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47 milliards de Singapour : Karim Wade débouté

La Cour d’appel de Dakar a relaxé l’expert financier Alboury Ndao hier, lundi 26 février. Elle confirme ainsi le jugement en première instance. Le mis en cause était poursuivi pour faux par Karim Wade. Requis par la Crei, dans le cadre de la traque des biens mal acquis, il avait déclaré dans son rapport que l’ancien ministre d’État détiendrait un compte à Singapour présentant un solde positif de 47 milliards de francs CFA.

Karim Wade a toujours nié être le titulaire de ce compte. Il avait demandé la condamnation de l’expert financier, demandant en guise de réparation la somme de… 47 milliards. Débouté en première instance, il vient de subir un nouveau revers devant la juridiction de recours. Il ne lui reste que le pouvoi en cassation pour espérer obtenir gain de cause.

Alboury Ndao s’en tire, pour l’instant, à bon compte. Mais l’expert financier, qui avait introduit une demande reconventionnelle en pointant une procédure abusive et en réclamant 500 millions, n’a pas été suivi dans ce sens par la Cour d’appel. Il a été débouté sur ce plan. Comme Karim Wade, il peut saisir la plus haute juridiction pour se faire entendre.

Alboury Ndao s’est présenté à la barre hier. Il a maintenu l’existence du compte en question. L’ancien ministre d’État, pour sa part, était représenté par ses avocats. Ces derniers ont rappelé que la banque mentionnée par l’expert financier aurait nié avoir un client nommé Karim Wade.

(Source : Les Échos)

Le Général Ousman Badjie limogé

Le président Adama Barrow a limogé hier le chef d’état major des armes de la Gambie, le tonitruant Général Ousman Badjie. Considéré comme un pilier du régime de Yahya Jammeh, le Général Ousman Badjie est remplacé par le Général Massaneh Kinteh qui commande désormais les armées de Gambie. Avant sa nomination, le Général Kinteh était nommé conseiller militaire spécial du Président Adama Barrow en janvier. Le nouveau chef des armées de Gambie retrouve un poste qu’il a déjà occupé de 2009 à 2012. Il était remplacé par le Général Ousman Badjie 2012 avant d’être nommé ambassadeur à Cuba. A son tour, l’ancien chef d’état major des armées, Ousman Badjie sera envoyé dans une des représentations diplomatiques de la Gambie. D’ailleurs, le Lieutenant Général Ousman Badjie a fait hier ses adieux aux Forces armées de la Gambie (GAF) à l’occasion d’une cérémonie symbolique et plein d’émotion.

Innommable

Hier, j’ai repris le train, le Petit Train Bleu (PTB). Ce que j’ai vu est innommable, inacceptable. De la gare de Pout à celle de Colobane, sur une cinquantaine de kilomètres. Sébikotane, Bargny, Rufisque, Thiaroye, Hann, rien que de la saleté, des tas d’immondices de toutes sortes. Comme si cette crasse était consubstantielle au chemin de fer, «congénitalement» liée au rail. Il y avait vingt-trois ans, les usagers du PTB assistaient au même spectacle. Et je me suis mis à rêver d’une coalition pour la propreté. UCG du ministère de la Gouvernance locale, Service Civique National du ministère de la Jeunesse et de la Construction citoyenne locale, Thiantacounes, talibés de Kara, différentes Associations sportives et culturelles (Asc) des zones tous unis dans un grand sursaut collectif et national pour nous débarrasser de ces saletés vectrices de maladies et de mal-vivre. Bon sang, comment font les villes occidentales de plus de 10 millions d’âmes pour être propres, comment fait Paul Kagamé pour chasser l’insalubrité de Kigali ? Le TER qui doit voir le jour en février 2019 ne peut pas souffrir une telle licence avec la saleté.

Djibo Kâ et Mamadou Lamine Diallo chez Déthié Fall

Les leaders de l’Urd (Djibo Leyti Kâ) et du mouvement Tekki (Mamadou Lamine Diallo) étaient avant-hier et hier aux Mamelles pour présenter leurs condoléances à Déthié Fall. Accompagné du député Oumar Seck, Djibo Leyti Ka a fait le déplacement chez le vice-président de Rewmi pour présenter ses condoléances suite au rappel à Dieu de son père. Après le patron des rénovateurs, le leader de Tekki et coordonnateur de Mankoo Mamadou Lamine Diallo (accompagné de Dr Alioune Sarr coordonnateur départemental de Tekki à Dakar) était également aux Mamelles pour présenter ses condoléances «à son frère et collaborateur dans la conférence des leaders de Mankoo Wattu». Des déplacements qui ont beaucoup touché le vice-président de Rewmi qui a promis de rendre compte à toute sa famille ainsi qu’au président Idrissa Seck.

AWA GUÈYE, PREMIÈRE VICE-PRÉSIDENTE DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE «Kaolack n’est l’apanage de personne»

La Première vice-présidente de l’Assemblée nationale, Awa Guèye, s’est démarquée des responsables politiques qui font de Kaolack une propriété privée. D’après elle, mal- gré les remous notés dans l’Apr, l’unité doit primer.

La première vice-présidente de l’Assemblée nationale, par ailleurs responsable politique de l’Apr à Kaolack, a effectué le week end dernier une visite de proximité dans les différents quartiers de Kaolack tels que Médina Baye, Fass Cheikh Tidiane 2 et 3, Sam entre autres. En marge de cette tournée, Awa Guèye, s’est prononcée sur l’actualité politique, mais aussi et surtout, sur les agitations notées actuellement dans l’Alliance pour la République (Apr). Très remontée contre celles-ci, elle a avant tout avoué que cela se comprend, vu que leur parti s’agrandisse de jour en jour. «Certes, notre parti est très agité, mais cela se comprend parce que c’est un parti qui s’agrandit. Donc, les ambitions se présentent et des querelles se passent». Avant d’ajouter ceci : «ici à Kaolack, nous appelons les res- ponsables à s’unir et travailler en bloc parce que nous allons vers des échéances qui ne seront pas du tout faciles. C’est pourquoi, je lance un appel à tous les responsables de Kaolack pour une union, afin d’aller ensemble vers les élections. Je pense qu’il ne sert à rien de se quereller. Nous avons un seul parti, c’est l’Apr et le président du parti, c’est le Président Macky Sall. Les responsables doivent cesser ces querelles, car elles ne font que nous affaiblir. C’est vrai, il y a ceux ou celles qui viennent d’arriver et ceux ou celles qui étaient là depuis la création du parti. De mon point de vue, nous devons travailler ensemble parce que le parti n’est passtructuré, aussi Kaolack n’est l’apanage de personne. Je le dis haut et fort, Kaolack n’est l’apanage de personne et toute personne peut venir militer dans cette ville comme ça lui chante». Lors de ces visites de proximité, Awa Guèye a aussi offert des tonnes de ciment à la mosquée de Sama Moussa, un des quartiers périphériques de la commune de Kaolack et les a bouclés avec un meeting pour appeler les populations à aller s’inscrire massivement sur les listes électorales.

PAPE MAËLTHIAM, ADMINISTRATEUR DE L’APR «Khalifa Sall a l’opportunité de montrer qu’il a les mains propres»

L’administrateur de l’Alliance pour la République (Apr), Pape Maël Thiam, invite le Maire de Dakar à faire confiance à la justice. Mais ce qu’il lui recommande par-dessus tout, c’est de «saisir l’occasion qui lui est offerte pour montrer aux Sénégalais qu’il a les mains propres». L’apé- riste s’exprimait ainsi samedi au Cices, à l’occasion du lancement du mouvement Citoyen pour un Sénégal prospère (Csp). Parlant de la convocation du Maire de Dakar à la Division desinvestigations criminelles (Dic) il a laissé entendre ceci : «Quand on est pré- tendant à une fonction aussi haute que la présidence de laRépublique, chaque fois qu’on a l’occasion de pouvoir rassurer les Sénégalais sur sa personnalité, son intégrité etsa crédibilité, on doitsaisir cette occasion et non pasla transformer en une opportunité de positionnement politique. Ce qui ne peut pas du tout avoir l’adhésion des Sénégalais qui savent le droit». Sur la même lancée, Pape Maël Thiam a rappelé que Macky Sall, avant d’être chef de l’État, a été audité par l’Inspection général d’État (Ige) à trois reprises. Pour lui, l’Ige a visité toutes les structures qui lui ont semblées utiles d’auditer. «C’est pour cela d’ailleurs que neuf Maires de l’Apr ont été fouillés par l’Ige de même que d’autresstructures», a renchéri l’administrateur du parti au pouvoir. Le mouvement Csp massifie l’Apr Malamine Diabaté, directeur gé- néral d’International Consulting, a effectué samedi au Cices sa rentrée politique avec son mouvement Citoyen pour un Sénégal prospère (Csp) pour apporter son soutien au président de la République, SEM Macky Sall. Il a indiqué que le mouvement Csp est un mouvement qui se veut citoyen, qui est composé de cadres, d’entrepreneurs, d’hommes et de femmes voulant travailler avec le président de la République pour la prospérité du Sénégal. En présence de l’administrateur de l’Apr, il a souligné que le président de la République est en train d’abattre un gros travail en ce qui concerne le développement économique, social et environnemental du Sénégal à travers le Pse. «C’est la raison pour laquelle nous nous engageons à l’accompagner, à le soutenir et à travailler à la base», ajoute Malamine Diabaté.

Homicide volontaire de l’étudiant Marocain Mazine CHAKIRI : les éclairages de la Police

 Le Dimanche 26 Février 2017, aux environs de 07 heures, des  marocains  dont  Salma EL MOUSSAID ont saisi  le Commissariat du Point E d’un  cas d’homicide   volontaire   commis   la   nuit   par des inconnus à la Zone A au préjudice de leur compatriote Mazine CHAKIRI, étudiant   en   Année   de   thèse   (spécialité   dentaire)   à   la   Faculté   de Médecine de l’UCAD. 

Selon Salma El MOUSSAID, témoin des faits et étudiante en 4è Année de Médecine à l’UCAD, Mazine CHAKIRI et elle-même ont quitté à bord d’un scooter le domicile de Simon et Imat sis à la Zone B à destination de la Zone A où réside son ami Mazine CHAKIRA au 2ème  étage de l’immeuble R+4 n°05. C’est ainsi qu’ils ont garé ledit scooter dans un garage privé sis à la Zone B près du ‘’Carrefour ENAM’’ avant de terminer le reste du trajet à pied. Mais, arrivés presque à hauteur dudit immeuble, ils ont été rejoints vers  00heure 30 minutes par six  individus venus  du  jardin public de  la Zone A et armés de couteaux et coupe-coupe à bord de trois grands scooters.

Armés de couteaux et de coupe-coupe, les malfaiteurs ont dépouillé la dame Salma EL MOUSSAID et son ami Mazine CHAKIRI de tous leurs biens.

D’après Salma EL MOUSSAID, le butin est composé d’une chaine en or arrachée   à   son   cou   et   de   son   sac   (contenant   un   téléphone Samsung S6, un porte-monnaie, 2.000F environ, des clichés de radio, des dents usagées, une CNI, des cours) ainsi que d’un IPhone 5 C et d’un trousseau de clés appartenant  à Mazine CHAKIRI. Mais,  avant   de   se   retirer   des   lieux,   un  des   membres   du   gang  a administré sans motif apparent un coup de couteau à Mazine CHAKIRI et du sang s’est mis à gicler abondamment.

Acheminé tardivement à l’Hôpital Principal de Dakar,  Mazine CHAKIRI a succombé à ses blessures. En   présence   constante   de   Salma   EL   MOUSSAID   et   de   ses accompagnants, un transport sur les lieux a été effectué  de concert avec la Division de la Police Technique et Scientifiques de la Police Nationale (PTS). Toutefois,   l’enquête   de   voisinage   effectuée  a révélé que l’agression s’est produite au-delà de 03 heures du matin. Le Parquet a été avisé et une enquête est ouverte.
Le Bureau des Relations Publiques de la Police Nationale

OUZA DIALLO ROUVRE LES VANNES «Macky Sall a été élu en partie par des fonds de la caisse d’avance de la ville de Dakar»

De la situation en Gambie à celle qui prévaut au niveau de l’establishment de la ville de Dakar, en passant par le monde de la Culture au Sénégal, Ouza Diallo passe un grand oral qui a pour prétexte la parution de sa nouvelle production éminemment politique intitulée «Sondage». Entretien

Votre actualité récente est marquée par la parution d’une de vos chansons intitulée «Sondage» comportant une certaine coloration politique. Pouvezvous nous en dire plus sur cette production ? En réalité, la production remonte à juin-juillet 2016. Nous avions prévu de la sortir à la fin de l’année, mais nous avons dû repousser cette échéance pour ne pas créer de confusion. En effet, le contenu de ce morceau évoque certaines questions qui pourraient, dans l’esprit du public, croire que j’ai fait cette chanson pour aborder, entre autres, les événements survenus en Gambie, dans le contexte électoral. Comme je vous le dis, cette chanson a été réalisée des mois avant la crise gambienne suite à laquelle le Président Adama Barrow a été porté au pouvoir. Elle part d’un constat global portant sur la configura- tion de notre champ politique. Vous ne manquez d’ailleurs pas de clouer au pilori la classe po- litique dans sa globalité…. C’est de bonne guerre. Je suis parti du constat qu’une large frange de la classe politique, aguerrie aux rouages de la politique politicienne, s’enrichit sans commune mesure du fait de l’exploitation indue des deniers publics. Nous faisons actuellement face à une vraie «politocratie» marquée par l’ascension fulgurante des membres de la classe politique au détriment des masses laborieuses. Cela est problématique à plus d’un titre. Quand je chantais ce morceau, nous ne faisions pas encore face à la panne de l’appareil de radiothérapie de l’hôpitalAristide Le Dantec ; mais d’autres problèmes ses posaient avec autant d’acuité. Et il est malvenu, dans un pays comme le nôtre, de créer desinstitutions budgétivores et fantoches telles que la commission nationale du dialogue des territoires, le Haut conseil des collectivités territoriales, le Haut conseil pour le dialogue social, ou encore la Commission de protection des données personnelles dans le but non avoué de classer une clientèle politique qui ne nous est d’aucune utilité. Quel regard portez-vous sur la conjoncture marquée par l’imminence des législatives et par l’emprisonnement de certains hommes politiques ? De mon point de vue, le Président de la République a matérialisé la majeure partie de ses engagements à l’endroit des populations sénégalaises. Il fait face à une opposition hétérogène et mal inspirée, raison pour laquelle je ne comprends pas son acharnement à traquer ses opposants dans leurs derniers retranchements. Il est manifeste que l’emprisonnement de responsables socialistes comme Bamba Fall relève d’un acharnement sans commune mesure. Macky Sall a le fort pour renforcer ses adversaires en les martyrisant, et cela pourrait, à terme, lui porter préjudice. Il a la fâcheuse tendance à prêter une oreille attentive aux laudateurs et aux faucons du palais qui ne lui prodiguent pas de bons conseils. A ce propos je l’invite solennellement à lâcher du lest et à adopter une attitude républicaine et démocrate en laissant les opposants s’opposer comme ils en ont pleinement le droit. Je tiens d’ailleurs à témoigner que l’affaire dite Khalifa Sall a été montée de toutes pièces. Depuis belle lurette les Sénégalais ont eu à bénéficier de l’argent tiré des caisses d’avance et la mairie de Dakar, avec à sa tête Khalifa Sall, ne constitue en rien une anomalie ou une exception. Je prends sur moi la responsabilité de témoigner en indiquant que le Président de la Ré- publique a été élu en partie grâce à l’argent issu de la caisse d’avance de la ville de Dakar. Je pèse bien mes mots et je suis un témoin privilégié de cet état de fait en ce sens que, dans l’entre deux tours de la présidentielle de 2012, Khalifa Sall m’a remis des fonds substantiels, tirés de la caisse d’avance de la ville de Dakar, pour que je batte campagne en vue de l’élec- tion de l’actuel Président de la Répu- blique. Je lui recommande, en ce sens, de savoir raison garder et de ne pas verser dans un acharnement contrepro- ductif pour lui.

ALIOU SALL, SUITE À SON INVESTITURE PAR LA COJER «Je me considère désormais comme la tête de liste de Benno bokk yakaar à Guédiawaye»

Investi hier par la Convergence des jeunesses républicaines (Cojer) de son département, Aliou Sall se positionne dorénavant comme la tête de liste départementale de Benno bokk yakaar à Guédiawaye en vue des élections législatives du 30 juillet à venir

BRUCE LEE «Je réclame Amanekh, mais surtout Elton»

Après votre défaite devant Baye Mandione, on sent que vous êtes de plus en plus éloigné des arènes. Qu’est-ce qui explique cela ? Je suis parti aux États-Unis après mon revers essuyé devant Baye Mandione à Kaolack. En effet, j’ai eu à vivre quelques difficultés qui m’ont poussé à quitter momentanément le pays. Si vous vous rappelez, je suis allé jusqu’à dire que j’ai abandonné la lutte. Mais, ensuite je suis revenu sur ma décision à cause dessages conseils de messupporters, qui ne cessent de penser à moi et de m’encourager. Après six mois passés aux États-Unis, me voilà : je suis rentré au Bercail. Il est vrai aussi que je me suis tenu à l’écart de l’arène près d’un an. Votre retour coïncide en plein à la période de montage des combats pour la présente saison. Qui est dans le viseur de Bruce Lee ? Je veux lutter contre Amanekh et surtout Elton. C’est mon potentiel adversaire. J’ai plus de combats et de victoire que lui. Notre confrontation doit être possible. Avec le palmarès que vous avez, pensez-vous que votre cote dans l’arène n’a pas subi une légère décote ? À quoi est due cette dépré- ciation de votre valeur ? Est-ce à cause de votre dernière contre performance ? Encore une fois, je le répète, je compte plus de victoires que les lutteurs de ma génération. C’est certainement parce qu’ils préfèrent choisir d’autres lutteurs pour adversaire qu’ils en arrivent à me snober ainsi. C’est une voie trop facile qu’ils empruntent je trouve. Ce qui est anormal. Nous ne devons pas avoir peur de nous affronter entre nous. Après une si longue période sans combat, ne craignez-vous pas avoir un peu perdu vos repères ? Non, du tout. Durant mon séjour aux États Unis, je pratiquais la lutte gré- co-romaine. Avec votre retour, comptez-vous défier deslutteurs de votre génération, ou du moins, allez-vous tendre la perche aux jeunes loups ? Je ne fais pas de fixation sur un quelconque lutteur. Mais je leur signale à tous que je suis bien de retour et avec des arguments pour en affronter plus d’un lutteur. Je vous le disais tantôt. Amanekh et Elton doivent pouvoir m’affronter, sinon moi je les réclame. Nous ne devons pas chercher à nous éviter dans la mesure où nous sommes tous de la même génération. Êtes-vous toujours pensionnaire de l’écurie Fass ? Bien sûr ! J’y suis et j’y reste. Tout ce que j’ai gagné dans ma carrière c’est grâce à Fass.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention