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POUR DES QUERELLES DE LEADERSHIP À PIKINE – Le Pds implose

Les libéraux de l’Arrondissement de Pikine Dagoudane contestent «l’intronisation» d’Amadou Diarra comme coordonnateur départemental du Pds de Pikine. Pour eux, le maire de Pikine Nord amuse la galerie.

APR BARGNY

La dernière sortie de Cheikh Bamba Dièye appelant les Sénégalais «à ne pas attendre 2019 pour faire partir le Président Macky Sall», a choqué les apéristes de Bargny. Condamnant «avec la dernière énergie» cet appel «indigne» d’un homme qui veut diriger le pays, le coordonnateur Apr de Bargny, Assane Mansour Mbengue rappelle à l’ancien maire de SaintLouis de savoir «raison garder». Car, il doit son titre de maire à la coalition Benno bokk yakaar sans laquelle, il n’aurait jamais accédé à ce niveau. Selon le coordonnateur des cadres républicains du département de Rufisque, Cheikh Bamba Dièye doit «respecter» le choix des Sénégalais. Car, ils savent mieux que quiconque le choix qui les arrange

MBOUR – Six pêcheurs disparaissent en mer

Le quartier Golfe à Mbour est dans la consternation. Six pêcheurs du quartier, dont des originaires de Gandiol, ont disparu en pleine mer. Parmi eux, un adolescent de 16 ans. Leurs parents éplorés ne savent plus à quelle autorité se vouer. Ils invitent l’État à les aider pour les retrouver. C’est le 8 février que ces pê- cheurs ont embarqué à bord d’une pirogue de 20 mètres, peint en blanc et gris baptisée «Rama Diop» pour une pêche en haute mer de quatre jours. Les tentatives des parents de ces pêcheurs ont multiplié les recherches qui ont été vaines. Ces disparussontAmadou Faye, 41 ans, Ibrahima Diop etAdama Diop, âgés de 20 ans, Madické Doucouré et Ismaïla Faye, âgés respectivement de 22 et 16 ans, et un pêcheur de Joal qui s’appelle Assane. «Nous avonsfait desrecherches en vain. Nous avons fait appel au service des pêches qui nous a fait savoir que la Marine nationale s’active pour les retrouver. Mais jusqu’à présent, il n’y a rien. Nous pensons qu’ils ont dû avoir une panne de moteur ou d’essence ou que leur câble est coupé. Nous demandons à l’État de nous aider dans les recherches parce qu’ils doivent être à 200 kilomètres au large de Mbour. C’est ce qu’ils avaient programmé. Il faut obligatoirement un hélicoptère», lance Bassirou Faye. Qui ajoute : «Nous n’avons reçu aucun soutien de la part des autorités locales. C’est pour cela que nous en appelons à l’aide de l’État».

Brouillage

Les hommes politiques sont, quoi que l’on puisse dire, des virtuoses dans l’art de la manipulation et du brouillage des esprits. Et des pistes. L’affaire de la caisse d’avances qui secoue le landerneau politique, illustre assez cet état des choses. Si les partisans du pouvoir soutiennent que Khalifa Sall a été pris la main dans le riz et le mil avec des fausses factures, les partisans de ce dernier, pour leur part, crient à l’acharnement et au complot. De sorte que bien malins sont ceux qui pourront voir clair dans cette caisse noire. Comme pour embrouiller davantage les esprits, partisans de Khalifa Sall et de Sidiki Kaba se sont donnés en spectacle à Tambacounda devant le domicile du Garde des Sceaux Sidiki Kaba. Le Maire de Dakar soutient qu’il était parti chez le ministre pour le saluer, mais les partisans du Garde des Sceaux se sont acharnés sur leur caravane. Ainsi, de part et d’autre, on parle de provocation avec forces arguments. Seulement le Maire de Dakar qui est réputé être un homme pondéré et courtois, devrait éviter d’aller braconner dans les champs de Kaba au point d’y recevoir des kabakourous (pierres). Dès lors qu’il clame à cor et à cri qu’il est blanc comme neige, il devrait continuer à garder sa sérénité et éviter des postures qui pourraient le desservir. B

Le streaming va plus vite que la musique

L’essor en France de l’écoute en ligne, plus rapide qu’attendu, a permis au secteur de renouer l’an passé avec la croissance, pour la première fois depuis 2002. Mais restent de nombreuses questions liées à la «transition numérique», notamment la contribution de YouTube.

ACCUSE DE VIOL ET HARCELEMENT SEXUEL SUR SA DOMESTIQUE – Le prévenu prétend que la victime est sa copine

Le Parquet a requis hier un an ferme contre un ressortissant ivoirien, responsable d’une poissonnerie, accusé de viol et de harcèlement sexuel sur son employée.

‘’Je lui ai fait une avance qu’elle  a acceptée. Elle était en même temps ma bonne et ma copine et elle a couché avec moi, deux fois par consentement’’. Ce sont en ces termes que Th. B. Doh s’est défendu hier, devant le Tribunal de grande instance de Dakar, statuant en matière de flagrant délit, des accusations de viol et de harcèlement sexuel qui pèsent sur lui. Malgré ses dénégations, le ressortissant ivoirien, responsable d’une poissonnerie à Dakar, risque un an ferme. Car sa domestique, S.  Th. S, a confié à la barre que son patron a bel et bien abusé d’elle.

Agée de 25 ans, la jeune fille a raconté que les faits remontent au mois d’octobre 2015. Alors qu’elle travaillait à l’usine du prévenu, un jour, celui-ci lui a proposé d’être sa domestique personnelle. Pendant tout un mois, elle s’occupait du ménage de son appartement aux HLM. Mais un soir, son patron lui a demandé de l’attendre puisqu’il ne rentrerait qu’aux environs de 22 heures car il avait des invités. ‘’A son retour, Il m’a trouvée presque nue car je sortais des toilettes. Ainsi, il m’a dit qu’il voulait que je devienne sa fiancée’’, a raconté la partie civile. Sauf que cette déclaration d’amour s’est terminée par une dispute… puis une relation sexuelle.

‘’M. Doh m’a fait savoir qu’il fallait qu’on ait des rapports sexuels avant qu’il ne m’épouse. On s’est bagarré et comme il était plus fort que moi, je me suis évanouie. C’est ainsi qu’il a abusé de moi’’, a narré S. Th. S. Selon ses dires, après avoir satisfait sa libido, son présumé violeur l’a réveillée en fixant deux ventilateurs sur elle. La suite, ‘’il a nettoyé le drap avec de l’eau de javel. Puis, il a promis d’aller raconter à mes parents que c’est lui qui m’a déflorée’’. Poursuivant son récit, la présumée victime a laissé entendre que son patron n’a pas respecté sa promesse mais il a plutôt récidivé. Toutefois, cette fois-ci, elle était consentante. ‘’Nous l’avons fait parce qu’il m’a promis le mariage’’, a-t-elle confié. Mais d’après le prévenu, il n’a jamais contraint sa domestique car elle est sa copine.

 ‘’Elle faisait même des scènes de jalousie quand elle me voyait avec ma fiancée. Elle me guettait partout, elle restait chez moi jusqu’à 2h du matin et m’apportait même à manger. Elle me pressait d’aller parler à ses parents mais je lui rétorquais qu’il nous fallait encore du temps car nous ne nous connaissions pas assez’’, s’est défendu le prévenu âgé de 30 ans. Qui a aussi déclaré que lors du premier rapport, il n’a pas vu de trace de sang. Pour mieux attester de sa bonne foi, il a allégué l’existence d’un amour entre sa victime et lui. ‘’En ce moment où je vous parle, nous sommes amoureux l’un de l’autre. C’est avant qu’elle vienne chez moi que je lui ai déclarée ma flamme. C’est elle qui m’a attiré et je ne pouvais plus résister. Ce jour-là, elle était en serviette’’, a soutenu le sieur Doh.

 Pour le Parquet, les faits sont avérés. Ainsi, en guise de réparation, la partie civile a réclamé 50 millions de F CFA de dommages et intérêts. ‘’Il n’y a rien dans le dossier qui permet d’asseoir la culpabilité du prévenu’’, a répliqué le conseil de la défense avant de demander la relaxe pure et simple de son client. Le Tribunal rendra son délibéré aujourd’hui.

BAISSE FACTURES D’ELECTRICITE – Le satisfecit des consommateurs

Ceux qui ont reçu leurs factures de ce mois ont pu goûter à l’agréable surprise de se voir délester de 10% de charge sur la facture d’électricité.

Seydou Massaly ne se rappelle pas avoir été aussi clément avec la société nationale d’électricité, la Senelec, depuis longtemps. ‘‘Depuis jamais en fait’’, lance-t-il taquin. Avec lui, c’était plutôt des grincements de dents soit contre les coupures, soit contre les factures salées, et éventuellement les deux. Mais ce samedi, il semble avoir rangé aux oubliettes ces récriminations habituelles. ‘‘Si cette mesure doit s’inscrire dans la durée, ce ne serait pas la fin de tous les problèmes. C’est un poids signifiant dont on nous déleste. Et c’est ce que nous avons besoin de voir’’, se réjouit cet instituteur à la retraite. ‘‘Le fait est que la classe politique en a toujours parlé, de tout temps, mais j’ai assez vécu pour le voir’’, lance-t-il toujours aussi plaisantin.

Ndeye Khady Gueye

A moins d’un énième renvoi, l’ex-administratrice du Fonds de promotion économique (FPE), Ndèye Khady Guèye, sera jugée aujourd’hui. Le 20 janvier dernier, le Tribunal correctionnel de Dakar avait encore renvoyé son procès à ce jour pour plaidoiries. Ndèye Khady Guèye et son présumé complice Babacar Mané, administrateur de la société africaine de patrimoine (SAP), sont poursuivis pour blanchiment de capitaux et escroquerie sur des deniers publics portant sur 3 milliards de F CFA.

Ndèye Khady Guèye a été arrêtée à cause d’un rapport de la CENTIF, l’accusant de prise illégale d’intérêts. Elle a obtenu la liberté provisoire après 14 mois d’incarcération. Sa libération est intervenue après le versement d’un cautionnement de 1,5 milliard F CFA.

FOOT – AFRIQUE DU SUD – La Safa condamne les violences contre les étrangers en Afrique du Sud

La Fédération sud-africaine de football (SAFA) “condamne avec la dernière énergie” les récentes violences commises sur les étrangers vivant en Afrique du Sud. “Nous ne pouvons pas accepter que des Africains ne soient pas les bienvenus dans notre pays”, déclare la SAFA dans un communiqué, ajoutant que le football sud-africain se développe grâce au soutien des autres pays africains. Des émigrés, des Nigérians pour la plupart, ont été récemment visés par des violences xénophobes commises par des Sud-Africains les accusant de vendre de la drogue et de pratiquer la prostitution en Afrique du Sud.

Ces étrangers sont accusés de “voler” aux Sud-Africains les offres d’emplois existant dans ce pays d’Afrique australe touché par une grave crise économique depuis plusieurs années. “Nous continuons de condamner l’usage de la drogue et les crimes qui affectent la société sud-africaine, notamment sa jeunesse, et appelons la police à faire ce qu’il est possible de faire pour extirper ces fléaux de notre pays”, ajoute la SAFA dans le communiqué publié sur son site Internet. Elle estime toutefois que “les crimes et les problèmes de drogue ont commencé avec l’apartheid”, la politique de ségrégation raciale menée par les Blancs en Afrique du Sud pendant près d’un demi-siècle à partir de 1948.

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