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ALTERNANCE GÉNÉRATIONNELLE – La Cojer déplore son absence dans les hautes instances

Le chargé de la communi- cation de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) sollicite auprès du chef de l’État une forte représentation des jeunes dans les instances de décisions et institutions étatiques. Chose qui devraitse matérialisée dès la confection des listes de l’Alliance pour la République pour leslégislatives à venir. «On espère que la confection de cette liste va prendre au mieux les in- térêts desjeunes», a campéAns- soumana Sané, également coor- donnateur de la Cojer départe- mentale de Bignona. «On ose espérer qu’avec le pré- sident de la République qui, aujourd’hui symbolise l’alternance générationnelle, il y aura une part belle qui sera réservée pour les jeunes. Nous lançons un appel au parti et au président de la Ré- publique, pour que les jeunes de l’Apr soient massivement investis sur les listes électorales», dé- clare-t-il. Pour lui, cet avis est partagé par tous les jeunes apé- ristes. «C’est ce que dit tous les jeunes de l’Alliance pour la Ré- publique. On parle tous de la même voix. Il faut que les jeunes puissent se reconnaître dans la nouvelle législature à venir, pour symboliser l’alternance générationnelle», a plaidé Sané. Responsable politique dans la commune de Sindian, il se dit convaincu que la jeunesse de l’Apr a fini de prouversa légitimité pour occuper des postes de hautes fonctions. «Les jeunes de l’Apr ont prouvé leur capacité de mobilisation, leur engagement et leur loyauté à l’endroit du prési- dent de la République. Donc si en 2019 des gens doivent porter ses réalisations, nous pensons que personne n’est mieux placé que les jeunes. Ces jeunes qui sont près des populations et des masses, pour vulgariser la politique du chef de l’État». Au delà des législatives et de l’Alliance pour la République, c’est un coup de souffle juvénile qui estréclamé pour la coalition Benno bokk yakaar (Bby). «Il faut donner un nouveau souffle à l’Apr et la coalition Benno bokk yakaar. Et les jeunes qui aspirent à occuper de hautes fonctions doivent être mis dans des conditions de pouvoir l’exercer. On espère que cette préoccupation va être prise en charge par le président de la Ré- publique (…). Nous sommes sous représentés dans les instantes de décisions et institutions, et c’est le lieu pour Macky Sall de ren- verser la tendance», explique ce jeune du parti. Dans lemême sillage,Ansoumana Sané a demandé aux responsables apéristes de la commune de Ziguinchor de faire preuve d’unité en leur sein. Estimant que l’op- position n’est que de nom dans la zone du sud, il a cependant avisé que seule l’union peut les vaincre. «Si nos camarades et responsables de l’Apr dans la commune de Ziguinchor sont réunis, ils arriveront certainement à renverser la tendance. Il faut redoubler d’effort dans le sens de l’unité. Mais nous sommes assez confiants. Puisque depuis un certains temps, il y a des mouvements, partis politiques et responsables remarquables de l’opposition, qui ont rejoint la dynamique du président de la Répu- blique».

AMY SARR FALL REVIENT SUR LA GRANDE RENTRÉE CITOYENNE, 5ÈME ÉDITION

«La prochaine étape, c’est la délocalisation dans d’autres villes du monde»

Le Président Macky Sall a assisté à la 5ème édition de la Grande rentrée citoyenne. Comment avez-vous procédé pour décrocher la première institution du Sénégal ? Le Président nous fait l’honneur de répondre à notre invitation. Malgré toute la fierté qu’on peut avoir, nous croyons que le Prési- dent a répondu à l’invitation de la jeunesse. Il savait qu’il était attendu par cette jeunesse, aussi bien celle qui était présente au Grand Théâtre que celle qui l’a suivi à la télé ou sur la toile. Les jeunes étaient curieux de savoir qui est derrière cette au- torité, Macky Sall le citoyen, l’ingénieur, entre autres. Et il était venu avec une humilité dé- concertante et a parlé avec philosophie, avec dignité et au- torité. Il a vraimentsu combiner tout cela pour donner un discours admirable. Je le remercie au nom d’Intelligences et au nom de toute la jeunesse, car cela té- moigne de sa volonté à accompagner la jeunesse du Sénégal. L’objectif de cet évènement étant de donner un nouvel espoir à la jeunesse croyez vous l’avoir atteint ? Dans le film projeté, le Premier ministre révélait qu’on sort tou- jours du bureau du Président avec un bout de yakaar. À la fin de la rencontre, les membres de mon équipe et certains jeunes qui ont assisté m’ont signalé qu’ils ont quitté avec un peu de yakaar. Je dis Alhamdoulilah. Quand le Présidentsemet devant lesjeunes et qu’il leur dise que son premier salaire c’était 60 mille francs, je crois que c’est marquant. Si vous deviez vous noter par rapport à l’organisation de cette manifestation, quelle note vous donneriez-vous ? Je ne suis jamais satisfaite à 100% de ce que je fais.Lorsqu’on a l’honneur de déplacer le chef de l’État, on peut se dire que cela est un succès. Pour moi, ce n’est qu’une étape qu’on vient de poser dans cette aventure citoyenne qui consiste à aller audelà du Sénégal, à toucher le maximum de jeunes possible. Le Président nous a donné un élan, c’est-à-dire qu’en venant, il a davantage valorisé ce qu’on faisait. Il amontré qu’ilsoutenait l’action de la jeunesse. Nous allons poser des pas pour concrétiser notre vision consistant à dire que nous sommes des citoyens acteurs de développement et non spectateurs de développement. Un citoyen a le devoir, mais aussi le droit d’essayer de faire quelque chose pour son pays. La participation du Président c’estle summum.L’évènement devient une affaire continentale. Pensez-vous à le délocaliser dans les autres pays pour en faire un patrimoine africain ? Oui, c’est la prochaine étape et toute l’équipe travaille dessus. On est en train de voir comment internationaliser cela en l’organ- isant dans d’autres villes.Je dois vous révéler que la demande est très forte, que je suis saisie dans d’autres où les jeunes insistent fortement pour que je délocalise l’évènement dans leurs villes. C’est un concept qui est bien protégé, donc nous pouvons le décliner dans d’autres pays. Le 08 mars, vous allez également organiser un autre évènement, la 4ème édition d’«Entre Elles», pour les femmes. Comment vont les préparatifs ? Je suis contente de savoir que vous me suivez (rires). Je dois d’abord rappeler que la Grande rentrée devaitse tenir en novembre dernier, mais l’agenda serré du Président obligeant, vous avez dû remarquer qu’elle se tient à un mois qui est celui du “8 mars”. Le concept c’est d’inviter des femmes leaders, pas forcément des directrices ou des ministres. Ce seront desfemmes cadres qui peuvent même être au début de leur projet. Elles vont donc parler aux jeunes qui seront choisies parmi les meilleures par rapport à leur résultat académique. Ce sera notre façon de célébrer la femme, plus précisément l’excellence de la femme. D’aucuns estiment que vous avez trouvé une tribune au Président afin de lui permettre de s’adresser à la jeunesse. Que leur répondez-vous ? C’est tant mieux si, à travers la Grande rentrée citoyenne, le Président peuts’adresser à la jeunesse sénégalaise. C’est tout ce qu’on doit souhaiter à la jeunesse. Elle a le droit et le devoir d’entendre le Président, car elle aussi a des préoccupations. Ce qu’il a fait ce n’est pas seulement pour les enfants, mais également pour les parents. Un peuple doit être solidaire et cela doit être inter générationnel. Quand des choses comme celle-ci se passent, il faut qu’on mette de côté la politique. Inviter Macky Sall c’est inviter l’insti- tution et le père de la Nation. Je pense qu’ln devrait tous apprécier ce moment, d’autant plus qu’avant le Président, il y a eu 50 mentors qui ont participé aux éditions précédentes. Et nous continuerons à avoir des mentors. C’est le concept qu’il faut encourager. Le mentoring c’est juste un partage d’expérience et de vécu.Je pense que le Président n’a pas besoin de cet évènement pour parler à la jeunesse.

Khoudia Mbaye liste les maux du secteur privé sous régional

Prenant part à une journée de l’investissement dans l’espace Cedeao organisée dans le cadre de la Foire internationale de Kaolack, la ministre de la Promotion des investissements, des partenariats et du développement des téléservices de l’État a mis en exergue des entraves multiformes pour le secteur privé sous-régional.

Boun Abdallah Dionne se fait Directeur de campagne de Macky Sall

Pour un potentiel de 184 mille électeurs, le département deTivaouane a déjà enrôlé 81 mille personnes sur les listes électorales. Un chiffre dont se félicite le Premier ministre qui invite les populations à «rendre à Macky Sall la monnaie de sa pièce». Macky Sall qui a beaucoup fait pour Tivaouane, en lui permettant d’avoir une majorité confortable à l’Assemblée nationale aux prochaines législatives.

LE MAGISTRAT DÈME ENFONCE LE CLOU «J’ai alerté l’opinion»

La démission duConseilsupérieur de la magistrature d’IbrahimaHamidou Dème  la justice sénégalaise, est loin de connaître son épilogue. En attendantla réaction de l’Union des magistrats du Sénégal, le substitut général Dème, invité de la rédaction de Zik Fm, a expliqué avoir rendu publique sa lettre de démission «pour alerter l’opinion publique de ce qui se passe dans la justice». Dans son intervention à la radio du groupe Dmédia, Ibrahima Hamidou Dème a indiqué que «sa démission est la conséquence d’un constat». Le magistrat de confier qu’il a eu l’honneur de représenter ses collègues au niveau du Conseil supérieur de la magistrature pendant 7 mois au cours desquels il s’est rendu compte que «cette instance ne fonctionne pas convenablement». C’est-à-dire, dans le sens de garantir l’indépendance de la justice pour laquelle elle a été créée. En tout cas, en revenant sur la publication de sa lettre de démission, Ibrahima Hamidou Dème a laissé entendre que c’est à cause de cela qu’il a rendu sa démission. «J’ai décidé de rendre le tablier, de démissionner du Conseil supérieur de la magistrature après avoir informé mes collègues qui m’ont élu pour les représenter». Si le magistra tDème a procédé ainsi, a-t-il fait savoir, c’est parce qu’il lui revient de les informer d’abord en tant que ses mandants, avant d’en informer le Président de la République. Toujours à propos de cette dé- mission qui fera date dans la justice du pays, le substitut général Dème déclare qu’il n’a fait que «se conformer à la loi et à l’esprit qu’il a de la démocratie».le faisant plus clair, le magistrat ajoute : «Une instance qui ne fonctionne pas du tout, je ne peux pas y rester dans la mesure que tout est fait pour la dépouiller de ses pré- rogatives», a-t-il fait remarquer. Le désormais ex membre du Conseil supérieur de la magistrature de poursuivre : «C’est moi-même qui ai décidé de rendre publique cette lettre pour alerter l’opinion publique». Pour Ibrahima Hamidou Dème, «la justice est rendue au nom du peuple et ce peuple a le droit de savoir comment les choses se passent au niveau du Conseil supérieur de la magistrature qui est le garant de l’indépendance de la justice», éclaire t-il, ajoutant encore que «si le Conseil ne marche pas comme il se doit, il est difficile pour la justice d’être indépendante», tranche Dème.

ÉCONOMIE DE LA PÊCHE

Au cours du Conseil des ministres qui s’est tenu hier, le président de la République a demandé au Premier ministre de préparer la tenue, avant fin avril 2017, d’une rencontre présidentielle, avec l’ensemble des acteurs de la pêche, afin de consolider la place de l’économie maritime dans le Plan Sénégal émergent. Appréciant le développement de la pêche artisanale, il a invité le Gouvernement, à «poursuivre les efforts de réalisation d’ouvrages, d’infrastructures de pêche, et d’encadrement des acteurs du soussecteur, qui assure l’approvisionnement prioritaire des ménages en produits halieutiques et contribue, de façon significative, à notre politique de sécurité alimentaire». Le chef de l’État a demandé au Gouvernement d’examiner les modalités de mise en place, au niveau des zones de pêche, d’une véritable économie de la pêche, au travers de périmètres collectifs dédiés au développement de l’aquaculture et d’activités industrielles et commerciales annexes. Macky Sall souhaite «finaliser le processus de recensement et d’immatriculation des pirogues» et «accélérer l’octroi des financements pour l’acquisition et le renouvèlement des moteurs hors-bord». Il recommande de déployer une campagne de sensibilisation des acteurs de la pêche, notamment sur le respect du dispositif législatif et règlementaire national, ainsi que des accords sous régionaux et bilatéraux signés par le Sénégal. Il a, par ailleurs, appelé ses collaborateurs à hâter la ré- forme et la modernisation du marché central aux Poissons de Pikine, et à engager l’édification d’un grand marché central aux poissons à Mbour

MEURTRE D'UN CONCESSIONNAIRE ÀYARAKH – Pape Mor Djité risque la prison à perpétuité

Le sieur Pape Mor Djité et son acolyte Talla Diassé ont été attraits hier devant la barre de la Chambre criminelle de Dakar. Les accusés qui étaient poursuivis pour association de malfaiteurs, meurtre, recel de cadavre et non dé- nonciation de crime risquent gros.

EMPLOI DES JEUNES

 Le ministère de la Formation professionnelle de l’apprentissage et de l’artisanat vient d’organiser à Kolda ce mercredi 8 février un Crd d’information et de partage avec les acteurs territoriaux sur le projet : «Développer l’emploi au Sénégal : accès équitable à la formation professionnelle». Ce projet d’un coût de 12,5 milliards financé dans le cadre du Fonds fiduciaire d’urgence de l’Union européenne va «contribuer au développement d’une formation professionnelle et technique de qualité répondant aux besoins du développement économique et social du Sénégal», a fait savoir le chef d’antenne sud. Ce qui va, selon Birame Niang, «garantir une insertion socioprofessionnelle réussie et contribuer ainsi à réduire le nombre de jeunes candidats à l’émigration».

Le magistrat Ibrahima Hamidou Dème n’a fait que réactualiser une situation peu reluisante :

Dame Justice déprime et traverse une mauvaise passe qui risque de l’anéantir définitivement. Elle est gravement malade d’un cancer qui la ronge depuis plusieurs décennies. Sous Senghor, sous Diouf, sous Wade, les choses n’ont évolué que dans le mauvais sens. Du côté de Thé- mis, ça va de mal en pis. Il revenait à Macky Sall de trouver un remède efficace à cette maladie pernicieuse. Hélas, le président de la «rupture» et de la «gouvernance sobre et vertueuse» s’est plutôt singularisé par des actes qui ont aggravé les maux avec des initiatives qui irritent au point que des membres de ce «grand corps malade» brisent le silence. La décision du Substitut général à la Cour d’appel de Dakar de rendre le tablier est un symbole qui illustre bien la dé- crépitude d’une institution, un des piliers de la démocratie. Les autorités ont l’obligation de l’analyser froidement si elles sont guidées uniquement par le souci de venir à bout du danger. La radiothérapie est devenue plus qu’une urgence.

BAMBA FALL RETOURNE EN PRISON

Inculpé pour tentative d’assassinat, violences et voie de faits, destruction de biens appartenant à autrui, injures publiques et menaces de mort, le maire de la Médina, Bamba Fall a fait face hier au Doyen des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Dakar. Il persiste et signe en niant toute responsabilité, dans le saccage de la Maison du Parti socialiste. Son avocat Me El hadj Diouf, qui a assisté à l’audition, estime que son client est innocent. «Il vient d’être entendu par le doyen des juges d’instruction, et comme il l’a toujours martelé, il n’a rien à voir dans ce qu’on lui reproche. Le plus intéressant dans tout cela est que personne ne l’a incriminé dans ce qui s’est passé à la Maison du Parti socialiste. Nous pensons qu’il sera libéré très rapidement, car nous allons introduire une demande de liberté provisoire dès aujourd’hui pour une libération immédiate du maire de la Médina», a-t-il laissé entendre.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention