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PSG : Verratti explique pourquoi il ne regarde pas ailleurs au mercato

Suivi par tous les plus grands clubs européens, Marco Verratti n’envisage pourtant pas de quitter le Paris Saint-Germain dans les mois à venir.

Depuis qu’il est arrivé dans le club de la capitale française en 2012, Verratti est entré dans une nouvelle dimension. Considéré comme l’une des références à son poste depuis quelques saisons, l’international italien est de retour à son meilleur niveau ces derniers temps au sein d’un Paris devenu invincible. Ces performances lui ouvrent forcément toutes les portes alors que Barcelone, Chelsea, la Juventus et le Bayern Munich le courtisent… Mais le Petit Hibou ne se voit pas ailleurs qu’au PSG !

« Des touches avec des grands clubs européens ? Il n’y a rien de concret parce que je veux rester à Paris. Il n’y a pas beaucoup de projet comme le PSG en Europe. Mon rêve, c’est de gagner la Ligue des Champions avec Paris », a avoué, sur Stade 2, Verratti, qui rassure donc les supporters parisiens par rapport à son avenir au sein du PSG, où il se verrait bien passer la majeure partie de sa carrière.

MAMADOU MOUTH BANE "le Procureur, le peuple dira ce qu’il pense de la justice dite en son nom" !

  1.  le procureur de la République, nous avons bien suivi la laborieuse conférence de presse que vous avez tenue, à charge contre des personnalités politiques, potentiels adversaires du président de l’Alliance pour la République (APR), lors des prochaines consultations électorales, notamment Khalifa Sall, Abdoul Mbaye, Bamba Fall, Barthélémy Dias etc…

Vous avez donné votre version des faits, ayez donc l’amabilité de laisser les citoyens donner leur opinion sur votre action publique. Nous croyons vivre dans un Etat de Droit, où les libertés sont garanties par la Constitution (voir articles 8, 9 et 10). Comprenez alors, Monsieur le procureur, qu’au Sénégal, la liberté d’expression à sens unique ne saurait prospérer.

Vos mises en garde, sur fond de menace, nous rappellent les propos du Premier Ministre, Mohammad Boune Abdallah Dionne, qui avait interdit aux opposants de parler de l’affaire Pétro Tim, à l’occasion d’une conférence de presse. Son discours avait suscité une indignation de la part des citoyens, qui l’ont écouté sans véritablement le prendre au sérieux. Depuis lors, ce débat est toujours sur la place publique et des comptes sont toujours exigés à M. Alioune Sall, frère du Président. Si vous vous autosaisissiez, comme l’a fait le procureur de New York dans cette même affaire Pétro Tim, le peuple sénégalais vous aurait applaudit et salué votre liberté, votre courage, votre citoyenneté et votre indépendance.

Monsieur le Procureur, la justice est dite au nom du peuple. Alors, pouvez-vous interdire à ce peuple de donner son avis sur la marche de la Justice de son pays ? Monsieur le Procureur, vous êtes payés avec l’argent du contribuable. Alors, laissez-nous apprécier votre travail, car le Peuple est le seul juge compétent pour juger et apprécier positivement ou négativement votre action.

Au Sénégal, nous savons qu’aucun procureur de la République n’ose tenir une conférence de presse publique sur des dossiers pendants devant la Justice, sans avoir la double autorisation (verbale ou écrite) du ministre de la Justice et du président de la République. C’est une lapalissade de dire que le rapport de l’IGE, qui incrimine le maire de Dakar, vous a été transmis par l’Exécutif, dont le patron est Macky Sall, candidat de la coalition «Benno Book Yakaar», nouvel ami d’Ousmane Tanor Dieng.

Alors, pourquoi ne pas rendre public le rapport, comme l’ont été les précédents, afin qu’on puisse savoir qui a fait quoi de l’argent public ? Que cache ce refus de déclassifier le rapport ? Qui veut-on protéger encore ? L’Etat de Droit est passé par la fenêtre, depuis que le président de la République a dit avoir mis des rapports sous le coude.

Monsieur le Procureur, à chaque fois qu’un homme nanti de vos prérogatives se lance dans une opération de communication, c’est parce qu’il n’est pas à l’aise dans un dossier, ou alors il s’agit d’une affaire gênante, voire délicate.

Les dossiers Abdoul Mbaye, Bamba Fall, Khalifa Sall, Barthélémy Dias sont gênants, parce qu’ils impliquent des acteurs politiques, adversaires du président de la République, Macky Sall, votre patron. Messieurs Khalifa Sall, Barthélémy Dias et Bamba Fall sont les maîtres politiques de la capitale sénégalaise, qui résiste au pouvoir de l’APR à toutes les élections, depuis 2012. Alors, si on voit aujourd’hui le Parquet général fermer les yeux sur certains scandales, pour poursuivre des adversaires du Pouvoir, cela crée des suspicions et alimente des commentaires tout à fait légitimes.

Monsieur le Procureur, vous communiquez trop souvent. Vos sorties répétées laissent croire que vous cherchez à vous justifier face à une situation inconfortable, dans laquelle l’Exécutif vous a plongé.

Monsieur le Procureur, voici ce que vous aviez dit :

  • «Nous avons mené des enquêtes sur des flux financiers importants, que nous avons vus […] L’estimation provisoire des biens retrouvés, qui appartiennent à Aïda Ndiongue, fait état de 47 milliards 675 millions francs CFA».
  • «Des bijoux d’une valeur estimative de trois milliards 500 millions [de francs CFA] ont été aussi retrouvés. Le 16 janvier 2014, un montant de huit milliards [de francs CFA] a été trouvé dans une institution financière. Des bijoux d’une valeur estimative de 12 milliards [de FCFA) ont été aussi retrouvés».
  • «Aujourd’hui (vendredi), 250.000 euros (environ 163,7 millions de francs CFA) ont été retrouvés dans un coffre lui appartenant. Vingt-mille (environ 10 millions de francs CFA) et des bijoux d’une valeur de 600 millions de francs CFA aussi».

Nous avons bien suivi l’affaire Aida Ndiongue, jusqu’à son épilogue. On se rappelle l’histoire du fameux communiqué de presse qui avait créé un malaise au sein du Parquet et qui remettait en cause la décision du juge qui avait relaxé l’ancien maire des HLM. Vous aviez tellement chargé la dame que son honneur en a été terni. La suite est connue. Aujourd’hui, sa santé en est fortement affectée.

Monsieur le procureur vous avez dit ceci :

  • «Sur les rapports de l’Ofnac, j’ai déjà été saisi. Tous les rapports de l’Ofnac sont en train d’être étudiés par la Section financière de mon Parquet. Prochainement, une conférence de presse sera organisée à cet effet. Je vous réunirai. Je sais qu’il y a beaucoup de bruit autour de cette question. Je vous en parlerai».

Monsieur le Procureur, l’ancienne présidente de l’Ofnac, qui avait rédigé ce rapport, a été limogée. Allez savoir les raisons. Le Directeur général du COUD, qui a été épinglé dans ledit rapport, reste impuni. Et il n’est pas le seul responsable de l’APR à bénéficier à ce régime d’impunité. Quand est-ce que la Section financière de votre Parquet va-t-elle terminer l’étude de ce rapport de l’Ofnac, transmis depuis plusieurs mois ? Quelqu’un l’aurait-il «mis sous le coude» ? Nous avons l’impression que lorsque le dossier concerne un responsable de l’APR, la Justice prend les voies à fort taux d’embouteillages… Et si c’est un opposant au Président Macky Sall, elle prend l’autoroute à péage.

  • «Il a expliqué devant les enquêteurs que tout cela était faux et n’était destiné qu’à couvrir les 30 millions de FCFA qu’il prenait et qu’il remettait en main propre à Khalifa Sall. C’est ça le problème mais pas de la politique…Vous voyez, donc, qu’ici, il devait s’agir de justifier la somme de 1,800 milliard de l’argent pris dans les caisses, sans justification», avez-vous dit.

Monsieur le Procureur, il sera difficile de faire comprendre aux Sénégalais que l’affaire Khalifa Sall n’a rien de politique. D’abord, ce sont ses principaux lieutenants (Bamba Fall et Barthélémy Dias) qui sont traînés devant la Justice, l’un après l’autre.

Monsieur le Procureur, si Khalifa Sall a commis des malversations, pourquoi attendre maintenant, à quelques mois des élections, pour le poursuivre ? Nous nous opposons à la dilapidation de nos maigres ressources, mais nous dénonçons toute Justice sélective. Monsieur le Procureur, qu’allez-vous faire des responsables de l’APR et des hommes d’affaires proches du régime, récemment épinglés par la Cour des Comptes ?

Monsieur le Procureur, ne soyez jamais la personne qui aidera le Président Macky Sall à écarter ses adversaires de la course aux Législatives. Car, un de ces jours, il n’hésitera pas à vous lâcher, comme il l’a fait avec le Procureur Alioune Ndao, en pleine audience à la CREI.

  • «Il y a eu deux actes qui concernent un seul mariage. Abdoul Mbaye a présenté un document devant être l’acte de mariage avec séparation des biens et polygamie. Son épouse aussi, Aminata Diack, a présenté un acte de mariage où il est mentionné communauté des biens et monogamie. Alors, j’ai eu deux actes de mariage avec des mentions différentes pour un seul mariage, donc il y’a forcément un faux», avez-vous dit encore.

Monsieur le Procureur, dans l’affaire Abdoul Mbaye, même s’il y a du faux, qui peut en être l’auteur principal ? Vous n’allez pas croire qu’Abdoul Mbaye, qui n’est pas un agent d’Etat civil, a confectionné, lui-même, son propre certificat de mariage. Si cette éventualité était écartée, Abdoul Mbaye ne pourrait donc être qu’un complice. Si sa complicité n’était pas prouvée, matériellement, Abdoul serait donc une victime.

Monsieur le Procureur de la République, vous avez assez d’éléments qui peuvent remplir pleinement vos journées au Parquet. Attendez-vous d’être saisi ou d’avoir des éléments pour lancer des poursuites contre les auteurs des scandales suivants:

Bictogo: 19 milliards de FCFA ;

Africa Energy: 300 milliards de FCFA ;

Petro Tim: plus de 600 milliards de FCFA ;

Iris: 50 milliards de FCFA ;

Arcelor Mital : 2500 milliards de FCFA ;

Sahel aviation etc. ?

Nous ne bouclerons pas ce texte sans parler du député Farba Ngom, qui a osé insulter publiquement le Préfet de Matam, patron de l’Exécutif départemental et, par conséquent, représentant du chef de l’Etat. Et pour des faits moins graves, des députés ont vu leur immunité parlementaire levée. Vous attendez d’être saisi ?

Monsieur le Procureur, relisez les articles 8, 9 et 10 de la Constitution sénégalaise, pour mieux comprendre pourquoi vous ne pouvez pas limiter nos libertés. Au-delà de votre personne, nous avons le droit de critiquer la politique du Président Macky Sall, président du Conseil supérieur de la Magistrature, patron de tous les magistrats du Sénégal.

Monsieur le Procureur, vous ne pouvez pas avoir un privilège que le Chef de l’Etat n’a pas. La Justice est dite au nom du peuple, et ce peuple dira ce qu’il pense de sa Justice et de la manière dont elle est dite par ceux qui en ont la charge, dont vous.

Vive la Justice sénégalaise, vive le Sénégal !

Monsieur Mamadou Mouth BANE

Président du Mouvement «JUBANTI SENEGAL»

Khalifa Sall : «Si je voulais magouiller, j’aurais choisi mes hommes à certains postes»

 Khalifa Sall n’a pas porté de gants pour apporter de nouvelles précisions sur la gestion de la caisse d’avances qui poussent les autorités actuelles à l’accuser de ‘’détournements’’ de deniers publics. Selon lui, s’il voulait magouiller, il aurait tout simplement choisi ses hommes à certains postes.

Montant au créneau, Khalifa Sall a d’emblée soutenu que le procès intenté contre sa personne est une pure manœuvre dans l’unique but de le discréditer. Une manière pour les autorités, de le mettre en mal avec les populations dakaroises pour ne pas dire tout le Sénégal. Revenant sur la caisse qui est la source de tous les problèmes qu’il traverse, il dit : «Après la suppression de la tutelle, le maire est devenu entièrement responsable de la gestion des fonds. Depuis 20 ans, l’Etat a mis en place un dispositif qui permet à la mairie de Dakar de venir en aide aux populations.»

Ce dispositif dérogatoire, argumente-t-il, «permet au maire de dépenser l’argent selon des procédés propres.» A l’en croire, les autorités ont accepté de permettre au percepteur de renouveler la caisse sur la base d’un document administratif. «Ce sont des fonds politiques qui fonctionnent de la même façon que les autres fonds politiques», clarifie-t-il.

Arguant que s’il voulait magouiller il aurait choisi ses hommes à certains postes, il s’interroge en ces termes : «Comment un faux peut exister pendant 20 ans ? Comment peut-on renouveler pendant 20 ans un fonds sans que personne ne le sache ?» Une occasion pour faire savoir, «si l’Etat ne le voulait pas, ce fonds n’aurait pas existé pendant 24 heures.»

Prenant position, l’édile de la capitale de faire remarquer que «l’enquête est tronquée surtout que cette caisse relève d’une caisse politique. Une caisse d’avance ne dépasse pas 5 millions.» Dans la même lancée, il signale qu’à la ville de Dakar, «nous avons huit caisses d’avance.» Défendant vaille que vaille que Macky Sall (Président) connaît bien ces fonds, Khalifa Sall de terminer en soulignant avoir bien duré dans l’État pour savoir comment les autres fonctionnent.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

KHALIFA SALL ORGANISE SA DEFENSE : «Je demande solennellement au Président de la République que le rapport de l’IGE soit rendu public…Mon bureau transféré à la DIC»

En conférence de presse ce dimanche, Khalifa Sall, maire de Dakar a tenu à apporter des clarifications sur la gestion de la caisse d’avances de sa municipalité. Et, suite à la récente sortie de Serigne Bassirou Guèye, Procureur de la République, l’édile de la capitale a tenu à organiser sa défense demandant au Président Macky S all de rendre public le rapport de l’Inspection générale d’Etat.

Le maire de Dakar Khalifa Sall organise sa défense et est prêt à faire face aux autorités actuelles du pays. En effet, l’édile de la capitale a défié le président de la République Macky Sall en lui demandant de déclassifier le rapport de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) que dit-on l’incrimine. Le maire de Dakar de demander solennellement au Président de la République Macky Sall de rendre public le rapport, pour dit-il : «Que chacun sache où se trouve la vérité et que chacun se fasse une idée de ce qui se passe.»

Khalifa Sall d’aller plus loin en disant que jamais le rapport n’a mentionné de détournement ou escroquerie et il a défié le Gouvernement de rendre publique toute implication ou toute escroquerie qu’il aurait commise depuis 2009. Khalifa Sall de dire que «tout le monde sait que depuis 2009, la mairie de Dakar est la mieux gérée au Sénégal parce que depuis que je suis arrivé, je veille personnellement à ce que la transparence règne dans la boite.» Poursuivant, il clame : «Jamais je ne me suis impliqué dans la passation de marché, jamais je ne m’en suis occupé. Je n’ai jamais fait de transaction frauduleuse ou de quelconque nature allant dans le sens contraire à la transparence.»

Un entourage ‘’persécuté’’

Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, le maire de Dakar de laisse entendre que ses plus proches collaborateurs sont ‘’persécutés’’ sans oublier que cela un an que son bureau est transféré à la Division des investigations criminelles. «Cela fait plus d’un an que mon bureau se situe entre le Tribunal et la Division des Investigations Criminelles (DIC). Mais aujourd’hui, je ne parle pas pour répondre au Procureur.»

Une occasion pour dire que «les vérifications ont duré plus de 18 mois et le Procureur a fait son enquête en 12 jours alors je ne réponds pas. J’en laisse le soin à mes avocats que je remercie au passage. Cette cabale est politique, mais moi j’en fais aujourd’hui une journée de vérité.»

AM (actunet.sn)

Stratégie numérique : Heetch condamné, l'Etat fait l'autruche

La condamnation de la start-up, notamment pour «complicité d’exercice illégal de la profession de taxi» et «pratique commerciale trompeuse», montre les limites d’un modèle importé de la Silicon Valley mais ne doit pas faire croire pour autant à la fin de l’économie du partage. Pourtant, les pouvoirs publics refusent de réfléchir au futur.

Trump accuse Obama de l’avoir mis «sur écoute»

Dans une salve rageuse sur Twitter, Donald Trump a accusé – sans preuves – son prédécesseur de l’avoir espionné pendant la campagne présidentielle. Le tout sur fond d’ingérence de la Russie dans la course à la Maison Blanche.

La rechute était prévisible. Quatre jours après son discours devant le Congrès, au cours duquel il avait enfin semblé enfiler le costume de président, Donald Trump a replongé samedi matin dans l’hystérie, enchaînant plusieurs tweets incendiaires. «Terrible ! Je viens de découvrir qu’Obama avait mis mes lignes sur écoute dans la tour Trump juste avant ma victoire. Rien n’a été découvert. C’est du maccarthysme !», a-t-il d’abord écrit, peu après 6h30. Trois autres messages ont été postés dans les minutes suivantes, dont l’un comparant la situation au scandale du Watergate sous Nixon et reprochant à Barack Obama d’être une «personne malfaisante (ou malade)» («Bad (or sick) guy!»).

Affaire Troadec : deux personnes en garde à vue à Brest

Il s’agirait d’un homme et d’une femme, proches de la famille qui a disparu mystérieusement de sa maison à Orvault depuis le 16 février.

Enfin du nouveau dans l’affaire Troadec : deux personnes ont été placées en garde à vue à Brest ce dimanche matin, a indiqué le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès.

Il s’agirait d’un homme et d’une femme, proches de la famille Troadec qui a disparu mystérieusement de sa maison à Orvault (Loire-Atlantique) depuis le 16 février. Ils avaient déjà été entendus au début de l’enquête, selon des informations de Presse Océan publiées sur son site internet, mais on ne connaît pas leur identité.

Séoul promet 815 000 euros aux Nord-Coréens qui font défection

L’enveloppe maximum allouée par la Corée du Sud à leurs voisins du Nord qui voudraient quitter leur pays et livrer des informations sensibles a quadruplé.

Jusqu’à 1 milliard de wons (815 000 euros) : c’est la nouvelle somme promise aux Nord-Coréens qui décideraient de faire défection à leur pays pour passer en Corée du Sud et livrer des informations sensibles sur leur Etat hermétique. La récompense promise était jusqu’ici de 204 000 euros maximum – c’est la première fois en vingt ans que le montant augmente… et pas qu’un peu, puisqu’il quadruple. L’agence sud-coréenne Yonhap indique que ce montant varierait en fonction de l’importance des informations fournies.

CNTS/ FC

Le Secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal, forces du changement (CNTS/FC), Cheikh Diop, a annoncé hier à Thiès que ses camarades et lui ont décidé, après concertations, de prendre part aux échéances électorales à venir. ‘’Les syndicalistes se concertent depuis deux ans. Et aujourd’hui, ils ont pris la décision de se faire représenter à l’Assemblée nationale. Pour cela, nous comptons participer aux législatives du 30 juillet 2017.

Nous avons pris contact avec l’ensemble de nos sympathisants et partenaires avant de prendre une telle décision’’, a rappelé Cheikh Diop devant ses collègues syndicalistes. Avant d’ajouter que le débat qui se passe aujourd’hui à l’hémicycle ne ‘’reflète pas le niveau et la conscience démocratique des populations’’. Or, a-t-il ajouté, cette Assemblée doit aussi privilégier le débat économique et social qui, selon lui, sont les ‘’parents pauvres de l’Assemblée’’. C’est pour cette raison que ces camarades et lui ont décidé de se lancer dans la conquête des sièges à l’Assemblée nationale ‘’afin d’offrir à l’ensemble du mouvement syndical la place qu’il mérite’’.

MUTINERIE DE REBEUSS, MORT D’ELIMANE TOURE – Les dossiers embarrassants

Hier, lors de sa conférence de presse, le procureur de la République s’est prononcé sur la mort suspecte du transitaire Elimane Touré. Il a dit avoir actionné la brigade prévôtale saisie, malgré l’autopsie qui parle de suicide. Il a aussi fait cas de la mutinerie de Rebeuss et de l’enquête qui piétine.

Le 20 septembre 2016, une mutinerie a éclaté à la maison d’arrêt de Rebeuss au cours de laquelle plusieurs personnes ont été blessées et le nommé Ibrahima Mbow, alias Ibrahima Fall, a perdu la vie. ‘’Aussitôt, nous avons été instruits de procéder à une enquête diligente et indépendante pour faire toute la lumière. La DIC en a une fiche chargée et l’enquête suit son cours. Cependant, et je dois l’avouer en toute responsabilité, à ce stade de l’enquête, l’auteur des faits n’a pas été identifié. Mais, l’enquête se poursuit et toute personne pouvant contribuer à la manifestation de la vérité sera la bienvenue’’, déclare le Procureur.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention