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PR PENDA MBOW, REPRÉSENTANTE DU CHEF DE L’ÉTAT À LA FRANCOPHONIE «Les risques que nous encourons en perdant notre laïcité…»

La Professeure Penda Mbow en- courage les Sénégalais à protéger la laïcité de leur pays, estimant qu’ils auraient plus à perdre au cas où elle disparaîtrait.

Intervenant au cours d’un panel organisé, à la Maison de la culture Douta Seck, par «Présence chrétienne» à l’occasion de la commémoration du 25ème anni- versaire du passage au Sénégal du défunt Saint Pape Jean Paul II, la Professeure Penda Mbow, historienne, a appelé les Sénégalais «à veiller» sur la laïcité au Sénégal. «Parce que le jour où on la perdra, on n’aura plus cet espace neutre où chrétiens, musulmans, non croyants pourront se retrouver pour bâtir ce Sénégal». Estimant que ce n’est vraiment pas le moment de flancher, elle appelle au renforcement de tous ces acquis «si nous voulons continuer à être un exemple pour le reste du monde, pour en tous cas ce qui est de cette volonté de vivre ensemble». D’ailleurs, l’historienne qui informe que le Sénégal a une «responsabilité à jouer par rapport à ce qui se passe dans le monde», exhorte les populations à continuer de «mener la réflexion». Car «c’est cette laïcité que nous vivons qui a permis, par exemple, la cohabitation entre les différentes religions (…) dans la construction de la nation et d’une véritable citoyenneté par rapport à la question de l’égalité, de la justice, mais aussi de la démocratie et l’organisation de cette démocratie dans un cadre de paix». Prévenant que «nous ne pouvons pas bâtir la citoyenneté si nous ne sommes pas vraiment prêts à nous battre pour défendre la justice, sociale, la justice tout court mais aussi nos intuitions», Mme Mbow encourage «Présence chrétienne» à persévérer dans ce travail qu’elle fait depuis 25 ans. L’historienne qui a revisité les coins chauds de notre planète, enseigne qu’au Sénégal, «si nous voulons juguler par exemple toute velléité liée au Jihadisme, à l’incompréhension, au racisme, tousles maux que nous évoquons, il faudrait absolument mettre l’accent sur l’éducation». «Malheureusement, aujourd’hui, notre école a besoin d’une société qui se mobilise pour la porter». Puisqu’«aucune école ne peut prospérer si elle n’est pas portée par desforcessociales, aucune université ne peut avancer si elle-même n’est pas portée par des forces sociales». Mme Penda Mbow qui salue le fait que c’est sur le milieu de l’éducation que l’église du Sénégal s’est le plusillustrée au cours de l’histoire du Sénégal, enseigne que la lutte contre l’incompréhension doit être précédée d’une école performante.

SÉNÉGAL – GAMBIE : UNE NOUVELLE ÈRE

C’est une nouvelle ère qui s’ouvre non seulement en Gambie, mais entre ce pays et le Sénégal. Les discours tenus samedi à l’occasion de la célé- bration de la fête de l’indépendance gambienne par les présidents Barrow et Sall ont mis en évidence la nécessité de travailler à faire en sorte que les difficultés d’avant ne soient plus que de mauvais souvenirs. Des questions précises n’ont évidemment pas été prises en compte de façon spé- cifique dans les discours publics, mais à travers ses mots, Barrow donne les gages d’une politique gambienne qui va se préoccuper du bon voisinage avec le Sénégal. Et cela passe par la question sécuritaire dans la partie Sud du pays. Parce que la stabilité entre le Sénégal et la Gambie est un élément de stabilité au niveau de toute la sous-région. L’érection programmée du pont de Farafégné est, si besoin en était, une preuve de bonne foi de la Gambie qui s’est débarrassée du dictateur Jammeh et qui s’engage dans une nouvelle ère de respect mutuel et de confiance.

OMAR SARR, SECRÉTAIRE NATIONAL ADJOINT DU PDS «Il est clair que Karim Wade va revenir»

Dans le cadre d’une tournée nationale que le Parti démocratique Sénégalais est en train d’entreprendre au niveau du pays, le bureau exécutif du parti conduit par le secrétaire national adjoint, Omar Sarr, a séjourné ce dimanche à Diourbel, pour faire la revue des troupes.

TALLA SYLLA PRÉSENTE SON PLAN DE DÉVELOPPEMENT DE LA VILLE (PDV)

Le Pdv remplace les chantiers deThiès

La Maire deThiès a présenté ce weekend le Plan de développement de la ville (Pdv). Le projet estimé à plus de 78 milliards Cfa, a pour objectif de faire émerger la capitale du rail. Et selon le maireTalla Sylla, son Plan de développement de la ville vient remplacer les chantiers deThiès d’Idrissa Seck. La guerre totale ?

PRÉSENTATION DE L’ALBUM DANAYA – Thaïs Diarra fait honneur aux dames

Postulant que lorsque les femmes s’élèvent, c’est toute la nation qui s’élève avec elles, Thaïs Diarra, qui est originaire de la Suisse, du Mali et du Sénégal a dédié son dernier album, «Danaya», à la condition féminine. Elle est présentement au pays de la téranga dans le cadre d’une tournée promotionnelle sur fond de voyage initiatique vers ses racines.

AU CHEVET DE SA VILLE RUFISQUE – Jazaka offre des bourses et donne 1 million pour la réfection du lycée Abdoulaye Sadji

En plus des dons au lycéeAbdoulaye Sadji,sur le plan sportif, Mame Gor a offert des lots de ballons de baskets et a fait revenir la lumière au terrain de Hand-ball qui n’en avait plus. Des actes dont il ne se glorifie pas. Pour lui, le social doit primer pour celui qui en a les moyens : «La solidarité est un impératif. On doit s’aimer et s’entraider les uns, les autres.». Le choix porté pour la jeunesse de sa localité n’est pas fortuit : «La jeunesse est l’avenir de demain. J’ai foi en elle. L’édu- cation est le premier socle du développe- ment», dit-il. Devant plus de 10 mille personnes, Mame Gor a plaidé la cause de son terroir, qui n’a ni député, ni ministre, ni aucune autorité dans l’attelage gouvernemental. Pourlui, «c’est déplorable et injuste. Rufisque est une grande ville, on ne doit pas être des laissés pour compte dans les instances de décision». Et de faire un appel au Président Sall en lui rappelant l’affection que les Rufisquois ont pour lui : «Je demande au Président de ne pasléser la population. Si ma mémoire est bonne, à chaque élection depuis son accession à la magistrature suprême,MackySall a toujours obtenu le suffrage desRufisquois».D’après lui,il esttemps qu’illeurrenvoie l’ascenseur. Porte-voix de ses pairs,le chanteur demande au Président de faire figurer le projet Dakar-Gate dans le Pse. Et d’expliquer : «Le maire a un financement de 168 milliards pourla ville deRufisque.Le projets’appelle Dakar-Gate. Ce projet consiste à lutter contre l’avancée de la mer en construisant des immeubles près de la mer. Et fera de notre ville, un hub qui attirera lesinvestisseurs, les touristes, en plus de créer des emplois».Les populationsspéculent quant à son non-inclusion dansle Pse du fait que le maire est un libéral (Pds) ; mais Jazaka relativise : «Je demande solennellement au Président, en tant qu’artiste, citoyen et natif deRufisque, de dépasser ces clivages politiques si tel est le cas. Un problème d’obédience politique ne devrait pas bloquer un projet de cette envergure»,selon l’artiste. S’il signe le projet, Dakar-Gate fera partie de son bilan et les Rufisquoislui en seront reconnaissants. Par ailleurs, l’initiateur de «référence challenge» croit savoir que les Rufisquois refusent que leur ville soit la banlieue de Diamniadio avec ses infrastructures et l’autoroute à péage qui les encerclent. «Dakar-Saint-Louis-RufisqueGorée étant les premières communes du Sénégal, nous n’accepterons pas d’être une ville morte», prévient-il.

MACKY SALL ET ADAMA BARROW POUR DE NOUVELLES RELATIONS

La construction du pont de la Sénégambie sera leur premier point de convergence

Le point d’achoppement des échanges heurtés entre Yayah Jammeh et le Sénégal connaît un début de solution. Le Président nouvellement élu Adama Barrow a promis d’entamer ses échanges bilatéraux avec le Sé- négal par la question de l’édification du pont de la Sé- négambie et la mise en place d’un secrétariat général en charge de la gestion des frontières.

AIDA MBODJ PARLE AUX RESPONSABLES DU PDS : «Je ne me laisse pas conduire à l’abattoir

Bambey aura vécu un dimanche chaud. Le Pds a lavé son linge, sans prendre de gants. Aïda Mbodj qui recevait la délégation conduite par Oumar Sarr n’y est point allée avec le dos de la cuillère. Pour la responsable libérale, il était question de tomber des masques. Celui d’Oumar Sarr n’aura pas résisté longtemps. D’un ton viril  et teinté de colère, Aïda Mbodj a accusé certains leaders de son parti de chercher à créer une pomme de discorde entre elle et la famille Wade. «Il y a des gens qui cherchent à Karim Wade des ennemis, des adversaires virtuels. Ceux qui utilisent Karim Wade pour me combattre, perdent leur temps.»

Aïda Mbodj dira assumer sa décision d’effectuer une tournée nationale sous la bannière de son mouvement sans requérir, en amont, l’aval de son Secrétaire Général, Oumar Sarr, en l’occurrence. «J’ai pris l’engagement personnel, sans ton aval, de dérouler une tournée nationale.  J’en ai parlé avec Wade et c’est lui qui m’a autorisé de faire cette tournée pour mettre terme à la léthargie qui gangrénait le Pds. Je lui demandé de m’envoyer un mail qui me servirait de preuve au cas où des gens chercheraient à créer des distorsions entre lui et moi. Mon mouvement, je l’ai lancé en 2014 avec la bénédiction de mon leader Me Abdoulaye Wade.» Un clin d’œil à Abdou Aziz Diop : « Abdou Aziz Diop, merci de dire à ton Mbidou qui passe son temps à m’insulter que je ne veux pas le poste d’Oumar Sarr.»

Sous les ovations d’un public acquis à sa cause, Aïda Mbodj déroule son exposé. « A l’Assemblée Nationale, nous étions considérés comme des pestiférés, comme des voleurs et des députés ont décidé, pour s’éloigner de nous, d’être des non-inscrits. Pourtant, nous avons tenu bon. Lorsque nous sommes allés en Assemblée, j’ai vu beaucoup de membres de la Génération du Concret. J’ai demandé et ils m’ont dit qu’ils n’ont jamais appartenu au Pds. Par conséquent, je mérite respect et considération.»

Revenant sur ce sentiment qu’elle a, d’avoir été écartée par ses hôtes et d’être combattue à longueur de journée, la secrétaire générale de la fédération libérale de Bambey s’estimera désolée de n’avoir pas été coptée pour figurer sur la liste des responsables membres de la délégation chargée de faire la tournée nationale. « Ton poste de SG ne me dérange pas. J’ai décidé de poser un acte politique en réponse à cette liste qui aurait été faite par le Président Wade pour dérouler cette tournée. J’en ai parlé à Karim. L’acte politique, c’est de m’avoir isolée du dispositif.»

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