(Vidéo) : Une vague soutien à Halima Gadji initiée par une célèbre présentatrice de Canal +

L’état de Santé de Halima Gadji inquiète tout le monde. Pour preuve, dans cette vidéo, la célèbre présentatrice de Chœur de Femmes, Deborah Mutund a rassemblé beaucoup de célébrités pour soutenir l’actrice. Regardez son post sur Instagram.

« Halima Gadgi a toujours fait preuve d’un immense courage en abordant ses défis liés à la santé mentale, et ces derniers jours n’ont pas été faciles pour elle.

Je reste en contact régulier et avec le soutien de sa famille, nous avons décider de continuer à sensibiliser sur l’importance de la santé mentale.

Nous devons tous nous rappeler que nous sommes humains, avec nos fragilités, et il est essentiel de soutenir ceux qui traversent des moments difficiles.

Halima est une actrice talentueuse, une amie fidèle, une sœur aimante et une maman exceptionnelle.

Je lui envoie tout mon amour et je vous remercie sincèrement pour vos messages de soutien et d’affection.

Ensemble, continuons à ouvrir le dialogue sur la santé mentale et prenez soin de vous

Mandina Mancagne : un père de famille met fin à ses jours en s’immolant avec ses enfants

Dans la commune de Mandina Mancagne, un père de famille,en détresse après un processus de séparation conjugale , s’est donné la mort en s’immolant par le feu alors qu’il se trouvait avec ses deux enfants.

sELON NOS CONFRÈRES DE gfm , les faits se sont déroulés dans la nuit, lorsque l’homme s’est enfermé dans sa chambre avec ses deux enfants avant d’y déclencher un incendie. Le père est décédé sur le coup. Ses deux enfants, gravement brûlés, ont pu être extraits de justesse et sont actuellement hospitalisés dans un état critique.

Ce geste désespéré survient alors que la veille, un autre drame s’était produit à Kantène, où un homme a été retrouvé pendu. La brigade de gendarmerie de Niaguis a ouvert une enquête pour faire la lumière sur ces deux affaires.

crédit photo d’illustration: lejournaldupays

Moustapha Diakhaté et CIE lancent le Mouvement SONKO Dégage (MSD)

Un nouveau mouvement d’opposition au Premier ministre, Ousmane SONKO, vient d’être officiellement lancé sous le slogan « 2029 SONKO Dou Bokk ». Porté par des figures telles que Moustapha DIAKHATÉ, ancien président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar, et Ardo GNINGUE, le Mouvement SONKO Dégage (MSD) dénonce ce qu’il considère comme « un danger grave pour la République ».

Les initiateurs reprochent au chef du gouvernement sa « condamnation par la justice sénégalaise pour corruption » et son « mépris envers le président de la République ». Le mouvement formule plusieurs exigences, dont le déclenchement du plan ORSEC face aux inondations, une enquête sur le scandale de l’ONAS, une enquête sur les 8 milliards annoncés par le Président pour les sinistrés de Bakel en 2024, ainsi qu’une transparence dans l’exploitation des ressources naturelles comme le pétrole, le gaz, l’or et le phosphate.

Isseu de la série Famille sénégalaise maraboutée et clouée au lit :«Kotou ndagne ko sani…»

Ada Fass, déterminé : “Eumeu Sène est dépassé, je n’ai pas peur”

En marge de la cérémonie de présentation du combat Ada Fass v Eumeu Sène ce dimanche soir par Gaston Productions, le phénomène de la médina a évoqué l’enjeu de cette affiche dans sa carrière.

Pour la première fois de sa carrière, Ada Fass affrontera un ancien roi des arènes. Fort de sa victoire sur Liss Ndiago, le lutteur de Fass Benno veut ainsi relever le défi face au Tay Shinger en avril 2026. Lors du face à face de présentation ce dimanche Ada Fass a assuré à qui veut l’entendre qu’il allait battre Eumeu Sène.

“Le jour J les gens verront un autre Ada Fass. Je suis jeune et j’ai la soif de vaincre. J’étais prêt à l’affronter depuis longtemps et maintenant il faut que je montre que j’ai les qualités et le potentiel pour le battre (…) Eumeu Sène est un grand lutteur mais sa façon de lutter est dépassée. Je ne crains nullement et vous verrez le jour du combat” a-t-il déclaré.

(Vidéo) : Perte de poids, dépressif : Méconnaissable, la santé de Wally Bambey inquiète la toile

Eva Touré : la perle de Senepeople Plus qui fait tourner toutes les têtes

Avec son teint éclatant, sa silhouette parfaite et son charme irrésistible, Eva Touré est bien plus qu’une animatrice de Senepeople Plus : elle est une véritable icône. Dans son émission « Confidence », elle reçoit célébrités et stars avec élégance et professionnalisme, capturant à chaque instant l’attention des téléspectateurs.

Sa voix douce, son savoir-faire et son respect pour ses invités font d’Eva une figure incontournable, tandis que son charisme naturel séduit les internautes sur les réseaux sociaux. Admirée pour son authenticité et sa beauté rare, elle incarne parfaitement le mélange de talent, glamour et modernité qui inspire toute une génération.

Chaque apparition d’Eva Touré à l’écran est un moment attendu, un vrai spectacle où le charme rencontre le professionnalisme, confirmant sa place parmi les stars les plus suivies et admirées du Sénégal.

L’actrice de Bété Bété, plus rayonnante que jamais au bord de la mer

La star de la série Bété Bété continue de faire parler d’elle, et cette fois, c’est en mode vacances qu’elle charme ses fans. Sublime dans une robe de plage en crochet blanc aux détails colorés, l’actrice affiche un look à la fois simple et ultra tendance.

Mali: les civils fuient en masse les localités de la région de Ségou attaquées par les jihadistes

000_Par8190217_0 — Des véhicules des forces de sécurité maliennes patrouillent dans le centre du pays, juin 2015. (Photo d'illustration)

Près d’une semaine après l’attaque de la localité de Farabougou et de plusieurs positions de l’armée malienne aux environs de Ségou, à environ 300 km au nord de Bamako, les jihadistes du JNIM règnent en maîtres absolus dans la région. Alors que dans plusieurs localités, les troupes régulières sont toujours aux abonnés absents, les civils, pris de panique face à l’insécurité, ont décidé de fuir. À pied ou à bord de charrettes surchargées, ils quittent notamment Farabougou et les villages environnants à l’instar de cet homme joint par la rédaction de RFI en fulfulde et en mandenkan.

« Ma famille et moi avons dû nous réfugier à Dogofry. Mardi, les groupes armés ont attaqué notre village. Ils en ont fait sortir les femmes et les enfants pour pouvoir tuer tous les hommes. Si beaucoup sont morts, d’autres comme moi ont pu fuir. Ensuite, ils ont brûlé tout le village. Nous n’avons même pas pu enterrer les cadavres », raconte-t-il avant de poursuivre : « Les municipalités qui nous accueillent ont trouvé des solutions pour ramener nos femmes et nos enfants auprès de nous. À Dogofry, elle nous loge dans la cour de la mairie. Mais comme nous sommes trop nombreux pour tous y rester, ceux qui ont des parents ou des connaissances ici sont allés chez eux ».

Pendant ce temps là, dans les localités dont ils se sont emparés, les jihadistes paradent après avoir mis la main sur le matériel de l’armée et avoir enlevé ou tué des militaires, aux côtés des civils. Dans la région, il s’agit d’une première ou presque : la junte au pouvoir à Bamako abandonne des positions attaquées sans tenter rapidement de les reprendre. Alors que les interprétations à ce propos vont bon train, de nombreux élus de la région ne cachent pas leur inquiétude et espèrent une prochaine opération militaire pour rassurer les populations.

Il y a cinq ans environ, les jihadistes avaient déjà installé un blocus autour de Farabougou. Il avait fallu l’intervention de religieux maliens dans les négociations pour qu’ils acceptent de desserrer l’étau.

RDC: la renégociation du «contrat du siècle» avec des groupes chinois a été insuffisante pour la société civile

En République démocratique du Congo (RDC), plus d’une année après la renégociation du contrat dit « du siècle », minerais contre infrastructures, le débat est loin d’être clos : la société civile dénonce un accord toujours déséquilibré au profit du groupe des entreprises chinoises.

Avec un investissement dans les infrastructures qui est passé de 3,5 milliards de dollars à 7,5 milliards, le gouvernement de la RDC, lui, soutient qu’il s’agit d’un partenariat gagnant-gagnant.

Une évaluation du volet infrastructures réclamée

La coalition « Le Congo n’est pas à vendre » affirme, de son côté, que le déséquilibre persiste et appelle à une nouvelle négociation. Pour elle, les entreprises chinoises continuent de tirer la plus grosse part du gâteau. La société minière Sicomines bénéficie toujours d’exonérations complètes, ce qui fait perdre à l’État au moins 430 millions de dollars par an. Aussi, le financement des infrastructures est soumis à des conditions, explique Jacques Kabulo, membre de la coalition : « L’avenant prévoit que, chaque année, la RDC doit bénéficier de plus de 300 millions de dollars pour financer les infrastructures, mais la condition est que le prix du cuivre doit être égal ou supérieur à 8 000 dollars. Si c’est inférieur, la partie chinoise ne va pas mettre à la disposition de la RDC l’argent pour les infrastructures. »

La Ligue congolaise de lutte contre la corruption (Licoco) demande, elle, une évaluation urgente du volet infrastructures tel que prévu dans cet accord. Ce sont notamment les trois projets de construction des routes à Kinshasa et dans la province du Kasaï (centre de la RDC). Ernest Mpararo, Secrétaire exécutif de la Licoco, détaille : « Un montant de 624 millions avait été débloqué pour financer ces trois projets. Mais nous venons d’apprendre que le projet de Kinshasa seul, va prendre à peu près 400 millions de dollars. Ainsi, sur les 624 millions, il reste seulement quelque chose comme 200 millions. Ce qui fait que ça n’avance pas bien. »

Mais Kinshasa soutient toujours que le contrat corrigé en 2024 garantit au pays plus de retombées économiques et sociales.