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Assaillant du Louvre, affaire Théo, écotaxe : l’essentiel de l’actu du jour

Le 7 Février 2017, à Ménilmontant, un rassemblement sauvage à pris forme pour protester contre les violences policières, après la décès d’Adama Traoré cette été et le viol de Théo par un fonctionnaire de police à Aulnay-sous-bois. Le rassemblement, non autorisé a vite été encerclé par la police qui n’est pas arrivé à empêcher le départ d’une manifestation sauvage rue de Ménilmontant. Photo Martin Colombet. Hans Lucas pour Libération

Affaire Théo. Le jeune homme de 22 ans, toujours hospitalisé dans l’établissement Robert-Ballanger d’Aulnay-sous-Bois où il a eu la visite de François Hollande mardi après-midi, a reçu un appel peu ordinaire. Sa photo avec son maillot de l’Inter Milan aux côtés du président français a fait le tour de la presse internationale et notamment italienne. Repérée par l’Inter Milan, le prestigieux club de foot, a alors invité l’Aulnaysien à l’un de ses matches dans le stade milanais de San Siro. Beau geste. Un nouveau rassemblement de soutien Théo est prévu ce mercredi en début de soirée à Ménilmontant, dans le XXe arrondissement de la capitale. Mardi soir, plusieurs centaines de manifestants s’étaient déjà réunis dans une ambiance tendue au même endroit.

 

La Cour des comptes appelle à sortir de l’impasse à Saclay

Pour la Cour des comptes, la construction d’une grande université de rang mondial, au cœur du projet de Saclay sur lequel l’Etat a engagé plus de cinq milliards d’euros, est au point mort.

Dans son rapport annuel, rendu public mercredi 8 février, la Cour des comptes pointe la situation de blocage dans laquelle se trouve l’université Paris-Saclay. Unissant sur le plateau francilien (Essonne et Yvelines) les fleurons français de l’enseignement supérieur et de la recherche – l’université Paris-Sud, CentraleSupélec, Polytechnique, l’ENS Cachan, le CNRS, le CEA… –, le projet bute depuis plusieurs mois sur des désaccords entre ses dix-huit membres concernant le modèle de gouvernance à suivre. Avec, en arrière-plan, les tutelles ministérielles – Bercy, la Défense et l’enseignement supérieur – qui n’arrivent pas à s’entendre.

MAMADOU LAMINE DIALLO À MACKY SALL ET AU MINISTRE DES FINANCES «La croissance au Sénégal est mangée par les entreprises étrangères»

Le chef de file de Tekki a dénoncé hier les agissements du Président Macky Sall quant aux relations diplomatiques entre le Sénégal et ses voisins. Il a désavoué le ministre des Finances en soutenant que la croissance est consommée par les entreprises étrangères.

Viol : «Il n'y a pas de véritable politique de prise en charge des violences sexuelles»

Paris, le 11 mars 2014. Portrait de Meriem Ben Mohamed (pseudo). Etudiante tunisienne en finances de 29 ans, elle a brisé un tabou en Tunisie, en portant plainte pour viol contre trois policiers. Photo Isabelle Rimbert pour Libération

Une victime de viol sur cinq n’a jamais parlé de son agression. Une note de l’Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales souligne que le viol est l’un des crimes «les moins signalés à la police et à la gendarmerie».

 

LES ENSEIGNANTS DE L’APR SUR LES MENACES D’OUSMANE SONKO «Les hommes courageux posent des actes»

Près de 48 heures après la sortie menaçante d’Ousmane Sonko, le Réseau des enseignants de l’Alliance pour la République (Apr), comme une sentinelle, ne s’est pas fait prier pour apporter la contre-attaque. Faisant savoir qu’«il a toujours la même suffisance glacée et stéréotypée de menacer de faire desrévélations graves et de soutenir qu’il ne mène pas de combat personnalisé», au cours de leur conférence de presse, Mamadou Faye et ses camarades ont laissé entendre le peu d’intérêt qu’ils accordaient aux propos d’Ousmane Sonko. «Nous doutons de votre bonne foi, ont-ils fait savoir ; les hommes courageux posent des actes», ont-ils enseigné. Dénon- çant les mensonges répétés de l’ex-inspecteur des impôts et domaines, les camarades de Youssou Touré ont promis qu’ils ne le laisseront plus continuer «la manipulation» de l’opinion nationale et internationale. Morceau choisi «d’un de ses mensonges», selon les partisans du Président Macky Sall, c’est quand le leader des Pastef «a fait croire que dans la maison qu’il possède vivaient sa mère, ses frères et ses sœurs». Pour eux, «mensonge ne peut être plus éhonté». Car, à sa retraite, cette femme «digne» a préféré rester chez elle, entourée de ses petits-enfants. Et aucune de ses sœurs ne vit chez lui. Ils s’étonnent de cette «ignominie» dans la bouche «sainte» de sa mère, «cette assistante sociale de fonction, de cœur et d’esprit connue pour sa discrétion dans le quartier des Hlm Néma». Youssou Touré et ses camarades sont convaincus que «pour ses ambitions égoïstes et opportunistes, pour sa haine viscérale contre le président de la Répu- blique, Macky Sall, Ousmane Sonko est prêt à toutes les ignominies». Et de lui rappeler que «le mensonge peut se réveiller tôt, partir au galop, il sera rattrapé par la vérité». Ils exhortent Ousmane Sonko de ne s’en prendre qu’à lui-même dans sa mise au frigo, «conformément auCode desim- pôts et domaines en ses articles 604, 605, mais aussi à la loi 61/33 régissant la Fonction publique sénégalaise». Ces enseignants Apr demandent à l’exinspecteur desimpôts et domaines de «savoir raison garder». Car le pays est sur «une trajectoire qui nous permet de cultiver l’espoir en préservant la paix sociale».

SOUKEYNA TOURÉ DAGNOGO, PRÉSIDENTE DU RAPIDE «Le Sénégal ne sera jamais émergent si les femmes continuent de préparer trois repas par jour»

Avec le Pse, le Sénégal aspire à l’émergence à l’horizon 2035. Mais la présidente du Réseau d’appui aux initiatives de développement économique (Rapide), Soukeyna Touré Dagnogo, pense que celle-ci ne sera pas possible tant qu’on continuera au Sénégal de prendre trois repas par jour. Pour elle, on ne peut pas parler de développement ou d’émergence sans les femmes, et celles-ci perdent beaucoup de temps à préparer le déjeuner au lieu d’aller travailler.

 

Entretien réalisé par Cheikh NDONG

Quels sont les objectifs de votre réseau et sa vision ?

Nous avons créé ce réseau en 2008 à la suite d’une conférence qui s’est tenue à Marrakech avec l’Association des femmes entrepreneures mondiales. J’ai copié ce réseau au Sénégal et nous sommes membres du Réseau mondial. Nous travaillons plus avec le monde rural. Dans le monde rural, nous avons des femmes capables. Le problème des femmes est souvent lié à la formation. C’est pourquoi, nous insistons beaucoup sur le volet de la formation, mais aussi, sur le volet recherche de partenariats et création de projets. Depuis 2008, nous travaillons avec presque l’ensemble des régions du Sénégal. Nous avons un réseau qui compte plus de 25.000 membres à travers le Sénégal. Nous travaillons sur le secteur agricole, de l’élevage et de la transformation des produits halieutiques. En plus de cela, je pousse les femmes à voyager parce que je trouve qu’elles sont trop renfermées au Sénégal. À cet effet, nous leur faisons participer à beaucoup de formation au niveau international, mais aussi à des conférences et séminaires internationaux. C’est dans ce cadre que nous allons participer dans les prochains jours au salon de l’Agriculture de Paris où nous allons faire participer une vingtaine de femmes avec quelques Maires du Sénégal. Il y a également le Salon des collectivités qui se tient au États-Unis. Là également, nous amenons des Maires. à cela s’ajoute le fait que j’organise des formations à Marrakech, à Tanger et Casablanca. La vice présidente du réseau est Marocaine et nous travaillons avec l’Association des femmes entrepreneures marocaines. Ce qui permet d’avoir un esprit d’échange et de renforcer la coopération Sud-Sud. J’ai un slogan : «Apprendre à prendre à charge». Je jette souvent des pierres aux politiciens en leur disant que vous ne rendez pas service aux femmes parce que vous ne leur apprenez pas à se prendre en charge. Au niveau du Réseau nous accompagnons les femmes qui veulent investir en prenant en charge une partie de leur financement. En dehors du Rapide, j’ai créé le Réseau d’appui aux initiatives de développement local (Raid) dont je suis la présidente. C’est un réseau qui regroupe 200 membres dont 50 collectivités locales et 50 partenaires au développement.

Récemment vous avez organisé le salon de l’emploi et de l’entreprenariat… Quel est l’objectif poursuivi à travers cette activité ?

Là, c’est une autre association. C’est une association qui fait partie du Réseau parce qu’en fait c’est un Link. Il y a le Rapide, le Raid et “Ma Cité d’abord”. Quand on parle de cité on pense à la commune. C’est un réseau de jeunes que nous avons créé. On a commencé avec Dakar et nous sommes actuellement dans tout le Sénégal. Nous avons 10.000 à 15.000 jeunes pour l’entreprenariat et toutes les couches sociales sont représentées. Il y a les étudiants, les éleveurs, des agriculteurs et des gens chômeurs. Je crois qu’avec ce brassage on peut avoir des résultats. J’ai organisé ce salon avec des partenaires étrangers au niveau de l’Ucad. En fait, c’était une Assemblée générale et nous allons organiser la seconde édition au mois de juillet. À cette occasion, les jeunes des différentes localités ont présenté leurs projets. On leur apprend la citoyenneté, les Tic et la création d’entreprises en plus de l’entreprenariat. Nous leur disons qu’il faut croire en soi et ne pas tout attendre du gouvernement. Il faut que les jeunes comprennent que tout est possible. Impossible n’est pas Sénégalais. Je leur donne mon cas en exemple : j’ai quitté le Sénégal à l’âge de 13 ans. Je suis partie en Europe, j’ai fait l’école catholique, le lycée et l’université. Après l’université je suis aussitôt revenue au Sénégal. Quand je suis rentrée j’ai eu la chance de travailler avec les Américains à 800 Km de Dakar. À l’époque j’avais 21 ans. Par la suite j’ai été affectée aux états unis, mais j’ai fini par démissionner pour créer ma propre entreprise à moins de 30 ans. Je m’en suis sortie seule jusqu’à présent. C’est pourquoi je pousse les jeunes à prendre exemple sur mon cas. À part les étudiants, il y a les artistes, notamment les rappeurs, qui sont membres du Réseau également. Nous avons une bonne dizaine de rappeurs comme Da Brains, Ngaka, Blindé, qui d’ailleurs est le président de «Ma Cité d’abord» au niveau de la banlieue.

Pensez-vous qu’avec l’Acte 3 de la décentralisation la problématique du financement des collectivités locales a été correctement prise en charge ?

 

Je pense que oui. Souvent j’aime “jeter des pierres” à des Maires parce qu’il y a parmi eux qui sont contre ou pour la réforme. J’ai l’habitude de dire aux Maires que le Maire aux États-Unis est d’abord un business man. C’est le Maire qui cherche des partenaires pour le financement de ses projets, il agit comme un chef d’entreprise. Tout au début c’était un peu difficile, mais je pense que le Président Macky a vu juste. L’essentiel c’est de pousser les collectivités locales à se prendre en charge. Je voyage beaucoup avec les Maires, je les pousse à voir ce qui se fait de mieux ailleurs. Récemment nous étions à Dallas aux États-Unis. Je leur fais rencontrer des entrepreneurs. Avec l’Acte 3, les collectivités locales vont essayer d’avoir leurs propres partenaires, créer des emplois au niveau de la commune et faire bénéficier à leurs populations de ces projets. Certains ont compris. C’était très difficile, mais je pense que les choses commencent à changer.

 

Les maires sont-ils dans cette dynamique ?

En tout cas les Maires qui sont avec moi sont dans cette dynamique. Avec nous, ils ont appris à se prendre en charge dans le cadre de nos voyages. On leur apprend à parler, à négocier… On joue en réalité un rôle de coach. Je pense que nos Maires pourraient arriver à ce stade.

Quelle appréciation faites-vous de la gouvernance économique du Président Macky Sall ?

Vous me poussez à parler de politique. On a la chance d’avoir un jeune. Je précise que je ne fais pas de politique. Au Sénégal on a l’habitude quand quelqu’un dit du bien du Président ou d’une autorité politique, on dit qu’il a été acheté. Encore une fois, je précise que le Président Sall ne me connaît pas, il ne m’a jamais rencontré et je n’ai jamais cherché à le rencontrer. Toutefois, on a la chance de l’avoir très jeune. Je pense qu’il faut l’accompagner, même si on est contre. Le Président Wade a beaucoup fait, mais je salue la vision du Président Sall. Il y a des choses qui sont en train de bouger et je pense qu’elles pourraient aller mieux si tous les Sénégalais se donnaient la main pour l’accompagner.

Le Président Sall disait dans son programme Yonnu Yokkuté que sa priorité c’est les jeunes, les femmes et le monde rural. Pensez-vous qu’il a tenu cette promesse ?

 

Je pense que c’est un peu prématuré de faire un bilan en ce qui concerne les femmes. La question qu’on doit se poser c’est de savoir est-ce qu’il a des gens qui l’accompagnent ? Je dis souvent que le Président Macky Sall est seul, mais il peut y arriver. Il en est à son premier mandat. Je pense qu’il peut y arriver, c’est ma vision. Il doit continuer de mettre l’accent sur le monde rural, mais surtout l’agriculture. C’est le monde rural qui est l’avenir de demain. Prenez l’exemple du Maroc, vous y allez et vous croirez que vous êtes en Europe. Je pense que le Président Sall a vu juste parce qu’il voyage et il voit ce qui se passe ailleurs. Je pense qu’il faut juste changer les mentalités, et à ce niveau, il nous reste beaucoup de choses à faire.

A moins de deux ans de la fin de son premier mandat, sur quel secteur doit-il mettre l’accent pour espérer un second mandat ?

Je pense qu’il doit mettre l’accent sur l’agriculture. En plus, il faut changer les mentalités. Le Président Sall parle d’émergence, mais on ne peut pas émerger tant qu’il y aura trois repas au Sénégal. Quand on parle de développement c’est les femmes. Donc le jour où les femmes cesseraient de préparer le repas de midi, il y aura émergence.

Vous proposez quoi ?

 

Le petit déjeuner et le diner. Ce qui fait que toute la journée les gens sont au travail. Les femmes consacrent beaucoup de temps pour le ravitaillement au marché et préparer le repas de midi. Si ce temps était consacré au travail, il serait possible d’atteindre l’émergence. Donc il faut cesser de préparer trois repas par jour et aller travailler.

Vous parlez comme si l’emploi était à portée de main alors que les gens ne trouvent pas du travail…

 

Il faut chercher.  Il y a du travail. Il ne faut que les gens attendent tous de l’État. Ce n’est pas possible… L’État ne peut pas tout faire ! Il faut l’accompagner et ne pas lui jeter des pierres. Je donne mon exemple : je travaille mais je n’attends rien de L’État. Si je me mettais à attendre le soutien de l’État avec toutes les femmes qui sont avec moi, rien de ce qu’on est en train de faire ne sera possible. Je suis une citoyenne et m’engage à accompagner l’État dans ses missions régaliennes.

Les populations de Malika se réclament de leur localité et non de Yeumbeul Nord

Malika Keur et Massar ont vu double et rouge le temps d’un week-end. Les populations réclament une révision du dé- cret 96-745 portant création des communes d’arrondissements et disent qu’elles ne sont pasYeumbeul nord.

L’arrondissement des Niayes a connu ce weekend un mouvement d’humeur des populations aussi bien de la commune de Malika que celle de Keur Massar. Foulards rouges, pancartes levées, bref tous les moyens étaient bons pour les populations de montrer leur indignation face à ce qu’elles qualifient d’injustice. À Malika, 7 quartiers dont Makhfouss Badji, Cité Sonatel 2ème tranche, Médinatoul Salam, entre autres,sont touchés par le décret portant création des communes d’arrondissement dans les départements de Rufisque, Dakar, Pikine et Guédiawaye. Très déterminées, les populations se considèrent comme étant de Malika et non deYeumbeul Nord. Le fils du Khalife des Layènes Serigne Magoum Keur Laye Thiaw, dira que «ce découpage satanique n’a rien apporté de bon et les populations sont les principales victimes. Car même si elles règlent leur facture d’eau, d’électricité dans cette commune créée en 1904, pour obtenir des pièces d’état civil comme l’extrait de naissance ce n’est pas de tout repos, voire même impossible à Yeumbeul Nord. Et pourtant, la deuxième plus grande école élé- mentaire de la commune, est implantée dans un des quartiers qui se trouve être dans le périmètre communal de Yeumbeul Nord. Comme pour dire que ce décret n’est pas conforme à la réalité du terrain, tout comme le transfèrement de la commission d’inscription, du centre polyvalent, supposé installé àYeumbeul Nord alors que sis au foyer des jeunes de Malika, dixitAbdoulaye Diop habitant du quartier Makhfouss Badji. ARBITRER POUR QUE LE SENTIMENT D’INJUSTICE DISPARAISSE À JAMAIS DANS CE PAYS Si les populations des 7 quartiers qui sont entre Malika Sud et Yeumbeul Nord disent leur appartenance à Malika, celles qui sont de l’autre côté, à savoir les 5 quartiers après la décharge de Mbeubeuss, disent être de Keur Massar. Pour elles, il n’est plus question que les travailleurs du secteurinformel,menuisiers, boutiquiers etc., paient des taxes à Malika. Selon Moussa Guèye, notable au quartier Darou Salam, «Malika se limite aux débouchés de la route de la décharge sur la route des Niayes comme stipulé sur le décret». Cette situation conflictuelle entre populations dans ces quartiers impactés et les municipalités des communes frontalières, vieille de 21 ans pousse l’édile de Keur Massar Moustapha Mbengue, a appelé ses pairs au respect de la loi. Car, selon le responsable Apr de Keur Massar, les nombreuses frustrations, ainsi que la tension qui prévaut dans certains quartiers, les autorités étatiques doivent ar- bitrer pour que le sentiment d’in- justice disparaisse à jamais dans ce pays qui estsur la voie du dé- veloppement.

VISITE AU MARCHÉ CENTRAL AUX POISSONS – Le ministre Oumar Guèye promet des mesures urgentes

RADIOTHÉRAPIE «Une prise en charge totale des patients sélectionnés pour leur radiothérapie au Maroc» Le ministre de la Pêche et de l’économie maritime, Oumar Guèye a effectué une visite hier au marché central aux poissons de Pikine. Une visite express qui a permis au ministre de constater de visu les difficultés qui plombent le marché. Oumar Guèye, accompagné du Gouverneur de la région de Dakar et de l’adjoint du Préfet de Pikine, a visité tous les coins et recoins du marché sous la conduite des mareyeurs, qui l’ont mené partout. Une visite guidée qui s’est dé- roulée dans une atmosphère un peu tendue, car une immense foule demareyeurss’était amassée pours’adresser auministre créant ainsi une grande cacophonie. Même s’il n’a pas parlé à la presse, maisla mine triste qu’il a affichée durant toute la visite, montre à bien des égards que le ministre de la Pêche est déçu de l’état dans lequel se trouve le marché aux poissons. «(…) Oui ! Oui ! Il a exprimé un sentiment de déception, un sentiment de désolation, vu l’état insalubre dans lequel se trouve le marché central aux poissons», souligne Mamadou Sow, président duComité des acteurs du marché. Lemarché aux poissons de Pikine présente un visage hideux. Il est sale. Les fosses septiques déversent leur trop plein. En face du marché le Joola, les eaux usées ont formé une sorte de mare. L’odeur nauséabonde et fétide pollue l’atmosphère. «Il urge de prendre des mesures fortes pour résoudre la question de l’assainissement. Sans quoi le Sénégal risque de perdre son agrément international à l’exportation de poisson», fulmine un mareyeur outré par l’insalubrité des lieux. DÉCEPTION ET SENTI- MENT DE DÉSOLATION Des décisions ont été prises pour régler certains problèmes. Une opération «coup de poing» sera organisée dèsla semaine prochaine pour nettoyer le marché. Selon Mamadou Sow, «touslesservices déconcentrés de l’État concernés seront mis à contribution. Des sommations ont été remises aux vendeurs de friperie et aux te- nanciers de cantines pourlesfaire déguerpir», ajoute M. Sow. Ce- pendant, le directeur du marché central aux poissons n’a pas pris part à la visite du ministre de la Pêche. Ndiaga Thiam a brillé par son absence.Depuis plus de huit (08) mois, le marché central aux poissons de Pikine traverse des remous. Entre les mareyeurs et le directeur, c’est le désamour. Ils dénoncent l’encombrement du marché, l’insalubrité, la défec- tuosité du système d’assainisse- ment et la vétusté du réseau d’éclairage du marché. En fin de semaine dernière, ils avaient dé- crété une grève de trois(03)jours qui a été interrompu sur demande du ministre Guèye.

Les tableaux de chasse du plasticien Mehryl Levisse

Bestiaire rime avec best year pour le plasticien Mehryl Levisse. 2017 s’annonce comme sa meilleure année, avec un carnet de commandes qui ne cesse de se remplir, et le sentiment qu’il est en train de se faire un nom. Né à ­Charleville-Mézières, l’artiste trentenaire a la moustache fine et un corps de danseur. Il est connu pour ses masques d’animaux, ses monstres, ses corps morcelés, ses tapisseries revisitées, son esthétique kitsch héritée des pavillons de chasse de son enfance, dans les ­Ardennes. « Tout ce que je crée tourne autour du corps. Le mien, celui que je connais le mieux », dit-il. Son corps est son « matériau » qu’il met en jeu dans ses créations, ­installations, photos, films…

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention