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Cour suprême : la requête de Barthélémy Dias rejetée

La Cour suprême a rejeté la requête introduite par l’ancien maire de Dakar, Barthélémy Toyes Dias, ce lundi 25 août. L’ex-édile contestait la procédure engagée pour son remplacement à la tête de la municipalité.

Cette décision met un terme à son recours et ouvre la voie à la poursuite du processus de succession à la mairie de Dakar, après plusieurs jours de tensions et de controverses juridiques et politiques.

Abass Fall élu nouveau maire de la Ville de Dakar

Abass Fall a été élu, ce lundi 25 août, nouveau maire de la capitale sénégalaise. Son élection marque un tournant dans la gestion municipale de Dakar, après plusieurs semaines de tensions et de débats autour de la succession à la tête de la ville.

Le nouveau maire, membre du pouvoir actuel , aura désormais la responsabilité de conduire les affaires de la capitale et de poursuivre les projets en cours, tout en répondant aux attentes des Dakarois

Existe-t-il des solutions naturelles pour moins ronfler ?

Bien respirer est important. Mais lorsque le nez est obstrué du fait d’un excès de mucus, de polypes, de croûtes, d’une rhinite allergique ou encore d’une déviation de la cloison nasale, l’air ne peut passer nor­malement, ce qui provoque les vibrations du ronflement. Toutefois, même quand l’origine de la congestion nasale a été soignée, les ronflements peuvent persister. Dans ce cas, plusieurs solutions exis­tent pour dégager le nez. Des sprays nasaux ­antironflement avec des huiles essentielles décon­gestionnantes ou des agents ­hydratants permettent de nettoyer les narines. Sont éga­lement disponibles des sprays buccaux spécifiques qui empêchent les vibrations responsables des ronflements. Autre formule, les pastil­les à sucer qui libèrent progressivement, et tout au long de la nuit, des actifs lubrifiants pour humidifier et tonifier les tissus de la gorge. Enfin, une nouvelle galénique permet de pro­­té­­ger la muqueuse : la languette à faire fondre sur le palais, avec des huiles naturelles micro-­encapsulées pour lubrifier les tissus mous situés à l’arrière de la gorge et enrichie en huile essentielle de menthe pour favoriser la respiration.

Médicaments et CBD : l’union dangereuse

L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sonne l’alerte. Dans son récent rapport, elle met en garde contre les effets nocifs de la consommation de cannabidiol en même temps que certaines catégories de médicaments.

Bonbons, gélules, tisanes, e-liquides, gâteaux, huiles, gouttes… Depuis 2015, les produits à base de cannabidiol (CBD) sont légion et à disposition légale. Il faut dire que ce cousin « soft » du cannabis n’a à première vue que des atouts : naturel, non addictif, anxiolytique, antalgique, anti-inflammatoire et neuroprotecteur. Plébiscité pour son efficacité contre les états de stress et d’anxiété, les insomnies, les crampes, les douleurs musculaires ou névralgiques, il n’a pas tardé à trouver preneurs. Seulement voilà : laissé à la libre consommation, celui que l’on appelle « chanvre bien-être » n’a pas la patte totalement blanche. Entre 2017 et 2023, les centres antipoison ont dénombré « 58 cas d’interactions entre médicaments et CBD, dont quatre ont été jugés graves », indique l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Ces chiffres peuvent sembler faibles, mais l’autorité sanitaire estime qu’ils sont « fortement sous-évalués ».

Effets toxiques  

Nausées, diarrhées, vertiges, somnolence, fatigue, maux de tête, idées et comportements suicidaires, voire crises d’épilepsie… Tels sont les effets qui peuvent se produire à court ou moyen terme lorsque l’on consomme du CBD (quelles que soient sa forme et la fréquence de consommation) et que l’on suit un traitement médicamenteux en même temps. Si l’ANSM alerte sur les réactions pouvant être induites par le mélange, elle insiste sur le fait que l’association CBD/médicaments « peut réduire l’efficacité ou augmenter les effets indésirables du traitement ».

Dans l’œil de mire

17 familles de médicaments ont été identifiées comme étant incompatibles avec le CBD. Il s’agit d’analgésiques, d’anesthésiques généraux, d’antiarythmiques, d’anticoagulants, d’hypolipémiants, d’antidiabétiques oraux, d’hormones thyroïdiennes, d’immunosuppresseurs, d’inhibiteurs de la pompe à protons, d’antibiotiques, d’antifongiques, de myorelaxants, d’antidépresseurs, d’antiépileptiques, d’antipsychotiques, d’hypnotiques et de benzodiazépines, ainsi que de la méthadone. L’ANSM précise toutefois que « le CBD est susceptible d’interagir avec d’autres types de médicaments qui ne sont pas encore identifiés ».

La consigne ? En cas de prise de médicaments, les candidats au chanvre bien-être doivent faire part de leur intention à leur médecin. Il en tiendra compte pour sa prescription.

 

Trois solutions contre l’apnée du sommeil

1 Mesures hygiéno-diététiques

Contre le syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (Sahos), il faut perdre du poids en cas de surcharge pondérale, adopter une activité physique régulière, arrêter la consommation de tabac et réduire celle d’alcool, surtout le soir.

2 Orthèses d’avancée mandibulaire (AOM)

Sur prescription médicale, ces dispositifs sur mesure avancent la mâchoire inférieure pour éviter que la langue bloque les voies respiratoires pendant le sommeil. Composées de deux gouttières, elles élargissent l’espace entre la langue et le pharynx.

3 Dispositifs pression positive continue (PPC)

Il s’agit d’un appareillage qui envoie de l’air sous légère pression dans les voies respiratoires via un masque (nasal ou bucco-nasal). Cela empêche leur obstruction pendant la nuit. Le système comprend une machine, un tuyau souple

Olympiades sur la santé de la reproduction : L’équipe de Sédhiou remporte la compétition

Des olympiades sur la santé de la reproduction ont réuni, samedi, au camp militaire de Thiaroye, une centaine de jeunes venus de dix régions du Sénégal. À l’initiative du Fonds des Nations Unies pour la population (Unfpa), cette compétition vise à sensibiliser les jeunes sur des thématiques essentielles.  

Dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la jeunesse, le Fonds des Nations Unies pour la population (Unfapa), en collaboration avec le ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, a organisé, samedi, au camp militaire de Thiaroye, des olympiades sur la santé de la reproduction. Une centaine de jeunes âgés de 15 à 24 ans, venus de différents centres de conseils ados (Cca) de dix régions d’intervention du Sénégal, ont été dispatchés en une douzaine d’équipes qui se sont affrontées à travers des sessions ludiques incluant des jeux de connaissances. L’objectif, à travers une telle initiative, est de renforcer le potentiel des jeunes en tant qu’acteurs de développement. Au terme de la compétition, la région de Sédhiou est couronnée.

Dakar et Tambacounda complètent le podium. Le ministre Khady Diène Gaye a salué l’importance des centres de conseils ados et les clubs de jeunes au sein des communautés. Elle a expliqué que les clubs de jeunes filles ont permis de faire reculer les violences basées sur le genre, de maintenir les filles à l’école, de promouvoir l’entrepreneuriat chez les jeunes filles et de mieux asseoir le leadership féminin. « Un succès de la lutte contre les mutilations génitales et l’atteinte des objectifs de la santé de la reproduction ne sera pas le fait exclusif du ministère de la santé. Les centres de conseils ados et les bureaux de conseils sont en train de jouer leur partition dans ce combat », a déclaré Khady Diène Gaye, souhaitant que les participants, une fois chez eux, démultiplient les connaissances acquises à l’occasion de ces olympiades. Le directeur des opérations de l’Unfpa Sénégal, Amadou Moctar Diop, a expliqué que cet événement a pour but de sensibiliser les participants sur des thématiques essentielles, de renforcer la cohésion sociale et les liens entre les jeunes de différentes localités, et de leur offrir un cadre convivial, favorisant leur bien-être physique et mental. « Le programme inclut des sessions éducatives sur la santé de la reproduction, les violences basées sur le genre, le dividende démographique et l’intelligence émotionnelle, animées par des coachs et des formateurs », a-t-il affirmé. L’événement est le fruit d’une étroite collaboration entre l’Unfpa et plusieurs partenaires clés que sont la direction de la protection sociale des jeunes (Dpsj) et le groupe pour l’étude et l’enseignement de la population (Geep).

Prévalence de la malnutrition : À Touba, le taux ne fléchit pas (3/6)

Touba, ville sainte et densément peuplée, détient le taux de prévalence le plus élevé de malnutrition dans la région de Diourbel. Les enfants en sont les principales victimes, affectés notamment par des formes sévères de la maladie. Sur le terrain, des familles sans ressources témoignent de leur combat quotidien pour sauver leurs enfants.

Soda Ndiaye est l’un de ces visages marqués par la lutte contre la malnutrition. Amaigrie, la voix faible, cette jeune mère tient dans ses bras son bébé malade qui pleure sans relâche. Depuis des mois, elle fait l’aller-retour entre son village et le district sanitaire de Touba. Son unique espoir : que son enfant guérisse.

Le nourrisson, alors âgé de quatre mois, a présenté une malnutrition sévère. Les premiers signes – amaigrissement, diarrhées, vomissements – ont alerté sa mère.

« Il pleurait tout le temps. Je croyais qu’il avait soif, alors je lui donnais de l’eau, car la chaleur est accablante ici. Mais j’ai vu qu’il maigrissait de jour en jour. Je l’ai donc emmené à l’hôpital. C’est là qu’on m’a annoncé qu’il souffrait de malnutrition », raconte-t-elle. Aujourd’hui, l’enfant a un an et quatre mois et sa mère poursuit les consultations régulièrement.

Elle-même dit avoir été malnutrie durant sa grossesse. « En vérité, j’ai toujours été maladive. Je n’ai pas les moyens de respecter les recommandations des médecins pour l’alimentation de mon fils », confie-t-elle, impuissante.

ses côtés, une autre mère, Ndèye Arame Ndiaye, raconte une expérience similaire. Son fils, en convalescence, avait été diagnostiqué malnutris à six mois. « Dès que j’ai vu qu’il s’affaiblissait, je l’ai immédiatement conduit au centre de santé. Heureusement, le personnel a pris les choses en main. Franchement, après l’accouchement, on ignore beaucoup de choses. J’ai eu une césarienne et je n’ai vu mon bébé qu’après quatre jours. Je lui ai donné de l’eau trop tôt, alors qu’il fallait attendre six mois », admet-elle. Depuis, elle conseille aux jeunes mamans de suivre scrupuleusement les recommandations médicales.

Dans le district sanitaire de Touba, les salles de pédiatrie sont constamment remplies. Des allées et venues ininterrompues de femmes portant leurs enfants témoignent de l’ampleur du phénomène. Le personnel médical, en sous-effectif, reste pourtant mobilisé jour et nuit.

Selon le soleil , Yacine Fall, infirmière et administratrice des services de santé, confirme la gravité de la situation : « En 2024, la prévalence de la malnutrition sévère à Touba était de 3,17 %, un taux qui place la ville en tête dans la région de Diourbel », indique-t-elle. Elle rappelle toutefois que ces chiffres sont instables : 6,11 % en 2021, 3,81 % en 2022, puis une remontée à 5,86 % en 2023.

Cette variabilité des taux reflète la vulnérabilité nutritionnelle persistante de la population. Malgré les efforts de sensibilisation et les mécanismes de prise en charge, la pauvreté, l’ignorance et le manque d’accès aux soins adaptés continuent d’alimenter la spirale de la malnutrition infantile à Touba.

Dr Ibrahima Fall : « A Diourbel, plus de 1000 enfants souffrent de malnutrition »

Dans le centre de santé de Diourbel, Dr Ibrahima Fall, spécialiste en santé publique et nutritionniste, est constamment sollicité pour examiner l’état des enfants dans les différentes salles d’hospitalisation. Il se consacre presque en permanence aux enfants malnutris. Interrogé sur le nombre d’enfants souffrant de malnutrition dans le district, il a révélé que plus de 1.000 enfants sont concernés, malgré les efforts importants consentis par le ministère de la Santé et de l’Action sociale, en collaboration avec ses partenaires. Malgré tout, le médecin espère que le fléau disparaîtra grâce aux moyens de lutte mis en œuvre. Il n’a pas manqué de souligner le problème de la pauvreté dans la zone, qui explique pourquoi de nombreux parents rencontrent des difficultés à offrir une alimentation équilibrée à leurs enfants, et parfois même à eux- mêmes.
Il précise que la prise en charge des enfants malnutris est bien organisée dans les centres de santé, selon une catégorisation. Le suivi est rigoureux et assuré par le personnel médical afin de garantir une prise en charge efficace.

Mieux encore, cette prise en charge s’effectue également au niveau communautaire et dans les cases de santé. «Récemment, une dizaine d’agents communautaires travaillant dans les cases de santé du district ont été formés et renforcés en compétences pour prendre en charge la malnutrition aiguë sévère non compliquée. Cela permet de désengorger le centre principal de prise en charge et de rendre le traitement plus accessible», a-t-il précisé.

Cependant, le praticien reconnaît qu’il subsiste de nombreux défis, notamment en matière de dépistage précoce. « En général, les mères ou gardiennes d’enfants ne consultent pas dès l’apparition des premiers symptômes. La plupart du temps, elles viennent seulement lorsqu’apparaissent des complications. Le message que nous voulons leur adresser, c’est de nous consulter le plus tôt possible afin que nous puissions dépister, diagnostiquer précocement et mettre en place un traitement adapté dans les meilleurs délais », recommande-t-il.

Taekwondo:Le Sénégal amasse une dizaine de médailles aux championnats d’Afrique juniors et cadets

Après plusieurs années d’absence, les championnats d’Afrique de Taekwondo cadets et juniors ont fait leur retour. L’édition 2025 s’est tenue du 22 au 24 août au Palais des Sports couvert du Stade national d’Abuja, au Nigeria, un jour avant l’open des séniors. Le Sénégal s’est distingué en remportant sept médailles d’or, trois en argent, trois en bronze, ainsi qu’une médaille d’argent par équipe.

Les Lions du Taekwondo ont brillé lors de ces championnats, décrochant onze médailles individuelles et une solide deuxième place au classement par équipes. Dans le cadre de l’Open du Nigeria, trois autres médailles ont été obtenues par les séniors.

Chez les cadets, Serigne Fallou Mbacké Niang a remporté la médaille d’or dans la catégorie -37 kg, tandis qu’Issa Ciss (-53 kg) et Marieme Ndoye (-49 kg) se sont également distingués avec l’or. El Hadji Tacko Wade (-45 kg) et Fatou Kine Wade (-47 kg) ont quant à eux obtenu la médaille d’argent.

Parmi les combattants juniors, Serigne Fallou Niang a décroché le bronze dans la catégorie -48 kg, Bassirou Thiam (-63 kg) la médaille d’argent, tandis que Gomelle Ndiaye (-44 kg) a été sacrée meilleure combattante et championne d’or. Mame Diarra Sène (-49 kg) et Aïda Touré (-63 kg) ont remporté le bronze.

Les séniors sénégalais ont également pris part à l’Open International du Nigeria, organisé du 20 au 21 août à Abuja, où ils ont pu se mesurer à des compétiteurs de haut niveau. Dans cette catégorie, Bocar Diop (-63 kg), Mamadou Fadilou Mbacké Gueye et Ndeye Maty Sarr ont chacun remporté la médaille d’or dans leur catégorie respective.

Au-delà des médailles individuelles, le Sénégal s’est illustré collectivement en décrochant le titre de vice-champion d’Afrique par équipes. Ces championnats cadets et juniors préparent les différents athlètes aux Jeux Africains de la Jeunesse en Angola 2025 et aux Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026, tout en leur permettant d’engranger des points au classement.

Avec le soleil

Joj-Dakar 2026 : Le festival des sports nautiques de Ngor engage la jeunesse

La plage de Ngor a accueilli samedi 23 août  un festival des sports nautiques. Organisé par la commune de Ngor en partenariat avec le Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss), cet événement a permis à près de 1500 jeunes de s’initier et de s’exercer à des disciplines olympiques telles que la natation, la planche à voile, le surf, le canoë, le badminton et le beach-volley.

Plus de 1 500 participants ont participé, ce samedi, au festival des sports nautiques organisé par la commune de Ngor en partenariat avec le Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss). Lors de la cérémonie, Seydina Diagne, secrétaire général du Cnoss, a souligné le rôle essentiel de rencontres comme celle-ci dans la promotion des valeurs olympiques et de la cohésion sociale. « Ce festival est un message fort d’intégration et de solidarité. Depuis ce matin, plus de 1500 personnes étaient mobilisées et participaient aux activités. C’est vraiment impressionnant. Le sport est un outil puissant pour réussir et construire l’avenir », a-t-il indiqué, tout en se disant satisfait du soutien de la commune de Ngor pour la réussite de cette première édition.

Durant ce festival, les jeunes ont pu s’initier à plusieurs disciplines olympiques, parmi lesquelles la natation, la planche à voile, le surf, le canoë-kayak, le badminton et le beach-volley. Le maire de Ngor, Maguèye Ndiaye, a pour sa part rappelé le rôle sportif de la baie. « Ngor est une terre de champions. Quand nous avons porté la candidature de la baie de Ngor parmi les plus belles au monde, ce n’était pas qu’une question de principe. C’était un appel au monde entier pour leur dire : Venez nous accompagner pour sécuriser cette baie, afin d’y produire de nombreux champions pour le Sénégal, pour l’Afrique, et pour le monde. Aujourd’hui, nous en sommes pleinement conscients », a-t-il insisté tout en rappelant le parcours exemplaire de Malick Fall, « athlète sénégalais le plus médaillé en Afrique et ancien nageur », originaire de Ngor.

La baie de Ngor, terre olympique
Selon lui, cette manifestation s’inscrit aussi dans l’objectif d’affirmer Ngor comme une future terre olympique, a indiqué le maire de Ngor. « Les infrastructures déjà existantes, dont des terrains de football et de basket, sont mises en valeur, avec la perspective d’accueillir la flamme olympique lors des prochains Jeux de la Jeunesse », a-t-il souligné.

De son côté, Ibrahima Wade, coordonnateur général du comité d’organisation des jeux olympiques de la Jeunesse (Cojoj), a estimé que ce moment de communion est une des réussites de la préparation des jeux olympiques. Parmi les nombreux participants à ce festival, Doudou Mbengue, âgé de 13 ans, a particulièrement apprécié l’initiation à la natation. « J’ai souvent aimé nager et découvrir ce sport », a-t-il confié, enthousiasmé par cette expérience.

De son côté, Bintou Diagne a retenu l’importance des valeurs de solidarité et de partage qui ont été véhiculées tout au long de la journée. « Ce festival nous a montré que le sport, c’est aussi apprendre à être ensemble et à s’entraider », a-t-elle déclaré.

À noter que plusieurs autorités ont marqué de leur présence le festival des sports nautiques à Ngor, dont le maire de Kaolack, Serigne Mboup. Représentant de l’Anacim, Abdoulaye Diouf, a quant à lui exprimé le soutien de son organisation aux disciplines nautiques. Ce dernier a souligné l’importance de fournir des informations météorologiques fiables pour assurer de bons résultats lors des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026.

Ce festival des sports nautiques de Ngor s’inscrit dans la dynamique de préparation des Jeux olympiques de la jeunesse Dakar 2026, prévus du 31 octobre au 13 novembre 2026.

Avec le Soleil

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention