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Pour avoir annoncé la disponibilité d’un financement de 100 millions, le président des mareyeurs reçoit des coups de feu à la main

Modou Bakara, président du Collectif des mareyeurs de Mbacké, a échappé de justesse à la mort suite à une violente attaque armée à son domicile, situé non loin du quartier « Ñati Poto », dans la nuit de mardi à mercredi selon dakaractu. Armés de machettes et d’armes à feu, les assaillants ont fait irruption chez lui, déclenchant une confrontation qui a laissé Bakara blessé à la main. Selon des sources proches de l’enquête, il a réussi à repousser les assaillants au péril de sa vie, mais a été touché par des coups de feu au niveau des deux mains.

Le mobile de l’agression semble lié à des rumeurs concernant un fonds de 100 millions de francs CFA au sein du secteur supervisé par la victime. Des témoignages audio circulant sur WhatsApp suggèrent que les assaillants cherchaient à s’emparer de l’argent, mais sont repartis bredouilles, n’ayant pas réussi à le localiser. Bakara est actuellement sous soins intensifs à l’hôpital Matlaboul Fawzeini de Touba.

Les autorités locales ont confirmé l’ouverture d’une enquête pour identifier les auteurs et clarifier les circonstances de cette agression. Cet incident a exacerbé les tensions dans la commune de Mbacké, mettant en lumière les problèmes de sécurité auxquels sont confrontés les dirigeants communautaires. De nouvelles informations sont attendues à mesure que l’enquête progresse.

Gestion des connaissances et des talents pour un développement endogénéisé : le Sénégal pourrait… Si… ! (Par Moussa Sarr)

L’émission “COMPTES PUBLICS “MAQUILLÉS”, DETTE ET DÉFICIT MAIS… “OUI, LE SÉNÉGAL PEUT S’EN SORTIR” animée par Abdou Cissé met en lumière les défis financiers et structurels auxquels le Sénégal fait face. Cependant, une approche fondée sur l’innovation salvatrice et la créativité financière peut permettre une redéfinition stratégique, basée sur la gestion efficace des connaissances et des talents nationaux. Un pays n’est pas en faillite tant qu’il sait transformer ses contraintes en opportunités disaient les tenants de la tradition opportuniste tels que Joseph Schumpeter (avec sa théorie de la destruction créatrice) ou encore Peter Drucker. L’émission souligne la présence de comptes publics “maquillés”, rendant difficile l’appréhension réelle de la situation budgétaire. Le fardeau de la dette et les déficits chroniques posent un problème structurel qui limite les capacités de financement du développement.

L’adoption d’un modèle de développement endogénéisé repose sur l’intelligence collective et l’utilisation des capacités locales et diasporiques. Il ne s’agit pas seulement de valoriser les compétences nationales, mais aussi d’inclure dans cette dynamique tous les intrants cognitifs issus des communautés locales et de la diaspora. En intégrant cette richesse plurielle, le Sénégal peut mieux structurer une économie du savoir, où les échanges de connaissances transcendent les frontières physiques. Miser sur la numérisation et l’intelligence artificielle pour améliorer la gestion budgétaire et la transparence des finances publiques devient un levier essentiel. L’interpolarité relationnelle, soutenue par la digitalisation du lien social, permet de fluidifier ces transferts de savoirs et d’opportunités entre l’intérieur et l’extérieur du pays. Le soutien aux startups locales et aux PME peut créer des opportunités d’emploi et générer des revenus autonomes. L’innovation, ce n’est pas avoir une nouvelle idée, c’est arrêter d’avoir une vieille idée.

Plutôt que de s’appuyer sur des emprunts massifs, des solutions alternatives existent. Le financement participatif et les diaspora bonds peuvent mobiliser des ressources nouvelles. La monétisation des ressources naturelles via des fonds souverains permettrait une gestion plus stratégique des richesses nationales. Une modélisation adaptée de la fiscalité contribuerait à capter la richesse informelle et à renforcer la résilience économique. Un pays se développe quand il fait confiance à son intelligence locale.

L’innovation et la créativité doivent s’accompagner d’une refonte des politiques publiques. Une réorganisation du système éducatif axée sur la production et l’innovation s’avère indispensable. Une gouvernance transparente est nécessaire pour regagner la confiance des citoyens. Il est crucial de favoriser une économie de la connaissance où les talents locaux et ceux de la diaspora sont valorisés et mobilisés pour le développement national. Le futur appartient à ceux qui préparent le présent avec intelligence.

L’émission de Abdou Cissé soulève des points cruciaux sur la situation économique du pays. Mais à travers une approche axée sur la gestion des connaissances et des talents, combinée à une créativité financière audacieuse, le Sénégal a toutes les cartes en main pour se développer de manière autonome et durable. Le saut numérique, allié à une intelligence collective et endogène africaine, représente la clé pour transcender les contraintes actuelles. La digitalisation offre une opportunité unique de renforcer la transparence, d’optimiser les ressources et d’accélérer la transformation structurelle. En intégrant l’extraterritorialisation de l’entité nationale grâce à la technologie, le Sénégal peut tisser un réseau de compétences et de financements, facilitant ainsi une croissance inclusive et résiliente. En combinant technologie et savoirs locaux et diasporiques, le pays peut non seulement s’extraire du piège de la dette et des déficits, mais aussi bâtir un modèle de développement souverain et pérenne, fondé sur ses propres forces et son génie collectif.

 

Moussa Sarr

Post-Doc en ingénierie de la connaissance;

Ph.D en sociologie du cyberespace, des communautés virtualisées et des instances du futur.

M.A en communication publique

MST en sciences et techniques de la communication

DUT en Relations Publiques, Carrières de l’Information

Chercheur principal et CEO de Lachine Lab L’Auberge Numérique

CAF : Augustin Senghor démissionne!

Ce mercredi, Augustin Senghor a échoué à décrocher un siège au Conseil de la FIFA. Le président de la Fédération sénégalaise de football n’a obtenu que 13 voix et a terminé à la 10e place lors du vote. D’ailleurs, à la sortie du scrutin, il a décidé de démissionner de son poste de 1er vice-président de la Confédération africaine de football. « Nous devons maintenant leur souhaiter bonne chance. De notre côté, nous subirons certainement des conséquences. Il me reste deux ans de mandat en tant que membre du Comité Exécutif de la CAF, puisque mon mandat court jusqu’en 2027. D’ailleurs, cet argument a été utilisé pour convaincre les votants, en leur disant que si Senghor n’était pas élu, il resterait tout de même 1ᵉʳ vice-président, et donc n’aurait rien à perdre. Quoi qu’il en soit, la conséquence immédiate, selon moi, est que, dans cette situation, je ne me vois pas occuper le poste de premier vice-président », a-t-il soutenu d’emblée.

Augustin Senghor explique les raisons de cette décision. « Il y a une logique et une cohérence à respecter, et j’ai toujours tenu à être cohérent dans mes engagements. À partir du moment où les simples membres ont été élus (…). Je redeviens un simple membre du comité exécutif. Cela me permettra de me consacrer pleinement à ma mission et de contribuer, dans la mesure de mes compétences, au développement du football africain ».

Désinformation sur les accords enseignants : le SAEMSS dément et alerte

Depuis plusieurs jours, une campagne de désinformation circule sur les réseaux sociaux, laissant entendre que le gouvernement a entièrement respecté ses engagements concernant les prêts au logement, la situation des décisionnaires et la surimposition des rappels. Le Syndicat autonome des enseignants du moyen et secondaire du Sénégal (SAEMSS) dénonce ces allégations qu’il qualifie de « manipulation et de propagande » orchestrées par des acteurs malintentionnés.

Dans un communiqué, le SAEMSS appelle les enseignants à la vigilance face à ces « mercenaires » qui auraient changé de position avec la nouvelle alternance politique. Il rappelle que, contrairement aux affirmations relayées sur les réseaux sociaux, le prêt au logement reste en grande partie bloqué. Bien que l’ancien régime ait initié une politique d’externalisation du prêt en novembre 2021 sous la pression syndicale, les difficultés d’accès persistent. À ce jour, six banques sont partenaires du dispositif, mais près de 40 000 demandes restent en attente depuis quatre ans, et certains établissements, comme la CBAO, bloquent les crédits malgré des prélèvements automatiques effectués sur les salaires des enseignants.

Concernant la révision du statut des décisionnaires, le syndicat souligne également l’absence de progrès significatif. Bien que des engagements aient été pris dans le protocole du 26 février 2022, le gouvernement tarde à signer les décrets nécessaires à l’élargissement du périmètre des agents concernés et au relèvement de l’âge de recrutement des fonctionnaires à 35 ans.

Enfin, sur la question des rappels, le SAEMSS dénonce une injustice persistante dans la rémunération des agents de la fonction publique et exhorte les autorités à respecter leurs engagements pour une équité salariale effective.

Tribunal : Un Nigérian tombe avec 8 pierres de crack

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Yuk O. est tombé dans le trafic de drogue, avant de se faire arrêter en 2022. D’après l’accusation, il a été interpellé avec huit pierres de crack dans sa poche. Inculpé pour offre ou cession de drogue, le prévenu a comparu hier, devant le tribunal correctionnel de Dakar. Mais, il a tenté d’atténuer sa responsabilité pénale, arguant qu’il n’avait que trois pierres de crack sur lui au moment de son arrestation. Le juge a souligné que le prévenu avait initialement reconnu être un trafiquant lors de l’enquête, mais il a ensuite contesté cette version à la barre, affirmant que la drogue était destinée à sa consommation personnelle. Le parquet a révélé que Yuk Oba avait indiqué avoir acquis la drogue auprès d’un certain Obegui. Il a rappelé que l’OCRTIS (Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants) avait mis en place une filature après avoir reçu des informations selon lesquelles Yuk Oba vendait de la drogue. Lors de son interpellation, huit pierres de crack ont été saisies et le prévenu avait reconnu être en possession de la drogue ainsi que les prix de vente. Sur ce, le représentant du Ministère public a requis une peine de deux ans de prison ferme et une amende d’un million de francs. Sans avocat, le prévenu connaîtra son sort le 26 mars prochain.

Espagne : Des migrants sénégalais, dont un bébé ligotés et jetés vivants à la mer

On en sait un peu plus sur l’affaire du « cayuco 223 bis » : cette pirogue arrivée le 3 novembre 2024 sur l’île canarienne d’El Hierro avec 207 migrants à bord, dont un homme blessé à la poitrine, et dans laquelle quatre personnes ont été tuées par des passagers lors de leur traversée de l’Atlantique. L’agence de presse espagnole, Efe, a dévoilé vendredi 7 mars le déroulé des évènements qui ont mené au drame, en s’appuyant sur les documents de l’enquête judiciaire.

Le 28 octobre, un canot part de Gambie et fait escale sur l’île sénégalaise voisine de Bassoul avant de prendre la mer en direction des Canaries, à plus de 1 500 km de là. À bord de l’embarcation, on compte plus de 200 migrants originaires de Guinée, du Sénégal, de Gambie, de Mauritanie et du Mali.

« Chasse aux sorcières » dans le canot

Le 30 octobre, au troisième jour de traversée, la situation se tend dans la pirogue. Les conducteurs du « cayuco » – mot espagnol qui désigne les canots utilisés par les migrants – semblent désorientés dans l’immensité de l’océan Atlantique et pensent que l’embarcation n’avance pas. Convaincus qu’une malédiction a touché le bateau, les « patrons » du canot cherchent le responsable à bord, « le prétendu esprit qui entrave leur navigation », écrit Efe. Ils le désignent même comme « un vampire », selon les témoignages des rescapés.

Une « chasse aux sorcières », d’après les termes employés par la Garde civile, se met alors en place parmi les passagers. Le coupable est vite désigné dans la nuit du 30 au 31 octobre : un jeune Sénégalais de 23 ans, encore endormi ou à peine réveillé, qui a eu le malheur de crier des mots incohérents – un comportement qui s’explique par le stress et la fatigue pouvant être causés par la peur d’une périlleuse traversée de l’Atlantique.

L’homme est ligoté, humilié et battu avec des machettes en pleine nuit. Deux personnes, son frère et un ami d’enfance, tentent de s’interposer en expliquant aux bourreaux qu’il s’agit de « délires » d’un garçon épuisé, et non d’une malédiction. Mais ils sont à leur tour menottés et torturés.

Un quatrième exilé, de l’ethnie peulh, subit le même sort après qu’un homme à bord se présentant comme un marabout le désigne comme un autre « vampire ». Le Sénégalais de 23 ans est étranglé et jeté à la mer, selon des témoins. Son frère, son ami et le jeune Peul sont emmenés à l’arrière de la pirogue et sont poussés à l’eau, vivants et ligotés. Deux jours plus tard, le 3 novembre, le cayuco arrive au port de la Restinga, à El Hierro, dans l’après-midi par ses propres moyens. Les passagers sont immédiatement pris en charge par les autorités.

Ils sont accusés d’avoir tué des migrants soupçonnés d’anthropophagie

Cette sombre affaire ne parvient aux oreilles de la Garde civile que trois semaines après le débarquement de la pirogue aux Canaries. Deux émigrés sénégalais résidant en Espagne se rendent à Tenerife à la recherche d’un proche disparu, qui avait pris place dans le « cayuco 223 bis ». Ils portent plainte et rapportent aux agents les témoignages des passagers sur les violences à bord du canot.

Une enquête est alors ouverte. Fin décembre, sept personnes, originaires du Sénégal, de Gambie et de Guinée-Bissau, sont interpellées à Las Raíces, le centre d’hébergement d’urgence de l’île de Tenerife, où ils séjournaient dep Le ministère public de Santa Cruz de Tenerife a aussi porté plainte pour homicide volontaire contre trois des détenus (les présumés auteurs des quatre victimes), en plus de l’accusation d’aide à l’immigration illégale qui pèse également sur les quatre autres.

Les investigations sont toujours en cours mais si un procès a lieu, ce sera la première fois que des passagers d’un canot comparaitront devant un tribunal pour meurtre : un crime commis intentionnellement et avec des circonstances aggravantes, contrairement à un « homicide par négligence », terme habituellement utilisé lorsque les occupants d’un canot meurent de froid ou de soif pendant le voyage.

Un bébé jeté à la mer car ses pleurs dérangeaient le capitaine du bateau

Mais des questions juridiques se posent déjà : cette accusation pourra-t-elle être soutenue en se basant uniquement sur le témoignage de trois personnes, sans la présence de corps ni aucune preuve physique prouvant les décès, comme du sang – selon la procédure habituelle, le canot a été détruit avant que l’affaire ne soit rapportée.

 

Par ailleurs, l’Espagne est-elle compétente pour juger un délit commis dans les eaux internationales par des ressortissants d’un pays tiers contre des personnes non espagnoles ? D’après un expert cité par Efe, des affaires similaires n’ont pas pu être portées devant un tribunal espagnol pour ces raisons, notamment une concernant un bébé jeté à la mer car ses pleurs dérangeaient le conducteur de la pirogue.

Tahirou Sarr propose une caution de 419 milliards de FCFA

L’homme d’affaires sénégalais Tahirou Sarr, impliqué dans une affaire de transactions financières suspectes portant sur 125 milliards de FCFA, a récemment déposé une caution de 419 milliards de FCFA auprès de l’Agent judiciaire de l’État (AJE) pour obtenir une liberté provisoire.

Cette caution comprend un terrain de 8 000 hectares à Mbane, évalué à 394 milliards de FCFA, un chèque certifié de 11 milliards de FCFA émis par la Banque Atlantique, et deux immeubles estimés à 14 milliards de FCFA.

Malgré ces garanties financières substantielles, rapporte L’Observateur, certaines de ces ressources ont été saisies par les autorités en vertu des lois de l’UEMOA sur la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

Cette situation a conduit au rejet de la demande de liberté provisoire de M. Sarr, entraînant son placement en détention.

Lors de sa comparution devant le Collège des juges d’instruction, M. Sarr a affirmé que tous les biens acquis par sa société, Sofico, l’ont été légalement, et que les fonds transitant par ses comptes sont traçables et suivis par le Trésor public.

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