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revelAtion de mme fAtmA diouf sAmourA – la fifa verse 1,4 milliard par aN à la fédératioN

Quelle est l’objet de votre première visite à Dakar ?

C’est tout normal que je revienne de temps en temps chez moi au Sénégal, ma maman y vit encore, mes frères et sœurs aussi. Mais je suis surtout venu pour annoncer une bonne nouvelle, celle de l’ouverture imminente du bureau régional de la FIFA à Dakar. Avant les nouvelles réformes, on avait quatre bureaux en Afrique, pour ce qui concerne notre zone, un bureau est en Côte d’Ivoire et suite à la réorganisation de notre administration, mais pour des raisons de commodités et de proximité linguistiques, la FIFA va ouvrir ce bureau. J’ai officiellement annoncé la nouvelle au premier ministre, le président de la Fédération sénégalaise de football, était déjà, bien entendu au courant et j’espère qu’avec l’accord des autorités Sénégalaises, ce bureau verra le jour avant la fin du second semestre de 2017. Il doit être attribué à titre gratuit, c’est possible mais à la différence des autres bureaux, ça ne sera pas seulement une représentation qui fera office de boite aux lettres. C’est un bureau qui sera composé de cinq personnes dont un directeur de bureau, un directeur technique, un responsable du marketing et de l’administration mais aussi un responsable de l’audit et la conformité. On espère que ce bureau pourra servir d’extension des responsabilités de l’administration au niveau de la Fifa et qu’il va pouvoir aider dans une grande mesure à mettre en place le programme Foward. Egalement toutes les réformes qui sont en cours depuis le mois de mai 2016. Qu’en est-il du programme FIFA-Goal qui a permis à beaucoup de Fédérations de bénéficier des projets ?

En même temps que le programme Goal, une dizaine de programmes que la FIFA finançait. Aujourd’hui on a dé- cidé de consolider tous ces programmes autour d’un seul programme unique, qui a pour nom le programme Foward. C’est un programme sur lequel le président Gianni Infantino a été élu et qui consiste à multiplier les revenus habituellement attribués sur les différents programmes. Chacune des 211 associations membres de la FIFA peut bénéficier chaque année 2,250 millions dollars (soit environs 1,4 milliards de francs CFA). Dont 500 000 dollars (309 millions de francs CFA) attribués aux programmes et 750 000 dollars (465 millions de francs CFA) alloués au titre de développement des compétitions. Mais en plus de ces 1,250 million dollars pour les pays qui sont enclavés, qui ont une difficulté logistique, il y a une possibilité d’avoir aussi accès à un fonds destiné à l’équipement et surtout le développement du football des jeunes et des femmes, qui tourne autour de 150 000 dollars. Ce programme Foward doit faire l’objet d’un contrat d’ici le 1er juin 2017. Il devra définir les priorités du football et les programmes signés entre la FSF et la FIFA qui seront financés. C’est quand même une meilleure gestion, plus rationnelle des ressources. Et de savoir sur quels critères étaient attribués ces financements Goal, au moins dans le cadre de ces financements, les priorités seront définies non pas par la Fifa mais par la Fédération elle-même. Et nous espérons, qu’au niveau de ces Fédérations, qu’une partie non négligeable des fonds sera allouée au foot féminin. Depuis mon arrivée, au sein de l’administration, le football féminin est reconnu comme une partie intégrante et non pas un parent pauvre. Avec une division totalement dédiée au football féminin dirigée par une Nouvelle Zélandaise, qui fait également partie du Comité des nouvelles ré- formes. Vos attentes réelles sur ce football féminin ?

Mes attentes, mettre en branle ce football féminin qui est le parent pauvre du football mondial et faire en sorte que les femmes puissent faire carrière. Après la Coupe du monde de 2015, des complaintes ont émané des joueuses regrettant ne pas recevoir le même traitement que leurs homologues masculins. Mais moi je veux aussi qu’on tire beaucoup de leçons du football masculin, notamment des erreurs. Je ne veux pas que ces questions de stars et d’argent impactent négativement sur le football féminin. On veut quelque chose de propre qui va permettre aux femmes de s’épanouir et de briser ce plafond de verre qui consiste à les reléguer au second rang. L’Afrique du Sud l’a fait avec beaucoup de réussite. Avec la nouvelle formule, on autorise maintenant les Confédérations de co-organiser, l’exemple de 2002 entre le Japon et la Corée est là. Le seul problème en Afrique, c’est qu’il y ait des moyens qui permettent à tout le monde de se déplacer plus facilement. Pour l’Afrique ce sera un grand test, mettre aux normes nos infrastructures pour pouvoir abriter cette compétition. En terme infrastructurel, la Coupe du monde c’est le top. On ne peut pas se permettre d’avoir des compétitions avec des infrastructures qui ne rentrent pas avec le niveau du football qu’on voudrait. Au niveau de la Coupe du monde, il n’y a pas de sous-standards et c’est la compétition qui permet à la FIFA de générer 5 milliards de dollars tous les quatre ans, et c’est avec cet argent que nous arrivons à financer nos programmes. Comment avez-vous trouvé la Fédération ?

La FIFA ne s’immisce pas dans la gestion quotidienne des Fédérations. Le seul fait de vous voir ici prouve que la Fédération marche et on espère un jour qu’on aura une équipe sénégalaise qui ne décevra pas. Nous avons beaucoup moins de scandales au Sénégal que par le passé. C’est aussi bien de voir que la Fédération est en train de s’ouvrir, avec la nomination de femmes au niveau du Comité exécutif. Par ailleurs, Il faut qu’on signe le contrat avant le 1 er juin, ça ne veut pas dire pour autant que si la Fédération ne signe pas à cette date que les financements ne vont pas arriver. La partie qui est réservée au fonctionnement est déjà débloquée sur 152 des 211 pays affiliés. Ce qui est souhaitable, c’est d’avoir une clarté dans les priorités qui sont définies par les Fédérations et les financer sur ses bases-là.

ELECTRIFICATION RURALE A PODOR – L’Etat connecte 34 villages

Bientôt l’électricité ne sera plus un luxe dans certaines localités du département de Podor. Avec le Programme national d’électrification rurale, 34 villages vont disposer de courant pour une enveloppe de 3 milliards de F CFA.

34 villages qui se trouvent dans les communes de Dodel, Démette, Madina Ndiatbé, Doumnga Law, Walaldé, Gamadji Saré,  et Guédé Village situés dans l’île à Morphil dans le département de Podor vont bientôt avoir accès à l’électricité. Le Directeur général de l’Agence sénégalaise d’électrification rurale, Baba Diallo,  s’est rendu dans cette zone pour voir l’état d’avancement des travaux. Il était accompagné par ses proches collaborateurs dont le concessionnaire de la Compagnie marocaine sénégalaise d’Electricité (COMOSEL) et  l’entreprise Myna Distribution. De  Pathé Gallo en passant par Siwré Thiambé, Dara Alaybé, Walaldé, jusqu’à Démette entre autres localités, le Dg a constaté que les promesses d’électrification tenues par le chef de l’Etat sont en train d’être respectées et ceci à la grande joie des populations de cette partie du Sénégal.

JOURNEE DU CINEMA SENEGALAIS AU FESPACO : Entre reconnaissance et appel à l’union

 Le 7ème art sénégalais a eu sa « Journée » à lui au Festival panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (Fespaco)…De quoi émouvoir quelques-uns des cinéastes et autres réalisateurs présents lors de la conférence de presse d’hier, mardi 28 février, au Marché international du Cinéma africain (Mica). On les entendra d’ailleurs dire que le Fonds de promotion à l’Industrie cinématographique et audiovisuelle (Fopica), qui dévoilera dans quelques jours la liste des tout derniers projets retenus, une trentaine, était d’un soutien inestimable. Moussa Touré, qui s’est surtout adressé aux plus jeunes, défendra quant à lui l’idée d’un cinéma sénégalais, où les cinéastes eux mêmes seraient unis.

Où est passé Malal Ndiaye ?

Le champion d’Afrique Malal Ndiaye est porté disparu depuis un bon bout de temps. Depuis quelque temps, il n’est plus si visible dans les mbapatts et même dans la lutte avec frappe. Malal Ndiaye a t-il émigré ? Tout porte à le croire car il ne vient plus au stade et se fait rare de jour en jour.

DIENE KAIRE -DOUMBOUL – Soumbédioune prêt et exige des conditions

Le fils de Kaïré est actuellement dans la ligne de mire de tous les jeunes lutteurs. Après Gora Sock, c’est au tour de Doumboul qui veut se mesurer à Diène Diouf Kaïré en le défiant et il l’a nommément cité pour que son rêve puisse se réaliser. Mais le promoteur qui veut décrocher cette affiche devra sortir la grande artillerie. Une source proche du lutteur dit avoir des contacts avec des promoteurs. Ce qui fait dire que le combat entre le jeune lutteur de Soumbèdioune et celui de Yoff est actuellement démarché. Mais le hic, ajoute la source, le blocage se trouve au niveau du montant du cachet proposé par les promoteurs. «Nous n’allons pas accepter un cachet dérisoire pour affronter Doumboul même si nous sommes prêts», nous révèle la même source proche du lutteur. À cet effet, le staff de Diène Kaïré se dit même prêt à attendre la saison prochaine pour disputer un combat si un promoteur ne propose pas un cachet raisonnable. Ainsi, pour l’heure, Diène s’emmure dans un silence de cathédrale en attendant d’apporter une réponse par la voix de son staff.

Mondial 2026 – Huit à dix représentants pour l'Afrique

La Fédération internationale de football association (FiFA) pense à augmenter le nombre d’équipes présentes à la coupe du monde. Ce sera effectif en 2026, avec 48 équipes, dont huit à dix représentants pour le continent africain. une aubaine pour l’Afrique qui dispose aujourd’hui de cinq repré- sentants

«Ça été une décision éclair. Ce genre de révolution a lieu tous les trente ans, celle d’augmenter les nombres d’équipes. C’est décidé après deux Conseils. Au mois d’octobre, les membres du Conseil de la Fifa ont demandé plus d’éléments qui militaient en faveur de l’organisation d’une Coupe du monde à quarante huit équipes. A l’unanimité, au niveau des six confédérations, la décision a été prise. La Coupe du monde à 48, qui verra le jour en 2026, permettra à l’Afrique d’avoir un minimum de huit équipes, ça peut monter à neuf. On essayera de trouver la meilleure approche du football mais également la représentativité géographique», explique le secrétaire exécutif de la FIFA. Le temps imparti à cette nouvelle formule a permis de constater que pour ces quatre vingt matches à venir, il n’y aura pas un jour de plus par rapport au format ancien avec trente deux équipes. «On n’aura pas plus de sept matches pour le vainqueur de la Coupe du monde. Pas plus de douze stades aussi, et cerise sur le gâteau, on générera un bonus de 640 millions de dollars. Ça ne va pas rester dans les réserves, mais investi au niveau des équipes. Pour l’Afrique, c’est tout gagnant, on peut passer à huit ou neuf, et même à 10 si on se bat bien», pense-t-elle. Et de dire que le monde du football ne lui est pas étranger. «Je suis mariée à un ancien joueur du Dial Diop. Ma famille a baigné dans le football à Gibraltar. Quand j’étais étudiante à Lyon, j’y ai connu Aulas. J’ai aussi travaillé et collaboré avec Roger Milla, et je rappelle que Rigobert Song était mon voisin. Sans parler de Cheikh Seck avec qui j’ai collaboré aussi», se rappelle-telle. Histoire de montrer que ce terrain ne lui est pas complètement inconnu. Elle estime que quand on parle de football on doit penser aux jeunes. «On pense aux jeunes qui sont dans la rue et dont les conditions pourraient être améliorées dans des cadres formels. Occasion de rendre hommage à un homme. Que l’exemple de Saër Seck puisse être multiplié par dix voire cent au niveau de toutes les régions d’Afrique et du monde. Au Sénégal, le football est professionnel dans une portion congrue, avec 2% de footballeurs, le reste est constitué d’amateurs. Cette ouverture de la Coupe du monde à quarante huit permettra

Lac Rose se tue aux entraînements

En compagnie de ses coéquipiers Bara Ndiaye, Général, Pape Ndoye, entre autres, le fils de Grand Dakar prépare activement son combat face à Moussa Ndoye prévu au mois d’avril prochain. Ilse tue aux entraînements etson seulsouhait est de mettre à terre le champion deYarakh. Raison pour laquelle rien n’est laissé au hasard pour gagner ce duel.

Nandy Fall vise le sommet

Il veut entrer dans l’antichambre de la cour des grands. Après avoir battu Santang Gning, le fils de Grand Yoff veut atteindre le sommet. Il ne veut pas citer de noms mais il vise très haut. N°2 de l’école de lutte Grand Yoff Mbollo, Nandy Fall a un parcours parsemé de victoires, et celle contractée face au fils de Mbour l’a revigoré.

MATAR BA SUR LA VISITE DU SECRETAIRE EXECUTIF DE LA FIFA «Le nom du sénégal sera collé au développement du football mondial»

En marge de sa visite au Séné- gal, le secrétaire exécutif de la Fifa Fatma Diouf Samoura s’est entretenu avec Matar Ba au siège du département des sports. Quelques mois après sa nomination au poste de secrétaire exécutif de la Fifa, Mme Samoura rend visite à la fédération. Avant de faire un saut au siège du ministère des sports pour s’entretenir avec le chef du département. Qui s’est dit heureux de recevoir le secrétaire exécutif de l’instance mondiale de football. «Nous avons aujourd’hui l’honneur de recevoir notre compatriote, secrétaire exécutif de la Fifa, accompagnée du président de la fédération séné- galaise de football, Augustin Senghor, à la tête d’une forte délégation. C’est toujours un plaisir de recevoir une compatriote qui occupe une place centrale dans le développement du football mondial. Nous avions, en son temps, envoyé une lettre de félicitations au nom du gouvernement, et lors d’un conseil des ministres le chef de l’état avait tenu à féliciter Mme Fatma Samoura. En visite officielle, elle a rencontré le premier ministre hier, et ce mardi elle nous fait l’honneur de sa présence. Nous saisissons cette occasion pour lui dire de vive voie, toute notre satisfaction», a dit Matar Ba. Le patron du sport sénégalais de poursuivre : «Qu’on le veuille ou non, le nom du Sénégal est collé au développement du foot mondial. Parce que c’est une séné- galaise qui occupe le secrétariat général, s’il y’a réussite on parlera du Sénégal et s’il y’avait revers aussi, on parlera de notre pays. Ce sont ses qualités qui ont fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui. Ce n’est pas pour elle, une question de faire sa vie dans le football, mais de contribuer au développement du sport roi». Quant à l’objet des discussions entre les deux parties, le ministre révèle : «nous avons discuté du développement du sport mondial, de l’Afrique et plus particulièrement du Séné- gal. Mais aussi des bonnes relations qu’entretiennent la fédération et l’Etat du Sénégal. Nous avions prié pour elle, elle peut compter aussi sur l’appui et le soutien du monde sportif sénégalais». Matar Ba d’ajouter que «nous tous serons toujours à ses cotés pour l’accompagner dans sa noble mission. Et nous ferons en sorte que l’effectivité des bureaux que veut ouvrir la Fifa à Dakar soit une réalité dans les plus brefs délais. Ce sera une valeur ajoutée à ce qu’on est en train de faire sur le plan sportif et diplomatique»

Bataille de Mossoul : France 24 avec l'armée irakienne sur les rives du Tigre

Les envoyés spéciaux de France 24 suivent jour après jour la progression des forces de sécurité irakiennes sur le front de Mossoul face aux jihadistes de l’EI, alors que la bataille finale dans la vieille ville s’annonce la plus ardue.

Quartier après quartier, les forces de sécurités irakiennes progressent à Mossoul face aux combattants de l’organisation État islamique (EI). Quatre mois après le début de l’offensive contre le bastion des jihadistes en Irak, les “avancées sont absolument incontestables”, affirme Matthieu Mabin, envoyé spécial de France 24 à Mossoul.

Après une difficile reconquête de l’est de la ville, les soldats et policiers irakiens ont engagé la seconde phase de l’offensive, à l’ouest, il y a 11 jours. Mardi 28 février, ils étaient à portée de tir du gouvernorat de Mossoul, le principal complexe gouvernemental de la ville. Cette bataille vise à atteindre la vieille ville, un “noyau entouré d’objectifs secondaires”, explique Matthieu Mabin. “Il n’y a qu’entre 50 et 100 mètres entre eux et nous. Ils sont juste au Nord”, dit le colonel Abdel Ameer Al-Mohamadawi, sur les rives du fleuve Tigre.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention