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L'exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti socialiste, une question de jours et de formalités, selon les jeunes socialistes

Le Forum des jeunes socialistes semble en être certain: «L’exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti Socialiste n’est qu’une question de jours et de formalité», ont-ils déclaré dans un communiqué . Car, expliquent-ils, «Khalifa Sall est coupable de violation des textes fondamentaux du Parti (Statuts et Règlement intérieur), de non-respect  des décisions souveraines des instances légitimes du PS, (instances de base et de direction), d’actes dissidents et fractionnistes au sein du Parti Socialiste, d’utilisation malhonnête et frauduleuse des ressources de la Ville de Dakar pour déstabiliser et diaboliser  médiatiquement le Secrétaire Général du  Parti Socialiste, d’incitation à la violence, et d’association de malfaiteurs».

Et puisque  l’article 30 du règlement Intérieur du Ps dispose que la décision de suspension ou d’exclusion d’un militant ne peut être prise que par le Bureau Politique sur proposition de la commission compétente du Comité Central, ces jeunes socialistes, ont muri une stratégie pour hâter l’exclusion du maire de Dakar du Ps. Et la première étape de cette stratégie fut un sondage effectué du 1er  Décembre 2016 au 31 Janvier 2017, ayant comme cible les membres du Bureau Politique et du Comité central du Parti socialiste. Et ce sondage a, disent-ils, révélé que «711 sur les 1000 membres du Comité Central et 165 sur les 200 membres du Bureau Politique sont pour l’exclusion de Khalifa SALL et Cie du Parti Socialiste».

Ces jeunes socialistes ne comptent pas s’en arrêter là. Ils ambitionnent même de faire une pétition à partir de mi-février 2017. «Les signataires de cette pétition seront les membres du Comité Central et du Bureau Politique consultés à travers ce sondage et dont l’avis est favorable pour l’exclusion de Khalifa Sall. Les résultats seront publiés officiellement avant d’être déposés sur la table de la Commission compétente du Comité Central qui, à son tour, va automatiquement saisir le Bureau Politique seul habilité à prendre la décision d’exclusion en vertu de l’article 30 du Règlement Intérieur précité», indique le Fjs.

Casamance: Le MFDC se prononce en faveur d'un accord de paix "définitif et inclusif" (Communiqué)

règlement de la crise en Casamance doit passer par “la préparation du processus de négociations avec le gouvernement“, l’unification du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) et la signature d’un “accord de paix définitif et inclusif“, estiment des responsables et combattants du mouvement rebelle.

Dans un communiqué conjoint signé par les combattants du MFDC du camp de Diakaye, les populations de la zone des Palmiers et le Groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC), il est écrit que “le règlement de la crise en Casamance passe d’abord par l’unification des différentes bases du MFDC, la préparation du processus de négociations avec le gouvernement et la signature d’un accord de paix définitif et inclusif“.

Selon ce communiqué, les combattants concernés ont réaffirmé leur volonté de mener “des réflexions sur l’avenir de la Casamance dans une ouverture d’esprit, dans la confiance et dans le respect mutuel pour un règlement définitif du conflit” de près de 40 ans”.

Ils ont fait part de cette position au cours d’une rencontre à Mongone (Bignona), base principale des combattants du MFDC du camp de Diakaye, en présence notamment du responsable du GRPC, Robert Sagna, des imams et de nombreuses populations des villages de la zone des palmiers.

Les combattants du MFDC ont assuré de leurs “intentions constructives et lancé un appel à Robert Sagna, président du GRPC pour une implication plus marquée dans l’accomplissement de ces dynamiques (…)“, peut-on lire dans ce communiqué.

Livre : Ce que Sonko va révéler aux Sénégalais

L’ex-inspecteur des Impôt et Domaines, radié par le président de la République, Macky SALL, est en train d’écrire un livre sur la gestion publique du Sénégal. Un brûlot qui risque de faire très mal aux tenants du pouvoir.

Dans un entretien avec “L’Observateur”, il soutient qu’il mène un combat pour des principes qui transcendent les personnes physiques et s’adressent à tous ceux qui sont mêlés, de près ou de loin, à la gestion politique et qui ont eu à poser des actes qui sortent du cadre de la norme. “Cela, nous dénoncerons. La personne d’Aliou Sall ne m’intéresse pas, pas plus que celle de Macky Sall. J’espère aussi que de leur côté que ma personne ne les intéresse pas. Ce dont je doute, parce que quand des gens utilisent les moyens de l’Etat pour s’attaquer à leurs semblables dans leur profession, leur vie privée, pour emprisonner à tour de bras, je ne peux pas m’empêcher de dire qu’ils sont dans un combat personnalisé. Ce qui n’est pas notre cas”, précise-t-il.

Dans les jours à venir, informe-t-il, les Sénégalais en saurons davantage. “ Je ne peux pas en dire plus, pour le moment, par respect pour mes partenaires, avec qui je travaille sur ces affaires et qui ont suggéré une certaine conduite jusqu’à un certain délai. Les Sénégalais seront clairement édifiés sur ce qui s’est réellement passé dans la gestion publique du Sénégal. Ils auront toutes les informations et pourront situer toutes les responsabilités. Si le peuple Sénégalais veut être un peuple qui se bat pour lui-même, il tirera toutes les conséquences pour réclamer que des sanctions politiques, judiciaires et administratives soient prises et que les choses soient ramenées à la norme. Il faut restaurer la responsabilité politique du Président de la République. Parce qu’un président qui commet une faute, doit pouvoir être destitué”, laisse-t-il entendre..

Fatoumata Jallow Tambajang: "La Gambie est fière et reconnaissante du leadership du président Macky Sall (…)"

Le Président de la République a reçu en audience la Vice-Présidente de Gambie, Mme Fatoumata Jallow Tambajang, qui l’a remercié pour son rôle dans la gestion de l’impasse politique post-électorale en Gambie. Le Sénégal et la Gambie comptent revitaliser leurs relations de coopération.

 


VÉRITÉ SUR L'AFFAIRE DES PROCHES DE JAMMEH

La vraie histoire de certains proches de Yahya Jammeh. Ces derniers avaient été arrêtés par la police sénégalaise dans la localité de Karang près de la frontière avec la Gambie. Contrairement à ce qui a été écrit, ils n’ont pas été abandonnés par leur désormais ex mentor en Guinée-Conakry, mais à Malabo, en Guinée Équatoriale. Selon des informations glanées du côté de la Dic, il s’agit de quatre individus : un photographe, un caméraman, un commandant et un capitaine. Ils ont eu la malchance de tomber sur un barrage de la police alors qu’ils tentaient de regagner Banjul en provenance de la Guinée Équatoriale. Étant donné qu’ils étaient suspects aux yeux de nos limiers, ils ont été tout simplement cravatés et conduits à la Dic. La police qui n’avait rien à leur reprocher après les avoir auditionnés, a préféré les relâcher. Quant au chef des Jungulars (escadrons de la mort de l’ex Président Gambien), le sinistre Borra Colley qui avait été arrêté dans la même période, il a été déféré au parquet par la Dic et écroué, au terme d’une procédure distincte

31 ans après sa mort : Cheikh Anta Diop, un pharaon ‘’momifié’’ bien avant sa mort

Né en le 29 décembre 1923 à Ceytou, Cheikh Anta Diop est décédé le 7 février 1986 dans sa villa de Fann. Savant connu et reconnu, l’enfant de Ceytou fait partie des rares intellectuels et chercheurs africains à avoir très tôt montré la voie de l’émergence d’un continent qui luttait pour son accession à la magistrature suprême. Panafricaniste hors pair, ses recherches sur l’Égypte avait poussé ses contemporains à la surnommer le «pharaon noir». Malheureusement, le savant et homme politique qu’il était, durant toute sa vie a été incompris au point de le sacrifier pour des considérations uniquement politiciennes.

Cheikh Anta Diop, a démontré à la face du monde qu’il était un véritable épicurien qui a toujours cherché à identifier les sources de plaisir et de souffrance en mettant l’accent sur la recherche d’un bonheur et d’une sagesse dans l’unique but d’atteindre la tranquillité de l’âme. Une tranquillité qu’il a su trouver en consacrant toute sa vie à des recherches pour poser surtout en Afrique francophone, sous ses multiples aspects, culturels, économiques, sociaux, etc., les principes de l’indépendance nationale et de la constitution d’une fédération d’États démocratiques africains à l’échelle continentale.

Ce qui démontre son attachement au panafricanisme tout en démontrant qu’il était loin d’être un hédoniste, à la recherche obsessionnelle de la jouissance d’un plaisir éphémère. A ce propos, il faut noter qu’il a beaucoup travaillé sur les fondements culturels, techniques et industriels d’un futur État fédéral d’Afrique noire. D’ailleurs, dès 1952, il a posé les jalons en indiquant la voie d’une idéologie politique africaine. Une pensée qu’il a su mettre en œuvre en allant fouiller dans les temples égyptiens d’Abou Simbel, d’Abydos, de Dendereh, d’Edfou, d’Esna, de Karnak, de Louqsor, de Medinet Habu, entre autres, pour démontrer le lien qui existe entre l’ensemble des peuples d’Afrique. Mieux, révéler que l’Afrique est le continent des cultures, de la langue, de la politique et des grandes découvertes.

Une recherche de haute portée qui a poussé ses contemporains à la surnommer «Pharaon noir». Ce qui était loin d’être un simple sobriquet pour cet intellectuel qui aura été un véritable abreuvoir incompris, malgré ses larges connaissances. Qui peut dire ou faire mieux que l’enfant de Ceytou qui a très tôt établi la parenté génétique de l’égyptien pharaonique et des langues négro-africaines en mettant en exergue la comparaison linguistique entre l’égyptien ancien et le wolof.

Qui peut encore nier que ses écrits pouvaient changer radicalement le devenir d’un continent malade de mille maux parce que dominé de tout bord par les descendants de Zeus et d’Héra ? La meilleure illustration réside sur ses ouvrages tels que «Nécessité et possibilité d’un enseignement dans la langue maternelle en Afrique», «Les fondements culturels d’une civilisation africaine moderne», «Nations nègres et Culture – De l’antiquité nègre égyptienne aux problèmes culturels de l’Afrique noire d’aujourd’hui».

Liquidation politique et intellectuel : le «Pharaon» momifié bien avant sa mort

En réalité, le Sénégal tout comme l’Afrique n’ont pas su exploiter les riches pensées d’un «Pharaon» momifié bien avant sa mort. Et comme toujours, la pratique de la politique est passée par là. Car, en décidant de descendre sur ce terrain, le chercheur-savant ne se doutait pas qu’il tombait dans une marre de crocodiles. Pour cause, en créant en 1961 sa formation politique dénommée le Bloc des masses sénégalaises (Bms) pour s’opposer au président Senghor et à Mamadou Dia, le «Pharaon noir» a fait ses premiers jours en prison avant de bénéficier d’un non-lieu total.

Pourtant, lorsqu’il avait décidé de rentrer définitivement au Sénégal – nous étions en 1960, Cheikh Anta disait ceci : «Je rentre sous peu en Afrique où une lourde tâche nous attend tous. Dans les limites de mes possibilités et de mes moyens, j’espère contribuer efficacement à l’impulsion de la recherche scientifique dans le domaine des sciences humaines et celui des sciences exactes. Quand à l’Afrique noire, elle doit se nourrir des fruits de mes recherches à l’échelle continentale. Il ne s’agit pas de se créer, de toutes pièces, une histoire plus belle que celle des autres, de manière à doper moralement le peuple pendant la période de lutte pour l’indépendance, mais de partir de cette idée évidente que chaque peuple a une histoire». Face à Senghor, cet homme sera mis au frigo pour ne pas dire momifié.

Malgré tout, il crée, le 3 février 1976, un nouveau parti politique, le Rassemblement national démocratique (Rnd) qui ne fut réellement reconnu que sous le magistère de Diouf. Surtout qu’il est bon de rappeler que c’est en 1981 que l’université qui porte aujourd’hui son nom a ouvert ses portes à cet homme de valeur pour qu’il puisse y dispenser son enseignement en histoire. Trente-un ans après sa mort, il laisse toujours une œuvre inachevée même si des intellectuels mènent la lutte pour que son héritage soit enseigné dans nos écoles.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

PANNE DE L'APPAREIL DE RADIOTHERAPIE : SENEGAL BI ÑU BËGG ACCUSE LE GOUVERNEMENT

Voilà plusieurs jours que la seule machine de radiothérapie du Sénégal est tombée en panne. Vieille de près de 38 ans, il était de notoriété publique que cette machine ne correspondait plus aux normes sanitaires en vigueur et ne pouvait plus prendre en charge les besoins des malades du cancer, dont le nombre ne cessait de croître. La panne de cette machine dont dépendait la vie de nos compatriotes malades du cancer est un scandale. Elle révèle un aspect de la faillite du système sanitaire du Sénégal et la grave menace qui pèse sur tous nos compatriotes.

La Plateforme « « Senegaal bi ñu bëgg » tient le gouvernement pour seul et unique responsable de la situation, pour avoir failli à une mission essentielle par son manque d’anticipation et de prévision, ainsi que par son laxisme et son manque de réaction. Cette situation sanitaire traumatisante est la preuve de l’échec patent de la gouvernance sociale du gouvernement. Et, ni le plan d’évacuation des malades vers les pays limitrophes ou vers le Maroc mis en place par le Ministère de la santé, ni l’indignation tardive du Président de la République, ne peuvent cacher la faillite de ce gouvernement.

Au moment de son accession à l’indépendance, notre pays avait hérité de la plus grande et la plus moderne faculté de médecine de l’Afrique de francophone. Cette faculté a formé plusieurs générations d’Africains, y compris des médecins venus de pays comme la Maroc ou la Tunisie, pays où nous évacuons aujourd’hui nos malades pour qu’ils y bénéficient de soins dignes de ce nom.

Il est inacceptable que notre pays n’ait eu qu’un vieil appareil de radiothérapie pendant de nombreuses années sans qu’aucune mesure n’ait été prise pour prévoir l’éventualité d’une défaillance de celui-ci. Tout le monde sait qu’une machine s’amortit dans le temps et doit être remplacée. Tout gouvernement prévoyant doit prendre les mesures qu’il faut pour ce faire. De plus les prestations délivrées aux malades n’étant pas gratuites, les sommes collectées au fil des années aurait pu servir à remplacer l’appareil.

Pourquoi commander trois machines maintenant alors qu’il suffisait d’inscrire l’achat d’une machine neuve dans le budget du ministère de la santé chaque année, par exemple depuis 2014, le budget du ministère de la santé étant passé de 73.180.173.000 FCFA cette année-là à 150.089. 814.660 FCFA en 2017. Si le gouvernement n’est pas capable d’équiper correctement les hôpitaux, il faut se demander si les bonnes personnes sont aux bonnes places.

Cet appareil était le seul pour tout notre pays, qui ne compte, du reste, que deux radiothérapeutes. Plus grave encore, le Sénégal est obligé d’envoyer ses étudiants en Côte d’Ivoire ou au Maroc pour  faire une spécialisation en  stomatologie ou en oncologie médicale. Plusieurs régions du Sénégal n’ont pas de cancérologue, le seul service de cancérologie étant à Dakar et n’ont ni pédiatres, ni cardiologues, ni neurologues, etc.

Au moment où les Sénégalais meurent en silence pour toutes sortes de maladies dans des hôpitaux qui manquent de tout, le budget de la Présidence de la République explose et les fonds politiques du Président sont maintenus à un niveau indécent. Il n’y a guère longtemps, le Président de la République a installé le Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), dont le budget, qui serait autour de 7 milliards, est juste ce qu’il faut pour acheter les 3 appareils de radiothérapie dont le coût est estimé à 6 ou 7 milliards aux dires du ministre de l’Economie et des Finances. On ne compte plus les conférences, séminaires, ateliers inutiles et dispendieux qui servent à payer grassement des consultants et à distribuer des perdiem sans qu’aucun de leurs résultats, dans les rares cas où ils existent, ne serve à améliorer l’accès de nos concitoyens à un service de santé approprié. Il ne faut pas s’étonner, dès lors, que 81. 042. 464. 760 de francs CFA, soit près de 60% du budget du ministère de la santé, soient consacrés au fonctionnement.

Dans le contexte actuel du Sénégal, les dépenses politiques ostentatoires et le gaspillage dans les cérémonies parrainées dans les leaders politiques, avec la bénédiction de hautes personnalités de l’Etat, apparaissent comme une insulte à la morale et à la justice sociale.

Le Ministre de l’économie et des finances a affirmé que les 3 machines de radiothérapie sont commandées en procédure d’urgence, grâce à un financement de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA). Mais, reconnaît-il, la procédure d’acquisition serait retardée par le fait  que le Soudan, pays abritant le siège de la BADEA, serait sous embargo financier international.

Lorsque la vie ses citoyens est en jeu, un gouvernement sérieux et efficace ne devrait pas  être bloqué par d’hypothétiques virements extérieurs sur lesquels il n’a aucune prise. L’alibi du Ministre de l’Economie est indigne d’un Etat qui se respecte et se préoccupe de la santé de sa population.

C’est pourquoi la Plateforme « « Senegaal bi ñu bëgg » rejette fermement de tels arguments et accuse l’Etat du Sénégal de mettre en danger la vie de nos concitoyens pour n’avoir pas prévu une telle situation.

La Plateforme invite instamment le Président de la République à prendre toutes les mesures d’urgence pour apaiser la souffrance des Sénégalais et toutes les mesures à moyen terme appropriées pour installer des services de cancérologie et  pour d’autres maladies dans les hôpitaux régionaux, en les dotant du matériel et des ressources humaines nécessaires à leur bon fonctionnement.

Fait à Dakar le 06 Février 2017

EN PERSPECTIVE DES PROCHAINES ELECTIONS – Synergie républicaine en Congrès le 4 février prochain

 

Membre du pôle présidentiel, Synergie républicaine prépare activement les élections législatives du 2 juillet 2017. «Nous avons fini de mailler le pays dans la perspective des Législatives. Le 23 décembre 2016, nous allons inaugurer le siège du parti à Thiès, et le 4 février 2017, nous allons tenir le Congrès du parti à Mbour. Le parti doit décider de la conduite à tenir par rapport aux Législatives. Synergie républicaine prendra ses responsabilités, comme il l’a toujours fait», informe le chef de file de la formation susmentionnée dans une déclaration.

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Mohamed Diagne ne manque pas de railler les leaders de l’opposition.   A l’en croire, ces derniers «s’accrochent encore à cette histoire de pétrole et de gaz, parce qu’ils n’ont rien à faire». «Dès le début, j’avais demandé à Macky Sall de se méfier de ‘Benno bokk yakaar’, Aujourd’hui, sa véritable opposition, ce n’est pas le Pds, mais des frustrés qui ont claqué la porte de ‘Bby’. Les leaders de cette opposition sont issus de ‘Bby’. C’est des envieux», soutient-il.

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Par ailleurs, M. Diagne félicite le chef de l’Etat pour le lancement des travaux du Train Express Régional (TER). «Macky Sall ne cesse de démontrer qu’il a de l’ambition pour ce pays. Un pays ne peut pas se passer de réseaux ferroviaires», déclare le leader de Synergie républicaine qui se réjouit également des mesures prises pour «assainir le milieu des Nouvelles technologies avec la mauvaise utilisation d’Internet». Pour lui, «un Etat responsable doit protéger ses citoyens».

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention