1962. «Je me rappelle qu’une fois, le Président Senghor avait demandé à Jean Collin de tout faire pour encadrer le jeune Khalifa et disait aux adultes de lui donner les connaissances nécessaires pour gravir très vite les échelons. Ce n’est donc pas pour rien que, au moment de son départ, Senghor ait convoqué Abdou Diouf pour lui confier Khalifa Sall en lui disant de ne pas jamais le laisser tomber, car ce jeune va devenir demain l’un des plus grands responsables du parti et l’un des plus respectés grâce à son sérieux et à sa probité.» Militante du Ps depuis 49 ans, Adja Ndèye Fatou Tounkara, ajoute : «c’est le Président Senghor qui nous a confiés à Abdou Diouf. En partant, Diouf a dit la même chose à Tanor en lui rappelant que Khalifa était son jeune frère. C’est dire que nous avons eu des batailles épiques.»

Très jeune SG du Mouvement des jeunesses socialistes

Le parcours militant de Khalifa Sall l’a poussé vers les plus hautes responsabilités au sein du Ps. Avec Senghor qui l’a toujours couvé pour son engagement militant et surtout Diouf qui voyait en lui un combattant de la première heure, Khalifa Sall devient très vite le patron des jeunesses socialistes. Un poste naguère occupé par Djibo Kâ. Nous sommes en 1983. Sept ans plus tôt, en 1976, il est élu secrétaire général de la 3ème coordination de Dakar des Jeunesses socialistes. Un premier poste qui lui permet d’être en contact direct avec les militants. Le baptême de feu va s’avérer concluant car, en 1979, Sall devient secrétaire général de l’Union régionale des jeunesses socialistes du Cap-Vert. Fin diplomate sachant faire face à toutes les formes de crise, il devient en 1983 Secrétaire général des Jeunesses socialistes et le reste jusqu’en 1996 avant de passer le témoin à Pape Babacar Mbaye. «Nous avons dirigé ensemble l’Union régionale de Dakar. Il était dans la 3ème coordination que dirigeait Mamadou Diop et moi dans la 2ème que pilotait Amadou Racine Ndiaye, père de Bira Kane Ndiaye», se souvient Ndèye Fatou Tounkara. Au passage, rappelons que Bira Kane Ndiaye, directeur de cabinet de Khalifa Sall à la mairie de Dakar, est emprisonné à Rebeuss en compagnie de Bamba Fall et d’autres militants socialistes aux termes du procès relatif aux violences survenues à la Maison du Ps en mars 2016. «Ensuite, le parti a démultiplié les coordinations. C’est là que Khalifa a été placé dans la 10ème coordination et nous avons dirigé le mouvement régional de Dakar avant d’arriver au mouvement national de Dakar qui était dirigé par Ciré Diallo. Atteint par la limite d’âge, il devait quitter ce poste. Khalifa qui était son adjoint l’a remplacé. C’est ainsi qu’il est devenu patron des jeunesses socialistes alors que Nafi Ndiogou de Kaffrine passait présidente des jeunesses féminines», rappelle Ndèye Fatou Tounkara. Plus jeune député en 1983, titulaire de deux maîtrises, il gravit très vite les échelons Malgré son engagement politique, Khalifa Ababacar Sall ne rate jamais l’occasion de suivre avec rigueur ses études. Après un baccalauréat obtenu au lycée Blaise Diagne, il décroche à l’Université de Dakar une maîtrise en Histoire suivie d’une autre en Droitreste pas longtemps à ce poste. La politique le happe littéralement. Ainsi, à la faveur des élections législatives de 1983, il devient le plus jeune député à l’Assemblée nationale avant d’être réélu en 1988 et en 1993. C’est cette même année qu’il est nommé ministre délégué chargé des Relations avec les assemblées. «Rien ne l’empêchait d’occuper les plus hauts postes dans l’appareil gouvernemental», explique Moussa Ndiaye, militant socialiste depuis 1960. «S’il est vrai que dans le parti il y avait d’autres jeunes engagés, il est aussi vrai que Khalifa Sall restait un exemple à tous les niveaux. Donc sa percée ne surprenait personne, même si cela faisait des jaloux.» Selon ce pro-Tanor Dieng convaincu, «il ne faut pas descendre Khalifa Sall en flammes car il a tout donné au parti. Il ne connaît que le Ps et a réglé beaucoup de situations pour Ousmane Tanor Dieng qui est normalement son grand-frère. Malheureusement, il y a des gens mauvais qui ont poussé Tanor Dieng à être contre une personne digne et d’une grande vertu.» Pour le vieux Pape Ibrahima Ndiaye, en effet, «dans le parti, il n’y a pas plus militant et plus méritant que Khalifa Sall. Si on veut le liquider présentement, c’est parce que Tanor ne peut plus tourner le dos à Macky Sall, il est obligé de trahir son jeune frère avec la complicité de personnes mal intentionnées qui sont jaloux.»

Les confidences de Senghor et Diouf

Successivement premiers secrétaires généraux du Parti socialiste, Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf ont très vite décelé les qualités de ce jeune devenu militant seulement à douze ans. D’ailleurs, soutient Pape Moussa Ndiaye, «je me rappelle que lors du Congrès de 1976, le Président Senghor avait fait la confidence suivante : il était persuadé que le jeune lougatois, au rythme où il évoluait, deviendrait un jour secrétaire général du Ps.» Poursuivant, il dit : «Cela a été le cas avec le Président Diouf. Lorsqu’il partait en 2000, il avait rencontré quelques responsables en leur disant de bien veiller sur Khalifa Sall qui est un exemple de loyauté à tous les niveaux.» Cependant, il s’étonne de ne pas comprendre aujourd’hui que Diouf ne fasse pas l’effort de soutenir Khalifa Sall en parlant à Tanor Dieng et au Président Macky Sall. Au-delà de ces témoignages faits par de purs socialistes, Khalifa Sall est également perçu comme un homme d’une grande probité morale doublé d’un homme pieux. «De ce que je connais de l’homme, il est d’une grande probité morale. En vérité, il n’est pas un tricheur et cela, le Président Diouf le rappelait toujours. Khalifa Sall, je l’ai vu grandir dans le parti et je ne me souviens pas l’avoir vu dans des complots. Malgré tout, il sait se battre et s’est toujours battu le moment venu. Je le connais pieux et il n’est pas l’homonyme de Serigne Babacar Sy par pur hasard», dit Pape Moussa Ndiaye. A l’en croire, ce n’est pas parce qu’il est proche d’Ousmane Tanor Dieng qu’il se permettra de raconter des contre-vérités. «Cela me fait mal d’entendre certains discours provenant de quelques responsables. Je suis plus proche de la mort, et je le dis et le répète, Khalifa Sall est un homme bon, généreux et très pieux. Je ne le connais pas voleur et il ne peut pas être un voleur.»

«Cet homme ne peut pas être un voleur»

Un avis partagé par Pape Ibrahima Ndiaye qui indique que le maire de Dakar est une référence au Parti socialiste puisque s’il le voulait, il aurait rejoint le chef du Pds qui lui avait promis monts et merveilles. «Il est arrivé un moment où Wade lui avait promis un haut poste de responsabilités. Mais il avait refusé en lui disait qu’il mourrait au Ps.» Prenant la balle au rebond, Moussa Taye, membre du staff politique de l’édile de Dakar de clamer : «Au plan social et humain, il est un modeste, très humble et très croyant. C’est un homme de grande foi. Il a la capacité d’écoute et de dépassement. Il est très habile en politique. Il sait résister car, il sait que pour durer il faut endurer. Je ne connais d’homme aussi bon.» Un argument défendu par Mme Tounkara qui a tenu à rappeler avec insistance certains épisodes de la vie de M. Sall. «Il a vécu beaucoup d’injustices dans le parti, mais personne ne l’a jamais entendu crier. C’est parce qu’il est un homme pieux et qu’il sait pardonner. Il est droit et n’a jamais voulu le moindre franc. Dans les différentesinstances du parti où il a occupé des postes, il disait toujours qu’il ne va pas toucher à l’argent parce qu’un trésorier a son rôle à jouer dans la gestion. C’est dire que cet homme est accusé à tort parce qu’il n’est et ne peut pas être un voleur.» De son côté, Babacar Thioye Bâ, compagnon du maire Khalifa Sall, se veut clair lorsqu’il affirme : «C’est un homme d’une courtoisie exemplaire et d’une grande ouverture d’esprit. Il est très pieux et est d’un grand caractère. Aujourd’hui, il est hallucinant qu’on l’accuse de détournements de deniers publics. Ceux qui le connaissent bien ne défendront jamais la thèse du détournement qu’il aurait commis. C’est un exemple de vertu et de transparence. Il a été le premier à avoir fait sa déclaration de patrimoine. L’engagement et la personnalité fusionnent dans une seule et même identité.»

«Tu iras loin. Ne prends jamais ce qui ne t’appartient pas»

Dans son parcours politique et par rapport aux postes de responsabilités qu’il a occupés, Khalifa Ababacar Sall a également eu la chance de rencontrer de grands guides religieux de toutes les confréries du Sénégal. C’est ce que révèle Pape Ibrahima Ndiaye. «J’ai eu la chance d’avoir été de plusieurs délégations du Ps qui ont effectué des déplacements à Touba, Tivaouane et dans plusieurs autres capitales religieuses du pays. Je me rappelle une fois vers les années 1984 et 1985, Serigne Abdou Lahat Mbacké lui avait dit devant le Président Diouf que “tu iras loin. Ne prends jamais ce qui ne t’appartient pas car, je sais que tu es un jeune pieux et bon. Même Diouf me l’a dit.” Ce n’est pas tout puisque ce même témoignage a aussi été fait à Tivaouane par Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh et Serigne Mansour Sy, révèle encore le doyen Ndiaye. «Et même si vous allez chez les Layènnes, vous verrez que Khalifa Sall est un fils de cette communauté. C’est parce qu’il est un homme bon qu’il est respecté partout et par tout le monde.» Pour nos interlocuteurs, ce sont là autant de raisons qui font qu’«il faut impérativement comprendre la prise de position deSerigne Moustapha Sy, guide des Moustarchidines car, il sait que le maire Khalifa Sall fait face à une véritable cabale politique.»

Le dernier assaut du Président Wade

Devenu maire en 2009 sous la bannière de la coalition Bennoo Siggil Senegaal, Khalifa Sall devient ipso facto l’homme «le plus important» de Dakar. Et pour cause, premier magistrat de la capitale, le socialiste est alors très fréquenté pour ne dire hyper sollicité à tous les niveaux de l’activité sociale et politique. Président de la République, Abdoulaye Wade cherche des soutiens de taille et n’hésite pas à faire transhumer des hommes politiques. Ce qui le pousse à courtiser le maire de Dakar en lui faisant des propositions alléchantes. «Je sais beaucoup de choses sur cette histoire. D’ailleurs, Aminata Mbengue Ndiaye a fait face à cette “drague” politique de Wade. Je veux vous rappeler que le Président Wade a cherché plusieurs fois à rencontrer Khalifa Sall. Avant même qu’il ne soit maire. Il lui a fait plusieurs propositions que ce dernier a déclinées», révèle Pape Moussa Ndiaye. «Quand Khalifa Sall est devenu maire, Wade a accéléré la demande, mais lui a choisi de garder sa dignité et son identité de pur socialiste. S’il était intéressé par l’argent, il aurait quitté le parti sachant qu’il en gagnerait beaucoup en étant dans le pouvoir.» Puis, il ne put s’empêcher de lâcher cette autre confidence : «J’ignore les tenants et les aboutissants de la démarche de Me Wade, mais j’ai une fois entendu Tanor Dieng dire que Khalifa Sall est un homme digne et vertueux au regard de ce qu’il lui était proposé», soutient Ibrahima Ndiaye.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn/Nouvel Hebdo)

Al Amine : «Le pays risque de tomber dans la guerre civile»

 Serigne Abdou Aziz Sy, qui recevait une délégation du Roi du Maroc,  a livré le dernier message de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy. Al Amine rapporte que le défunt khalife a vu venir le chaos, si on n’y prend pas garde.

« Ce que je vois venir si on ne l’arrête pas, le Sénégal sera en guerre civile. Et de s’offusquer du comportement des politiques « qui s’alimentent de querelles et d’invectives ».

« Si ce que nous redoutons tant survient, le pays sera sens dessus-dessous. Il n’y aura plus de pouvoir encore moins de partis politiques. Les gens s’entretueront », rembobine-t-il. Toutefois, Al Amine reste convaincu qu’une telle situation peut être évitée au Sénégal à condition que tout le monde soit uni. « Cette question doit être réglée dans les règles de l’art », dit-il avant d’inviter les politiques à s’inspirer « du noble héritage légué par nos anciens hommes politiques de la trempe de Blaise Diagne, Galandou, Diouf, Lamine Guèye…Des modèles qui ont toujours privilégié le dialogue sur tout autre acte ». « Vous êtes tous des Sénégalais. Il faut mettre fin aux querelles et invectives », demande-t-il.

 

Mercato – Barcelone : Le Barça prêt à mettre 30M€ pour le «nouveau Neymar»?

Le FC Barcelone serait sur le point de faire de Vinicius Junior sa grande priorité. Le Barça pourrait ne pas hésiter à casser sa tirelire pour l’enrôler au plus vite.

Le FC Barcelone prépare déjà l’avenir. Le club catalan serait sur la piste de Vinicius Junior. Âgé seulement de 16 ans, l’attaquant de Flamengo est déjà considéré comme le « nouveau Neymar ».  Dans des propos rapportés par Goal, le jeune brésilien avait répondu à l’intérêt du Barça. « C’est un honneur pour moi mais ce n’est rien de nouveau puisque je le savais déjà. Ils m’observent depuis que j’ai joué le championnat des moins de 15 ans il y a deux ans. Je reste tranquille, l’intérêt a augmenté c’est vrai ».

Une clause libératoire à 30M€ ?

D’après le média espagnol AS, le joueur, sous contrat jusqu’en juin 2019, aurait une clause libératoire fixée à 30M€. Une information qui ne freinerait pas du tout les ardeurs du club catalan. André Curry, l’un des recruteurs du Barça, aurait demandé à la direction catalane de placer le dossier Vinicius Junior au top de la liste en vue d’un recrutement à sa majorité. Pour convaincre la pépite brésilienne de rejoindre l’écurie blaugrana, Neymar aurait même envoyé un message à son jeune compatriote.

Le Bayern y fonce tout droit

Le Bayern Munich compte 26 titres de champion d’Allemagne. Très bientôt, ça fera 27. Les Munichois ont été bousculés par une équipe de Mönchengladbach intéressante, assez loin de sa 10e place en Bundesliga et des 30 unités d’écart avec les hommes de Carlo Ancelotti. Mais ces derniers, inlassablement, ont empoché les trois points, 1-0 grâce à un but de Thomas Müller à la 63e minute. Au lendemain de la deuxième défaite d’affilée de Leipzig, dauphin surprise du Bayern, ce sont 13 points d’avance que comptent les Bavarois à neuf journées de la fin.

BARCELONE S’IMPOSE DIFFICILEMENT FACE À VALENCE

Barcelone s’est imposé face à Valence au terme d’un match riche en buts (4-2). Les Valenciens ont été les premiers à se mettre en évidence dans la partie, (29e) grâce à Eliaquim Mangala qui ajustait une tête sur un corner de de Daniel Parejo. Luis Suarez réagissait d’une frappe du pied droit sur un service de Neymar (35e). Messi permettait aux Barcelonais de se mettre un peu plus à l’abri en transformant un penalty (45e).  Mais Munir El haddadi l’imitait une minute plus tard (45+1) en trompant d’une frappe du pied gauche Ter Stegen et permettait à Valence de se relancer. Lionel Messi marquait le troisième but du match sur un service de Mascherano sur corner. L’attaquant argentin prenait ensuite le meilleur sur Alves d’une frappe puissante. André Gomes scellait la victoire des Catalans (89e) sur un service de Neymar. Les Barcelonais sont deuxièmes au classement et reviennent à deux points du Real, leader. Les Valenciens perdent une place et se retrouvent quatorzièmes.

Résultats de la 28e journée :
Vendredi
Las Palmas – Villarreal 1-0

Samedi
Eibar – Espanyol 1-1
Athletic Bilbao – Real Madrid 1-2
Betis – Osasuna 2-0

Dimanche
Leganés – Malaga 0-0
Atlético Madrid – FC Séville 3-1
La Corogne – Celta Vigo 0-1
Gijon – Grenade 1-3
Barcelone – Valence 4-2

Man Utd : la prolongation d'Ibrahimovic déjà bouclée ?

Arrivé l’été dernier en provenance du PSG, devrait bel et bien prolonger le plaisir du côté d’Old Trafford. L’attaquant suédois va probablement rempiler avec les Red Devils.
D’après le média scandinave Expressen, le buteur du club mancunien aurait déjà donné son accord pour un nouveau bail jusqu’en juin 2018, et ce malgré des offres très intéressantes venues des Etats-Unis, de Chine et du Moyen-Orient. José Mourinho compte en effet sur l’expérience de l’ancien Parisien pour aider à reconquérir le titre de champion d’Angleterre en 2017-18.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention