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Le FDR dénonce une “radicalisation outrancière” du régime et annonce une manifestation à Dakar

Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) est monté au créneau, ce 8 octobre, pour dénoncer ce qu’il qualifie de « radicalisation outrancière » du pouvoir en place. Dans un communiqué, la coalition d’opposition accuse le régime issu du PASTEF de chercher à détourner l’attention de ses échecs économiques et sociaux à travers des « provocations » et une répression ciblée contre les opposants.

Le FDR pointe également du doigt plusieurs mesures qu’il juge « antisociales », notamment la taxation des transferts d’argent et les opérations de déguerpissement visant le secteur informel, qui affecteraient les couches les plus vulnérables de la population.

Face à cette situation, la coalition annonce l’organisation d’une grande manifestation pacifique à Dakar, prévue d’ici la fin du mois d’octobre, pour exiger la justice sociale et la libération des détenus politiques.

Lutte sénégalaise : Gris Bordeaux et les lutteurs en activité s’opposent à la création de la Fédération

L’Association nationale des lutteurs en activité (ANLA), dirigée par Gris Bordeaux, exprime son opposition à la mise en place de la Fédération sénégalaise de lutte (FSL), estimant que le projet du ministère des Sports est « prématuré ».

S’ils se disent favorables, sur le principe, à la création d’une fédération, les lutteurs jugent que le milieu n’est pas encore prêt pour franchir cette étape. Selon le quotidien sportif Record, ils considèrent que plusieurs préalables doivent être réglés avant d’envisager une telle transition institutionnelle.

Dans le cadre de leur mobilisation, les membres de l’ANLA ont refusé une audience proposée par la ministre des Sports, Khady Diène Gaye, afin de marquer leur désaccord avec le calendrier fixé par les autorités.

Toujours selon Record, Gorgui Étudiant, l’une des figures de proue du mouvement, a annoncé l’organisation prochaine d’une marche pour contester le processus en cours et appeler à un dialogue plus inclusif autour de l’avenir de la lutte sénégalaise.

Mbour : deux sourds-muets diffusent les vidéos intimes de l’épouse d’un émigré

Une affaire choquante secoue la ville de Mbour. Deux jeunes sourds-muets, M. Bâ et B. Diouf, âgés respectivement de 18 et 21 ans, ont été placés sous mandat de dépôt après avoir dérobé le téléphone d’une femme mariée et diffusé ses vidéos intimes sur les réseaux sociaux.

Selon les informations rapportées par L’Observateur, les faits se sont déroulés le lundi 22 septembre, en fin d’après-midi. De retour du marché central de Mbour, F. Dia, épouse d’un émigré, prend place dans une charrette conduite par M. Bâ, accompagné de son ami B. Diouf. En chemin, les deux hommes subtilisent le téléphone portable de la dame, qui se trouvait alors avec sa sœur.

Ce n’est qu’une fois arrivée à son domicile, à Saly Carrefour, que la victime constate la disparition de son appareil. Le lendemain, son cauchemar commence : les deux jeunes contactent une amie de Mme Dia via WhatsApp, lui envoient une vidéo intime de la victime et lui réclament 5000 F CFA en échange de leur silence.

Alertée, F. Dia saisit immédiatement le commissariat de Saly Portudal. Mais le mal est déjà fait : les mis en cause avaient déjà pris le contrôle de son compte WhatsApp, créé un groupe incluant une grande partie de ses contacts, et y avaient diffusé ses vidéos privées. Comme si cela ne suffisait pas, ils ont également publié les mêmes contenus en statut WhatsApp, exposant ainsi l’intimité de la jeune femme au grand jour.

Grâce aux réquisitions téléphoniques, les enquêteurs remontent rapidement la piste des deux auteurs. Interpellés et conduits au commissariat, M. Bâ et B. Diouf reconnaissent les faits et présentent leurs excuses.

Au terme de leur garde à vue, ils ont été déférés au parquet de Mbour et placés sous mandat de dépôt.

Un jeune homme vole les bijoux de sa tante et perd tout aux paris sportifs

Closeup of gold jewelery with precious stones

Un fait divers pour le moins rocambolesque secoue la commune de Mbacké. Un jeune homme de 23 ans, Y. Sarr, est activement recherché par la gendarmerie pour avoir cambriolé la chambre de sa tante, Y. Sow, et dérobé ses bijoux, rapporte L’AS dans son édition de mercredi.

Les faits se sont produits le 16 septembre 2025, alors que la victime assistait aux funérailles de son frère à Bambey. Profitant de son absence, le neveu  fils de la coépouse de Mme Sow  aurait forcé la porte de sa chambre, fouillé les lieux et emporté plusieurs bijoux de valeur.

Selon le journal, le butin a ensuite été revendu pour 800 000 F CFA au marché Ocass de Touba. Passionné de paris sportifs, le jeune homme aurait tout perdu le même jour sur le site 1xbet.

À son retour, la victime constate le vol et, grâce à la coopération de certains bijoutiers, parvient à identifier le coupable. Elle dépose alors plainte auprès du procureur de Mbacké, après avoir informé son époux, un émigré établi en Espagne.

Depuis, Y. Sarr demeure introuvable. D’après ses proches, il aurait pris la fuite vers la Gambie, où il tenterait de se cacher.

Le régime impose le «taraar» : une ancienne méthode qui plonge les paysans dans la misère

Ce qui se passe dans les ponts de collecte inquiète. C’est le cri de détresse du président du mouvement « Aar sunu momel », Bassirou Bâ. « J’interpelle les paysans pour leur savoir que leurs arachides empêchent plus d’un de dormir. Sous la houlette de la Sonacos en
compagnie des opérateurs, des huiliers et l’État du Sénégal pour empêcher l’exportation de l’arachide. Ils vont tout faire pour impose aux paysans les « Taraar » tout en bafouant le décret de l’ancien Président de la République, Abdou Diouf depuis 1984. Il est temps de faire face. Ce sera un combat fatal », a averti Bassirou Bâ. Ce dernier d’ajouter : « Le nouveau gouvernement veut faire revenir la machine « taraar ». Ceci a été initié depuis l’année dernière par le ministère et la DER. Il a été même sorti une avance de 1. 169. 000 000 pour commencer les démarches.

Mais nous, les paysans, pensons que c’est de la méchanceté et nous ne sommes pas d’accord sur ce projet. Pour, le plus urgent est d’aider les paysans qui ont des problèmes de rendement dans leurs activités. Il est impossible pour les paysans de parcourir 20 km pour aller vendre son arachide par faute de moyen de transport. Même pour vendre l’arachide une fois arrivé, il est confronté à des difficultés telle la longue attente et le travail à faire avec le « taraar ». Ce n’est pas une bonne idée de faire revenir cette ancienne méthode car les paysans peinent à avoir 500 kilogrammes d’arachide par hectare. Face à cette situation, l’Etat devrait fournir les moyens nécessaires au lieu de compliquer la tâche aux cultivateurs au profil de la Sonacos », a déploré le président du mouvement « Aar sunu momel ».

Pour Bassirou Bâ, le mouvement « Aar sunu momel » a toujours lutté contre  tout ce qui peut causer des problèmes aux paysans. Selon lui, l’Etat a oublié que les paysans sont indispensables dans la bonne marche d’un pays. « Ils ont besoin d’être accompagné et encadré. Mais ce que nous avons remarqué est qu’il est du côté d’un groupe d’opérateur, d’une usine qui s’appelle Sonacos pour arracher ce qui est de droit aux paysans et le leur donner. Ceci revient à sacrifier des millions de cultivateurs pour satisfaire 500 personnes.
Ce n’est pas ce que nous attendions du nouveau régime qui nous avait promis un changement, une rupture. D’après le sondage que nous avons fait un grand nombre de la population sera contre ce régime et nous ne comptons pas reculer sur ce combat. Nous nous attendions à ce qu’ils nous amènent une nouvelle technologie pour faciliter la culture de l’arachide mais pas qu’ils nous fassent régresser. L’autre chose est que nous ne serons pas d’accord sur le fait qu’ils ferment les frontières car cela va gravement faire baisse le prix de vente de l’arachide. Tous les paysans se sont mobilisés pour lutter contre cela avec
tous acteurs de la société civile », a-t-il dit. Bassirou Bâ, président du mouvement « Aar sunu momel » a établi un plan d’actions pour faire face.

Le gouvernement du Sénégal annonce la reprise de ses conférences de presse

Le gouvernement du Sénégal reprend ses conférences de presse régulières. Selon un communiqué officiel, la prochaine rencontre avec les journalistes est prévue pour le vendredi 10 octobre 2025, à partir de 15h30.

Ce rendez-vous marque le retour des échanges directs entre les membres du gouvernement et la presse nationale, une initiative destinée à renforcer la transparence et la communication publique.

Trois grands thèmes seront au cœur des discussions : les opérations de réorganisation et de sécurisation de l’espace public, la gestion des inondations, et la rentrée scolaire.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention