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Abdou Diouf et Youssou Ndour

Le choix du prochain récipiendaire du prix Macky Sall pour le dialogue en Afrique se poursuit en toute discrétion. D’ailleurs, l’ancien président Abdou Diouf et la star planétaire de la musique Youssou Ndour ont été désignés membres du Comité d’honneur du Prix. A cet effet, le logo du Prix Macky Sall pour le Dialogue en Afrique leur a été présenté hier. Ils font partie ainsi des 10 personnalités mondiales, membres du comité d’honneur du Prix Macky Sall pour le Dialogue en Afrique, institué par le CIRID et doté d’une enveloppe annuelle de cent mille euros. L’ancien patron de la Francophonie s’est félicité de son choix avant de saluer le choix du Président Macky Sall consacrant «le génie sénégalais qui a toujours conçu le Dialogue comme moyen de surmonter tous les obstacles». Le patron du Gfm a pour sa part, pris l’engagement de soutenir le CIRID pour une vulgarisation de cette distinction «faite à l’ensemble du peuple Sénégalais». La délégation de l’organisme international était composée de son président fondateur Deo Hakizimana, du représentant du CIRID en Afrique de l’ouest et du Centre, Maodo Malick Mbaye.

LES 3 ARMES QUI ONT PROPULSE LAC 2 AU SOMMET

FIN BAGARREUR, NGUIMB JUGE MYSTIQUE ET STRATEGIE DEFENSIVE

Il est vrai qu’il présente l’étoffe d’un grand champion, mais lac de Guiers 2 a été vite propulsé au sommet de la lutte grâce à trois aspects essentiels : ses capacités de bon bagarreur, son nguimb que les adversaires craignaient mystiquement de toucher et sa stratégie défensive.

Réputation de fin bagarreur

A ses débuts, Lac de Guiers 2 faisait  trop dans la bagarre. Il a réussi plusieurs de ses combats grâce à ses qualités de bagarreur. Contre Ness, Babacar Diallo, Mansour, Batika, etc. il avait fait montre d’un visage de bagarreur. Il était surtout plus dangereux avec ses uppercuts. Sunu Lamb avait à cet effet fini par le surnommer le Puncheur du Walo. Le staff technique de plusieurs de ses adversaires prévenait même ses protégés d’éviter d’encaisser ses coups dévastateurs. Un atout qui faisait qu’aucun lutteur ne souhaitait encaisser les coups du prochain adversaire de Modou Lô. C’est ainsi que certains fuyaient ses coups jusqu’à ce que le Puncheur du Walo trouve vite la brèche, les attaque et les dépose très rapidement au sol. Ce fut le cas avec son combat contre Zoss. Quand Lac 2 a marché sur le Show Man, celui-ci a reculé jusqu’à lui faciliter un KO fatal.

Nguimb mystiquement intouchable

L’autre fait qui, par le passé, a milité en faveur de Lac de Guiers 2, c’était le volet mystique. Pendant toute sa participation au Lhampionnat de lutte avec frappe (CLAF) de Gaston Mbengue, il se susurrait que le dernier vainqueur de Yékini était mystiquement dangereux. Pis, il était même interdit à ses vis-à-vis de toucher à un seul morceau de son nguimb. En effet, on faisait circuler l’information selon laquelle «quiconque touche au nguimb de Lac 2 sera mystérieusement brûlé». A l’époque, plusieurs athlètes qui l’ont affronté étaient tombés dans le piège. Ils n’osaient pas toucher un seul instant à son nguimb. Et comme il est difficile de battre un lutteur sans se saisir de son pagne, le Puncheur du Walo en profitait pour les vaincre sans difficultés. C’est pratiquement lors de son combat contre Tapha Guèye que les lutteurs ont commencé à avoir le courage de se saisir de l’enfant de Sédhiou par le nguimb. Le 2ème Tigre de Fass l’avait pris par le nguimb sans dégât. Avant que ce phénomène ne soit démythifié, Lac 2 n’en avait tiré que des dividendes.

Stratégie défensive

Aujourd’hui, Lac 2 est en mode stratégie défensive. Selon l’ancien lutteur Birahim Ndiaye, la stratégie défensive fait partie de la lutte. A l’en croire, en lutte il y a deux choses : l’attaque et la défense. Le patron de Sakku Xam Xam ne cesse de dire que le chef de file de l’écurie Walo a un atout de taille avec son style défensif. Après avoir fait la différence dans beaucoup de ses duels avec cette option stratégique défensive, Lac 2 faisait finalement peur à quiconque devait le croiser. Car il est très difficile de le vaincre s’il se met dans une posture défensive. C’est d’ailleurs ce qu’a compris Modou Lô en lui disant qu’il doit prendre ses responsabilités avec des initiatives. Ce qu’il faut remarquer, c’est que cette stratégie défensive toujours adoptée par l’enfant de Guédiawaye est devenue une sorte de psychose tactique pour ses adversaires. Et le natif de Fith Mith n’a pas envie de changer. Il a déclaré lors de leur dernier face-à-face à la 2stv qu’il va encore faire des calculs pour se tirer d’affaire. Cette situation défensive du poulain de Mouhamed Ali trouble gravement ses adversaires.

KHALIFA SALL POURSUIVI

C’est l’intéressé lui-même qui en donne les raisons. Khalifa Sall, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a expliqué que le président de la République a décidé d’auditer les fonds de la caisse de la ville de Dakar. Selon Khalifa Sall, des agents de la mairie, précisément de la DAF et de la perception, sont entendus au niveau de la DIC. Khalifa Sall de juger que c’est une situation particulière d’un domaine particulier d’une gestion de la caisse d’avances de la ville. Khalifa Sall de dire que ces fonds existent depuis Lamine Guèye sans vouloir aller dans le fond. Après recoupement, Dakaractu est en mesure de dire que Khalifa Sall est poursuivi pour avoir pris la somme de 30 millions Cfa chaque mois dans les caisses de la mairie. Des sommes prélevées chaque mois depuis des années vont lui valoir un face à face à risque avec les enquêteurs de la redoutable Division des investigations criminelles (Dic)

Affaire du maire de Dakar : Khalifa, un cas pas si Sall

Le maire de Dakar devait être totalement entendu par les éléments de la Division des investigations criminelles (Dic) dans l’affaire relative à la gestion du fonds de la caisse d’avance de sa municipalité. S’il est avancé l’hypothèse d’un dossier aux relents politiques, il est tout à fait normal que l’Inspection générale d’Etat (Ige) fouille partout et même au niveau de la ville de Dakar. Mais, il y a des coïncidences qui polluent l’atmosphère politique surtout à des moments où nombre de responsables de l’Alliance pour la République (Apr), épinglés dans leur gestion paraissent ne point être inquiétés. Au contraire…
L’Inspection générale d’Etat audite les fonds de la caisse de la ville de Dakar. Selon Khalifa Sall, des agents de la mairie, précisément de la DAF et de la perception, sont entendus au niveau de la Division des investigations criminelles (Dic). L’édile de la capitale de juger que c’est une situation particulière d’un domaine particulier portant sur la gestion de la caisse d’avances de la ville. Seulement, il est tout à fait normal que les corps de contrôle fouillent d’éventuels cafards au niveau de sa municipalité comme ils le font pour toute autre entité qui gère et utilisent les deniers publics. Toutefois, force est de constater que la coïncidence intrigue au point de se demander si cette affaire n’a pas une senteur politique trop forte.
Bartélemy Dias n’a pas encore fini de digérer la récente décision du tribunal correctionnel de Dakar dans l’affaire Ndiaga Diouf, Bamba Fall et Cie attendent d’être édifiés sur leur sort que le régime fonce sur le maire de Dakar. Ce qui est sûr, s’il n’a pas bien géré ces fonds, il devra rendre compte. Mais, il y a un problème persistant. Les gens du pouvoir peuvent clamer urbi et orbi que l’Ige fait son travail – ce qui est normal – mais les Sénégalais se posent plusieurs questions relatives à la gestion de nombre de dossiers. Et pour cause, l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), dans son dernier rapport, a bel et bien épinglé Cheikh Oumar Hann, directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud). Pas la peine de rappeler les faits puisqu’il s’agit de nébuleuses portant sur des centaines de millions. Au lieu d’être inquiété, c’est la personne épinglée qui a tancé l’organe de contrôle et soutenu par le régime. Que dire des autres dossiers du même genre ?
Mieux ou pire, El Hadj Seck Ndiaye Wade, l’ex-directeur national des Transports routiers, gravement mis en cause par le juge d’instruction du 1er cabinet au tribunal de grande instance de Louga dans le trafic de documents au Service des mines. Malgré tout, c’est par décret présidentiel n°2016-985 du 13 juillet 2016 qu’il a été nommé président du conseil d’administration du Fonds d’entretien routier autonome du Sénégal (FERA). Et le dernier rapport de l’agence de régulation des marchés publics (Armp) ? A vrai dire, dans ce Sénégal, la bonne gouvernance parait être un slogan politique et les adversaires politiques sont avertis. Un faux pas suffit pour être politiquement ‘’guillotiné’’.
Quoi qu’il en soit, l’édile de Dakar a été le premier à faire sa déclaration de patrimoine, rendue publique. Pourquoi et jusqu’à présent, tout le monde ignore le véritable patrimoine de certaines personnalités qui crient, clament et pestent qu’elles ont les mains propres ? Ce qui est sûr, que ce soit Khalifa Sall ou un autre, l’important est de sanctionner toute personne qui dilapide nos ressources. Et, ce sont des dossiers qu’il ne faut surtout pas mettre sous…les coudes.
Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

La Ligue islamique mondiale change de cap

TRIBUNE. L’Arabie saoudite s’est fait représenter à Beyrouth dans une rencontre interreligieuse par l’un de ses grands érudits. Un signal fort d’ouverture.

Pour un événement, c’est un événement que cette participation de l’ex-ministre saoudien de la Justice et secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, S. E. le Dr Mohammed bin Abdulkareem Al-Issa à une rencontre interreligieuse à Beyrouth, au Liban. Et il y a lieu de penser que la présence, tout inédite, de cet érudit notoire, membre de l’office des oulémas et de l’institution religieuse officielle du pays, augure d’une ouverture vers des reformes religieuses en Arabie saoudite.

Un fait exceptionnel salué par tous

À juste titre, toutes les confessions du Liban, en plus du délégué du Vatican, se sont réjouies, en cette rencontre spirituelle, d’une telle participation, considérée comme porteuse de tolérance et d’ouverture envers les autres religions et doctrines. Aussi, elle est d’autant plus significative qu’elle va à contresens de la démarche d’autres oulémas saoudiens qui n’accepteraient d’assister à une telle manifestation qu’en tant que dialoguistes ou polémistes. Il y a d’ailleurs lieu de noter qu’ils ont toujours observé de fortes réserves quant à s’asseoir avec une quelconque entité spirituelle, sauf sur le terrain du dialogue ou celui de la confrontation.
Or, cette rencontre spirituelle, tenue sur la terre du Liban, visait à promouvoir la cohabitation pacifique, l’entraide intercommunautaire et le rapprochement entre les confessions libanaises dans un élan général d’amour et de paix.

Lettre de la City : ruée sur le passeport britannique

Dans l’attente de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, les banquiers européens de la City sont dans leurs petits souliers…

Pas tranquilles, les banquiers européens de la City. Ils sont des milliers à être dans leurs petits souliers dans l’attente du fameux « Big Bang », la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

En effet, depuis le référendum du 23 juin 2016, l’heure est grave pour les trois millions d’expatriés originaires de l’Union européenne qui vivent au Royaume-Uni. En particulier, l’inquiétude grandit chez les banquiers devant la perspective du Brexit « dur » promis par la Première ministre, Theresa May. Pareil scénario ne devrait pas arranger les affaires de la City.

Le patron de Samsung placé en détention provisoire

L’héritier du grand groupe sud-coréen avait été arrêté dans le cadre d’une enquête pour corruption et trafic d’influence qui a mené à la destitution de la présidente du pays.

Le patron de Samsung, le plus grand conglomérat de Corée du Sud, a été placé en détention provisoire vendredi dans l’enquête sur le vaste scandale de corruption qui a valu à la présidente sud-coréenne Park Geung-hye d’être destituée. Vice-président de Samsung Electronics et fils du président du groupe, Lee Jae-yong, 48 ans, est accusé entre autres d’avoir versé près de 40 millions de dollars de pots-de-vin à la confidente de l’ombre de Park Geung-hye, en contrepartie de faveurs politiques. Ce rebondissement représente un nouveau coup porté à l’image de marque d’un groupe englué dans ce scandale de corruption et de trafic d’influence qui dure depuis des mois.

“Il est avéré qu’il est nécessaire d’arrêter [M. Lee, NDLR] à la lumière d’un nouveau chef d’accusation et de nouvelles preuves”, a annoncé dans un communiqué un porte-parole du tribunal auquel les enquêteurs chargés de l’affaire avaient demandé de délivrer un mandat d’arrêt. Lee Jae-Yong avait déjà été placé dans un centre de détention en attendant la décision de la justice. Il devra y rester en attendant une inculpation et un procès éventuels, processus qui pourrait durer des mois. Samsung a réagi avec mesure tandis que diverses filiales cédaient du terrain à la Bourse de Séoul. Son navire amiral Samsung Electronics, premier fabricant mondial de smartphones, a perdu 0,4 %. Sa holding de fait, Samsung C&T, a cédé 2 % tandis que Samsung Life Insurance a reculé de 1,4 %. “Nous ferons de notre mieux pour que la vérité soit dévoilée lors du processus judiciaire ultérieur”, a dit le groupe dans un communiqué.

Vols, Cambriolages – Les points de transfert d’argent, de nouvelles cibles

Quand les conditions du milieu changent, l’être est obligé de s’adapter ou de disparaître. En effet, les points de transferts d’argent ont trouvé l’astuce: se barricader, nous apprennent nos confrères de Direct Info.

banlieue de Dakar, les choses ne sont point simples pour les gérants de boutique « Wari » et autres points de transfert. Et pour cause, les voleurs et autres agresseurs jettent leur dévolu sur les propriétaires. Suffisant pour que ces gérants se barricadent. D’autres ont trouvé mieux, s’attacher les services d’un bodyguard ou d’un agent de sécurité.

PolitiqueAccueil » News » Actualités » Politique POLITIQUE Previous Next Législatives2017 Barthélémy Dias Éligible Loi Législatives : Barthe est bien éligible selon la loi

Barthelémy Dias l’a échappé belle. La sentence prononcée hier à l’issue de son procès en correctionnel dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf, qui lui vaut une condamnation à deux ans de prison dont six mois ferme, n’entache en rien son éligibilité aux élections législatives de juillet prochain. Au regard de la loi, le député à l’Assemblée nationale et maire de Mermoz-Sacré-cœur est bien éligible aux prochaines législatives, contrairement à ses propos tenus après le verdict.

En effet, en dehors de l’appel qui est suspensif, même s’il n’a pas encore été interjeté, les dispositions de l’article 34 du code pénal font état d’une condamnation de cinq ans, synonyme de perte de tous ses droits, commentent nos confrères de l’As quotidien.

Et, contrairement à ses déclarations devant la presse selon lesquelles «A partir de six mois ferme, j’ai un casier judiciaire qui me rend inéligible pour les élections législatives du 30 juillet 2017», Barthelémy Dias n’est pas sous le coup de l’article 34 de la loi 77 – 33 du 22 février 1977 du code pénal: «Les tribunaux jugeant correctionnellement pourront, dans certains cas, interdire, en tout ou partie, l’exercice de droit civique, civils et de famille suivants, de vote d’éligibilité (…). Lorsque la peine d’emprisonnement prononcée sera supérieure à cinq ans, l’interdiction définitive de tous les droits devra obligatoirement être prononcée. L’interdiction prendra effet à compter du jour où la condamnation sera devenue définitive». Pour dire que Dias peut bien se lancer dans la course aux législatives.

Inscription sur les listes électorales : le département de Mbour traine les pieds

Les populations ont du mal à s’inscrire sur les listes électorales au niveau du département de Mbour. Alors qu’il y avait 260 mille inscrits sur l’ancien fichier, les six commissions qui existent sur l’ensemble du département n’ont inscrit que 94 539 personnes. C’est pour cette raison, à l’occasion de la rencontre avec le Comité électoral du département, le préfet a demandé au ministre de l’Intérieur d’augmenter le nombre de commissions.

L’inscription sur les listes électorales pour l’obtention de la carte d’identité biométrique est un casse-tête au niveau du département de Mbour. Depuis la mise en place des commissions, il n’y a que 94539 personnes qui se sont inscrites. Ce qui pousse le préfet, Saer Ndao à formuler une demande à l’endroit du ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention