jetx ван вин plinko aviator aviator game 1win casino mostbet 1xbet.com jet x apostas
Accueil Blog Page 57

Mondial 2026 : le Sénégal joue sa qualification face à la Mauritanie

Le Sénégal dispute ce mardi au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio un match décisif face à la Mauritanie, comptant pour la 10ᵉ et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. Leader du groupe B avec 21 points, le champion d’Afrique 2021 n’a besoin que d’une victoire pour valider officiellement son billet pour le Mondial. Un match nul pourrait également suffire, grâce à une différence de buts favorable (+8) sur la République démocratique du Congo, deuxième avec 19 points.

Les hommes de Pape Thiaw sont conscients de l’enjeu : au-delà de la qualification, ils peuvent inscrire leur nom dans l’histoire du football africain. En cas de succès, les Lions rejoindraient un cercle très fermé de sélections ayant participé à trois Coupes du Monde consécutives, un exploit jusqu’ici réalisé uniquement par la Côte d’Ivoire (2006, 2010, 2014), la Tunisie (2018, 2022, 2026) et le Maroc (2018, 2022, 2026).

Pour le Sénégal, ce serait la continuité d’un parcours exceptionnel. La première participation des Lions remonte à 2002, marquée par un parcours historique jusqu’en quarts de finale avec la génération dorée d’El Hadji Diouf et d’Aliou Cissé, alors capitaine. Après une longue absence, le Sénégal a retrouvé la Coupe du Monde en 2018 sous la direction de Cissé, avant de confirmer sa place parmi les grandes nations africaines en 2022 au Qatar.

Sous la houlette de Pape Thiaw, les Lions visent désormais une troisième qualification consécutive, symbole de continuité et de maturité pour une sélection qui s’impose comme l’une des références du football africain.

Aliou Sall brise le silence après sa libération provisoire : “Notre gratitude est immense”

Aliou Sall, frère de l’ancien président Macky Sall et ex-maire de Guédiawaye, ainsi que son épouse Aïssata Sall, ont retrouvé la liberté provisoire ce lundi 13 octobre, après avoir déposé une caution solidaire de 240 millions de FCFA auprès de la Caisse des Dépôts et Consignations. Le couple, placé en garde à vue depuis le 10 octobre à la Division des investigations criminelles (DIC), était poursuivi sur la base d’un rapport de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF).

Les soupçons portent sur des transactions jugées suspectes liées à l’acquisition d’un terrain aux Almadies par leur société civile immobilière (SCI), dont Aliou Sall détient 99 % du capital. Deux mouvements financiers ont retenu l’attention : un versement de 170 millions de FCFA, présenté comme un partenariat avec la société Sertem, et un autre de 70 millions qualifié de prêt personnel déjà remboursé. La CENTIF évoque la possibilité d’un blanchiment de capitaux, une accusation rejetée par les avocats du couple, qui assurent que toutes les opérations sont légales et transparentes.

Dans un message publié sur ses réseaux sociaux après sa libération, Aliou Sall a exprimé sa profonde gratitude envers tous ceux qui l’ont soutenu pendant cette période difficile. « Nous ne trouvons pas les mots assez forts pour remercier tous ceux qui se sont mobilisés pour nous soutenir », a-t-il déclaré.

Il a salué la solidarité des populations de Guédiawaye, venues spontanément devant les locaux de la DIC et du pool judiciaire financier, ainsi que les prières et messages des communautés religieuses de Tivaouane, Touba, Mbour, Médina Baye, Médina Gounass, Ndiassane, de la famille Omarienne, du Fouta et de la Noubahiya en Mauritanie.

Aliou Sall a également remercié sa famille et ses proches pour leur soutien constant : « La famille, les belles-familles et les nombreux amis ont été présents à toutes les étapes du processus. Mon frère Aziz surtout, mes enfants et mon épouse Bousso ont été particulièrement engagés à nos côtés. Merci au Président Macky Sall pour son soutien ! Merci à Iba Faye pour ses petits déjeuners fraternels empreints de bienveillance ! »

Enfin, il a tenu à rendre hommage à ses avocats, qu’il décrit comme des professionnels exemplaires : « Ils ont fait preuve d’un engagement ferme, d’une démarche intelligente et d’une très grande courtoisie à l’égard de tous les acteurs de la justice. »

Le couple Sall reste toutefois placé sous contrôle judiciaire, en attendant les suites de l’enquête ouverte par les autorités judiciaires.

«Nay Leer» exige la lumière sur la dette cachée l’Aser, l’Onas, 5 milliards détenus, 8 milliards sinistrés…

La plateforme Nay Leer de Babacar Mbaye Ngaraf qui fait remarquer que malgré sa côte en baisse chez les sociétés de notation et sa tension avec les. Institutions financières internationales, le Sénégal gagne encore la confiance du marché financier régional qui a souscrit plus que les 300 milliards qui étaient recherchés. Ne serait-ce que pour préserver cette image , soutient Nay Leer , le Sénégal doit faire la lumière sur le scandale présumé de la dette cachée, sur les affaires Onas, Aser, les 5 milliards alloués à des détenus dits politiques ainsi que les ,8 milliards destinés aux sinistrés du Nord du pays.

Pour la crédibilité du Sénégal, «Nay Leer» exige la lumière sur le «présumé scandale de la dette cachée, mais aussi sur l’ Indemnisation des ex détenus dits politiques, les huit milliards destinés aux sinistres du Nord du pays et, les affaires Onas, Aser»… Pour Ngaraf et Cie, le Sénégal qui garde la confiance des souscripteurs sur le marché financier régional doit travailler à la préservation de cette image. Et le fait de faire la lumière sur certaines affaires qui polluent l’atmosphère de la«bonne gouvernance et la transparence participe à la conservation de cette image de marsue». Selon «Nay Leer», «le Sénégal gagnerait à faire la lumière sur la dette dite cachée mais aussi sur les affaires Onas, Aser, les 5 milliards alloués à des détenus politiques et aussi les 8 milliards destinés aux sinistrés du
Nord du pays». Pour Ngaraf et ses amis qui déplorent «l’inertie des députés, de
la justice, des corps de contrôle sur ces affaires, y faire la lumière, c’est satisfaire à une exigence de bonne gouvernance et de transparence dans la gestion des affaires publiques».

Faire la lumière sur ces affaires, c’est satisfaire à une exigence de bonne
gouvernance et de transparence

Ngaraf et ses amis ne se bornent pas à exiger la lumière sur ces affaires. Ils
préviennent que si rien n’est fait pour que la lumière jaillisse , ils vont porter l
ces affaires sur la scène internationale avec la saisine de l’Initiative International pour la Transparence et Transparency International. Selon Ngaraf «la vérité sur ces affaires est d’autant plus indispensable que certaines impactent sur les relations entre le Sénégal et les. Institutions financières internationales et d’autres sur le vécu des populations».

Si la lumière n’est pas faite sur ces affaires , Nay Leer promet de les porter sur la scène internationale

Pour rappel, l’organisation Transparency International est un mouvement mondial
animé par une vision : un monde dans lequel les États, les entreprises, la société civile et les individus dans leur quotidien seraient épargnés par la corruption sous toutes ses formes. Ngaraf de faire remarquer «avec plus de 100 sections dans le monde et un secrétariat international à Berlin, Transparency International dont le Forum Civil est sa section Sénégalaise peut aider à l’éclatement de la vérité sur toutes ces affaires». L’autre structure dont l’implication peut faire jaillir la lumière sur certaines de ces affaires est
selon Nay Leer , l’IITA. «Leadership pour la transparence, l’Initiative internationale pour la transparence de l’aide (IITA) compte parmi ses membres depuis sa création en 2008, le PNUD qui dirige ses efforts de sensibilisation auprès des pays partenaires et des
agences de l’ONU pour défendre la nouvelle norme de transparence de l’aide et la rendre pertinente pour la planification du développement national, la gestion des finances
publiques, la responsabilité mutuelle et d’autres processus à l’échelon national».

Transparency International et l’IITA sont représentées au Sénégal par le Forum Civil et le PNUD
L’Initiative internationale pour la transparence de l’aide (IITA) réunit des gouvernements, des institutions multilatérales, des organisations du secteur privé et de la société civile et
d’autres acteurs afin de renforcer la transparence des ressources versées aux pays en développement et le libre accès aux données dans ce domaine.

Aliou Sall et son épouse Aïssata Sall placés sous contrôle judiciaire après un cautionnement de 240 millions FCFA

L’ancien maire de Guédiawaye, Aliou Sall, et son épouse Aïssata Sall ont été placés sous contrôle judiciaire ce lundi par le président du collège des juges d’instruction du pool judiciaire financier. Cette décision fait suite au versement d’un cautionnement de 240 millions de FCFA, a-t-on appris de sources judiciaires.

Selon les informations recueillies par Seneweb, le réquisitoire introductif du procureur de la République financier, daté du 30 juin 2025, fait suite à un rapport de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières) signalant des transactions suspectes du même montant.

Dans sa saisine du président du collège des juges d’instruction, le parquet financier a visé Aliou Sall, son épouse Aïssata Sall, ainsi qu’une troisième personne non identifiée (désignée sous le nom de X).

Le ministère public poursuit l’ancien édile de Guédiawaye pour association de malfaiteurs en vue de blanchiment, corruption, blanchiment de capitaux et trafic d’influence. Son épouse est, pour sa part, poursuivie pour association de malfaiteurs et blanchiment de capitaux.

Le préjudice financier estimé par le parquet s’élève à 562 millions de FCFA, somme correspondant, selon l’accusation, à la vente d’un terrain.

Hamidou Hanne : « Notre pays qui dégringole, passe de Ba3 à Caa1 en 18 mois, confirmant une gouvernance enrobée d’incompétence et mâtinée de désinvolture »

Le gouvernement provoque pour la troisième fois la baisse par l’agence Moody’s de la note souveraine du Sénégal. Notre pays qui dégringole, passe de Ba3 à Caa1 en 18 mois, confirmant une gouvernance enrobée d’incompétence et mâtinée de désinvolture.

L’économie est en lambeaux, et le gouvernement verse une nouvelle fois dans le populisme et la démagogie. Les fanfaronnades, au début risibles, sont devenues insupportables tant elles placeront à terme notre pays dans la liste sinistre des États discrédités au plan international. Personne ne nie la complexité du monde où l’isolationnisme américain, les guerres au Sahel, au Proche-Orient et en Ukraine configurent une nouvelle géopolitique des risques majeurs. Les fractures au sein mêmes des nations sont béantes, et un climat nauséeux des années 30 installe à nouveau un récit populiste voire post-fasciste au cœur des sociétés ouvertes. Nous sommes en crise, car, suivant la pensée du vieux maître sarde, un ancien monde disparaît sous nos yeux et un nouveau tarde à arriver ; cette crise habite l’interrègne et impose de ceux qui gouvernent une intelligence et un grand sens des responsabilités. Les foucades contre Moody’s, le FMI, la France, les Etats-Unis et tous les autres partenaires historiques du Sénégal sont inutiles, dangereuses et indignes du Sénégal. Ces stagiaires abîment notre pays, balafrent son aura, discréditent sa signature et le plongent dans la banqueroute économique et la ruine morale.

Gouverner exige de quitter le registre de la lamentation pour arborer les habits de la réforme audacieuse et courageuse. Il faut avoir une lecture dépassionnée et froide au sujet des agences de notation. Au fond, le débat autour des méthodes de notation des agences d’évaluation doit être sain et débarrassé de l’amateurisme ambiant. Dans son discours de fin de mandat à la tête de l’Union africaine en février 2023, le Président Macky Sall, partant d’éléments factuels incontestables, avait décliné sa vision d’une réforme nécessaire du fonctionnement des agences de notation, à insérer dans une stratégie plus globale de refonte de l’architecture de la gouvernance financière internationale. Les pays africains peuvent et doivent pointer la perception exagérée du risque d’investissement en Afrique, les taux d’intérêt trop élevés, la position des agences – notamment le Big 3 – qui s’érigent en instance de régulation au-dessus des Institutions intergouvernementales, la non prise en compte du potentiel réel du continent, notamment son sous-sol, et la faiblesse des données disponibles pour avoir une lecture plus fine de la richesse à valoriser de l’Afrique. Voilà des questions essentielles dont le gouvernement devrait se saisir au lieu de s’engouffrer dans la vulgarité quotidienne, la vacuité permanente et les accusations d’acharnement visant Moody’s. Ces attitudes puériles ne visent qu’à satisfaire une masse biberonnée au conspirationnisme et au fantasme de l’affrontement civilisationnel, mais n’auront aucun impact sur le pouvoir d’achat des Sénégalais.

La politique, c’est très sérieux ; ça exige de fixer un cap, de suggérer un agenda de réforme clair, précis et cohérent et d’avoir l’audace d’agir au risque de l’impopularité.
Il ne sert à rien de casser le thermomètre quand on a chaud.

Hamidou Anne

Bamba Cissé interdit la circulation des chariots et charrettes sur plusieurs axes à Dakar, Mbour, Kaolack et Saint-Louis

Le ministre de l’Intérieur, Mouhamadou Bamba Cissé, poursuit sa politique de restauration de l’ordre et de l’hygiène publique. Sur ses instructions, les préfets des départements de Dakar, Mbour, Kaolack et Saint-Louis ont pris des arrêtés qui entreront en vigueur à partir du jeudi 16 octobre 2025.

Ces décisions interdisent la circulation et le stationnement des chariots de vente de produits alimentaires, des « pousses-pousses », des charrettes et autres véhicules similaires sur plusieurs axes majeurs. Sont également visés les chariots de vente de café, les épaves abandonnées sur les trottoirs et autres sources d’encombrement.

À Dakar, l’interdiction concerne la Place de l’Indépendance et ses dépendances, la Corniche Ouest, ainsi que les avenues Léopold Sédar Senghor, de la République, Nelson Mandela, Pasteur et Cheikh Anta Diop.

À Kaolack, elle s’applique aux emprises et trottoirs des RN1 et RN4.

À Mbour, la mesure va du croisement de Saly jusqu’à l’entrée de Saly Portudal, du rond-point Keur Balla Lo à la route nationale, ainsi que sur l’axe Préfecture Centre de santéCimetière de Tefess.

Enfin, à Saint-Louis, elle concerne les emprises de la RN2 dans le périmètre communal et la digue de Ndioloffène.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention