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KANI BÈYE RÉCLAME L’AUDIT DES PROCHES DE MACKY «Il faut auditer Aminata Tall, Mbaye Ndiaye, Khassimou Wone ou Pape Mael Diop»

Mamadou Kani Bèye réclame l’audit de proches de Macky Sall. Le maire de Ndoulo qui s’est confié à nos confrères de Baolinfo estime que pour prouver à l’opinion que la convocation de Khalifa ne vise pas à le liquider politiquement, il faut auditer Mme Aminata Tall, Mbaye Ndiaye, Khassimou Wone ou encore Pape Maël Diop.

Mamadou Kani Bèye est favorable au contrôle de la gestion de tout le monde dont des proches de Macky Sall. Pour prouver à l’opinion que la convocation de Khalifa Sall n’a rien d’une liquidation politique d’un ad- versaire gênant, confie le maire de Ndoulo à Baolinfo, «le Pré- sident Macky Sall doit aller jusqu’au bout en faisant auditer les gestions de ses proches. Mamadou Kany Bèye, qui est membre du Bureau politique du Ps insiste pour que les di- gnitaires de l’Apr et les alliés du Président Macky Sall soient audités au même tire que Kha- lifa Sall. Pour Mamadou Kany Bèye, le régime de Macky Sall ne doit pas limiter les audits aux op- posants mais doit l’étendre à tous ceux qui gèrent ou ont eu à gérer l’argent du contribuable. Sur l’affaire de la Caisse d’avance, le maire déclare : «les Sénégalais ne sont pas dupes ; personnellement, je suis pour la reddition des comptes. Il est normal que tous ceux qui gèrent l’argent public rendent des comptes. Mais je ne peux pas être d’accord sur le fait que seuls des membres de l’opposition soient traduits devant les juridictions pour répondre de leurs gestions», insiste t-il. Pour le responsable socialiste de la coordination régionale de Diourbel, il y a d’autres qui doivent répondre de leur gestion. Mamadou Kani Bèye de préciser qu’il existe «une longue liste de personnalités qui doivent eux aussi répondre devant la justice». Le maire d’ajouter : «Si Macky Sall veut rester fidèle à ce qu’il veut faire croire comme une sorte de principe, alors qu’il ne s’arrête pas juste à Khalifa Sall. Qu’il fasse aussi fouiller Mbaye Ndiaye,Aminata Tall, Pape Maël Diop, Khas- soum Wone, et tous les res- ponsables de son régime qui gèrent des deniers publics» Se- lon Kani Bèye, «s’arrêter au seul cas de Khalifa Sall équivaudrait pour Macky Sall à donner raison à la majorité des Sénégalais qui, comme moi, pensent qu’il s’agit d’une opé- ration de liquidation d’un ad- versaire trop gênant». Il ajoute : «aujourd’hui, Macky Sall n’a plus le droit de s’arrêter au seul cas de notre camarade Khalifa Sall. La transparence et la reddition des comptes, oui. Mais qu’on loge tout le monde à la même enseigne», tranche Bèye.

ME EL HADJI DIOUF «Le Procureur a violé le secret de l’instruction»

«Serigne Bassirou Guèye a violé le secret de l’instruction en faisant sa sortie sur l’affaire Khalifa Sall. Il a également validé la violation du droit du maire de Dakar à qui on a refusé la présence de son avocat lors de son audition. Donc ce procès- verbal qui a été fuité et qui lui a servi de do- cument pour faire sa sortie est nul. Tout est affabulation et c’est une tentative de diaboli- sation. Si des coupables il y en a, il faut arrêter le Daf et le percepteur qui ont commis le faux et ont magouillé. Lorsqu’une commande est faite à la Présidence ou dans un ministère, ce n’est pas au ministre ou au Président de la République qu’on demande des comptes, mais à leur Dage. Niasse a 50 millions par mois, Tanor en 500 millions par an, Aminata et même Moustapha Diakhaté qui n’est qu’un président de groupe parlementaire en 5 millions alors qu’ils ne sont sollicités par aucune po- pulation. Khalifa Sall, lui, est sollicité par les populations dakaroises et on l’accuse d’avoir détourné l’argent. Sur les menaces à l’endroit des populations, que Serigne Bassirou Guèye règle d’abord la crise interne dans la magis- trature au lieu de menacer. Quand l’Exécutif gère la carrière des magistrats, c’est le désordre dans la justice. Le Procureur doit respecter les populations qui le paient et qui le font vivre».

ZAHRA IYANETHIAM DIOP, SUR LES ACCUSATIONS DE FRAUDES «Que l’opposition cesse de nous servir du réchauffé»

Abordant les querelles intestines dans sa formation politique, Zahra Iyane Thiam Diop qui a fusionné son parti dans l’Apr, estime que chaque Sénégalais a le droit d’avoir une ambition. Sur l’affaire Khalifa Sall et Cie, elle est convaincue que ce n’est pas un acharnement. Cette responsable est aussi d’avis que les accusations de fraude de l’opposition sont passées de mode.

SANTE DU BETAIL A DIOURBEL – Objectif, plus de 170.000 bêtes à vacciner

Selon le Dr El HadjiYade, chef de service régional de l’élevage de Diourbel, plus de 240.000 vaccins contre les différentes maladies prioritaires sont disponibles. Objectif : vacciner plus de 170.000 bêtes contre les maladies ravageuses.

5 ANS APRES L’INCENDIE DE LA MEDINA – Les talibés toujours exposés

Le 3 mars 2013, 9 talibés périssaient de façon atroce dans un incendie qui avait ravagé la chambrette qui leur servait de dortoir. Une tragédie qui avait émue la nation, et toute la République qui s’était déplacée sur les lieux avec le chef de l’Etat en tête. En cette douloureuse circonstance, Macky Sall avait promis des mesures pour mettre un terme à la mendicité des enfants. Cinq ans après ce drame, les belles résolutions dorment dans les tiroirs et les enfants plus que jamais exposés.

3% DES TERRES ARABLES DU SÉNÉGAL ATTRIBUÉS À DES ÉTRANGERS ? Pas de preuve

Au Sénégal, les acquisitions de terres à grande échelle concernent 270.908 hectares, entre les mains d’entités privées et d’individus, a récemment indiqué un observatoire spécialisé dans le monitoring des acquisitions foncières. Pour le moment, il n’y a pas de preuve de cette affirmation.

COURSE POURSUITE MORTELLE – Le rabatteur et le policier placés en garde-à-vue

L’accident qui a fait deux morts et plongé le conducteur du véhicule dans un coma profond, continue de faire couler beaucoup de salive. Le rabatteur et le policier ont été arrêtés.

Les deux rabatteurs, Fallou Ndiaye et Maguette Thiam, et le policier Ma- madou Lamine Kane, sont en garde-à-vue à la gendarmerie de Tivaouane. Ils sont accusés d’être à la base de l’accident qui s’est produit jeudi matin, entre 7h 30mn et 8h 30 mn, sur la route de Tivaouane. Bilan : deux personnes ont perdu la vie sur le coup. Et le chauffeur, Adama Sylla, gravement blessé et dans le coma. C’est suite à une course poursuite avec les limiers que le véhicule a dérapé avant de heurter violemment un arbre. Les deux passagers, Pape Fall, employé à la Gco, et Moussa Diallo, maçon de profession résidant au quartier Fogny de Tivaouane, ont succombé sur le coup. D’après Cheikh Diop, un ami du chauffeur qui condui- sait le taxi immatriculé TH7527B qui a heurté l’arbre, «ce qui est arrivé à mon ami est vraiment regrettable. C’était un policier qui le pourchassait». Avant d’ajouter que le policier qui pourchassait son ami a été aidé par les rabatteurs du garage qui lui ont suggéré de poursui- vre leur ami. Et de se demander : «comment est-ce que celui qui est chargé de nous protéger peut-il se comporter de cette façon ? Le véhicule de mon ami a violemment heurté un arbre causant ainsi la mort de trois personnes. C’est vraiment désolant de la part d’un mem- bre des forces de l’ordre». A l’en croire, «c’est ce calvaire que les chauffeurs vivent avec les policiers de Tivaouane et de Thiès». Pis, informe-t-il, «le policier était hors des li- mites de sa commune. Reve- nant sur le problème du ma- raudage, M. Diop souligne : «Nous sommes des jeunes sans emploi. Nos revenus provien- nent de nos véhicules. Et ils sont conformes au règlement, contrairement à d’autres qui sont souvent sans visite tech- nique fiable. Rien que pour cela, on doit pouvoir nous to- lérer». Ce énième accident de la cir- culation repose la lancinante question du maraudage. Le phénomène demeure encore une vieille épine que les auto- rités doivent retirer du secteur du transport

  JUSTICE  AFFAIRES PUBLIQUES – Le Procureur de la République se redresse et se dresse

 

            Il le fallait bien. La Justice du Sénégal s’est retrouvée dans la rue. Pulvérisée selon qu’on est d’un camp ou d’un autre et violemment attaquée, l’appareil judiciaire qui a toujours été un mythe et une Institution est sous le risque d’une désacralisation. Des sorties au vitriol remettent en cause sa dimension institutionnelle de régulateur et de veille de l’application des Lois et règlements. Le Procureur de la République se sent alors directement interpellé. Il s’est non seulement donné le devoir d’informer l’opinion publique, de clarifier les dossiers, d’endiguer tout amalgame mais aussi de faire taire les dérapages libertaires et désinvoltes.

            Le Sénégal a, à la fois  l’atout et le drame d’être est une société orale. La parole et toujours la parole. La culture est démesurément orale. Cette oralité est un signe identitaire et elle est  la seule arme de ceux qui sont pris la main dans le sac, de ceux qui échouent et de ceux qui cherchent à se draper de manteau de victimes ou de proie d’un adversaire. Ainsi, devant toute affaire judiciaire qui implique un responsable politique, la classe politique volubile   se donne, au nom de la liberté d’expression et d’opinion le droit de tout dire.

            Endiguer les dérapages

            Depuis un certain moment, devant les affaires pendantes devant la Justice et sur la personnalité institutionnelle du Procureur de la République, que n’ont, par exemple, dit de désobligeant les Barthélémy Diaz, Me Amadou Sall, Me EL Hadji Diouf, entre autres ! D’autres, pratiquement tous responsables politiques ou militants de partis comme des guides religieux, sont intervenus maladroitement sur ces affaires judicaires.

            La violence des propos,  la surabondance de calomnie, la grossièreté des commentaires et la brutalité des répliques ont naturellement, tout naturellement, mis le Procureur de la République dans tous ses états. Il se redresse et constate : « on injure, on calomnie, on diffame ; je dois dire aux uns et aux autres, que ça cesse ! ».  Et le cœur meurtri et la mort dans l’âme, il se dresse en bouclier : «  je ne vais plus permettre à qui que ce soit, de quelque bord qu’il puisse se situer, de continuer à invectiver les magistrats, d’atteindre à leur honorabilité et de jeter le discrédit sur la Justice. C’est terminé ! »

            Certes ça doit cesser. Mais le Sénégal connait une révolution de l’information et de la communication ample, large et incontrôlable. Il ne sera pas facile de faire taire en raison de la délicatesse du système actuel de divulgation d’idées, d’opinions, de vérités et de contrevérités.

            Le Procureur de la République se dresse et se redresse contre les dérives. Il s’assume et assume. Il y va sa responsabilité car son autorité se déploie dans le sillage de l’ordre moral en vue du bien commun. En s’accommodant d’un ordre juridique légitimement établi, les citoyens, les avocats et les responsables politiques sont obligatoirement tenus à l’obéissance et au respect de l’Appareil judicaire. Mais le feront-ils ? que ferait le Procureur si la tornade du discrédit sur la Justice continue ? Voilà deux grandes questions.

PROCESSUS ÉLECTORAL

Le Comité de suivi des opérations sur la refonte partielle du fichier électoral a visité hier 23 commissions administratives dans la région de Dakar. Le comité a été scindé en 3 délégations. La première dirigée par le pré- sident de la Cena, Issa Sall était dans le département de Dakar. Djibril Gning de la société civile et Moustapha Ndiaye étaient dans la seconde délé- gation et ont fait un tour dans les dé- partements de Rufisque et Guédiawaye. Ousmane Faye, président de la commission inscription et enrôlera du comité et Ousmane Badiane étaient dans le département de Rufisque. Les visites qui ont commencé à 9 heures ont pris fin aux environs de 17 heures. Toutes les délégations étaient munies d’une trentaine de questions qui ont été posées aux chefs des centres d’inscription et aux citoyens trouvés sur place, pour s’enquérir de l’état des lieux sur les inscriptions.

AMADOU SY MBENGUE

Le maire de Tivaouane Amadou Diagne Sy Mbengue qui était à la maison des hôtes du complexe Seydi el hadji Malick Sy est largement revenu sur la visite du Président Barrow. Laquelle visite témoigne à suffisance du rôle ô combien important joué par la diplomatie sénégalaise. Selon lui, «C’est le lieu, pour tous les Sénégalais, de rendre grâce à Dieu qui a fait que les relations entre la Gambie et le Sé- négal sont en train de s’huiler à merveille. Tout le monde avait un pincement de cœur à chaque fois qu’il y avait des frictions entre ces deux pays qui, en réalité, ne font qu’un. A travers cette visite, le Président Adama Barrow a voulu rendre un hommage au Sé- négal mais également remercier le peuple sénégalais et surtout au Chef de l’Etat, affirme-t-il

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