La construction du lycée de Médina Yoro Foulah s’inscrit dans la croisade contre les abris provisoires. En visite de terrain dans ce département de la région de Kolda, le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a signalé que Médina Yoro Foulah faisait partie des départements qui n’avaient pas de lycée. ‘’Dans le cadre de l’équité territoriale, le gouvernement a retenu de réaliser ici un lycée type départemental. Je pense qu’un investissement de ce montant n’a pas encore été réalisé dans cette zone. En plus, nous allons avoir le premier bâtiment à étage qui viendra de l’éducation nationale’’, a indiqué le ministre. Selon qui, il est ‘’symbolique’’ que la République puisse reconnaître que ses enfants étudient ‘’correctement’’ et dans de ‘’très bonnes conditions’’.
SOIREE ANNIVERSAIRE D’ALIOUNE MBAYE NDER AU GRAND THEATRE – 25 ans et toujours au top
Il faut croire qu’Alioune Mbaye Nder aime prendre son temps. Cela faisait 15 ans qu’il n’avait plus organisé de soirée anniversaire. En plus, vendredi, c’était la première fois qu’il se produisait avec son orchestre le ‘’Setsima Groupe’’ au Grand-théâtre. Mais il faut dire que l’artiste n’a pas déçu les attentes de ses fans. Puisqu’au moment de célébrer ses 25 ans de carrière musicale, le ‘showman’ a mis le feu. C’est à 23h 30mn que l’animateur Boubacar Diallo a invité l’artiste à faire son entrée sur scène. Vêtu d’un grand boubou blanc assorti de babouches, Nder Boy a enchaîné avec le morceau ‘’Yarou’’, un de ses titres phares sorti en 1996. Une soirée au cours de laquelle il a revisité son riche répertoire.
Le public, majoritairement composé de jeunes, s’est trémoussé les 3 heures qu’a duré le spectacle. L’artiste a enchaîné les tubes qui ont marqué les années 90 agrémentés de pas de danse qui ont rappelé les propos tenus dans l’entretien qu’il a accordé à EnQuête, le 06 janvier dernier. ‘’J’aime bouger et faire plaisir à mon public. Je ne veux plus chanter pendant 45 minutes un seul titre. Je veux vraiment faire plaisir à ceux qui viendront me voir’’, déclarait l’artiste. Il a tenu parole, ravissant le public. ‘’Il chante trop bien. Là, je me rappelle les concerts qu’il nous offrait à l’époque. Ce sont des moments forts pour nous. Ce sont des spectacles qui nous ont beaucoup manqué. Malgré cette longue attente, il est resté le même Nder qu’on a toujours connu avec sa belle voix’’, n’a pu s’empêcher de laisser entendre un fan.
Show assuré
Le paroxysme de la soirée a été atteint, lorsque le roi du Mbalax, Youssou Ndour, a rejoint Alioune Mbaye Nder sur la scène. Ensemble, ils ont repris le titre ‘’Mbeuguel’’. Un peu plus tard, son ‘’jumeau’’ Mbaye Dièye Faye l’y a rejoint pour mettre le ‘’feu’’. Waly Ballago Seck a également fait une apparition remarquée, en reprenant le titre ‘’Deureum Yaye’’. D’autres artistes dont Fallou Dieng, Daba Sèye, Salam Diallo ont également joué leur partition, dans une ambiance nostalgique. ‘’Au Sénégal maintenant, les gens ne demandent pas, après ce genre d’évènements, si le spectacle était bien. Ils demandent plutôt si la salle était pleine. Ils ont fait de cela un défi. Ils pensent que la salle doit être remplie, coûte que coûte. C’est vrai que c’est important. Mais moi, je me contenterai du nombre qui viendra. Remplir la salle n’est pas mon défi’’, disait Alioune Mbaye Nder. Finalement, la salle était archicomble. Le spectacle a pris fin à 2h 26mn.
HABIBATOU WAGNE
Exclusif actunet. Agence ‘’Wiltord’’ de la Caisse de sécurité sociale : La disparition de 5 millions francs CFA pollue l’atmosphère
Est-ce que l’on pourrait parler d’un scandale à la Caisse de sécurité sociale (Css) ? En effet, actunet est en mesure de révéler qu’une grosse affaire de sous pollue l’atmosphère dans cette institution. En effet, selon des sources concordantes de votre site préféré actunet, «une grosse somme de cinq (5) millions de francs CFA aurait disparu des ‘’tiroirs’’ d’une caisse gérée par une dame. Selon notre interlocuteur, l’affaire s’est passée le lundi 06 février 2017 entre 11 heures et 14heures.
«En tout cas, nous pouvons vous assurer que cela s’est ainsi passé. A notre grande surprise, nous avons été au courant de la disparition d’une somme de 5 millions de francs Cfa des caisses que gère la dame Mme…D’après les explications, la dame qui était sortie a dit avoir tout fermer. Mais, à son retour, elle a constaté que quelque chose s’était passé. Après constat, elle s’est aperçue de la disparition de cette somme d’argent.»
Mais, quelle est la suite ? Les sources d’actunet signalent «qu’après avoir constaté le forfait, les autorités de la boite ont fait savoir qu’elles allaient porter plainte. Mais, jusqu’à présent, il n’y a ni plainte encore moins un constat d’huissier. Nous ne comprenons pas et les gens ne sont pas à l’aise.»
Celle qui détenait cette caisse, avait-elle bien fermé les portes ? Quelqu’un dans l’entreprise, disposerait-il des doubles de la clé principale ?
En tout cas, il est également dit à actunet que «la dame est protégée en haut lieu contrairement à un cadre qui, lui, a été limogé pour une affaire de moins de 3 millions francs CFA alors qu’il avait accepté de rembourser.» Ce qui est sûr, si cette affaire est avérée, ce serait effectivement un scandale à la Caisse de sécurité sociale. Ce qui est sûr, nous y reviendrons avec des informations encore plus croustillantes.
Abdoulaye Mbow (actunet.sn)
Sortie du Franc CFA : pour les panafricains : Une autre monnaie est possible
La nouvelle journée de mobilisation du Front Anti-CFA, processus initié par l’activiste Kemi Seba et l’ONG Urgences Panafricanistes (URPANAF), a rassemblé plusieurs dizaines de milliers de personnes dans le monde lors de débats thématiques. Les panafricains accentuent ainsi la pression sur leurs dirigeants afin de rompre le pacte colonial. Cotonou, Bruxelles, Montréal, Buenos Aires… 41 villes, 25 pays, 3 continents : la résistance populaire face au Franc CFA reflète l’intérêt des citoyens et mouvements panafricains pour cette cause et leur détermination à mettre fin à la servitude monétaire qui empêche le décollage économique et entrave la justice sociale.
Au cours de la mobilisation tricontinentale du samedi 11 février 2017, les personnalités politiques, experts économiques, militants et représentants de la société civile ont apporté des réponses en détaillant les principales stratégies pour sortir du Franc CFA et créer une nouvelle monnaie. A Paris, l’économiste Nicolas Agbohou, l’entrepreneur Claudy Siar, le communicant politique Toussaint Alain, le directeur de la Banque Centrale de la République Argentine Pedro Biscay et l’essayiste Kemi Seba, co-fondateur de l’ONG URPANAF, ont dénoncé le système néocolonial qui portent atteinte à la dignité des Africains et les maintient dans l’extrême pauvreté.
La révolution panafricaine contre le Franc CFA est porteuse d’un espoir de changement. Seul un bloc d’ex-colonies françaises refusent encore l’affranchissement monétaire. Or, selon Nicolas Agbohou, « un Etat moderne ne peut exister sans une banque centrale. C’est un attribut de souveraineté fondamental et de puissance ». Une responsabilité historique échoit donc aux dirigeants africains, qui ne peuvent plus se dérober. « Cette monnaie est une construction propre à la France. Le temps est arrivé d’en finir avec ce colonialisme économique », a conclu Kemi Seba.
A Abidjan, Mamadou Koulibaly, professeur d’économie, a estimé que « la sortie du Franc CFA n’est plus une option. C’est une nécessité vitale, logique et historique ». Avant de préciser : « Ce sont les Chefs d’Etat qui peuvent dénoncer et impulser la sortie du franc CFA. Mettez donc au pouvoir des présidents qui veulent qu’on sorte de cette servitude monétaire. » A Buenos Aires, autour d’Alejandro Vanoli, ex-président de la Banque Centrale de la République Argentine, les participants ont, quant à eux, discuté des solutions alternatives pertinentes face aux effets dévastateurs de la globalisation de l’économie, de la mondialisation néolibérale et de l’hégémonie des multinationales.
L’ONG URPANAF tient à remercier l’ensemble des conférenciers, ses responsables-pays et les centaines de bénévoles mobilisés dans le monde entier, ainsi que les médias panafricains qui font de la campagne du Front Anti-CFA une priorité depuis plusieurs semaines.
En direction des législatives : L’Apr en guerre contre l’Apr
Sur la direction menant aux élections législatives du 30 juillet 2017, l’Alliance pour la République (Apr) est minée par des guerres intestines d’une rare violence. Actuellement, dans presque toutes les localités du Sénégal, les responsables qui se regardent en chiens de faïence ne se font plus de cadeaux. Les coups-de-poings font légion et les attaques sont le modèle le plus partagé.
Depuis sa création, l’Alliance pour la République (Apr) n’a pas encore connu de structuration. Suite à la ‘’mise à mort’’ politique de Me Alioune Badara Cissé qui était considéré comme le numéro 2 du parti présidentiel, aujourd’hui, tout le monde dévoile des prétentions nombrilistes qui se justifient à leur juste mesure. Et pour cause, dans un parti où tout le monde se considère responsable avec comme unique patron Macky Sall, il n’est pas exagéré de dire que l’anarchie qui est le maître-mot. Aussi, en direction des élections législatives du 30 juillet 2017, c’est à la guerre comme à la guerre.
On se fait plus de cadeaux et tous les responsables se regardent en chiens de faïence. D’ailleurs, c’est ce qui explique les violences notées ces derniers jours dans les rangs du parti présidentiel. De Ziguinchor à Fatick en passant par Kaolack, Louga, Diourbel, Matam, entre autres, l’on s’échange des propos aigre-doux, s’insultent, s’accusent et les coups-de-poings ne manquent. Récemment, l’on a constaté les violences à Fatick entre la responsable de la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) et un autre groupe envoyé par on ne sait qui. Si les plus hautes autorités de l’Apr annoncent des sanctions contre les récalcitrants, la vérité est toute simple. L’Apr, parti non structuré laisse voir et entrevoir une violence verbale et physique qui démontre la nature des relations entre responsables.
Et cela ne s’arrêtera pas surtout sur la route menant aux élections législatives du 30 juillet 2017. Et, à coup sûr, ils ne feront pas de concessions à certains alliés qui attendent d’être investis sur les listes de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar. Au bout du compte, les bagarres comme à la borne fontaine seront la chose la mieux partagée. Ce qui veut dire que ce sera bel et bien ‘’le parti avant la patrie’’, ‘’le parti avant la coalition’’, ‘’la coalition avant la patrie’’.
Abdoulaye Mbow (actunet.sn)
Ps absent à Saint-Louis
Le Parti Socialiste (Ps) de Ousmane Tanor Dieng est dans une profonde léthargie à Saint- Louis. Ses responsables sont invisibles. Les rares qui sont sur le terrain ne se meuvent que dans les manifestations organisées par Bennoo Bokk Yakaar (Bby). Face à cette situation, certains socialistes n’ont pas hésité à tourner le dos à leur ancienne formation politique. Ababacar Mbaye Guèye, l’une des pièces maîtresses du Ps à Saint-Louis, a rejoint Modou Diagne Fada ; le jeune Abba Mbaye roule pour Khalifa Sall alors que Saloum Kane de la coordination Sor-Nord de Saint-Louis a décidé de déposer ses baluchons à l’Alliance pour la République (Apr). C’est donc une perte énorme notée du côté du Parti Socialiste, une formation qui ne cesse de dégringoler dans la capitale du nord.
L’Asred brocarde Me Sidiki Kaba
L’association pour le Soutien et Réinsertion la Réinsertion Sociale des Détenus (ASRED) est préoccupée par la polémique suscitée par la démission du juge Ibrahima Hamidou Dème du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). La polémique entre l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) et l’exécutif pose, à ses yeux, un problème de sécurité. Mais l’Asred prend fait et cause pour le magistrat qui fait l’objet de menace de la part de l’exécutif. L’Association dénonce fermement l’immixtion de l’exécutif dans les affaires judiciaires. L’Asred condamne dans la même veine le comportement du ministre de la Justice, Sidiki Kaba, qui remet en cause la sécurité judiciaire. D’après l’Asred, cette situation ne sera pas sans conséquences pour les détenus qui attendent d’être fixés sur leur sort. Ainsi l’Asred envisage d’organiser une manifestation devant le ministère de la Justice pour dénoncer les agissements de l’exécutif. Elle rappelle au ministre Me Sidiki Kaba que c’est son militantisme pour la défense des droits de l’homme qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui et non la politique politicienne.
Niasse au Canada
Barham est l’un des plus fidèles lieutenants de Moustapha Niasse. C’est le premier à avoir créé en 2009 le mouvement des élèves pour la candidature de Moustapha Niasse. En visite au Canada, le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, en a profité pour rencontrer la nouvelle équipe de l’Afp à Montréal pour échanger avec eux. Le président Moustapha Niasse a félicité ses camarades pour le travail important qu’ils abattent sur le terrain mais surtout le grand consensus et le travail en équipe. Il a demandé au nouveau coordonnateur Barham Thiam et à son équipe de continuer à travailler sur la remobilisation et la visibilité du parti et de renforcer leur implication dans la mouvance Présidentielle. A valid 1xbet promo code is essential for new players seeking to maximize their initial experience on the platform. By applying this code during the registration process, users can unlock a generous 100% welcome bonus on their first deposit, which can go up to $130 (or equivalent in local currency). This bonus provides extra funds to explore the vast sportsbook and casino, significantly increasing the potential for early wins without additional investment. Ayant toujours gagné lors des élections au Canada depuis sa création, l’Afp souhaite travailler davantage pour conserver ses acquis en Amérique du Nord, surtout en vue des prochaines échéances législatives.
Mimi Touré
En visite de proximité aux Parcelles Assainies de Kaolack sur invitation de l’Association pour l’Emergence Durable dirigée par le jeune Mamadou Lo, Mimi Touré a invité les jeunes de la Cojer à renouveler leurs engagement et abnégation politiques comme en 2012 où ils furent le fer de lance du candidat Macky Sall. L’ancien Premier ministre a demandé aux jeunes d’être des exemples en discipline, courage et engagement afin d’inspirer le reste de leur génération et de se préparer à exercer le pouvoir dans le sens des intérêts des populations. «Vous devez donner envie aux autres jeunes de s’engager en politique pour faire avancer notre pays», a dit l’Envoyée spéciale de Macky Sall. Selon elle, la Convergence des Jeunesses Républicaines est constituée d’une majorité de jeunes pétris de qualité qui doivent rejeter le gangstérisme politique qui ne fait que ternir l’image de leur parti. Après avoir salué le maire de Kaolack Mariama Sarr, Mimi Touré a de nouveau appelé tous les responsables de l’Apr et de Bennoo à resserrer les rangs pour une victoire massive de la coalition présidentielle aux élections législatives de juillet prochain.
MANSOUR SY DJAMIL «L'Assemblée nationale est une chambre d'en- registrement des désidératas de l'Exécutif»
Mouhamed Sissao, représen- tant du parti Beuss Dou Niakk à Grand Dakar, a organisé dans le cadre de ses activités politiques une journée de consulta- tion gratuite et de dons de médica- ments. Lors de cette cérémonie de bienfaisance, le leader de Beus Dou Niakk, Mansour Sy Djamil, a fustigé le rôle passif de l’Assemblée natio- nale. «L’Assemblée nationale demeure jusqu’aujourd’hui une chambre d’en- registrement des désidératas de l’Exécutif. En allant à cette Assem- blée, je croyais qu’avec les Assises nationales, qu’avec la manière dont les élections étaient effectuées, nous allions atteindre notre objectif qui était de séparer les pouvoirs Exécutif, Législatif et Judicaire. J’avais une illusion» a-t-il soutenu. Moustapha Sy Djamil rappelle que l’une des revendications des Assises nationales était la séparation tacite des pouvoirs, «ce qui n’existe que dans la théorie», promettant de re- venir sur le sujet prochainement. Le leader n’a pas voulu se prononcer sur la gestion du gouvernement mais a précisé, concernant la Santé, que «notre pays connait actuellement un problème de panne d’appareil médical à cause de la modicité des moyens. Pour les prochaines élections lé- gislatives, le leader de Beus Dou Niakk a indiqué que le parti se concertera en instances pour prendre la décision qu’il faut. Il a ajouté que son parti fait parti de BBY «mais n’a jamais été avec lui aux élections». Mouhamed Sissao, or- ganisateur de la cérémonie, a fait savoir que cette cérémonie de consultations gratuites et de dons de médicaments rentre dans le cadre des activités politiques.