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Assassinat de Kim Jong-Nam: deux femmes inculpées en Malaisie

SEPANG (MALAISIE) (AFP) – 

Deux femmes ont été inculpées mercredi par la justice malaisienne pour l’assassinat de Kim Jong-Nam, le demi-frère tombé en disgrâce du dirigeant nord-coréen, empoisonné à l’aéroport de Kuala Lumpur selon un scénario digne d’un roman d’espionnage.

Siti Aisyah, une Indonésienne de 25 ans, et Doan Thi Huong, une Vietnamienne de 28 ans, ont été inculpées pour l’assassinat de Kim Jong-Nam, mort le 13 février après s’être vu administrer un puissant agent neurotoxique.

Depuis le début de cette affaire aux relents de Guerre froide, la Corée du Sud pointe un doigt accusateur sur son voisin du Nord, citant un “ordre permanent” de Kim Jong-Un pour éliminer son demi-frère. Celui-ci vivait en exil depuis des années mais s’était montré critique envers un régime parmi les plus hermétiques au monde.

Affaire Fillon : "Trop tard pour la droite pour changer de candidat"

François Fillon a annoncé mercredi sa prochaine mise en examen dans l’affaire des emplois présumés fictifs qui empoisonne sa campagne. Le candidat LR a déclaré qu’il se maintenait, malgré tout, dans la course à la présidentielle.

Bruno Le Maire démissionne de ses fonctions de conseiller auprès de François Fillon

Bruno Le Maire claque la porte de l’équipe de campagne de François Fillon. Il déplore la décision de ce dernier de maintenir sa candidature à l’élection présidentielle malgré la menace d’une mise en examen.

Bruno Le Maire a annoncé mercredi 1er mars démissionner de ses fonctions de conseiller et représentant pour les affaires européennes et internationales auprès de François Fillon, contestant la décision de ce dernier de maintenir sa candidature malgré une possible mise en examen..

Réconciliation avec Khalifa : Tanor fausse le rendez-vous avec les Sages du Ps

 

Il faudra repasser ou remiser pour toujours l’initiative, prise par les Sages du Ps, de réconcilier le secrétaire général dudit parti, Ousmane Tanor Dieng, et le maire de Dakar, Khalifa Sall. En tout cas, elle a connu un retard à l’allumage.

Hier, mardi 28 février, l’appel à la paix devait débuter par l’audition du premier. Mais le Comité des sages socialistes, présidé par Guirane Ndoye, père du maire de Dakar-Plateau, Alioune Ndoye, qui était en place à la Maison du parti, n’a pas vu l’ombre de Tanor. Las d’attendre, ses membres quitteront le siège du Ps sans faire de déclaration.

D’après certaines informations, la tête de file des Verts présidait au même moment une réunion du Haut conseil des collectivités territoriales qu’il dirige. Pourtant ce weekend, c’est lui-même qui avait annoncé l’initiative des Sages de son parti.

Selon le plan initial, c’est à la suite de l’audition de Tanor que Khalifa Sall devait être entendu. En réalité, veut-il réellement une réconciliation ?

Participation des entités indépendantes aux législatives, bannir les dispositions contraignantes

A la lumière des dispositions du nouveau code électoral[1], article L.145, alinéa 2, il convient de relever d’emblée que les entités indépendantes ne peuvent pas présenter de candidats au scrutin majoritaire sur les listes des départements de l’extérieur et que les électeurs figurant sur le fichier spécial des Sénégalais de l’extérieur n’ont pas droit à parrainer une candidature indépendante.

De plus, le choix du fichier de référence à partir duquel les signatures seront recueillies par les entités indépendantes pour faire valablement acte de candidature aux prochaines législatives aurait dû être fixé de manière précise à l’image de la détermination du nombre de député à élire au niveau des départements de l’extérieur qui se fera sur la base du fichier actuel, cf. art. L.353, dispositions transitoires. Certes l’article L.354 prévoit l’usage du numéro de récépissé de dépôt qui peut faire office de numéro de carte d’électeur pour le dépôt des candidatures et pour le parrainage des candidatures indépendantes, mais il ne renvoie pas expressément au fichier actuel ni à celui en phase de constitution.

Comment peut-on déterminer 0,5% d’un fichier électoral qui ne sera consolidé qu’au terme de la gestion du contentieux sur les inscriptions ? Or à trois (3) mois de la date de dépôt des candidatures, les modalités de parrainage des candidatures indépendantes devraient être déjà précisées afin de faciliter la collecte des signatures.

Alors que l’article 29 de la Constitution prévoie, pour la recevabilité des candidatures indépendantes à l’élection présidentielle, la signature d’électeurs représentant au moins dix mille (10 000) inscrits domiciliés dans six régions à raison de cinq cents au moins par région, le parrainage en vue des élections législatives, encadré par le code électoral, obéissaient jusque-là aux mêmes critères. C’est ainsi que l’administration électorale a voulu maintenir cette clause.

Mais les acteurs politiques, sous le prétexte d’adapter le texte à l’évolution du fichier électoral, ont corsé les conditions de participation des entités indépendantes. Voilà ce qui a motivé les nouvelles dispositions contraignantes du code électoral dont certaines soulèvent même une question d’inconstitutionnalité.

En vérité, il faut admettre que celles-ci ont dévoyé l’esprit de la révision constitutionnelle. Il fallait donner à la volonté du constituant la plénitude de son sens puisque la garantie aux candidats indépendants de participer à tous les types d’élection, énoncée à l’article 4 de la Constitution, est un acquis consolidé par le référendum du 20 mars 2016. Autrement, l’initiateur des réformes institutionnelle aurait pu envisager simplement une loi qui autorise la participation des indépendants aux élections  locales dès lors que la loi constitutionnelle n° 91-46 du 6 octobre 1991 portant révision de la Constitution l’avait déjà intégrée pour l’élection présidentielle et le code électoral de 1992 pour les législatives.

Au surplus, et à sa décharge, le Président de la République avait bien prôné, lors du lancement du dialogue national, qu’aussi bien les candidats indépendants que ceux investis par les partis politiques soient soumis aux mêmes exigences relativement à la collecte de signatures d’électeurs. Une position que nous avons longtemps défendue puisque la participation aux élections est source de dépenses publiques énormes. Sous ce rapport, les partis politiques devraient cesser de se dissimuler continuellement derrière des coalitions. D’où la nécessité d’instaurer la preuve de la représentativité théorisée par l’expert Bakar Ndiaye.

Le code électoral, en encadrant la candidature indépendante en son art. L.57, est source de contentieux. Il en résulte que l’ensemble des candidats titulaires comme suppléants devront respecter la clause: n’avoir jamais milité dans un parti politique ou avoir cessé ses activités militantes au moins un (1) an. Or l’application stricte de cette disposition -à sens unique- provoquerait plusieurs contentieux car si le candidat tête de liste est facilement identifiable, il n’en est pas certain pour le reste des investis.

Si la refonte partielle en cours enregistre un taux d’inscription dans les proportions de celui de la refonte totale de 2007, le fichier parviendra à 6 millions d’inscrits (82%). Donc 0,5% des électeurs équivaut à 30 000  signatures que les entités indépendantes devraient collecter pour la recevabilité de leur candidature alors qu’à la présidentielle de 2007 et celle de 2012, six (6) candidats ont obtenu un score inférieur à 0,5% des inscrits tandis qu’aux dernières législatives sur les 24 listes en compétition, 18 n’avaient pas atteint ce seuil (26 843 électeurs) et pourtant sept (7) d’entre-elles ont pu gagner un siège à l’Assemblée nationale.

Au vu de tout ce qui précède, il serait judicieux de réformer le code électoral en vue de faciliter la participation des entités indépendantes aux élections :

  1. Prévoir la présentation des listes indépendantes pour le scrutin majoritaire départemental au niveau de l’extérieur,
  2. Moduler le nombre de signatures en fonction du nombre de circonscriptions dans lesquelles les candidatures seront présentées,
  3. Prendre en compte le quotient électoral des dernières élections législatives,
  4. Prévoir le parrainage par les électeurs inscrits dans le fichier spécial des sénégalais de l’extérieur,
  5. Instaurer le parrainage en ligne (par internet),
  6. Fixer un seuil de représentativité aux partis politiques.
  7. Préciser les modalités de collectes des signatures dès la fixation de la date des élections.

En attendant, il revient aux entités indépendantes qui souhaitent prendre part aux prochaines consultations d’intégrer les dispositions contraignantes et de négocier avec les quelques 200 partis politiques qui ne participent pas aux élections. Par conséquent, les entités indépendantes pourraient éviter le syndrome Youssou Ndour.

Ndiaga SYLLA, Expert électoral

Membre du GRADEC

Email : codelectoral@gmail.com

[1] Article L.145, alinéa 2 du code électoral: « Toutes entités regroupant des personnes indépendantes peuvent présenter des listes de candidats au plan national, sous réserve de se conformer à l’article 4 de la Constitution. Toutefois, pour pouvoir valablement présenter une liste de candidats, les entités concernées doivent recueillir la signature de 0,5% des électeurs inscrits domiciliés dans la moitié au moins des régions du pays, à raison de 1000 au moins par région. »

MAX MBARGANE ANALYSE LE COMBAT DU 05 MARS PROCHAIN

«Un combat éclair profitera à Gouy Gui, Boy Niang est plus technique»

Le chroniqueur de lutte et co animateur de l’émission Grand Combat Max Mbargane est très optimiste quant à la tenue du combat qui doit opposer Gouy Gui à Boy Niang. Selon Max, il est persuadé que le combat va se tenir, carla blessure du fils de De Gaulle n’est pas si grave qu’on ne l’aurait pensé. Revenant sur le combat et les atouts possédés par les deux champions, Max révèle que ce ne sera pas un combat facile pour tous les deux. Il précise que pour que Gouy Gui s’en tire à bon compte, il lui faut gérer le temps avec plus de perspicacité, pour que le combat soit rapide. «Gouy Gui est un lutteur coriace qui a actuellement pris du poids, chose qui l’arrange certes, du fait de son gabarit. Mais sur le plan technique, cela peut lui causer problème. Selon moi, je pense que pour arriver à bout de Boy Niang, il faut que Gouy Gui livre un combat éclair. Ce sera plus avantageux pour lui, car la durée du combat ne va pas l’arranger. C’est mon point de vue personnel». Décortiquant le système de combat de Gouy Gui, Max s’est aussi épanché surles atouts deBoy Niang. Il pense que techniquement, celui-ci est plus doué que son adversaire, mais cela ne veut pas dire qu’il doit minimiser Gouy Gui. «Je veux dire que sur le plan technique, ils sont tousles deux doués,maisBoy Niang a une petite longueur d’avance. Il a plus de tact et de réflexe, en plus il est plussouple à première vue sur le plan de la forme olympique. Mais cela ne doit pas l’empêcher d’avoir un œil sur lui. Il doit être vigilant, car c’est un combat capital pour Gouy Gui qui veut prendre la revanche de ses pairs qui sont Sa Cadior et Less». En tous les cas, le combat ne sera pasfacile, vu la hargne et la fougue dégagées par les deux champions de lutte qui donnent rendez vous aux amateurs

UTILISATION DES OGM  AU SENEGAL : Les préalables de Macky SALL

Présidant l’ouverture de la 8e édition de la séance académique solennelle 2017 de l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (Ansts), le président de la République, Macky Sall, a prôné une utilisation des Organismes génétiquement modifiés (Ogm). Macky Sall demande toutefois de franchir le pas en prenant les précautions nécessaires sur la base d’une régulation dynamique. Aussi a-t-il annoncé l’instauration de plusieurs prix pour promouvoir la culture scientifique chez les filles.

L’Assemblée nationale porte à 75 ans la limite l’âge de la Présidence

Les parlementaires gambiens ont approuvé mardi, un projet de loi portant de 65 à 75 ans l’âge limite pour postuler à la magistrature suprême et à la vice-présidence du pays. La limite d’âge était de 65 ans pour les deux postes, selon la constitution gambienne de 1997. Selon Apa, le projet de loi a été adopté à une écrasante majorité malgré la domination des députés de l’ancien parti au pouvoir, l’Alliance patriotique pour la réorientation et la reconstruction (Aprc), dont le candidat à la présidentielle de décembre, Yahya Jammeh, a été vaincu. De nombreux observateurs politiques en Gambie estiment que cette nouvelle loi permettra à Ousainou Darboe, le chef du Parti démocratique uni (UDP), de se présenter à la prochaine présidentielle. Darboe, quatre fois candidat à la présidentielle, est actuellement âgé de 68 ans. Cette réforme constitutionnelle ouvre également la voie à la nomination de Mme Fatoumata Jallow-Tambajang en tant que vice-présidente du pays. Un tollé général avait suivi sa nomination à ce poste le mois dernier, car frappée par la limite d’âge de 65 ans stipulée dans la Constitution.

UE: les ministres de l’Environnement réunis pour discuter des quotas de CO2

Les ministres de l’Environnement des 28 pays de l’Union européenne (UE) sont réunis à Bruxelles ce mardi 28 février 2017 pour discuter des quotas de CO2 au sein de l’Union. L’UE est le troisième plus gros émetteur de dioxyde de carbone dans le monde après les Etats-Unis et la Chine. Les dirigeants européens se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40 % d’ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990, mais aujourd’hui le prix du carbone est trop bas.

Etats-Unis: un contrat d'édition en or pour le couple Obama

L’ancien président des Etats-Unis Barack Obama et son épouse Michelle ont conclu un contrat d’édition record avec la maison Penguin Random House, qui prévoit un livre pour chacun, deux ouvrages déjà très attendus. Selon le Financial Times, l’éditeur aurait accepté de mettre sur la table plus de soixante millions de dollars pour s’assurer les droits des deux livres.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention